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Un aperçu de développement de l’aquaculture: principaux débouchés, axes de développement et défis[2] - Rohana P. Subasinghe

Rohana P. Subasinghe
[3]Fonctionnaire principal spécialiste des ressources halieutiques (aquaculture)
Département des pêches de la FAO
Rome, Italie

Introduction

L’aquaculture est l’un des secteurs alimentaires le plus rapide à se développer au monde et a acquis la réputation de contribuer de manière significative à la réduction de la pauvreté, à la sécurité alimentaire et à la production de revenus. La décision d’installer le Sous-Comité sur l’aquaculture sous la responsabilité du Comité des Pêches (COFI) montre bien l’importance que revêt le développement de l’aquaculture aux yeux des gouvernements membres de la FAO. Toutefois, certaines formes de pratiques de production ont légitimement été identifiées comme étant inadmissibles et la cause d’impacts négatifs sur l’environnement et le tissu socioéconomique. Cette disparité montre la nécessité de discuter plus avant des questions portant sur la durabilité par secteur, en ne perdant pas de vue la nécessité de s’assurer que le secteur de l’aquaculture fournit une contribution juste et équitable à l’humanité. Cette section a pour but l’examen des principaux problèmes liés à la durabilité de l’aquaculture, le débat sur les perspectives et les défis pour améliorer la contribution de l’aquaculture à la réduction de la pauvreté, à l’amélioration de la sécurité alimentaire, à l’aide aux moyens d’existence en milieu rural et à l’accroissement du revenu national.

L’aquaculture est un important pourvoyeur national de protéines d’origine animale de haute qualité, absolument nécessaires, et à des prix généralement abordables pour la frange la plus pauvre de la société. C’est également un précieux pourvoyeur d’emploi, de revenus en numéraire et de commerce extérieur, les pays en voie de développement contribuant à plus de 90% de la production globale totale. Lorsqu’elle est intégrée avec soin, l’aquaculture fournit aussi des points de départ à faible risque pour le développement rural et a diverses applications aussi bien dans les terres qu’en zone côtière. Quand elle se tourne vers l’exportation, l’aquaculture pratiquée au niveau industriel ou commercial est source de nécessaires échanges internationaux, de revenus et d’emplois, et les formes d’aquaculture plus extensives améliorent les moyens d’existence des plus pauvres grâce à une meilleure alimentation, une moindre vulnérabilité face aux répercussions des catastrophes naturelles dans la production aquatique, l’emploi, et l’augmentation des revenus. L’augmentation du nombre des pêcheries utilisant des techniques de culture appropriées permet également aux personnes ayant peu de moyens de tirer avantage d’une meilleure utilisation de ressources jusque-là sous-exploitées, nouvelles ou dégradées. De telles techniques de culture ont un énorme potentiel pour augmenter l’approvisionnement en poisson provenant aussi bien des fermes d’eau douce que des fermes marines, avec la production simultanée de revenus dans les terres rurales et les communautés côtières.

Le défi est de créer un environnement propice à l’optimisation des bénéfices potentiels et des apports que l’aquaculture et les fermes marines peuvent faire au développement rural, à la sécurité alimentaire et à la diminution de la pauvreté. Des pratiques d’élevage/de production améliorées dans le cadre d’une co-exploitation durable et intégrée des ressources naturelles amélioreront leur utilisation. Des approches de développement centrées sur la population et des approches d’accroissement de l’exploitation garantissant une capacité de création qui se concentre sur les systèmes d’élevage des espèces aquatiques placées au bas de la chaîne alimentaire, fournissent également les produits à bas prix ayant la préférence des communautés rurales les plus pauvres.

Principales questions de portée régionale et globale

Pendant les trois dernières décennies, l’aquaculture s’est développée, diversifiée, intensifiée et a fait de gros progrès technologiques. Le potentiel de ce développement pour accroître la sécurité alimentaire nationale, diminuer la pauvreté et améliorer les conditions de vie en milieu rural est désormais tout à fait reconnu. La Déclaration de Bangkok (NACA/FAO, 2000) met l’accent sur la nécessité, pour le secteur de l’aquaculture, de continuer son développement vers son entier potentiel, de manière à contribuer nettement à la disponibilité en produits alimentaires, à la sécurité alimentaire nationale, à la croissance économique, au commerce et à de meilleurs niveaux de vie. Pour atteindre ce potentiel, l’aquaculture doit être poursuivie comme faisant partie intégrante du développement de la communauté, contribuant à des moyens d’existence durables, facilitant le développement humain et améliorant le bien être social des secteurs les plus défavorisés. Les politiques et la réglementation en aquaculture devraient promouvoir une activité d’élevage applicable et économiquement viable ainsi que des pratiques de gestion durables du point de vue de l’environnement et socialement acceptables. Si l’aquaculture doit atteindre son plein potentiel, ce secteur aura besoin de nouvelles approches dans les prochaines décennies. Ces approches varient en fonction des, régions, des pays, et le dé. est de développer des approches qui soient réalistes et applicables en fonction de chaque circonstance sociale, économique, environnementale et politique. A l’ère de la globalisation et de la libéralisation du commerce, de telles approches ne devraient pas focaliser uniquement sur un accroissement de la production, elles devraient également se concentrer sur la production de denrées abordables, acceptables et accessibles à tous les secteurs de la société.

Une volonté politique considérable est nécessaire pour établir des approches durables et effectives pour le développement de l’aquaculture. Des mécanismes adéquats sont exigés et les capacités institutionnelles doivent être renforcées pour assurer une meilleure organisation et gestion. Cela implique l’adoption de différentes mesures de police qui pourront inclure une vaste consultation et la participation de ceux affectés par ces mesures proposées avec l’adoption strictes des principes d’équité trans générationnelle et la reconnaissance de la nécessité d’en déléguer la gestion au niveau de pratique de responsabilité le plus bas. Des cadres légaux adéquats, de nouvelles compétences et de meilleures capacités, spécialement pour la politique d’analyse au niveau de secteur et du projet, ainsi que des moyens de communication nouveaux et efficaces sont nécessaires. Un renforcement institutionnel et une formation locale sont également importants pour permettre une gestion décentralisée.

Les principales questions et interrogations à aborder de manière à assurer la durabilité globale du secteur de l’aquaculture incluent:

La Création d’un Environnement Propice

D’un point de vue historique, la plupart des pratiques aquacoles dans le monde ont été poursuivies avec des bénéfices significatifs sur le plan social, économique et nutritionnel et avec des coûts minimums en ce qui concerne l’environnement. Cependant, ce secteur a fait l’objet de débats publics récents relatifs à ces impacts négatifs sur le milieu social et l’environnement. Ces accusations sont fondées dans certaines parties du monde et certains secteurs ont connu des formes d’aquaculture mal organisées et inappropriées qui ont pu créer d’importants problèmes sociaux et environnementaux. Typiquement, ces impacts sont la conséquence de cadres réglementaires inefficaces et de l’augmentation du potentiel commercial de certaines espèces a forte valeur.

Globalement, l’aquaculture est toujours rurale d’une manière prépondérante, produisant des espèces tout en bas de la chaîne alimentaire qui nécessitent peu, voire aucune dépense ou investissement en capital (plus de 80% de la production de poissons est constituée de cyprinidés). Cela signifie que l’aquaculture apporte une contribution significative en milieu rural à l’amélioration des moyens de subsistance des franges les plus pauvres de la société. La pression menant à une surexploitation des ressources dans de telles circonstances a eu autant d’importance dans le développement de l’aquaculture que d’un point historique dans les pêches de capture. Il est cependant important de tirer les leçons de ces expériences passées et de développer des stratégies pour améliorer la durabilité de ce secteur important. La réduction des facteurs extérieurs et des impacts négatifs sur le plan social et environnemental par l’intermédiaire d’une concertation planifiée et d’une co-gestion spécialisée assurera des bénéfices durables.

La Politique et l’Environnement Institutionnel et Légal

La nécessité de développer et adopter des lignes de conduite et des pratiques permettant d’assurer la durabilité sur le plan de l’environnement exige des technologies saines et robustes ainsi que des systèmes d’élevage en appui sur des connaissances solides. L’augmentation de l’efficacité dans l’utilisation des ressources et de la productivité au niveau de la ferme contribue fortement à la durabilité de ce secteur. L’adoption d’une «approche systémique» de l’exploitation, une gestion de l’eau améliorée, de meilleures stratégies d’alimentation plus respectueuses de l’environnement, un cheptel convenable d’un point de vue génétique, un meilleur suivi sanitaire, une bonne intégration avec l’agriculture etc... sont autant de facteurs importants. Le Code de Conduite pour des Pêches Responsables (CCRF) inclut des dispositions pour une gestion et un développement durable de l’aquaculture. La directive technique de la FAO pour des Pêches Responsables (FAO, 1997) contient des annotations aux principes de l’article 9 -Développement de l’Aquaculture du CCRF, destinées à faciliter sa mise en œuvre. Le développement et l’encouragement de la mise en œuvre de meilleures techniques de gestion et de codes de bonne conduite pour les secteurs de l’aquaculture, soutenus par des règlements et des politiques efficaces, sont essentiels pour la pérennité de ce secteur.

Un des facteurs clefs permettant la création d’un environnement favorable est un fort potentiel institutionnel, c’est à dire la capacité des pays et des organisations à renforcer et mettre en œuvre des politiques et des cadres réglementaires qui soient à la fois transparents et exécutoires. La Conférence sur l’Aquaculture du Troisième Millénaire a rendu plusieurs avis clefs permettant de développer des environnements politique et institutionnel favorables. Ceux-ci incluent:

La Technologie

Des technologies appropriées contribuent à la pérennité de l’aquaculture, avec une variété de mécanismes qui peuvent rejoindre les besoins de l’environnement local. La transmission de telles techniques nécessite des réseaux de communication efficaces, des données fiables et un processus décisionnel qui garantisse que les aquaculteurs choisissent les meilleurs systèmes de production et les meilleures espèces pour leur environnement. La science et la technologie fournissent en continu de «nouvelles» opportunités pour le développement de l’aquaculture incluant: des techniques destinées à accroître un cheptel pérenne, des programmes d’élevage et de l’aquaculture ouverte en océan; l’utilisation de plantes et d’animaux aquatiques pour la stabilisation des substances nutritives; des systèmes intégrés pour améliorer le rendement de l’environnement, tels que des systèmes en circuit fermé, l’utilisation intégrée de l’eau, des pompages artificiels et la gestion des réseaux trophiques. Bien qu’ils soient considérés comme étant des concepts relativement originaux, certaines biotechnologies connaissent une application ancienne, comme, par exemple, la fertilisation des bassins pour augmenter la disponibilité de l’alimentation. D’autres sont plus modernes, basés sur une connaissance en biologie moléculaire et en génétique qui évolue rapidement, comme par exemple, le génie génétique et le développement des sondes ADN pour le diagnostic des maladies. L’application de la biotechnologie du gène en aquaculture se concentre d’abord sur l’augmentation des taux de croissance, mais aborde également la question de l’accroissement de la résistance des maladies ou aux maladies, la production d’animaux stériles et la tolérance physiologique aux extrêmes environnementaux (Voir la section sur les Récentes Innovations Techniques en Aquaculture dans ce volume pour plus de détails).

La Qualité des Produits, la Sécurité et le Commerce

La qualité, la sécurité et le commerce des produits de l’aquaculture sont des aspects importants d’une industrie durable. Il est donc approprié de mentionner que l’importance d’atteindre une aquaculture pérenne avec des impacts environnementaux ou socio-économiques négligeables/ minimes force beaucoup de pays exportateurs à adopter et à mettre en œuvre davantage de pratiques de production durables. Ceci est particulièrement important là où l’aquaculture est perçue comme n’étant pas un secteur traditionnel de production alimentaire. L’évaluation de la sécurité, basée sur l’appréciation des risques et une approche préventive, par exemple, deviennent maintenant plus fréquents, avant de se lancer dans la production d’espèces nouvelles ou exotiques, ou de produits issus de la biotechnologie moderne.

Le rôle de l’aquaculture dans le commerce international s’accroît, aussi bien dans un sens relatif qu’absolu. Ceci est le résultat de l’augmentation de la production aquacole en général et d’une production de haute valeur commerciale destinée à l’exportation, en particulier. Comme les statistiques sur le commerce international n’indiquent pas les méthodes de production des produits de la pêche (capture ou aquaculture), il n’est pas possible de déterminer la part exacte représentée par les produits aquacoles dans la majeure partie des produits de base. Cependant, de récentes initiatives législatives, introduites en 2002 par la Communauté Européenne, associées à des demandes accrues pour la traçabilité des produits d’origine animale pour des raisons de sécurité alimentaire, devraient améliorer la qualité du commerce international de données et permettre une analyse du commerce aquacole de meilleure qualité et plus précise. Alors que ceux qui sont pour ou contre les systèmes de labélisation et de certification sont encore en train de débattre dans de nombreux forums internationaux, certains gouvernements et plusieurs organisations industrielles et ONG poursuivent l’établissement de procédures basées sur des pratiques de bonne gestion, des codes de conduite et des pratiques d’exploitation au niveau des fermes;

La tendance des consommateurs à préférer des produits aquacoles issus de la production biologique ou organique s’accroît. Le secteur de l’aquaculture a du retard par rapport à celui de l’agriculture en ce qui concerne les quantités et la diversité de produits certifiés «biologiques»- ce qui refiète une absence de normes acceptées tant sur les plans international et régional que national, et de critères d’accréditation pour des denrées aquacoles biologiques. Les organismes de certification et les aquaculteurs organisés existant sont, d’abord, restreints à une poignée d’organisations situées dans les pays développés d’Europe, d’Océanie et d’Amérique du Nord, lesquels ont contribué pour moins de 10% à la production aquacole globale en 1999. Bien qu’il n’existe pas de statistiques officielles pour la production globale de produits aquacoles certifiés biologiques, on estime qu’une telle production s’élevait en 2000 à seulement 5 000 mt, venant essentiellement des pays européens. Ceci représente un petit 0,01% de la production aquacole globale et 0,25% de la production aquacole européenne. Le volume total de produits aquacoles biologiques mis sur le marché en 2000 est estimé entre 4 400 et 4 700 mt. Des données concernant une production négligeable sont disponibles en ce qui concerne les pays situés hors de l’Europe. Des programmes de certification organisée et autre «éco-certification» sont discutés et établis par divers bureaux et groupes. Ceux-ci permettent aux consommateurs de choisir des produits aquacoles de meilleure qualité et bien perçue comme telle, ou des qualités sanitaires et élevés dans un environnement sain. Le prix des produits alimentaires cultivés de manière biologique varie entre 10 et 50% au-dessus des produits ordinaires. Des prix plus élevés encouragent les aquaculteurs à produire des produits biologiques, mais entraînent des coûts de production plus élevés en raison des mesures de protection de l’environnement. Là où la certification est non-discriminatoire et basée sur des normes techniques ayant une assise scientifique saine, elle peut aider les consommateurs à utiliser leur pouvoir d’achat pour encourager des méthodes de production saines sur le plan de l’environnement. La question est de s’assurer que ce processus est basé sur des preuves scientifiques saines, qu’il est juste et non-discriminatoire.

La prise de conscience et la sensibilité aux questions d’environnement et de bien-être s’accroissent, en particulier dans les pays développés où les décisions d’achat peuvent être influencées par une publicité défavorable ou un manque d’information. Tout comme aux éleveurs de bétail, on demande de plus en plus aux aquaculteurs d’agir en conformité avec les normes attendues dans l’industrie du bétail. A un niveau national, des systèmes d’organisation de la sécurité et de la qualité devraient être mis en place pour s’assurer que la production, la distribution et l’achat de produits aquacoles soient sûrs et de bonne qualité. De telles normes requièrent des associations professionnelles compétentes, travaillant en étroite association avec l’autorité légale, de manière à être couronnées de succès.

L’Information

L’accès et la diffusion efficaces d’une information fiable sont nécessaires pour une prise de décision en toute connaissance de cause et des actions responsables à tous les niveaux. Une information de bonne qualité permet de soutenir la politique et l’organisation, d’améliorer l’application des résultats de la recherche, d’accroître la capacité des éleveurs à s’attaquer à un développement durable ainsi qu’à la prise de conscience du public pour les efforts accomplis. L’établissement de systèmes d’information effectifs au plan national et régional, avec une compréhension claire du rôle de l’information pour l’organisation de ce secteur est primordial. Des outils efficaces et des méthodes pour réussir à analyser les données (par discipline, interdisciplinaires ou intra sectorielles) et les systèmes d’information sont indispensables. Parmi les exemples de systèmes d’information requis, on trouve: i) l’Atlas Mondial de la FAO sur les Pêcheries et l’Aquaculture (ATLAS)[4] et ii) le Système d’Information Global des Pêcheries (FIGIS)[5].

A l’heure actuelle, il n’existe qu’une information statistique limitée à l’échelle et dans la mesure du développement de l’aquaculture rurale ou de petite taille à l’intérieur de la plupart des pays en voie de développement et LIFDCs. De même, il existe peu de données concernant les impacts sociaux directs/indirects et économiques du développement de l’aquaculture, dans ces secteurs. A cause des limites des méthodes classiques d’évaluation, la fiabilité de cette information est également problématique. En conséquence, le rôle de l’aquaculture à petite échelle et de l’exploitation des ressources aquatiques en milieu rural est en général sousestimé. On manque également d’informations quantitatives et qualitatives sur les impacts des activités d’élevage plus intenses à l’échelle commerciale ainsi que sur les projets d’aide sur la sécurité alimentaire et la réduction de la pauvreté. Ces lacunes doivent être comblées de façon urgente.

Une information considérable sur divers aspects de l’aquaculture existe, que l’on trouve cependant en général dans la littérature grise. Bien que certaines informations pour le développement durable et l’organisation de l’aquaculture nécessitent une recherche minutieuse, il faudrait donner la priorité à la collecte et à l’évaluation de l’information existante et, là où c’est nécessaire, la mettre à la porté de tout le monde. A court terme, il est important de rassembler l’information nationale disponible sur les aspects économiques et sociaux de l’aquaculture, l’utilisation de la ressource et son rendement, ses bienfaits sur l’emploi, ceux qui en profitent et autres avantages d’une vaste production aquacole. Cela est nécessaire pour permettre une prise de décision rationnelle sur l’intégration de l’aquaculture dans les projets d’exploitation de la ressource, et le développement agricole et rural. Cette information devrait être présentée sous une forme permettant une utilisation directe par les décideurs (par exemple, sous la forme d’indicateurs quantifiables). La nature spécifique et la quantité de l’information à collecter, la fréquence de la mise à jour, les études de coût et d’efficacité, requièrent également une attention toute particulière.

Références bibliographiques

FAO Fisheries Department. 1997. Aquaculture development. FAO Technical Guidelines for Responsible Fisheries No. 5, Rome, FAO, 40 p.

NACA/FAO. 2000. Aquaculture Development Beyond 2000: the Bangkok Declaration and Strategy. Conference on Aquaculture in the Third Millennium, 20-25 February 2000, Bangkok, Thailand. NACA, Bangkok and FAO, Rome, 27 p.


[2] Cette section de la circulaire 886, seconde révision, a été préparée sur la base des Documents de Travail du Sous Comité pour l’Aquaculture du COFI, intitulé Développement et Gestion de l’Aquaculture: état, questions et perspectives, préparé pour la première session de Pékin, Chine, du 18 au 22 avril 2002.
[3] Cette section de la circulaire 886, seconde révision, a été préparée sur la base des Documents de Travail du Sous Comité pour l’Aquaculture du COFI, intitulé Développement et Gestion de l’Aquaculture: état, questions et perspectives, préparé pour la première session de Pékin, Chine, du 18 au 22 avril 2002.
[4] http://www.fao.org/fi/atlas/w-fi-aq.asp
[5] http://www.fao.org:fi:atlas/w-fi-aq.asp

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