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Plant variety protection for rice in developing countries: impacts on research and development

W.G. Padolina. 2000. Los Baños, Philippines, IRRI. 354 pp.

www.cgiar.org/irri/PVP/PVPindex.html

 

These papers are limited proceedings of the Workshop on the Impact on Research and Development of Sui Generis Approaches to Plant Variety Protection in Developing Countries held on 16-18 February 2000 in Los Baños, the Philippines. The papers were posted on the Internet on 2 March 2001 at the address given on the left. Rice is the most important food crop in the world. Traditionally, the development of rice varieties has been undertaken mainly by the public sector and the exchange of genetic materials has therefore been quite free. However, with the growing participation of the private sector in the development of rice varieties, the issues of intellectual property rights (IPR), plant variety rights (PVR) and plant variety protection (PVP) have become increasingly important. PVP and intellectual property (IP) may have significant implications for rice research and development and, as a consequence, on the sustainable production of this important commodity. The publication of these proceedings is therefore very timely.

The publication contains six sections, plus the Introduction and Welcome remarks. Section 1 deals with the implications of changes to PVP and IP legislation. The five papers within this section provide a comprehensive reviews of the activities of the International Network for Genetic Evaluation of Rice (INGER), the historical development of PVP and the international activities, agreements and conventions related to the issues of plant genetic utilization, PVR and PVP. The third paper in this section describes in detail the activities and achievements of the study on rice genomes and their potential application undertaken by IRRI. In summary, this section highlights the need to establish technical criteria and testing procedures or guidelines for varietal identification. Varietal identity using the criteria of distinctness, sufficient uniformity and stability (DUS) is discussed and guidelines for the DUS test for rice varieties are also given.

Section 2 comprises 11 papers from member countries of the Council for Partnership on Rice Research in Asia (CORRA). The papers describe the emerging sui generis PVP system and related IP legislation and their impact on rice research in Bangladesh, China, Indonesia, the Republic of Korea, the Lao People's Democratic Republic, Myanmar, Pakistan, the Philippines, Thailand and Viet Nam. The papers highlight the status and level of PVP development among the various CORRA member countries. Section 3 relates the experiences of developed countries and/or countries where PVP has reached a more advanced stage, in particular concerning the challenges and areas of concern relating to PVP and IP. The issues reviewed in the three papers in this section include propriety technologies and transgenic plant breeding; the registration of patents by public, semi-public and private institutions; the incompatibilities between patents and PVRs; and the exclusion of certain plant varieties from patent protection. Also discussed are the potential implications of PVP and IP for rice research, especially within the public sector. Section 4 presents the private sector's perspective of PVP and IP and how it views the roles of public and private sectors with regard to varietal release, the application and protection of proprietary rights and seed production, distribution and trade. Sections 5 and 6 summarize the key issues discussed at the workshop and the recommendations arising from these.

 

Protection de la variété végétale en riziculture dans les pays en développement: incidences sur la recherche et le développement

Coordonné par W.G. Padolina. 2000. Los Baños, Philippines, IRRI. 354 pages. www.cgiar.org/irri/PVP/Pvindex.htlm

 

L'article constitue un compte rendu succinct de l'Atelier sur l'incidence de la recherche et du développement sur les approches sui generis en matière de protection de la variété végétale dans les pays en développement, tenu du 16 au 18 février 2000 à Los Baños (Philippines). Le livre a été affiché sur l'Internet le 2 mars 2001 à l'adresse mentionnée ci-dessus. Le riz est la principale denrée alimentaire végétale de la planète. Traditionnellement, la mise au point de variétés de riz a été principalement le fait du secteur public; c'est pourquoi les échanges de matériaux génétiques se faisaient pratiquement sans contrainte. Cependant, on a vu s'accroître l'intérêt ainsi que la participation du secteur privé dans le développement de variétés rizicoles; en conséquence, la question du droit de propriété intellectuelle, du droit attaché à la variété végétale et de la protection de la variété végétale ont acquis davantage d'importance. La question de la protection de la variété végétale comme celle de la propriété intellectuelle pourraient avoir des répercussions importantes sur la recherche et le développement touchant le riz et, par voie de conséquence, sur la production durable de cette denrée importante. La publication de ces actes n'en est que plus opportune.

Le document se compose de six sections, outre l'introduction et les propos de bienvenue. La première section décrit les conséquences de l'évolution en matière de législation régissant la protection de la variété végétale et le droit de propriété intellectuelle. Les cinq interventions publiées dans le cadre de cette première partie passent en revue de manière détaillée les activités du Réseau international d'évaluation génétique du riz (INGER) ainsi que l'évolution historique et le développement de la protection de la variété végétale et les activités, les accords et les conventions auxquels ont donné lieu l'utilisation génétique des plantes, le droit de la propriété végétale et la protection de la variété végétale. Le troisième document de cette première section décrit de façon détaillée les activités et les réalisations de l'IRRI en ce qui concerne l'étude du génome du riz et aux applications potentielles. En résumé, cette première partie met en relief la nécessité de fixer des critères techniques ainsi que des protocoles de tests, ou tout au moins des lignes directrices pour l'identification des variétés. Les débats ont porté sur cette identification, par le biais de composantes telles que les traits distinctifs, ou un degré suffisant d'uniformité et de stabilité (DUS); cette première section contient également les lignes directrices du test DUS des variétés rizicoles.

La deuxième section se compose de 11 documents émanant des pays membres du Conseil pour le partenariat sur la recherche rizicole en Asie (CORRA). Ces 11 documents décrivent le nouveau système sui generis en matière de protection de la variété végétale ainsi que la législation correspondante concernant le droit de propriété intellectuelle et les conséquences pour la recherche portant sur le riz au Bangladesh, en Chine, en Indonésie, en République de Corée, en République démocratique et populaire lao, au Myanmar, au Pakistan, aux Philippines, en Thaïlande et au Viet Nam. Les interventions incorporées à cette section mettent en relief les différents stades et niveaux de développement de la protection de la variété végétale parmi les pays membres du CORRA.

La troisième section décrit les expériences des pays développés et/ou des pays où la protection de la variété végétale en est à un stade avancé, notamment en ce qui a trait aux différentes problématiques liées à la protection de la variété végétale et de la propriété intellectuelle. Les aspects suivants ont notamment été évoqués: les technologies protégées et la culture de plantes transgéniques, l'enregistrement des brevets auprès d'organismes publics, semi-publics et privés; les incompatibilités entre les brevets et le droit attaché à la variété végétale, l'exclusion de certaines variétés végétales de la protection conférée par les brevets; enfin, d'autres domaines connexes, le tout passé en revue dans trois documents de la section. Cette même section traite également des conséquences que pourraient avoir la protection de la variété végétale et la propriété intellectuelle sur la recherche concernant le riz, notamment dans le secteur public.

Dans la quatrième section est exposé le point de vue du secteur privé sur la protection de la variété végétale et sur la propriété intellectuelle, ainsi que sa perspective concernant le rôle des secteurs public et privé dans la diffusion des variétés, l'application des droits assujettis à protection et, enfin, la production, la distribution et le commerce des semences.

Les cinquième et sixième sections présentent une synthèse des principaux thèmes débattus durant l'Atelier et les recommandations émanant de ce dernier.

 

Protección de las variedades vegetales de arroz en los países en desarrollo: repercusiones en la investigación y el desarrollo

Compilado por W.G. Padolina. 2000.

Los Baños, Filipinas, IRRI. 354 págs. http://www.cgiar.org/irri/PVP/PVPindex.html

 

Se trata de las actas resumidas del Taller sobre los efectos en la investigación y desarrollo de los planteamientos sui generis para la protección de la variedad vegetal en los países en desarrollo, que tuvo lugar del 16 al 18 de febrero de 2000 en Los Baños (Filipinas). Este libro se distribuyó en Internet el 2 de marzo de 2001. El arroz es el cultivo alimenticio más importante del mundo. Tradicionalmente, el desarrollo de variedades de arroz se llevó a cabo sobre todo por iniciativa del sector público. Por ello, el intercambio de materiales genéticos ha sido bastante libre. No obstante, el interés del sector privado y su participación en la obtención de variedades de arroz ha ido en aumento. Cada vez han adquirido mayor importancia las cuestiones relacionadas con los derechos de propiedad intelectual, el derecho sobre las obtenciones vegetales y la protección de las obtenciones vegetales. Los primeros dos derechos pueden tener importantes repercusiones en la investigación y desarrollo del arroz, y en su producción sostenible. Por ello, la publicación de estas actas resulta muy oportuna.

Las actas, además de la introducción, cuentan con seis secciones.

La sección 1 se ocupa de las repercusiones de los cambios en la legislación sobre la propiedad intelectual y la protección de las obtenciones vegetales. Los cinco documentos contenidos en esa sección presentan exámenes completos de las actividades de la Red internacional para la evaluación genética del arroz y la evolución histórica y desarrollo de la protección de las obtenciones, los derechos sobre las obtenciones y las actividades internacionales, acuerdos y convenciones relacionados con la utilización genética de las plantas. En el tercer documento de esta sección se describen detalladamente las actividades y logros del IRRI, en lo que respecta al estudio sobre el genoma del arroz y sus posibles aplicaciones. Se pone de manifiesto la necesidad de establecer criterios técnicos y procedimientos de comprobación o directrices para la identificación de variedades. Se examina la cuestión de la identificación de variedades por los componentes de distinción, uniformidad suficiente y estabilidad y las directrices para las pruebas realizadas.

La sección 2 contiene 11 documentos presentados por países miembros del Consejo para la asociación sobre la investigación acerca del arroz en Asia. En ellos se describen los nuevos sistemas sui generis del derecho sobre las obtenciones vegetales o la correspondiente legislación sobre propiedad intelectual y su repercusión en las investigaciones sobre el arroz en Bangladesh, China, Filipinas, Myanmar, Pakistán, República de Corea, República Democrática Popular Lao, Tailandia y Viet Nam. Se menciona la diferente situación y los distintos niveles de desarrollo de la protección de las obtenciones vegetales en los países miembros del Consejo. En la sección 3 se presentan las experiencias de países desarrollados y/o países donde la protección de las obtenciones se encuentra en fase avanzada, en relación con los problemas inherentes a la propiedad intelectual. En tres documentos de la sección se examinan cuestiones como las tecnologías de la propiedad y la fitogenética transgénica, el registro de patentes por instituciones públicas, semipúblicas y privadas, la colisión entre patentes y derechos de obtención, la exclusión de las obtenciones vegetales de la protección de las patentes, y otras materias afines. En esa sección se examinan también los posibles efectos y repercusiones de las obtenciones vegetales y la propiedad intelectual en las investigaciones sobre el arroz, sobre todo del sector público. En la sección 4 se presentan los puntos de vista del sector privado y la propiedad intelectual y la función del sector público y privado en la distribución de variedades, la aplicación de derechos de propiedad y la producción, distribución y comercio de semillas. En las secciones 5 y 6 se resume la presentación de las cuestiones fundamentales examinadas en el taller y las recomendaciones de éste.

 

The quest for nitrogen fixation in rice

J.K. Ladha and P.M. Reddy, eds. 2000. Los Baños, Philippines, IRRI. 354 pp.

This book features the proceedings of the biological nitrogen fixation (BNF) working group's meeting held at IRRI from 9 to 12 August 1999. Wetland rice receives a great proportion of its nitrogen needs from BNF. This is partly provided by free-living photosynthetic diazotrophs, especially cyanobacteria, which live in the soil and floodwater. Another significant source of fixed nitrogen is the abundant heterotrophic bacteria in the rhizosphere, such as species of Azospirillum, Burkholderia and Pseudomonas and bacteria of the Enterobacteriaceae family. Some rice varieties can obtain more fixed nitrogen from heterotrophic BNF than others, suggesting that they have a more "intimate" association with diazotrophs. Rice root exudate is a mixture of organic carbon compounds suitable for heterotrophic N2 fixation, but no studies have looked at the relationship between root exudate and colonization of the rhizosphere by diazotrophs.

The prospects for engineering a nitrogen-fixing plant discussed at the meeting were also presented. A significant accomplishment announced at the meeting was the first demonstration of the engineering of a eukaryotic alga (Chlamydomonas) in which the Klebsiella pneumoniae nifH protein functions to complement a defect in dark-dependent chlorophyll biosynthesis. There was a consensus that efforts should be made immediately to build upon this initial discovery. There were no definitive conclusions concerning energy costs for BNF and the extent to which the rice plant would compensate for any extra demand for energy by increased photosynthesis. Based on current knowledge, it was not possible to conclude exactly what the energy cost would be and whether this would reduce yield.

The strategies necessary to enable rice to fix its own nitrogen are complex and long-term in nature. It was therefore felt that support should be given to fundamental plant and microbial science, as discoveries in these areas would help solve many problems related to achieving symbiotic nitrogen fixation in rice.

 

La recherche d'une meilleure fixation de l'azote sur le riz

Coordonné par J.K. Ladha et P.M. Reddy, IRRI. 354 pages

Cet ouvrage contient les actes de la réunion du Groupe de travail sur la fixation biologique de l'azote (BNF) qui s'est tenue à l'IRRI du 9 au 12 août 1999. On sait que le riz de marécages reçoit une bonne partie de l'azote dont il a besoin à partir de la fixation biologique de l'azote, grâce notamment à des diazotrophes photosynthétiques libres, et en particulier les cyanobactéries, vivant dans le sol et dans les eaux de crue. L'azote ainsi fixé provient également d'une autre source importante, les bactéries hétérotropiques dont la présence est abondante dans la rhizosphère, telles que les Azospirillum, Burkholderia et Pseudomonas, ainsi que les bactéries de l'Enterobacteriaceae. Certaines variétés rizicoles sont plus aptes que d'autres variétés à la fixation biologique hétérotropique, ce qui donne à penser qu'elles ont une association plus «intime» avec les diazotrophes. L'exsudat de racines de riz est un mélange de composés de carbone organique convenant à la fixation hétérotropique du N2, mais il reste encore à étudier la relation entre l'exsudat de racines et la colonisation de la rhizosphère par les diazotrophes.

Le Groupe de travail a également suivi des exposés concernant les perspectives d'ingénierie génétique applicable aux plantes qui fixent l'azote. À cette occasion, une réalisation importante a été annoncée, à savoir la première démonstration d'ingénierie génétique appliquée à l'algue eucaryote Chlamydomonas, dans laquelle la protéine NifH de la Klebsiella pneumoniae intervient pour compléter une carence dans la biosynthèse chlorophyllienne tributaire de l'obscurité. Les participants sont convenus qu'il importe de tirer parti sans tarder de la découverte initiale. S'agissant des coûts énergétiques liés à la fixation biologique de l'azote, aucune conclusion définitive n'a été proposée quant à la mesure dans laquelle la plante de riz compenserait une demande supplémentaire en intensifiant la photosynthèse. Il n'a pas été possible, compte tenu des connaissances actuelles, de déterminer avec exactitude quel en serait le coût énergétique et si les rendements s'en trouveraient affectés.

Les stratégies visant à permettre au riz de fixer l'azote par lui-même sont complexes et longues à mettre en œuvre. C'est pourquoi les auteurs pensent qu'il convient d'appuyer l'activité scientifique fondamentale consacrée aux plantes et aux microbes, étant donné que les découvertes dans ces domaines contribueraient à résoudre de nombreux problèmes touchant à la recherche d'une fixation symbiotique de l'azote sur le riz.

 

Indagación sobre la fijación del nitrógeno en el arroz

Compilado por J.K. Ladha y

P.M. Reddy, IRRI. 354 págs.

En este libro figuran las actas de la reunión del Grupo de trabajo sobre la fijación biológica del nitrógeno, celebrada en el IRRI del 9 al 12 de agosto de 1999. El arroz de tierras de inundación recibe una gran parte de su nitrógeno mediante fijación biológica ejercida por diazotrofos fotosintéticos no parásitos, especialmente cianobacterias, que viven en el suelo y en el agua de inundación. Otra fuente importante son las abundantes bacterias heterotróficas, como las especies Azospirillum, Burkholderia y Pseudomonas y las Enterobacteriaceae. Algunas variedades de arroz pueden obtener más nitrógeno a través de la fijación biológica que otras, lo que quiere decir que tienen una asociación más «íntima» con los diazotrofos. La exudación de la raíz del arroz es una mezcla de compuestos de carbono orgánico apta para la fijación heterotrófica de N2, pero no se ha realizado un estudio sobre la relación entre la exudación y la colonización de la rizosfera por diazotrofos.

Se presentan también las perspectivas sobre la posibilidad de conseguir una planta capaz de fijar el nitrógeno. Un logro importante comunicado en esta reunión fue la primera demostración de la obtención de un alga eucariótica (Chlamydomonas) en la que la proteína NifH Klebsiella pneumoniae permite complementar un defecto en la biosíntesis de la clorofila dependiente de la oscuridad. Hubo también unanimidad de opiniones en que habría que tratar de aprovechar de inmediato este descubrimiento inicial. En cuanto a los costos energéticos de la fijación biológica del nitrógeno, no se ha llegado a conclusiones definitivas sobre la medida en que la planta del arroz compensaría la posible demanda adicional como consecuencia de una mayor fotosíntesis. Sobre la base de los actuales conocimientos, no era posible concluir exactamente cuál sería el costo energético ni determinar si ello reduciría o no el rendimiento.

Las estrategias que permiten que el arroz fije su propio nitrógeno son complejas y a largo plazo. Por ello es necesaria la aportación de la ciencia básica de las plantas y microbios, ya que los descubrimientos en estas esferas ayudarían a resolver muchos problemas relacionados con la fijación simbiótica de nitrógeno en el arroz.

 

Prevention and management of herbicide resistant weeds in rice: Experiences from Central America with Echinochloa colona

B.E. Valverde, C.R. Riches and J.C. Caseley, 2000. San José, Costa Rica, Natural Resources Institute, Tropical Agricultural Research and Higher Education Centre (CATIE) and Cámara de Insumos Agropecuarios. 122 pp.

For many lowland farmers weed competition is a major cause of low yield in rice production. Echinochloa species are particularly troublesome. This book describes experiences related to the prevention and management of Echinochloa colona (known as "jungle rice") in rice production in Central America. It provides detailed technical and scientific information on the weed's biology, the development of its resistance to herbicide and management practices for controlling or reducing this weed in rice production. Although Echinochloa colona is the main subject of the book, information is also provided on the management of other weeds in rice production, and on tests and other methods used to identify the herbicide resistance of weeds. The book also discusses new approaches to weed management from the perspective of sustainable rice production and from the viewpoints of different stakeholders.

 

Prévention et gestion des adventices résistantes aux herbicides: expériences conduites en Amérique centrale avec l'Echinochloa colona

B.E. Valverde, C.R. Riches et J.C. Caseley, 2000. San José, Costa Rica. Natural Resources Institute, CATIE et Cámara de Insumos Agropecuarios.

122 pages.

La concurrence imposée par les adventices est une cause majeure de faiblesse des rendements dans la production rizicole. Pour nombre de riziculteurs de basses-terres, l'espèce adventice Echinochloa représente un véritable fléau. L'ouvrage cité relate l'expérience en matière de prévention et de gestion de l'Echinochloa colona, dite jungledrice, dans la production rizicole en Amérique centrale. Il fournit des informations techniques et scientifiques détaillées sur la biologie de l'adventice, le développement de sa résistance aux herbicides et les pratiques de gestion employées pour la maîtriser et atténuer la concurrence qu'elle livre à la riziculture. Bien que l'Echinochloa colona constitue le thème principal du livre, ce dernier donne également des informations sur la gestion d'autres adventices de la production rizicole, et y ajoute la description des méthodes et des tests servant à identifier la résistance de ces adventices aux herbicides. Le livre analyse également les nouvelles approches adoptées en matière de gestion des adventices dans la perspective d'une production rizicole durable et du point de vue des différentes parties intéressées.

 

Prevención y ordenación de las malas hierbas del arroz: experiencias realizadas con Echinochloa colona

B.E. Valverde, C.R. Riches y J.C. Caseley. 2000. San José, Costa Rica, Instituto de Recursos Naturales, CATIE y Cámara de Insumos Agropecuarios. 122 págs.

La competencia de las malas hierbas es una causa importante de escaso rendimiento en la producción de arroz. La especie Echinochloa es una mala hierba que ocasiona graves problemas a muchos productores de arroz de tierras bajas. En este libro se presenta la experiencia relacionada con la prevención y manejo de la Echinochloa colona, conocida en algunos países productores de arroz de América Central con el nombre de arroz de la selva. Se presenta también información técnica detallada sobre la biología de la planta, el desarrollo de la variedad resistente a los herbicidas y las prácticas de ordenación para controlar o reducir su competencia en la producción de arroz. Aunque el tema principal es la Echinochloa colona, se presenta también información sobre el manejo de otras hierbas en la producción arroz, así como descripciones de los métodos y pruebas para identificar la resistencia de las hierbas a los herbicidas. Se examinan asimismo los nuevos conceptos de ordenación de malas hierbas para la producción sostenible de arroz, desde el punto de vista de diferentes partes interesadas.

 

Rice cultivation in the farming systems of Sukumaland, Tanzania: a quest for sustainable production under structural adjustment programmes

H.C.C. Meertens, 1999. Wageningen, the Netherlands, Royal Tropical Institute. 192 pp.

The book contains a series of articles, which were prepared by the author alone or with others. It provides in-depth information on rice production and farming in Sukumaland (Mwanza and Shinyanga) of the United Republic of Tanzania, where the Wasukuma people are dominant. The book contains nine chapters including the Introduction, Conclusions and Recommendations. Rice production is used as a tool to study the interplay of social, economic and biological factors affecting sustainability at the field, farm, watershed and regional/national levels and their importance to the development of sustainable agriculture. The book provides a background to rural development by reviewing the effect of the structural adjustment programmes on agriculture in the United Republic of Tanzania and the impact of population and resource availability on agricultural systems in Sukumaland. The main emphasis of the book, however, is the management of fertilizers and nutrients for crop production - using rice as a case study - from the perspective of sustainable agriculture. Nevertheless, the information on rice farming and rice crop management practices in Sukumaland provides a good historical and technical record for people with an interest in studying the dynamic effects of population, natural resources and the market on rice cultivation. During the 1960s, 1970s and 1980s the Tanzanian Government did not stimulate rice cultivation in Sukumaland because it considered the region to be semi-arid and suitable only for drought-tolerant crops such as cassava, sorghum and cotton. In spite of this decision and related government regulations, people in the region increased rice production during the 1970s and 1980s in response to the fall in cotton prices and the inefficiency of cotton marketing. Rice production in the region accounted for more than 35 percent of national production during the 1980s. Rice is cultivated mostly in the lower slopes of the undulating plain, especially where there is a hardpan of vertisol. The system of rice cultivation practised in the region is generally rainfed lowland rice on non-bunded fields that are flooded for at least part of the cropping season at water depths not exceeding 50 cm for more than ten consecutive days. The book provides the reader with useful information on the agro-economic aspects of rice production in the Sukumaland of the United Republic of Tanzania.

 

La culture du riz dans les systèmes agricoles du Sukumaland, Tanzanie: la recherche d'une production durable dans le cadre des programmes d'ajustement structurel

H.C.C. Meertens. 1999. Royal Tropical Institute, Pays-Bas. 192 pages.

L'ouvrage contient une série d'articles rédigés par l'auteur lui-même ou en collaboration. Il fournit des informations détaillées sur la production rizicole et la riziculture dans le Sukumaland (Mwanza et Shinyanga) en République-Unie deTanzanie, où prévaut la population Wasukuma. Le livre est divisé en neuf chapitres, y compris l'introduction, les conclusions et les recommandations. La production rizicole est utilisée comme point d'appui pour étudier l'interaction des facteurs sociaux, économiques et biologiques qui jouent sur la durabilité au niveau du terrain, de l'exploitation agricole, des bassins versants, ainsi que des contextes régionaux/nationaux, et leur importance pour le développement de l'agriculture durable. L'ouvrage décrit le milieu dans lequel se déroule le développement rural en examinant l'incidence des programmes d'ajustement structurel sur l'agriculture de la République-Unie de Tanzanie et l'impact de la démographie et de la disponibilité des ressources sur les systèmes agricoles au Sukumaland. Cependant, le livre met principalement l'accent sur la gestion des engrais et des nutriments en vue de la production agricole - en proposant une étude de cas basée sur le riz - dans la perspective de l'agriculture durable. Il faut préciser à ceux qu'intéresse l'interaction dynamique entre la population, les ressources naturelles et le marché auquel donne lieu la riziculture, que les informations concernant celle-ci et les pratiques de gestion de la récolte de riz dans le Sukumaland constituent un compte rendu de qualité, tant au plan historique que du point de vue des techniques. Au cours des années 60, 70 et 80, le Gouvernement tanzanien n'a guère encouragé la culture du riz dans le Sukumaland, car il considérait la région comme semi-aride et ne se prêtant qu'aux cultures capables de supporter la sécheresse comme le manioc, le sorgho et le coton. Cependant, en dépit de la décision et de la réglementation gouvernementales, la population de la région a augmenté la production rizicole durant les années 70 et 80, par suite de la chute des cours du coton et de l'inefficacité de sa commercialisation. Ainsi, la production rizicole de la région a représenté plus de 35 pour cent de la production nationale au cours des années 80. Le riz est cultivé principalement sur les pentes inférieures de la plaine aux reliefs ondulés, notamment en présence d'une croûte de vertisol. La culture du riz se fait généralement, dans cette région, sous forme de riziculture pluviale dans des champs sans diguette, inondés pendant au moins une partie de la campagne à des profondeurs qui ne dépassent pas 50 cm pendant plus de dix jours consécutifs. Le lecteur retirera du livre une moisson d'informations sur les aspects agroéconomiques de la production rizicole dans le Sukumaland de la République-Unie de Tanzanie.

 

Cultivo del arroz en los sistemas agrícolas de Sukumaland (Tanzanía): búsqueda de una producción sostenible en el ámbito de los programas de ajuste estructural

H.C.C. Meertens. 1999. Wageningen, Países Bajos, Royal Tropical Institute. 192 págs.

El libro contiene una serie de artículos, preparados por el autor directamente o en colaboración. Ofrece información en profundidad sobre la producción y cultivo del arroz en Sukumaland (Mwanza y Shinyanga), región de la República Unida de Tanzanía donde predomina la población wasukuma. Tiene nueve capítulos, incluida la introducción y las conclusiones y recomendaciones. La producción de arroz se utiliza como instrumento para estudiar la interrelación de los factores sociales, económicos y biológicos de la sostenibilidad en las explotaciones, granjas, cuencas hidrográficas y en el plano regional y nacional, y su importancia para el desarrollo de la agricultura sostenible. El libro contiene información básica sobre el desarrollo rural, y examina los efectos de los programas de ajuste estructural en la agricultura de la República Unida de Tanzanía y las repercusiones de la disponibilidad de población y recursos en los sistemas agrarios de Sukumaland. Se insiste sobre todo en la utilización de los fertilizantes y nutrientes para la producción agrícola con el fin de conseguir una agricultura sostenible, tomando el arroz como ejemplo ilustrativo. La información sobre las prácticas de gestión de los cultivos en Sukumaland es un buen antecedente histórico y técnico para las personas interesadas en estudiar el efecto dinámico de la población, los recursos naturales y el mercado. Durante los decenios de 1960, 1970 y 1980, el Gobierno no impulsó el cultivo del arroz en Sukumaland, por considerar que se trataba de una región semiárida y apta sólo para cultivos capaces de soportar la sequía, como la yuca, el sorgo y el algodón. Independientemente de la decisión y de los reglamentos gubernamentales, la población de la región incrementó la producción de arroz durante los decenios de 1970 y 1980, debido a la caída de los precios del algodón y a la ineficiencia en su comercialización. La producción en la región aportó más del 35 por ciento de la producción nacional de arroz durante el decenio de 1980. El arroz se cultiva sobre todo en las laderas bajas de la llanura ondulante, en particular donde hay una costra calcárea de vertisoles. El sistema de cultivo es generalmente de secano en tierras bajas sin terraplenes, que se inundan al menos durante parte del período vegetativo; el agua no supera los 50 cm durante más de diez días consecutivos. El libro contiene abundante información sobre los aspectos macroeconómicos de la producción de arroz en esta región de la República Unida de Tanzanía.

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