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XV. REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

PRINCIPAUX DOCUMENTS CONSULTES

Potentialités agricoles, forestières et pastorales – 3 volumes – 1978 SCET INTERNATIONAL.

Inventaire et classement des Forêts de Guinée-Bissau – volumes - 1985 ATLANTA CONSULT.

SPOT satellite Data for collection of Agricultural Statistics in Guinea-Bissau – GAPLA/SIDA. 1989 – Eva Ahlcrona.

Prospection pédologique semi-détaillée de l’Ile de Como Caiar s’appuyant sur l’utilisation des images satellite SPOT. Rapport technique no 7. 1988 – EUROCONSULT.

Cartographie des mangroves et occupation du sol en Guinée-Bissau par photo-interprétation. Région de QUINHAMEL – 1982 – Institut Géographique National

Compte rendu de mission en Guinée-Bissau et propositions d’actions. Groupement pour le Développement de la Télédétection Aérospatiale – 1990 – JP PARIS

Les deux plus importants qui ont servi de base aux évaluations sont les travaux de la SCET et d’ATLANTA CONSULT.

Les principaux documents cartographiques existants sont :

Etude SCET INTERNATIONAL – 1978

~Carte d’occupation des sols au 1/200.000 en 2 coupures est et ouest ;

~Carte de vocation des sols au 1/200.000 en 2 coupures est et Ouest ;

(Ces cartes ont été réalisées à partir de l’exploitation de photographies au 1/100.000 prises en janvier 1976 par l’Institut Géographique National)

~Carte forestière au 1/500.000 ;

~Carte des infrastructures au 1/500.000 ;

~Carte des actions prioritaires au 1/500.000.

Les cartes réalisées par la SCET constituent de très bons documents sur l’occupation des sols, mais les données ayant servi à les établir datent de 1976 et d’importants changements ont été observés depuis.

Etude ATLANTA CONSULT – 1985

~Carte d’utilisation du sol au 1/100.000 en 37 coupures ;

~Carte des formations végétales au 1/100.000 en 37 coupures ;

Ces cartes résultent de l’interprétation de données satellitaires LANDSAT MSS (résolution 80 m environ) et d’un échantillonnage de photographies aériennes (950) stéréoscopiques qui ont été prises par les experts lors de survols systématiques de certaines régions en 1982.

Bien que récents, ces documents présentent l’inconvénient d’être édités en 37 coupures. Pour avoir une vision d’ensemble du pays.

Les légendes des types de forêts cartographiées par la SCET et par ATLANTA ne sont pas identiques et la comparaison des résultats n’est pas aisée. Il est parfois difficile d’établir des correspondances.

DOMAINE FORESTIER

Plusieurs évaluations successives des "surfaces forestières" ont eu lieu en Guinée-Bissau :

-SCET-International 1978 (sur des données de 1976) ;

-ATLANTA Consult 1985 (sur des données de 1982) ;

-CIRAD-Forêt 1992 (sur des données de 1987 partiellement de 1990 ;

En ne considérant que les chiffres bruts, on peut croire à une couverture forestière très satisfaisante de la Guinée-Bissau ; en effet à cette date, la forêt couvrait 70% (en incluant les forêts ripicoles) de la surface totale du pays, hors palmeraies.

Il convient cependant de pondérer ces chiffres bruts car :

-Ils recouvrent des formations très disparates regroupées sous le terme de forêt ;

-Ils ne tiennent pas compte du morcellement de la forêt, qui est très important en Guinée-Bissau. Il n’existe plus en Guinée-Bissau le grand massif forestier d’un seul tenant, si ce ne sont les savanes arborées (forêts claires) de l’Est du pays, très ouvertes, parcourues par les feux et le surpâturage ;

-Ils manquent l’état de dégradation réel, actuel du couvert végétal de Guinée-Bissau et son évolution. En effet, s’il est aisé de suivre la transformation définitive d’une formation forestière fermée en une terre de culture sans possibilité de régénération forestière (par exemple cas des forêts denses sèches), il est beaucoup plus difficile de quantifier à l’échelle du pays l’état de dégradation de plus en plus poussé des formations ouvertes. Après mise en culture, le sol est rendu à la jachère et de nouveau comptabilisé dans le domaine forestier.

 

 

 

 

 

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