Grand Programme 1.3: Coordination extérieure et liaison
(tous les montants sont exprimés en milliers de $ EU) |
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Programme |
Programme de travail 2004-05 |
CRZ - Programme de travail 2006-07 |
CNZ - Programme de travail 2006-07 |
CR - Programme de travail 2006-07 |
Fonds fiduciaire |
131 |
Relations extérieures et coordination |
11 363 |
4 767 |
4 539 |
4 767 |
0 |
132 |
Bureaux de liaison |
11 027 |
11 253 |
11 210 |
11 253 |
0 |
Total |
22 390 |
16 020 |
15 750 |
16 020 |
0 |
Variation de programme par rapport à 2004-05 Programme de travail au niveau des Grands Programmes |
(6 370) |
(6 640) |
(6 370) |
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Variation en pourcentage |
(28,5%) |
(29,7%) |
(28,5%) |
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Principales lignes d'action dans un scénario de croissance réelle zéro
277. Le Programme 1.3.1 couvre les activités des Conseillers spéciaux auprès du Directeur général (SAD), y compris celles de l'unité responsable de la coordination et de la coopération de la FAO avec d'autres organisations du système des Nations Unies. Il comprend également les contributions de la FAO à plusieurs mécanismes interinstitutions tels que le Corps commun d'inspection (CCI), la Commission de la fonction publique internationale (CFPI) et les organes subsidiaires du Conseil des chefs de secrétariat des organismes des Nations Unies pour la coordination (CEB). Le crédit de 6,3 millions de dollars EU affecté aux mécanismes interinstitutions pour la sécurité a été viré de ce programme au mécanisme proposé pour les dépenses de sécurité. Le reste de la réduction au titre du Programme 1.3.1 est dû aux activités prévues pour le Secrétariat de l'Alliance internationale contre la faim relevant du Programme 3.5.2.
278. Le Programme 1.3.2 concerne les bureaux de liaison avec les Nations Unies (à New York et Genève), pour l'Amérique du Nord (à Washington), avec l'Union européenne et la Belgique (à Bruxelles) et le Japon (à Yokohama).
Scénario de croissance nominale zéro
279. Il ne serait pas possible de réduire les crédits affectés aux mécanismes à l'échelle du système des Nations Unies compte tenu des engagements pris par la FAO en matière de partage des coûts respectifs. Leur capacité d'absorption étant négligeable, les Bureaux de liaison ont également été considérés comme "entièrement protégés". La petite réduction indiquée pour le scénario de croissance nominale zéro devrait être supportée par les Conseillers spéciaux du Directeur général.