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CONCLUSIONS, PROPOSITIONS ET SUGGESTIONS


Les questions relatives à la communication pour le développement sont importantes pour la mise en œuvre des plans et programmes de développement.

Les études thématiques et sectorielles, les concertations régionales et l'atelier national ont donné lieu à une série de recommandations générales à l'endroit du Gouvernement, de la société civile et des partenaires au développement du Burkina Faso.

Il ressort de ces propositions, les idées-forces suivantes:

L'atelier national qui a analysé le cadre juridique et institutionnel de la communication pour le développement a suggéré:

  1. La mise en place d'un Conseil national de la communication pour le développement (CNCD) chargé de la coordination des activités de mise en œuvre de la Politique nationale de communication pour le développement rural ainsi que du suivi et de l'évaluation des stratégies sectorielles de communication.
  2. Cette structure de coordination doit avoir un caractère multisectoriel, être représentative de tous les acteurs de développement (Etat et ses démembrements, ONG, associations paysannes, organisations de la société civile, partenaires au développement) et être placée sous la tutelle du Premier Ministère.

    Cette instance regrouperait au moins une trentaine de membres issus des différents domaines du développement économique, social et culturel du Burkina Faso.

    Elle sera présidée par le Premier Ministre secondé par deux vice-présidents.

    Le Conseil national de la communication pour le développement (CNCD) se réunira deux fois par an en session ordinaire pour évaluer les actions exécutées par le Secrétariat exécutif, organe d'exécution des décisions dudit Conseil.

  3. La création d'un Secrétariat exécutif chargé de l'exécution de la Politique nationale dans le domaine de la communication pour le développement.
  4. Il sera placé sous la tutelle du Ministère chargé de la communication.


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