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Remerciements

Je voudrais manifester ma reconnaissance tout d'abord à l'ORSTOM qui m'a encouragé à valoriser les connaissances acquises depuis 30 ans par les chercheurs francophones dans le domaine de la conservation des sols, l'économie de l'eau et la fertilisation.

Ensuite, je voudrais remercier MM Sanders et Griesbach du groupe de Conservation des Sols de la FAO, des encouragements qu'ils m'ont prodigués tout au long de la mise au point de cet ouvrage.

Une dizaine de collègues ont accepté de relire la première version du manuscrit: je les remercie tout particulièrment d'avoir su m'encourager à remettre l'ouvrage sur le métier pour le compléter, le rectifier et le développer. Tous m'ont apporté des idées importantes:

- Jacques Arrivets, agronome du CIRAD: ses réflexions sur l'objectif de cet ouvrage et sa présentation;

- Christophe De Jaegher, jeune agronome en coopération au Pérou: des précisions sur les techniques traditionnelles de préparation du sol au Pérou;

- Georges De Noni et Marc Viennot, mes camarades à l'ORSTOM: tout un chapitre sur l'érosion sur les paysages andins de l'Equateur;

- Jean-Marie Fotsing, géographe camerounais, chargé de cours à l'Université de Yaoundé: tout un chapitre sur le bocage Bamiléké;

- Bernard Heusch, agronome: son immense expérience sur les problèmes de conservation des sols dans le monde;

- Charles Lilin, forestier au Ministère de l'Environnement, un chapitre sur les aspects sociologiques des crises d'érosion;

- Raymond Mura, forestier du CEMAGREF: son expérience sur la stratégie de la restauration des terrains en montagne;

- Jean François Ouvry, agronome qui dirige une association régionale d'amélioration foncière (AREAS), qui a rédigé une synthèse des travaux de toute une équipe de l'INRA sur l'aménagement de terroirs de grande culture dans le nord de la France.

- Chris Reij, géographe du CDCS de l'Université Libre d'Amsterdam: de nombreuses idées sur les stratégies traditionnelles de gestion de l'eau et de conservation des sols;

- Bernard Smolikowski, agronome en coopération et Michel Brochet, directeur de l'ESAT à Montpellier: tout un chapitre sur Haïti;

- Christian Valentin, de l'ORSTOM, des précisions sur les organisations pelliculaires;

- François Ségala, agronome, et Jean Claude Griesbach, géographe, fonctionnaires techniques du service AGLS de la FAO: une critique constructive et un appui très apprécié pour finaliser l'ouvrage.

Je voudrais également manifester ma reconnaissance vis-à-vis des jeunes chercheurs qui mènent leurs travaux de thèse sous ma direction ou qui ont vérifié sur le terrain certaines idées de la GCES, François Ndayizigiyé, Vincent Nyamulinda, et Léonard Sekayange au Rwanda, Vincent Ngarambé et Théodomir Rishirumuhirwa au Burundi, Mourad Arabi, Morsli Boutkhil, Mohammed Mazour, Rachid Chebbani et les autres collègues de l'équipe érosion de l'INRF en Algérie, F.X. Masson, Djamel Boudjemline, Marie Antoinette Raheliarisoa en France, Zachée Boli et Bep Aziem, agropédologues de l'IRA au Cameroun.

Je ne voudrais pas clore ces remerciements sans rappeler tout ce que je dois aux anciens qui m'ont patiemment initié et orienté tout au long de ma carrière: en France, Bernard Heusch, Frédéric Fournier, Claude Charreau et Georges Aubert; dans le monde anglophone, Norman Hudson, Walter Wischmeier, Donald Meyer et William Moldenhauer.

Enfin, je remercie Mme Rigollet et Mme Smith-Redfern qui ont patiemment frappé, corrigé et édité ce document, et M Mazzei qui a redessiné bien des figures.

La plupart des photographies sont tirées de la collection personnelle de l'auteur: les autres sont signalées dans le texte: qu'ils trouvent ici notre gratitude pour leur collaboration.

Les idées n'appartiennent à personne. Elles sont le fruit d'une longue gestation du monde et d'une rencontre entre des hommes et des conditions écologiques et socio-économiques. Que tous ceux qui ont participé à ce long accouchement trouvent ici leur part de reconnaissance.


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