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Annexes


A. Modes d'estimation de sélection des arbres plus *
B. Quelques méthodes de greffage
C. L'anatomie de la zone de soudure des greffes chez le pin sylvestre et l'épicéa commun
D. Principaux rapports et contributions
E. Membres du bureau et participants

A. Modes d'estimation de sélection des arbres plus *

* Publiés par le Comité de coordination de génétique et d'amélioration forestières, d'après une proposition faite par Börje Häggström, Service forestier domanial, Suède.

En Suède, la sélection des arbres plus est fondée sur l'estimation des caractères phénotypiques, en particulier le taux de croissance, le mode de croissance, le port des branches et la qualité du bois. Pour les arbres plus des stations d'altitude, on considère aussi l'aptitude à la floraison et la qualité de la graine.

Un arbre plus est celui qui est nettement supérieur à la fois aux arbres qui l'entourent et à la moyenne du peuplement. Les arbres auxquels on compare l'arbre plus sont les 4 plus grands arbres de la même espèce situés dans le voisinage immédiat, c'est-à-dire à moins de 25 à 50 mètres (23 à 46 yards) de l'arbre plus. Les arbres de comparaison doivent tous être des dominants.

Modes de sélection des arbres plus chez Pinus sylvestris et Picea abies

L'arbre plus et les arbres auxquels on le compare doivent être du même âge, estimation faite à hauteur de poitrine. La différence d'âge ne doit normalement pas dépasser 10 ans. Cependant, si la différence entre l'arbre plus et les 4 dominants voisins dépasse 10 ans, les arbres plus doivent avoir des dimensions nettement supérieures à la normale compte tenu de l'âge et de la station.

Les conditions de la station, telles que la fertilité et les possibilités en eau du sol, la pente, et la densité du peuplement, doivent être manifestement les mêmes pour tous les arbres.

Les arbres plus doivent être sains et exempts de maladies et d'attaques d'insectes. Ils doivent être nettement plus hauts et avoir un diamètre très supérieur aux arbres de comparaison. Les tiges des arbres plus doivent être de bonne qualité avec des angles d'insertion des branches ouverts ou à peine inférieurs à 90°.

On emploie un système de notation par points pour juger un arbre plus et ce système sert à calculer une note de volume et une note de qualité. On estime le volume sous écorce. Le volume des arbres de comparaison est ajusté en fonction de l'état de développement qui correspond à l'âge de l'arbre plus. La note de volume est calculée d'après le rapport du volume de l'arbre plus au volume moyen des arbres de comparaison. Chaque dixième en plus de la valeur 1 reçoit un point pour le volume.

Le calcul de la note de qualité est basé sur l'estimation de la grosseur des branches, de l'angle d'insertion des branches et de la densité du bois. On y comprend aussi le nombre de branches par verticille. On comprendra comment on arrive à la note de qualité d'après les tableaux A1 et A2.

TABLEAU A1. - Classes utilisées pour la densité relative théorique du bois1

Classe de densité

Note

 

Pourcentage

 

Extrêmement forte

115,5

+ 4,0

Très forte

107,5 - 111,4

+ 2,5

Forte

103,5 - 107,4

+ 1,0

Moyenne

96,5 - 103,4

0,0

Faible

92,5 - 96,4

- 1,0

Très faible

88,5 - 92,4

- 2,5

Extrêmement faible

88,4

- 4,0

1 La densité relative théorique exprime la relation existant entre la densité du bois théorique observée et colle qui est calculée.

TABLEAU A2. - Classes employées pour la grosseur des branches et l'angle d'insertion des branches

Grosseur des branches

Angle d'insertion1 des branches

Classe

Note

Classe

Note

Branches très grosses

- 4

50°

- 2

Branches grosses

- 2,5

50 à 60°

- 1

Branches moyennement grosses

- 1

60 à 70°

0

Branches normales

0

70 à 80°

+ 1

Branches modérément fines

+ 1

80 à 90°+

2

Branches fines

+ 2,5



Branches très fines

+ 4



1 Employé seulement pour le pin sylvestre.

NOTE: La ilote de qualité est réduite de 1 ou 2 points si le nombre de branches par verticille est anormalement élevé.

TABLEAU A3. - Conversion de la note finale en classification des arbres plus

Note finale

Classification

- 7,5 à

- 1,5

Bc1

0 à

+ 6

B

7,5 à

13,5

Ba

15 à

21

AB

22,5 à

28,5

a

> 30


A

1 Non retenu.

NOTE: Pour l'épicéa commun la note de qualité la plus élevée possible est 8, puisqu'on ne dorme pas de point pour l'angle d'insertion des branches.

La note finale de l'arbre plus est la somme des notes de volume et de qualité. Ces chiffres sont convertis dans une échelle de classe: Bc (non retenu), B. Ba, AB, a et A suivant le schéma donné dans le tableau A3.

L'arbre plus et les arbres de comparaison sont examinés par le directeur scientifique du Comité de coordination de génétique et d'amélioration forestières. Au cours de cette vérification, les variations de qualité de la station, de densité du peuplement, l'influence des arbres voisins et l'historique du peuplement sont estimés. Le résultat de cette deuxième inspection peut aboutir à une modification du classement original.

Le tableau A4 montre comment des notes différentes de volume et de qualité influencent la note finale.

Cette estimation préliminaire des arbres plus est naturellement plutôt grossière et peu satisfaisante. Par conséquent, il est très important de donner des directives plus logiques et plus valables pour la sélection des arbres plus, en se basant sur les résultats de tests de descendance. Ces directives pour la sélection des arbres plus et la sélection massale devront tenir compte de l'héritabilité des différentes caractéristiques et des corrélations génétiques et phénotypiques entre ces caractères. Il faut aussi considérer la valeur économique relative des différentes qualités.

TABLEAU A4. - Relation entre les notes de volume et de qualité employées dans la sélection des arbres plus de pin sylvestre et d'épicéa commun

Note de volume


20

20

22,5

25

27,5

30


15

15

17,5

20

22,5

25


10

10

12,5

15

17,5

20


5

5

7,5

10

12,5

15


0

0

2,5

5

7,5

10

Note de qualité

0

2,5

5

7,5

10

B. Quelques méthodes de greffage

INGEGERD DORMLING

INGEGERD DORMLING est assistante à la Division de génétique forestière, Collège royal de sylviculture, Stockholm. Voir aussi Annexe C.

Epoque greffage

En Suède, on greffe les conifères en serre en février et mars ou à l'air libre en mai ou juin. Les porte-greffes utilisés sont âgés de 3 à 4 ans (plants repiqués 2 + 1 ou 2 + 2). Ceux que l'on emploie pour le greffage en serre sont mis en pot au cours du printemps ou de l'été précédant le greffage et mis en serre au début de janvier. La meilleure époque pour le greffage s'est révélée être celle où les bourgeons des porte-greffes commencent à débourrer. On emploie comme greffons des pousses encore complètement en dormance provenant de la saison de végétation précédente. Les bois greffons provenant du nord de la Suède ont souvent des pousses annuelles trop courtes et trop fines et il faut greffer du bois de 2 à 3 ans. On peut greffer les feuillus en serre en mars ou avril ou à l'air libre en avril. Dans les deux cas, la montée de sève ne doit pas avoir commencé.

Souvent, les greffons doivent être conservés un certain temps, notamment quand ils ont été prélevés en hiver à l'état de dormance pour la greffe à l'air libre. La conservation en sachets de matière plastique perforés, à la température d'environ 0°C donne de bons résultats. On peut aussi conserver les greffons à des températures plus basses quand le prélèvement a été fait par journée froide. Il n'est cependant pas à conseiller de récolter du bois de greffage par des températures inférieures à -5°C.

Méthodes de greffage

Les méthodes de greffage les plus utilisées en Suède sont décrites dans les figures 28A, B et C. La greffe en placage latéral est la méthode la plus satisfaisante pour les conifères, en particulier l'épicéa commun (Picea abies). Le greffon doit avoir cinq à huit centimètres de long. On enlève toutes les aiguilles de la partie inférieure et on prépare le greffon à l'aide de deux incisions, l'une de 3 à 4,5 cm de long et une incision courte sur la face opposée pour donner une forme de coin à la base. On nettoie le porte-greffes à l'emplacement du greffage et on enlève une mince tranche d'écorce avec un soupçon de bois par une incision tranchante. A la base, on constitue un épaulement en enlevant la languette par un mouvement de coupe dirigé vers le bas, les coupes du porte-greffes et du greffon doivent correspondre de façon que les cambiums puissent être ajustés précisément ensemble.

La greffe en poche est utilisée principalement pour le pin sylvestre (Pinus sylvestris) quand il faut greffer des petits greffons sur de gros porte-greffes. Le greffon reçoit deux coupes égales de 3 à 4 cm de long lui donnant une forme de coin. L'incision sur le porte-greffes est faite tangentiellement au cambium, on soulève l'écorce et on insère le greffon de façon que les cambiums s'ajustent au droit de l'incision.

La greffe en sifflet est utilisée particulièrement pour les feuillus mais a été employée avec un certain succès chez le pin sylvestre et le mélèze d'Europe (Larix decidua). Cette dernière espèce peut être greffée par l'une quelconque des méthodes que nous décrivons. L'extrémité inférieure du greffon est taillée obliquement sur une longueur égale à environ 6 fois le diamètre du greffon. Une languette dirigée vers le bas est laissée sur la surface oblique. La coupe du porte-greffes est faite en fonction des tailles du porte-greffes et du greffon. S'ils sont de diamètre égal, une coupe oblique de longueur correspondante est effectuée sur le porte-greffes et une languette dirigée vers le haut est faite pour s'adapter à celle du greffon. Sur un porte-greffes nettement plus gros que le greffon, la coupe doit être relativement peu profonde. Il est important de faire coïncider les cambiums du greffon et du porte-greffes au niveau des languettes et dans la partie inférieure de la greffe. Les bourgeons supérieurs sont toujours supprimés sur le greffon, et dans le cas de Fagus sylvatica tous les autres bourgeons réduits au tiers de leur longueur.

FIGURE 28. - Trois méthodes de greffage.

Si l'on omet cette précaution, le greffon produit une grande quantité de feuilles avant que l'union des greffes ne soit réalisée et meurt de sécheresse.

On attache les greffes avec du ruban plastique ou du raphia et on les scelle avec du mastic. On ne mastique pas les greffes des conifères dans le sud de la Suède (Ekebo), mais à Sundmo, Brunsberg et Bogesund (nord et centre de la Suède) ce procédé s'est montré nécessaire pour obtenir de bons résultats.

Quand l'union s'est produite, on sèvre progressivement les porte-greffes. Il faut procéder avec beaucoup de soin et pas trop rapidement. Sur les greffes de pin sylvestre et de mélèze d'Europe effectuées à Ekebo, on a obtenu de bons résultats en sevrant complètement les porte-greffes au cours du premier été, dans les autres cas, il a été préférable d'attendre l'été suivant.

Autres méthodes de greffage

On peut utiliser avec succès de nombreuses autres méthodes de greffage. En Finlande et aux Etats-Unis, les greffages d'été avec du matériel, demi-herbacé ont été employés pour les conifères et les greffons sont récoltés immédiatement avant le greffage.

Avec certains résineux, notamment le mélèze, on a obtenu de bons résultats en greffant suivant une des méthodes courantes sur plants dépotés de 2 ans que l'on transplantait aussitôt après sous ombrière.

Le greffage en tête de conifères relativement grands plantés dans les vergers à graines est à recommander dans certains cas mais seulement pour les espèces faciles à greffer, comme par exemple Larix et peut-être Pinus. Au Danemark, on utilise cette méthode pour Pseudotsuga taxifolia. Quelques greffages en tête sur des porte-greffes de Picea abies mis en pot ont été effectués en serre en Suède avec de bons résultats. La technique de greffage consiste en une décapitation du porte-greffes et en des entailles sur le porte-greffes et le greffon semblables à celles du greffage en placage de côté. Cette méthode est appelée la greffe en placage en tête.

On ne peut donner de règle générale sur la meilleure époque pour le greffage. Elle varie avec le climat, la méthode de greffage et l'espèce. On peut obtenir quelques renseignements sur cette question dans la littérature citée ci-dessous.

Dans le greffage à l'air libre, les serres portatives en polyéthylène, comme on les utilise en Finlande, sont utiles comme protection pour les greffes. Les poches en polyéthylène couvrant les greffes individuellement ont été satisfaisantes au Canada et aux Etats-Unis.

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C. L'anatomie de la zone de soudure des greffes chez le pin sylvestre et l'épicéa commun

INGEGERD DORMLING

INGEGERD DORMLING est assistante à la Division de génétique forestière, Collège royal de Sylviculture, Stockholm.

Préparation du matériel

On a effectué des recherches sur l'anatomie des points de soudure de greffes par placage latéral et de greffes en poche obtenues en serre. Des zones de soudure ont été découpées en sections de 5 mm de long que l'on a fixées dans du «craf», enrobées de paraffine, et des coupes transversales et longitudinales de 0,015 mm d'épaisseur ont été colorées à la safranine et au vert malachite.

Les détails d'anatomie observés dans les coupes transversale, tangentielle et radiale, sont présentés dans la figure 29. La structure des tiges de pin sylvestre et d'épicéa est semblable, mais il existe quelques différences notables dans la formation du cal et la soudure de la greffe. Le parenchyme à l'intérieur du cambium (moelle, rayons médullaires, canaux résinifères) est formé chez le pin sylvestre de cellules à paroi mince, tandis que chez Picea abies ces cellules ont pour la plupart des parois lignifiées. Les rayons médullaires à séries multiples sont plus nombreux chez le pin sylvestre que chez l'épicéa et manquent chez ce dernier dans les pousses d'un an. La partie subérifiée du périderme des jeunes pousses est plus importante chez l'épicéa que chez le pin sylvestre et les traces foliaires sont plus nombreuses chez l'épicéa que chez le pin.

Formation des tissus du cal

Après une greffe, la sécrétion de résine par les canaux résinifères sectionnés s'épanche immédiatement à la surface de la blessure. Rien ne prouve que la résine forme barrière entre les composantes de la greffe; au contraire, elle sert à les sceller ensemble. Des couches de soudure, constituées par les cellules endommagées directement ou indirectement se forment sur les surfaces de coupe aux endroits où le parenchyme est exposé. L'augmentation de taille des cellules adjacentes aux surfaces blessées est la première réaction que l'on peut observer sur les cellules vivantes, et les cellules épithéliales des canaux résinifères verticaux du cortex réagissent particulièrement vite au point de sectionnement. La division cellulaire se manifeste tout près des surfaces blessées à la fois sur le porte-greffes et sur le greffon trois à quatre jours après le greffage. Souvent, c'est sur le greffon qui est le siège des premières divisions et de la plus grande activité pendant les jours qui suivent immédiatement le greffage.

Les cellules qui entourent les traces d'insertion des feuilles et des branches et les cellules des rayons qui émergent des brèches foliaires sont particulièrement actives pour la formation du cal. En définitive, les porte-greffes produisent avant l'union un volume plus important de cal que les greffons, mais les traces d'insertion foliaire adjacentes aux surfaces de coupe des greffons fabriquent localement une plus grande quantité de cal. Les rayons qui ont été sectionnés loin à l'extérieur dans le liber produisent d'habitude plus de cal que ceux qui ont été coupés plus près, ou dans le cambium. La limite entre le liber et l'écorce est une zone de croissance très active.

La région du cambium joue un rôle secondaire dans la production de cals dans les greffes en placage latéral. Dans les greffes en poche, l'écorce du porte-greffes a toutefois été séparée du bois dans la région cambiale et les cellules produisent un cal vigoureux chez le pin sylvestre. Le processus est déclenché par les cellules des rayons, mais bientôt y participe la majeure portion des cellules cambiales si elles ont été laissées intactes par le greffage.

TABLEAU C1. - Intensité de la division cellulaire dans différents tissus de greffes de pin sylvestre et d'épicéa

Tissu

Pin sylvestre

Épicéa comm

Périderme

-

-

Ecorce, tissu évasé

+ + + (1)

+ + + (1)

Ecorce, canaux résinifères

+ + + +

+ + + +

Liber, rayons

+ + + + (1)

+ + + + (I)

Liber, parenchyme vertical

+ + (1)

+ + (l)

Liber, cellules criblées complètement différenciées

-

-

Région cambiale, rayons

+ + + (1)

+ + + (1)

Région cambiale, autres cellules non différenciées ou incomplètement différenciées

+ +

+ +

Xylème, rayons

+

- (+)

Xylème, canaux résinifères

+

-

Xylème, trachéides complètement différenciées

-

-

Moelle, brèches à l'insertion des feuilles et des branches

+ +

-

(1) = Les tissus intéressés par dos traces d'insertions de fouilles et de branches présentent une plus grande activité que les autres.
+ + + + = Très forte intensité des divisions cellulaires.
+ + + = Forte intensité dos divisions cellulaires.
+ + = L'intensité des divisions cellulaires varie; dans la moelle et les brèches a l'insertion des fouilles et branches chez le pin sylvestre, les divisions apparaissent à un stade précoce, dans les autres cas. pas avant que les tissus voisins n'aient commencé à se diviser
+ = Il peut y avoir une division cellulaire plus ou moins marquée, mais souvent il no s'en produit pas.
(+) = En cas de greffe tardive, il peut y avoir division des cellules des rayons du xylème de l'année.
- = Pas de division cellulaire.

FIGURE 29.

Figure A

Figure B

Figure C

Figure D

Figure E

Figure F

Figure G

Figure H

Figure I

Figure J

Sc = greffon, St = porte-greffes, St. fl = languette du porte-greffes (dans les greffes en placage de côté), B. fi = languette d'écorce (dans les greffes en poches), i = surface de la coupe (dans les greffes en poches), ic = coin intérieur (dans les greffes en poches), m = moelle (medula), X = xylème, c = cambium, ph = phloème, co = cortex, p = périderme, phe = phellogène (cambium de l'écorce), n. phe = nouveau phellogène, r = rayon, mr = rayons en séries multiples (rayon contenant un canal résinifère), re. c = poche a résine, v. re = canal résinifère vertical, 1. tr = insertion de feuille, lg = interstice de feuille.

FIGURE 29. - A. et B. Coupes transversale et tangentielle de la partie inférieure d'une greffe per placage latéral de pin sylvestre. La ligne pointillée montre le point où les deux coupes se rencontrent. A. Portion de porte-greffes enlevée avant de fixer les coupes. C. et D. coupes radiales de la partie inférieure des greffes par placage latéral avec la languette du porte-greffes coupée vers le haut soit vers le bas. E. et F. Coupes transversales de greffes en poches. Incision radiale et tangentielle dans l'écorce du porte-greffes. G. H. I. et J. Schéma de la croissance du cambium dans les greffes par placage latéral. Coupes transversales: G. et H. Porte-greffes gros, greffon petit: G. Situation normale immédiatement après le greffage. Les couches de cambium coïncident d'un coté: le cambium du greffon est à l'intérieur de celui du sujet.

H. Au bout de trois semaines environ. Le cambium du porte-greffes, d'un développement plus rapide, a dépassé celui du greffon à la partie supérieure. A la partie inférieure, développement vigoureux d'un cal - les éléments de la greffe sont repoussés sur le coté. Les cambiums du liège se rejoignent à la partie supérieure. I. Le porte-greffes et le greffon sont de tailles à peu près égales: I. Situation idéale. Le cambium du greffon a dépassé des deux côtés celui du porte-greffes. J. Au bout de trois semaines environ. Les deux cambiums sont sur le point de se souder. Les cambiums du liège sont soudés.

La formation de cal à partir de parenchyme à l'intérieur du cambium n'a lieu que chez le pin sylvestre où elle peut parfois être très importante. La moelle du greffon est particulièrement active quand elle est coupée.

On présente dans le tableau C1 la comparaison des tendances des différents tissus à produire un cal dans les deux espèces. Une activité importante dans un des deux composants de la greffe semble stimuler les tissus adjacents de l'autre composant à développer également leur activité avant que la jonction directe soit effectuée entre les tissus correspondants.

Formation de l'union de greffes

On a pu confirmer qu'il existe des unions entre cellules parenchymateuses huit à dix jours après le greffage. Quinze jours après le greffage, il y a des unions de parenchyme dans toutes les greffes faites en serre qui ont des chances de se développer plus tard. Seules les cellules nouvellement formées après greffage sont capables de s'unir. Dans les greffes en placage latéral, les premières unions se produisent entre les cellules qui proviennent de tissus extérieurs à la région cambiale. Dans les greffes en poche avec incision radiale dans l'écorce du porte-greffes (figure 29E), les premières unions apparaissent entre le cal provenant de la région cambiale du porte-greffes dans la languette d'écorce, et le cal provenant du cortex, des rayons du phloème et de la moelle du greffon. Dans les greffes en poche avec incision tangentielle sur le porte-greffes (figure 29F), des unions se produisent aussi au niveau de l'incision d'une façon proche de celle des greffes en placage. Les unions des cellules néoformées se produisent indépendamment de la nature des tissus d'origine.

L'union entre les cambiums de l'écorce néoformés se produit 15 à 20 jours après le greffage. Les phellogènes anciens les plus extérieurs qui entourent les tiges ne participent pas à la formation des nouveaux et ce n'est que progressivement que se produit l'union entre un nouveau et un ancien phellogène.

On a noté l'union des tissus vasculaires après environ 3 semaines dans les greffes bien ajustées. Quand l'ajustement a été moins bien fait, l'union peut nécessiter 5 à 6 semaines. Dans les greffes bien ajustées, il est courant d'observer que les divisions de la région cambiale sont capables d'assurer l'union des tissus vasculaires presque immédiatement. Il ne se forme alors qu'un petit nombre de cellules courtes, irrégulières. Quand les régions cambiales sont séparées davantage, elles s'étirent l'une vers l'autre par induction d'une cellule à la cellule la plus voisine grâce à des tissus parenchymateux intermédiaires.

Comme le cambium du porte-greffes est entré dans une phase active presque dès le greffage et que le porte-greffes a un approvisionnement en eau et en matières nutritives supérieur à celui du greffon, son cambium est en mesure de fabriquer plusieurs rangées nouvelles de trachéides jusqu'au moment où l'union est possible. Cela signifie que le cambium est forcé de s'éloigner d'un cambium du greffon qui a été placé en face, mais qui fait sa jonction avec un autre cambium qui a été placé à l'extérieur (figure 29, G. H. I et J).

On trouve souvent dans les greffes par placage latéral les premières unions de tissus vasculaires entre la languette du porte-greffes et les tissus du greffon situés sur la courte surface de coupe. Les insertions foliaires semblent jouer un rôle important dans l'établissement des connexions entre les vaisseaux, particulièrement chez l'épicéa où elles se produisent en grand nombre. Les unions cambiales dans le coin le plus intérieur des greffes en poche deviennent complexes, dépendant de la position respective des tissus des composants de la greffe.

Il n'est pas nécessaire que l'espace compris entre les surfaces de bois des composants de la greffe soit rempli de cals. Au contraire, cet espace reste souvent vide quand les tissus guérissent rapidement à l'extérieur.

L'été de l'année suivant le greffage, les porte-greffes sont rabattus d'une coupe oblique immédiatement au dessus du point de contact le plus élevé avec le greffon. La blessure causée est cicatrisée de tous les côtés de la même manière que lorsqu'on coupe une branche.

La greffe en placage latéral

La languette du porte-greffes des placages latéraux peut être taillée de deux manières comme le montre les figures 29 C et D, mais il faut préférer la taille vers le bas de la figure 29 D. Dans le deuxième cas, une mince tranche de bois adhérera tout le long de la languette et empêchera une union égale entre la languette et la surface de coupe la plus courte du greffon.

Un bon assemblage des régions cambiales des greffes en placage est indispensable pour obtenir l'union rapide des composants de la greffe. Cela n'implique pas cependant que les régions cambiales du greffon et du porte-greffes soient placées exactement en face l'une de l'autre. Il vaut mieux que le cambium du greffon soit placé légèrement à l'extérieur de celui du porte-greffes pour compenser la croissance plus vigoureuse du porte-greffes (figures G. H. I et J).

A l'usage, il s'est révélé beaucoup plus difficile de bien accorder les composants de la greffe dans l'épicéa que dans le pin sylvestre. Les difficultés qui se présentent dans le greffage de l'épicéa proviennent du fait que les porte-greffes sont souvent considérablement plus gros que les greffons. Un bon assemblage s'est montré cependant possible en faisant une coupe peu profonde dans le porte-greffes, qui atteint juste le bois, et place la surface de coupe du greffon juste en face de celle du porte-greffes. Cependant, chez le pin sylvestre, il n'est pas conseillé de faire une incision superficielle de ce type dans le porte-greffes car cela provoque une forte formation de cal sur toute la surface de coupe, ce qui retarde l'union des couches cambiales ou même provoque l'expulsion du greffon. Cela ne se produit pas avec l'épicéa. Naturellement, les composants de la greffe doivent être toujours attachés solidement pour empêcher que le porte-greffes dans sa croissance ne dépasse la surface du bois avant que la connexion avec le greffon ne soit établie.

La comparaison des pousses d'un an de pin sylvestre et l'épicéa a montré que l'écorce de ce dernier contient une proportion nettement plus faible de tissus vivants. Les pousses d'épicéa sont entourées d'une couche épaisse de cellules mortes et l'écorce entre les crêtes formées par les insertions foliaires est très mince. Comme les tissus capables de proliférer sont relativement limités dans les greffons d'épicéa, il est très important de bien accorder les cambiums dans cette espèce. Les recherches ont nettement montré qu'il faut préférer de jeunes porte-greffes de petite taille dans le cas des greffes en placage latéral.

La greffe en poche

L'incision du porte-greffes dans les greffes en poche peut se faire de deux façons - radialement et tangentiellement (figure 29 E et F). Quand on fait l'incision radialement, tout le greffon sera placé à l'intérieur de la surface d'incision (figure 29 E) et les bords du cambium sont très éloignés à ce niveau. Dans le cas d'une incision tangentielle (figure 29 F), il existe des possibilités d'ajuster les couches de cambium de façon à obtenir une union qui corresponde à celle des greffes en placage. Parmi les greffes en poche d'épicéa utilisées dans cette recherche, seules les greffes avec incision tangentielle du porte-greffes ont réussi. La plus grande partie des unions ont été observées sur la surface d'incision tandis qu'il ne se produisait souvent rien à la languette d'écorce. Une coupe du porte-greffes qui enlèverait une mince tranche de bois donnerait une surface de contact encore meilleure pour le greffon et laisserait moins de vide dans le coin.

La greffe en placage latéral est nettement la meilleure des deux méthodes expérimentées et celle qu'il faut recommander pour l'épicéa. La greffe en poche peut s'appliquer au pin sylvestre quand on utilise de grands porte-greffes avec de petits greffons. Les incisions dans le porte-greffes doivent être faits tangentiellement.

Les hétérogreffes

Le greffage hétéroplastique ou interspécifique s'utilise en amélioration des arbres fruitiers pour produire de petits arbres à floraison précoce et abondante. On vise au même effet quand on greffe des arbres forestiers pour les vergers à graines.

On a fait en Suède quelques expériences, mais avec peu de résultats. Pinus mugo a été employé comme porte-greffes pour Pinus sylvestris. Ces espèces s'unissent très bien si l'on choisit pour la première une race à croissance rapide, mais l'arbre greffé présente ensuite des caractéristiques semblables à celles des greffes intraspécifiques. Si le porte-greffes appartient à une race à croissance lente, le greffon poussera plus vite que le porte-greffes. Un renflement se forme au dessus de l'union de greffes, ce qui l'affaiblit et le vent la casse facilement.

Une croissance trop rapide du porte-greffes peut causer l'expulsion du greffon. L'expérience a montré que les jeunes plants de la même espèce et d'une provenance aussi proche que possible du greffon constituent les meilleurs porte-greffes pour le pin sylvestre et l'épicéa commun. Il est très difficile de récolter des greffes sur certains arbres mères, et on doit s'attendre quelquefois à une incompatibilité entre des composants de greffes de la même espèce.

Dans les pays qui disposent de plusieurs espèces, les possibilités de réussir des greffes interspécifiques sont nettement plus fortes. Des études sur les arbres forestiers ont été effectuées par Mergen (1954 a), Pitcher (1960) et Ahlgren (1962).

L'incompatibilité entre porte-greffes et greffon a fait l'objet de nombreuses recherches (Proebsting, 1926, 1928; Bradford et Sitton, 1929; McClintock, 1948, Herrero 1951; Thiel, 1954; de Stigter, 1956; et Pitcher, 1960). Il arrive fréquemment que les greffons se maintiennent une année ou plus et meurent par la suite. D'après Schönbach (1960), dans quelques greffes de Populus les greffons ont vécu jusqu'à 7 ans. Dans ces greffes, les unions de xylème sont presque complètes mais celles du phloème ne sont pas satisfaisantes. On rencontre des couches de liège dans la région de la greffe. La continuité du cambium semble être brisée à la fin de la saison de croissance. Une union nouvelle peut alors se produire au printemps mais elle fait souvent défaut. Il s'est avéré que quelques greffes étaient compatibles quand on laissait des feuilles sur les porte-greffes (Stigter, 1956; Pitcher, 1960).

L'influence mutuelle du porte-greffes et du scion a été souvent discutée mais la nature de ce phénomène n'est pas encore pleinement élucidée (Brix, 1952; Thiel, 1954; Rogers et Beakbane, 1957). Il est tout à fait évident, cependant, que dans ce cas aucune influence ne se produit sur les caractères héréditaires.

Bibliographie

AHLGREN, C. E. 1962. Some factors influencing survival, growth, and flowering of intraspecific and interspecific pine grafts. J. For., 60: 785-789. (H)1

BRADFORD, F. C. & SITTON, B. G. 1929. Defective graft unions in the apple and the pear. Mich. Agric. Exp. Sta. Tech. Bull. 99. 106 p. (A, H).1

BRAUN, H. J. 1958. Die normalen Verwachsungsvorgänge nach Pfropfung von Laubbäumen. I. Des Verfahren des seitlichen Einspitzens. Z. Botan., 46: 309-338. (A)1

BRAUN, H. J. 1959. Die normalen Verwachsungsvorgänge nach Pfropfung von Laubbäumen. II. Die Verfahren des seitlichen Anplattens und der Kopulation. Z. Botan., 47: 145-166. (A)1

BRAUN, H. J. 1960a. Die normalen Verwachsungsvorgänge nach Pfropfung von Laubbäumen. III. Das seitliche T-Schnitt-Verfahren, die Geissfuss- und Keilpfropfung, sowie das Ablaktieren. Z. Botan., 48: 58-65. (A)1

BRAUN, H. J. 1960b. Neuere Erkenntnisse über die Vorgänge beim Pfropfen von Bäumen. Mitt. Deut. Dendrol. Ges., 61: 32-44. (A)1

BRIX, KÄTHE. 1952. Untersuchungen über den Einfluss der Pfropfung auf Reis und Unterlage und die Möglichkeit einer Übertragung eventueller Veränderungen auf die Nachkommen. Z. Pflanzenzücht., 31: 261-288. (H)1

DORMLING, I. 1964. Anatomical and histological examinations of the union of scion and stock in grafts of Scots pine (Pinus silvestris L.) and Norway spruce (Picea abies [L] Karst.). Studia Forestalia Suecica 13. 132p. (A)1

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McCLINTOCK, J. A. 1948. A study of uncongeniality between peaches as scions and the Marianna plum as a stock. J. Agric. Res., 77: 253-260. (H)1

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MERGEN, F. 1954b. Heteroplastic micrografting of slash pine. Southeast. Forest Expt. Sta., Sta. Paper 47, 17 p. (H)1

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ROGERS, W. S. & BEAKBANE, A. B. 1957. Stock and scion relations. Ann. Rev. Plant Physiology., 8: 217-236. (H)1

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SHARPLES, A. & GUNNERY, H. 1933. Callus formation in Hibiscus Rosa-sinensis L. and Hevea brasiliensis Müll. Arg. Ann. Bot., 47: 827-840. (A)1

STIGTER, H. C. M. DE. 1956. Studies on the nature of the incompatibility in a cucurbitaceous graft. Mededel. Landbouwhogeschool, Wageningen, 56 (8). (H)1

THIEL, K. 1954. Untersuchungen zur Frage der Unverträglichkeit bei Birnendelsorten auf Quitte A. (Cydonia EMA). Gartenbauwiss., 1: 127-159. (H)1

1 (A) = anatomie; (H) = greffuge hétéroplastique.

D. Principaux rapports et contributions

Principaux rapports

Section

Auteur

1

Quelques principes de cytologie et de génétique forestières

ÅKE GUSTAFSSON (Suède)

2a

La génétique des populations prise comme base de la sélection

KLAUS STERN (Rép. féd. d'Allemagne)

2b

L'hybridation entre espèces et races

JONATHAN W. WRIGHT (Etats-Unis)

3

La recherche sur les provenances

R. Z. CALLAHAM (Etats-Unis)

4

Génétique et amélioration des essences exotiques

RICCARDO MORANDINI (Italie)

5

La physiologie de l'arbre dans ses relations avec la génétique et l'amélioration

P. F. WAREING (Royaume-Uni)

6a

Amélioration génétique des arbres forestiers en vue de la résistance aux maladies



E. BJÖRKMAN (Suède)


6b

Amélioration génétique de la résistance aux attaques d'insectes chez les arbres forestiers

BENT SØEGAARD (Danemark)

7

Amélioration des arbres forestiers pour les qualités du bois

BRUCE J. ZOBEL (Etats-Unis)

8

Production et certification des graines

JOHN D. MATTHEWS (Royaume-Uni)

9

Les applications pratiques de la génétique forestière en Suède

W. PLYM FORSHELL (Suède)

Contributions

SECTION 1. GÉNÉTIQUE ET CYTOLOGIE FORESTIÈRES

Evaluation of spontaneous, chemical and radiation-induced mutations in Pinaceae

MERGEN, F (Etats-Unis)

Cytogenetical evolution in conifers

KHOSHOO, T. N. (Inde)

Some characteristics of autotetraploids of tree species induced by colchicine treatment

KYUN, SIN-KYU & KIM, CHUNG-SUK (Corée)

Etude d'un peuplier tétraploïde obtenu artificiellement et de sa descendance

SEKAWIN, MICHELE (Italie)

Genetics of flavonoids in Prunus wood

HASEGAWA, MASAO & SHIRATO, TERUO (Japon)

Sensitivity of pine seed to neutron, gamma and X-ray irradiation

YIM, KYONG BIN (Corée)

Inheritance of needles discoloration of sugi (Cryptomeria japonica D. Don)

FUKUHARA, NARAKATSU (Japon)

SECTION 2a GÉNÉTIQUE DES POPULATIONS, HÉRITABILITÉ, APTITUDE AU CROISEMENT ET ÉPREUVE DE LA DESCENDANCE

Arrangement and design of field experiments in progeny testing

JOHNSSON, HELGE (Suède)

Mass selection and heritability studies in forest tree breeding

TODA, RYOOKITI (Japon)

Estimates of heritability published in forest tree breeding research

HATTEMER, H. H. (Allemagne, Rép. féd. d')

Estimation of genetic parameters in forest trees without raising progeny

SAKAI, KAN-ICHI & HATEKEYAMA, SUEKICHI (Japon)

One parent progeny testing with black wattle (Acacia mearnsii de Wild)

MOFFETT, A. A. & NIXON, KATHLEEN M. (Afrique du Sud)

Population genetics - breeding methods

WETTSTEIN, W. W. (Autriche)

The height growth in seedlings of Picea abies (L.) Karst; a possibility to determine the material portion

HOLZER, KURT (Autriche)

Some causes of variation in the initial development of Scots pine (Pinus sylvestris L.)

HADDERS, GUSTAF (Suède)

Results from an 11-year-old progeny test with Picea abies (L.) Karst in southeastern Norway

RUDEN, TOLLEF (Norvège)

Early tests

SCHMIDT, W.(Allemagne, Rép. Féd. d')

Prognose prématurée dans l'amélioration de la forme du tronc du peuplier noir

ZUFA LAJOS (Yugoslavia)

Application de la méthode graphique a l'étude de la variabilité des populations

DUMITRIU-TATARANU (Roumanie)

SECTION 2b. L'HYBRIDATION ENTRE ESPÈCES ET RACES

Experiments on forest tree hybrids in Bavaria from 1936 to 1962

ROHMEDER, E. (Allemagne, Rép. Féd. d')

Performance of some aspen seed sources and hybrids in eastern Massachusetts

PAULEY, SCOTT S. (Etats-Unis)

On the fertilization in the crossings of Pinus rigida with P. taeda, P. radiata and P. elliottii

KYUN, SIN KYU & YIM, KYONG BIN (Corée)

The progress of seedling growth of poplar hybrids in relation to their selection

BIALOBOK, S. (Pologne)

Interspecific hybridization of several pine species from the subgenus Diploxylon Koehne

VIDAKOVIC, MIRKO (Yugoslavie)

Intraspecific hybridization and heterosis within Picea abies

NILSSON, B. O. (Suède)

On the growth of artificial hybrids of sugi Cryptomeria japonica

NOHARA, YUTA (Japon)

Cruzamientos dentro de la sección Leuce y un híbrido notable entre Leuce y Aigeiros

CATALÁN, G. (Espagne)

Considérations sur l'amélioration du genre Populus et spécialement sur la section Aigeiras

MUHLE LARSEN, C. (Belgique)

Investigations of crossability of some Mediterranean pines and the American red pine

MOULOPOULUS, C. & BASSIOTIS, C. (Gréce)

Recherches biométriques sur les fruits et graines dans les travaux de sélection et d'amélioration du frêne

BENEA, V., LEANDRU, L. & LAZARESCU, C. (Roumanie)

SECTION 3. RECHERCHE SUR LES PROVENANCES

Practical results and current problems in provenance research in Suède

LANGLET, OLOF (Suède)

Provenance in tree improvement with particular references to Eucalyptus

PRYOR, LINDSAY D. (Australie)

Growth of Norway spruce (Picea abies [L.] Karst.) provenances in eastern north America

HOLST, MARK (Canada)

The design of field tests

WRIGHT, JONATHAN W. (Etats-Unis)

Standardization of methods in provenance research and testing

VYSKOT, MIROSLAV (Tchécoslovaquie)

Report on the state and preliminary evaluation of Czechoslovak provenance trial plots of Norway spruce in the international series from the year 1938

VINS, B. (Tchécoslovaquie)

Some results from an anatomic investigation of Norway spruce provenances in four international spruce tests of 1938 in Suède and Norway

DIETRICHSON, JON (Norvège)

Douglas-fir archives and their use in tree improvement

IRGENS-MOLLER, H (Etats-Unis)

Selection for drought resistance in sugar maple

KRIEBEL, HOWARD B. (Etats-Unis)

Les parcelles de recherche concernant les provenances du mélèze fondées par Rubner sur le territoire de la Tchécoslovaquie

SINDELAR, JIRI (Tchécoslovaquie)

Recherches anatomiques sur les feuilles comme complément a la connaissance morphologique des unités systématiques inférieures dans les populations de pin noir

NICOTA, BOZIDAR (Yougoslavie)

Report on researches undertaken in Poland on Scots pine (Pinus sylvestris)

TYSZKIEWICZ, St. (Pologne)

Pinus cembra L. as a pioneer at timberline in the European Alps

KURT, HOLZER (Autriche)

The geographical variation, the intraspecific taxonomy and the breeding of Scots pine (Pinus sylvestris)

PRAVDIN, L. F. (U.R.S.S.)

Les possibilités d'utiliser les mesures statistiques portent sur des cones et graines d'Epicea des Carpathes orientales du nord (Roumanie) en vue de la reconnaissance des populations d'élite

DUMITRIU-TATARANU, I. & BENEA, V.(Roumanie)

Monophage analysis of elm populations

RICHENS, R. H. (Royaume-Uni)

SECTION 4. ESPÈCES INTRODUITES

Planning a genetical survey of Pinus radiata populations

BANNISTER, M. H. (Nouvelle-Zélande)

The use of exotic trees in increasing production with particular reference to northwestern Europe

EDWARDS, M. V. (Royaume-Uni)

Initiating a breeding program with Pinus patula in Southern Rhodesia

HODGSON, L. M. (Rhodésie du Sud)

Génétique des peupliers

SEKAWIN, MICHELE (Italie)

Experiences with the Douglas fir in Europe

SCHOBER, R. (Allemagne, Rép. féd. d')

Experiences and present situation of foreign tree species and provenances in Suède

KIELLANDER, C. L. (Suède)

Ensayo de introducción de pinos subtropicales en el nordeste Argentino

BARRETT, W. H. H. (Argentine)

La résistance des Eucalyptus au calcaire actif dans le sol. Compte rendu d'un test précoce

LACAZE, M. (France)

Contribution du Maroc pour l'amélioration génétique des Eucalyptus introduits dans le bassin méditerranéen

CLAUDOT, JEAN (Maroc)

Sélection de certaines populations valeureuses de robinier faux Acacia et possibilités de leur multiplication par vole végétative

ENESCO, Val., BIRLANESCU, E. & COSTEA, A. (Roumanie)

The geographical distribution of Populus Nigra L. var. Pubescens Parlat, and of Populus Thevestina Dode, and their hybrids

PAPAIOANNOU, J. (Grèce)

SECTION 5. GÉNÉTIQUE ET PHYSIOLOGIE DES ARBRES

Physiological implications in tree improvement

KOZLOWSKI, T. T (Etats-Unis)

Some physiological actions of Gibberellins on forest boos

SATO, KEJI (Japon)

Physiological investigations on Picea abies (L.) Karst in view of genetics

HOLZER, KURT (Autriche)

Tree physiology-genetics studios at Oregon State University

FERREL, WILLIAM K. (Etats-Unis)

Amélioration des reboisements d'Eucalyptus par multiplication végétative

FRANCLET, A.(Tunisie)

Grafting as an aid in the brooding of teak (Tectona grandis L. f.) and semal (Salmalia malabarica Schott et Endl.)

KEDHARNATH, S. & VENKATESH, C. S. (Inde)

Plastic greenhouses in tree breeding practice

LESKINEN, USKO (Finlande)

Enraizamiento de Eucalyptus camaldulensis

MARCAVILLACA, MANUEL & MONTALDI, EDGARDO, R. (Argentine)

Comparison of nutritional properties in forest tree species

INGESTAD, TORSTEN (Suède)

The possibility of using cuttings for the establishment of commercial plantations of Monterey pine

FIELDING, JOHN M. (Australie)

Etudes physiologiques et biochimiques dans les travaux d'amélioration du pin

BENEA, V., LEANDRU, L. & NITU, C. (Roumanie)

Influence de la topophysie sur l'affinement apparent des clones de peuplier a écorce grise et rugueuse

MAY, S. A. (Italie)

SECTION 6a. AMÉLIORATION GÉNÉTIQUE EN VUE DE LA RÉSISTANCE AUX MALADIES

Problems and progress in improvement of rust resistance of North American trees

BINGHAM, R. T. (Etats-Unis)

Improvement of disease resistance in Populus

SCHREINER, ERNST J. (Etats-Unis)

The possibility of establishing clinical indices in boos to determine their level of vigor and vulnerability to diseases caused by facultative parasites

BIER, JOHN E. (Canada)

Resistance of pines to southern fusiform rust

HENRY, B. W. & JEWELL, F. F. (Etats-Unis)

Breeding sandal for resistance to the spike disease

VENKATESH, C. S. & KEDHARNATH, S. (Inde)

Brooding for resistance to disease of fast-growing trees and need for a more complex selection

KRSTIC, M. M. (Yougoslavie)

SECTION 6b. AMÉLIORATION GÉNÉTIQUE EN VUE DE LA RÉSISTANCE AUX ATTAQUES D'INSECTES

Integrated selection for white pine weevil resistance and its components

GERHOLD, H. D. & STROH, R. C. (Etats-Unis)

Studios on resistance of pings to insects

SMITH, RICHARD H. & EATON, CHARLES B. (Etats-Unis)

Breeding resistance in pines to Rhyacionia moths

HOIST, MARK (Canada)

The brooding of white pine for resistance to weevil

HEIMBURGER, C. (Canada)

SECTION 7. AMÉLIORATION GNÉTIQUE POUR LES QUALITÉS DU POIS

Evaluating the environment for studios of the inheritance of wood properties

LARSON, PHILIP R. (Etats-Unis)

Inheritance of wood properties and their relation to growth rate in Pinus taeda

BUIJTENEN, J. P. VAN (Etats-Unis)

The influence of environment of the wood density of Radiata pine grown in New Zealand

MADDERN HARRIS, J. (Nouvelle-Zélande)

Variation in fiber length in Populus tremuloides clones

VALENTINE, F. A. (Etats-Unis)

Timber improvement by tree selection and breeding

PHILLIPS, E. W. J. (Royaume-Uni)

Present status of forest tree breeding in India

KEDHARNATH, S. (Inde)

Observations on timber quality and out-turn of Scots pine

OPENSHAW, K. (Royaume-Uni)

Wood density in progenies after hybridization within Picea abies

NILSSON, Bo (Suède)

SECTION 8. PRODUCTION ET CERTIFICATION DES GRAINES

Seed stands and seed orchards in the breeding of conifers

ANDERSSON, E. (Suède)

Problems of flowering and seed production

RISTO, SARVAS (Finland)

Forest tree seed certification in the Etats-Unis and some proposals for uniformity

RUDOLF, P. O. (Etats-Unis)

Tree seed certification and forest genetics

ELIASON, E. J. (Etats-Unis)

Consequences of the development of varieties in forestry

LANGNER, W. (Allemagne, Rép. féd. d')

Basic principles of origin certification

BARNER, H. (Daenmark)

Relation entre la hauteur des arbres et la fructification du pin maritime (Pinus pinaster Sol.)

ILLY, GEORGES (France)

Some results on the determination of seed sources by the ignitibility of forest tree seed

DEICHMANN, V. VON (Brésil)

Critères phénotypiques de choix des plantes plus de pin pigeon

CAPPELLI, M. (Italie)

Contribution de la morphologie du pollen a la génétique forestière. Disparition d'une espèce (Cedrus libani Loud.) dans certaines régions

AYTUG, BURHAN (Turquie)

Identification des peuplements d'élite pour les réservations de semences par cartographie sémiologique

ENESCO, Val., BENEAN, V. and CATANESCU, D. (Roumanie)

SECTION 9. APPLICATIONS PRATIQUES DE LA GÉNÉTIQUE FORESTIÈRE EN SUÈDE

Les communications suivantes ont été présentées par les participants suédois au cours des trois voyages d'études et des excursions à Bogesund:

The Norway spruce provenance experiments at Dönjelt and Hjuleberg

LANGLET, O.

Genetic variation in progeny tests of Scots pine (Pinus sylvestris)

EHRENBERG, C.

Graft production, grafting and the production of cuttings

PERSSON, S.

On the anatomy of graft unions in Scots pine and Norway spruce

DORMLING, I.

On grafting methods

DORMLING, I.

The Department of Forest Genetics, Royal College of Forestry, Stockholm. Research Notes No. 1, 1963

GUSTAFSSON, A.

The Swedish Forest Tree Breeding Association

ARNBORG, T.& JOHNSSON, H.

Aspen breeding end research. The Swedish Match Company, Mykinge Experiment Station

HÜPPEL, A. & JOHNSSON, H.

Experimental provenance plantation with Scots pine at Alvkarleby, Suède

EICHE, V.

E. Membres du bureau et participants

Membres du Bureau

Président:

LUNDH, ERIK

Vice-présidents:

AMAREL GURCEL, J. DE


TODA, RYOOKITI


LANGNER, W.


WETTSTEIN, W.

Rapporteur général:

MATTHEWS, J. D.

Secrétaire général:

MÉTRO, A.

Secrétaire général adjoint:

FUGALLI, O.

Secrétaire technique:

SIRÉN, G.

N. A. OSARA, Directeur de la Division des forêts et des produits forestiers, représentait le Directeur général de la FAO.

COMITÉ D'ORGANISATION

Membre honoraire:

SYLVÉN, N.

Président:

PLYM FORSHELL, W.

Vice-président:

GUSTAFSSON, ÅKE

Secrétaire général:

JOHNSSON, H.

Secrétaire:

EHRENBERG, C.

Membres:

ANDERSSON, E.


ANDRÉN, TH.


BJÖRKMAN, E.


EKMAN, S-G.


HAGBERG, E.


HÄGGSTRÖM, B.


LANGLET, O.


STEFANSSON, E.


WIJKSTRÖM, S.

SECTION 1. GÉNÉTIQUE ET CYTOLOGIE FORESTIÈRES

Président:

SAX, K.

Rapporteur principal:

GUSTAFSSON, Å.

Rapporteurs:

MERGEN, E.


KHOSHOO, T. N.


HYUN, S. K.

Secrétaire:

MERGEN, E.

SECTION 2a. GÉNÉTIQUE DES POPULATIONS, HÉRITABILITÉ, APTITUDE AU CROISEMENT ET ÉPREUVE DE LA DESCENDANCE

Président:

PHILLIPPIS, A. DE

Rapporteur principal:

STERN, K.

Rapporteurs:

JOHNSSON, H.


TODA, R.

Secrétaire:

STRAND, L.

SECTION 2b. L'HYBRIDATION ENTRE ESPÈCES ET RACES

Président:

HEIMBUBGER, C. C.

Rapporteur principal:

WRIGHT, J. W.

Rapporteurs:

MUHLE LARSEN, C.


ROHMEDER, E.

Secrétaire:

JONES, E. W.

SECTION 3. RECHERCHE SUR LES PROVENANCES

Président:

BOUVAREL, P.

Rapporteur principal:

CALLAHAM, R. Z.

Rapporteurs:

LANGLET, O.


PRYOR, L. D.

Secrétaire:

LACAZE, J.

SECTION 4. ESPÈCES INTRODUITES

Président:

FIELDING, J. M.

Rapporteur principal:

MORANDINI, R.

Rapporteurs:

BANNISTER, M. H.


SEKAWIN, M.


EDWARDS, M. V.


SCHOBER, R.

Secrétaire:

FAULKNER, R.

SECTION 5. GÉNÉTIQUE ET PHYSIOLOGIE DES ARBRES

Président:

FOWELLS, H. A.

Rapporteur principal:

WAREING, P. E.

Rapporteurs:

HOLZAR, K.


SATO, K.


KOZLOWSKI, T. T.

Secrétaire:

INGESTAD, T.

SECTION 6a. AMÉLIORATION GÉNÉTIQUE EN VUE DE LA RÉSISTANCE AUX MALADIES

Président:

SCHREINER, E. J.

Rapporteur principal:

BJÖRKMAN, E.

Rapporteur:

BINGHAM, R. T.

Secrétaire:

BINGHAM, R. T.

SECTION 6b. AMÉLIORATION GÉNÉTIQUE EN VUE DE LA RÉSISTANCE AUX ATTAQUES D'INSECTES

Président:

SCHREINER, E. J.

Rapporteur principal:

SØEGAARD, B.

Rapporteur:

GERHOLD, H.

Secrétaire:

GERHOLD, H.

SECTION 7. AMÉLIORATION GÉNÉTIQUE POUR LES QUALITÉS DU BOIS

Président:

PHILLIPS, E. TV.

Rapporteur principal:

ZOBEL, B. J.

Rapporteurs:

MADDERN HARRIS, J.


VAN BUIJTENEN, J.

Secrétaire:

LARSON, P.

SECTION 8. PRODUCTION ET CERTIFICATION DES GRAINES

Président:

KRIEBEL, H.

Rapporteur principal:

MATTHEWS, J.

Rapporteurs:

ANDERSSON, E.


SARVAS, R.

Secrétaire:

BARNER, H.

SECTION 9. APPLICATIONS PRATIQUES DE LA GÉNÉTIQUE FORESTIÈRE EN SUÈDE

Président:

SYRACH LARSEN, C.

Rapporteur principal:

PLYM FORSHELL, W.

Secrétaire:

AMBORG, T.

Participants

Amaral Gurgel, José de

Brésil

Andersson, Enar

Suède

Andrén, Thorsten

Suède

Arnborg, Tore

Suède

Aytug, Burhan

Turquie

Badra, Mahmoud

Tunisie

Barner, Helmuth

Danemark

Barner, Burton V.

Etats-Unis

Bassiotis, Constantine

Grèce

Bastos de Menezes, Osvaldo

Brésil

Bay, Bendt

Nouvelle-Zélande

Benea, Vasile

Roumanie

Bergman, Fritz H. F.

Suède

Betancourt Barroso, M. R.

Cuba

Bialobok, Stefan

Pologne

Bier, John E.

Canada

Bingham, Richard T.

Etats-Unis

Biraghi, Antonio

Italie

Björkman, Erik

Suède

Boonkird, Sa-ard

Thaïlande

Bouvarel, Pierre

France

Bunn, Ernest H.

Nouvelle-Zélande

Burdon, Rowland D.

Nouvelle-Zélande

Buijtenen, Johannes P. van

Etats-Unis

Callaham, R. Z.

Etats-Unis

Castellani, Ettore

Italie

Catalan, Gabriel

Espagne

Chalmers, William S.

Trinité et Tobago

Clear, Thomas

Irelande

Cooling, Edwin N. G.

Rhodésie

Deasy, Jeremiah J.

Irelande

Dietrichson, Jon

Norvège

Dimpfimeier, Rudolf

Allemagne, Rép. féd. d'

Donaubauer, Edwin

Autriche

Edlund, Erik

Suède

Edwards, M. V.

Royaume-Uni

Ehrenberg, Carin

Suède

Ekman, Sven G.

Suède

Eliason, Everett

Etats-Unis

Esbo, Harald

Suède

Fassi, Bruno

Italie

Faulkner, Roy

Royaume-Uni

Ferrell, William K.

Etats-Unis

Fielding, John M.

Australie

Fowells, Harry A.

Etats-Unis

Franclet, André

Tunisie

Fröhlich, Hans I.

Allemagne, Rép. féd. d'

Furukoshi, Takanobu

Japon

Geary, Thomas F.

Rhodésie

Gerhold, Henry D.

Etats-Unis

Giertych, Maciej M.

Pologne

Gonser, Hans

Allemagne, Rép. féd. d'

Gustafsson, Åke

Suède

Göhrn, Viggo A.

Danemark

Hadders, Gustaf

Suède

Hafsia, Hamda

Tunisie

Hagberg, Erik

Suède

Hagman, Max

Finlande

Hedlund, Hans

Suède

Heimburger, Carl C.

Canada

Hermelin, S. N. Joakim S.

Suède

Heybroek, Hans M.

Pays-Bas

Holst, Mark J.

Canada

Holzer, Kurt

Autriche

Häggström, Börje

Suède

Hardén, Sven

Suède

Höjer, Erik

Suède

Ingestad, Torsten

Suède

Irgens-Moller, Helge

Etats-Unis

Jamblinne de Meux, Alain de

Belgque

Jaynes, Richard A.

Etats-Unis

Johansson, Folke L. H.

Suède

Johnsson, Helge

Suède

Jones, Eustace W.

Royaume-Uni

Joranson, Philip N.

Etats-Unis

Jovancevic, Milorad

Yugoslavie

Juma, Salah

Jordanie

Jurriaanse, Aart

Afrique du Sud

Keet, John N.

Royaume-Uni

Keiding, Henrik

Danemark

Kiellander, Carl L.

Suède

Kittani, Hassan

Iraq

Kleinschmit, Richard

Allemagne, Rép. féd. d'

Koster, Robbert

Pays-Bas

Kriebel, Howard B.

Etats-Unis

Krstic, Mihailo

Yugoslavie

Krutzsch, Peter

Suède

Kunjara Na Ayudhya, V.

Thaïlande

Kärki, Lauri E. P.

Finlande

Lacaze, Jean F.

France

Langlet, Olof

Suède

Langner, Wolfgang

Allemagne, Rép. féd. d'

Larson, Philip R.

Etats-Unis

Leskinen, U.

Finlande

Ljunger, Åke

Suède

Lundh, Erik

Suède

Lyytinen, Oiva

Finlande

Løfting, Ebbe C. L.

Danemark

Marcet, Enrique

Suisse

Matéern, Bertil

Suède

Matos, Gonzales E.

Cuba

Matthews, J. D.

Royaume-Uni

May, Silvio

Italie

McLean, Colin

Royaume-Uni

Mergen, François

Etats-Unis

Morandini, Riccardo

Italie

Moulopoulos, Christos

Grèce

Muhle Larsen, Carl

Belgique

Nanson, Alphonse W. J.

Belgique

Nicovescu, Horia

Roumanie

Nilsson, Bo

Suède

O'Carroll, Niall

Irlande

O'Driscoll, John

Irlande

Openshaw, Keith

Royaume-Uni

Palosuo, Veikko J.

Finlande

Papaioannou, John

Grèce

Philippis, Alessandro de

Italie

Phillips, Edgar William J.

Royaume-Uni

Plym Forshell, Wilhelm

Suède

Pryor, Lindsay Dixon

Australie

Puente E., José M. de la

Mexique

Richens, Richard Hook

Royaume-Uni

Robak, Håkon

Norvège

Rohmeder, Ernst

Allemagne, Rép. féd. d'

Ruden, Tollef

Norvège

Ruggeri, Cecilia

Italie

Samapuddhi, Krit

Thaïlande

Sarvas, Risto Olavi

Finlande

Sax, Karl

Etats-Unis

Scattolin, Mario

Italie

Schmidt, Helmut

Allemagne, Rép. féd. d'

Schmitt, Richard

Allemagne, Rép. féd. d'

Schreiner, Ernst T.

Etats-Unis

Sekawin, Michele

Italie

Simolinna, Jaakko Einar

Finlande

Sriburi, Taweesakdi

Thaïlande

Steenackers, Victor Maria

Belgique

Stefansson, Erie

Suède

Stern, Klaus

Allemagne, Rép. féd. d'

Streyffert, Torsten

Suède

Swabey, Christopher

Royaume-Uni

Syrach Larson, Carl

Danemark

Søegaard, Bent

Danemark

Toda, Ryookiti

Japon

Valentine, Fredrick, A.

Etats-Unis

Vecchi, Emma do

Italie

Vidakovic, Mirko

Yugoslavie

Visuthakul, Ninnat

Thaïlande

Wareing, Philip F.

Royaume-Uni

Wettstein, Wolfgang

Autriche

Wijkström, Stig

Suède

Wright, Jonathan W.

Etats-Unis

Yli-Vakkuri, Paavo Olavi

Finlande

Zobel, Bruce

Etats-Unis

Zufa, Lajos

Yugoslavie

Strand, Lars

Soc. Biom.

Dyson, William G.

EAAFRO

Callaham, Robert Z.

UIBS

Matthews, John D.

IUFRO

Sindelar, Jirí

IUFRO

Vyskot, Miroslav

IUFRO

Esbo, Harald

OCDE, Association internationale d'essais de semences

Osara, Nils A.

Directeur de la Division de forêts et des produits forestiers, FAO

Métro, André

Chef de la Sous-division de la production forestière, FAO

Fugalli, Oscar

Sous-division de la production forestière, FAO

Sirén, Gustaf

Sous-division de la production forestière, FAO

Deichmann, Vollrat von

Fonctionnaire FAO, Escola Nacional de Florestas, Minas Gerais, Brésil

Silow, R. A.

Sous-division de l'énergie atomique, FAO

PÂTE ET PAPIER EN EUROPE OCCIDENTALE: PERSPECTIVES

Pulp and Paper Prospects in Western Europe

Cet ouvrage, rédigé par une équipe de la FAO sous la direction de M. Arne Sundelin, a été financé par un fonds de dépôt auquel ont contribué les associations commerciales et les industries des pays d'Europe (République fédérale d'Allemagne, Autriche, Finlande, France, Italie, Norvège, Pays-Bas, Royaume-Uni et Suède) et d'autres régions (Argentine, Canada, Chili et Etats-Unis d'Amérique).

Selon cette étude, l'Europe occidentale pourra avoir, en 1965, un excédent exportable de près de 2,8 millions de tonnes de papier et de carton. Ce volume, qui représente la différence entre la production normale de l'industrie et les besoins estimés de l'Europe occidentale, se répartit comme suit; 900000 tonnes de papier journal, 70000 tonnes de papier et carton kraft (pâte au sulphate) et 1,8 million de tonnes d'autres qualités de papier et carton.

Les besoins totaux de papier et carton en Europe occidentale pourraient passer de quelque 18,5 millions de tonnes en 1960 à 24 millions en 1965, à 30 millions de tonnes en 1970 et à près de 37 millions de tonnes en 1975; c'est dire qu'ils doubleraient environ en quinze ans.

Il pourrait se présenter, en 1975, une pénurie régionale de matières premières pour faire face à ces besoins croissants. En conclusion, l'étude prévoit que l'Europe occidentale deviendra probablement importatrice nette de quantités importantes - et croissantes - de pâte ou de papier et de carton provenant des autres régions du monde.

La version anglaise Pulp and paper prospects in Western Europe est en vente chez Bayerischer Landwirtschaftsverlag G.m.b.H., 8 München 13, Lothstrasse 29 (République fédérale d'Allemagne) au prix de 9 dollars des Etats-Unis. Une version française ronéotypée doit être publiée à la fin de 1964 par la Division des forêts et produits forestiers de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture, Via celle Terme di Caracalla, Rome (Italie).

PUBLICATIONS DE LA FAO

ETUDES SUR LES FORÊTS ET LES PRODUITS FORESTIERS

$

FF

N° 16 Aspects génétiques de l'améliorations des arbres forestiers (FAE)

3.00

10.50

COLLECTION FAO: MISE EN VALEUR DES FORÊTS



N° 16 Les méthodes de plantations forestières en zones arides (Edition revisée) (FAE)

3.00

10.50

ECONOMIE ET STATISTIQUES FORESTIÈRES



Inventaire forestier mondial, 1958

2.50

8.75

Consommation, production et commerce du bois en Asie et dans la région du Pacifique: évolution et perspectives (Conj. avec la CEAEO)

2.00

7.00

Latin American timber trends and prospects (Conj. avec la CEAL) Seulement chez les dépositaires des publications des Nations Unies

1.50

5.25

Consommation, production et commerce du bois en Europe: évolution et perspectives (Conj. avec la CEE) Seulement chez les dépositaires des publications des Nations Unies

3.50



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