Page précédente Table des matières Page suivante


OUVERTURE DE LA SESSION


1. Le Directeur général de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), M. Jacques Diouf, a organisé une Consultation d’experts chargée d’examiner les mesures du ressort de l’État du port dans le contexte de la lutte contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (IUU). La Consultation s’est tenue au siège de la FAO, à Rome (Italie), du 4 au 6 novembre 2002.[1]

2. Huit experts à titre personnel et deux spécialistes y ont participé. Une liste de ces personnes figure dans l’appendice B. Le document envoyé avant la Consultation est reproduit dans l’appendice C.

3. Les secrétaires techniques, M. David Doulman et Mme Annick Van Houtte, ont ouvert la session.

4. Le Sous-Directeur général, Département des pêches, M. Ichiro Nomura, a fait une allocution d’ouverture. Il a souhaité la bienvenue aux participants au siège de la FAO et dans la ville de Rome et a fait observer entre autres que l’absence de mesures du ressort de l’État du port constituait l’un des maillons les plus faibles de la chaîne visant à prévenir, contrecarrer et éliminer la pêche illicite, non déclarée et non réglementée. C’est pour cette raison que la Consultation d’experts était opportune et importante. L’allocution d’ouverture de M. Nomura est reproduite dans l’appendice D.


[1] Le paragraphe 90 du Plan d’action international visant à prévenir, à contrecarrer et à éliminer la pêche illicite, non déclarée et non réglementée précise que «la FAO devrait, en collaboration avec d'autres organisations internationales compétentes, notamment l'OMI, continuer à étudier la question de la pêche illicite, non déclarée et non réglementée.» La FAO a collaboré avec l’Organisation maritime internationale (OMI) en octobre 2000 pour réunir le groupe de travail spécial sur la pêche illicite, non déclarée et non réglementée et les questions connexes. La présente Consultation d’experts sur les mesures du ressort de l’État du port renforce la coopération avec l’OMI sur la question de la pêche illicite, non déclarée et non réglementée.

Page précédente Début de page Page suivante