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Annexe 4.1: Attentes des participants

Les attentes des participants ont porté sur l’acquisition des connaissances, l’échange d’expériences et la capitalisation/élaboration des outils.

Sur l’acquisition des connaissances, les participants ont souhaité : connaître les superficies des forêts secondaires en Afrique, découvrir de nouveaux pays et faire de nouveaux contacts, avoir la vision des autres par rapport à leurs expériences, avoir l’expérience des pays disposant le plus de forêts secondaires, acquérir des connaissances en ce qui concerne une gestion durable des forêts secondaires et son apport dans le développement durable, bien cerner la différence entre forêts secondaires, avoir une meilleure perception de la notion de forêts secondaires, avoir une bonne expérience des autres pays en matière de gestion des forêts secondaires, avoir des connaissances des concepts et partager des expériences pour gérer durablement les forêts secondaires, avoir la situation des forêts secondaires en Afrique par rapport aux forêts secondaires d’Amérique Latine et d’Asie, avoir une définition plus claire des forêts secondaires, avoir un outil pour bâtir un environnement institutionnel capable de permettre la gestion durable des forêts secondaires, connaître l’écologie des forêts secondaires, harmoniser les critères de définition des forêts secondaires, avoir la socio-économie des forêts secondaires, savoir la politique, le cadre institutionnel des forêts secondaires, maîtriser la problématique de la gestion des forêts secondaires, les contraintes et les perspectives.

Pour ce qui est de l’échange d’expériences, les ont souhaité : avoir des échanges des expériences réunies dans la gestion des forêts secondaires, avoir une meilleure compréhension de la forêt secondaire et échanger d’expériences, échanger avec les autres, bénéficier de l’expérience des différents participants, établir des contacts, bénéficier de l’expérience des pays ayant une longue tradition de gestion des forêts secondaires, engager l’échange des informations sur les forêts secondaires à travers la mise en place d’un réseau.

Sur la capitalisation des expériences et l’élaboration des outils, ils ont souhaité : savoir comment gérer l’interface « forêts secondaires/dégradées » et « système agroforestier cacao », apprendre comment tenir compte de la composante « forêts secondaires/dégradées » dans la gestion intégrée des terroirs, savoir comment gérer de manière optimale le passage des « forêts secondaires/dégradées » vers les agroforêts – cacao, savoir comment la gestion des forêts secondaires peut constituer un moyen de conservation de la biodiversité et de sécuriser les moyens d’existence des populations villageoises, savoir comment gérer les multiples fonctions des forêts secondaires, initier des réseaux (intra- et inter-pays) de discussion et d’échange, avoir les aspects conceptuels des forêts secondaires, avoir des bases d’aménagement des forêts secondaires définies, avoir de meilleures pratiques pour la restauration des forêts secondaires fortement dégradées, réfléchir sur la gestion des forêts secondaires périurbaines et avoir la définition claire et nette de la forêt secondaire, avoir de bonnes stratégies pour la protection des forêts naturelles, avoir une amélioration de la gestion des forêts secondaires, la préservation et développement de la biodiversité, proposer le développement des outils de gestion mieux adaptés aux forêts tropicales secondaires, avoir un système d’information sur les forêts secondaires, apprendre les techniques d’aménagement des forêts secondaires, avoir une harmonisation dans la gestion des forêts secondaires et mieux maîtriser les contours avec les expériences d’ailleurs.


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