NERC/04/1


Vingt-Septième Conférence Régionale de la FAO pour le Proche-Orient

 

Doha, Qatar, 13 - 17 mars 2004

Ordre du Jour Provisoire Annoté

A) RÉUNION DES HAUTS FONCTIONNAIRES

13-15 mars 2004

I. INTRODUCTION

1. Ouverture de la Réunion des Hauts Fonctionnaires

2. Élection du Président et des Vice-Présidents et Nomination du Rapporteur

3. Adoption de l’Ordre du Jour et du Calendrier

II. QUESTIONS À DÉBATTRE

4. Suite donnée au Sommet Mondial de l'Alimentation et du Sommet Mondial de l'Alimentation: Cinq Ans Après: Perspectives Régionales

Comme l’avaient proposé plusieurs hauts fonctionnaires d’États Membres et d’organisations économiques régionales, la FAO a accueilli une manifestation parallèle sur “La sécurité alimentaire régionale: travaux en cours” dans le contexte du Sommet mondial de l’alimentation: cinq ans après, tenu à Rome du 10 au 13 juin 2002. Cette manifestation parallèle a permis à ces organisations régionales de présenter leurs propres stratégies régionales et programmes pour la sécurité alimentaire. Cette table ronde a également permis aux organisations économiques régionales de partager avec la communauté internationale leur vision et leurs attentes en ce qui concerne les facilitations du commerce de produits agricoles, les mesures de sécurité sanitaire des aliments et l'appui régional aux efforts nationaux de lutte contre la faim et la pauvreté dans les zones rurales. Trois de ces organisations de la région Proche-Orient ont participé activement à cette réunion, à savoir l'Organisation de coopération économique (ECO), le Conseil de l'Unité économique arabe (CUEA) et l'Union du Maghreb arabe (UMA).

Afin d’assurer une sensibilité et un intérêt durables au sujet des programmes régionaux pour la sécurité alimentaire, plusieurs organisations ont indiqué qu’elles souhaitaient poursuivre le dialogue constructif engagé au Sommet mondial de l'alimentation: cinq ans après avec les institutions financières et donateurs appropriés qui sont très actifs dans leurs régions respectives. En conséquence, la FAO, en accord avec les banques régionales, organise au siège de celles-ci plusieurs réunions pour examiner plus avant les modalités pratiques de financement des programmes régionaux pour la sécurité alimentaire qui sont envisagés par ces groupements économiques. En outre, la FAO fournit une assistance technique à ces organisations afin de renforcer leur capacité de conception et de suivi de ces programmes pour la sécurité alimentaire.

5. Vers une Gestion Améliorée de la Demande d’Eau au Proche-Orient

La région Proche-Orient, qui est caractérisée par une pénurie générale d'eau, est et sera confrontée à une demande croissante d'eau. C’est pourquoi, ce document examine brièvement les options disponibles pour la gestion de la demande d'eau en agriculture - secteur qui est le principal consommateur d'eau - y compris les aspects techniques, de gestion, économiques et autres. Il analyse les options disponibles compte tenu des conclusions des forums régionaux et internationaux récents et en cours sur les ressources en eau. Il faut à cet égard citer la Conférence régionale sur la gestion de la demande d'eau, parrainée par la FAO, le PNUE, l'UNESCO, l'OMS et la CESAO, prévue en octobre 2003; le troisième Forum mondial de l'eau (Japon, mars 2003), l'Année internationale de l'eau douce (2003), les ateliers régionaux et internationaux de la FAO sur les services consultatifs en matière d'irrigation, qui se sont tenus en Tunisie et au Canada (2002), notamment. Le document formule enfin des recommandations spécifiques concernant les incidences pertinentes en matière de politiques qui pourraient être adoptées pour parvenir à des options appropriées en matière de gestion de l'eau dans la région Proche-Orient.

6. Sécurité Sanitaire des Aliments et Commerce International dans la région du Proche-Orient

De nombreux pays du Proche-Orient peuvent exporter davantage de produits alimentaires. Cependant, le respect des normes techniques pour les produits d'exportation dans le contexte des Accords de l'OMC relatifs aux mesures sanitaires et phytosanitaires (SPS) et aux obstacles techniques au commerce (OTC) reste extrêmement difficile pour la plupart des pays de la région. Le refus des exportations de produits alimentaires pour des motifs de protection sanitaire est un obstacle non tarifaire au commerce considérable et aboutit à des pertes économiques très importantes. Dans ce contexte, les actions visant à favoriser la sécurité sanitaire des aliments et les moyens de déterminer de quelle façon les pays de la région les mettraient en oeuvre sont au cœur du débat.

Les systèmes de contrôle des aliments présents dans la plupart de ces pays doivent être mis à jour afin de relever les nouveaux défis. L'inspection des aliments, qui est essentiellement fondée sur des analyses du produit fini dans la plupart des pays, doit être remplacée par un système plus élaboré qui permette de relever tous les facteurs de contrôle pertinents pour la sécurité sanitaire des aliments à tous les stades de la chaîne alimentaire ou de la production. Cela nécessite le renforcement des capacités nationales concernant les approches récentes et les techniques des systèmes de contrôle des aliments, sur la base de l'analyse du risque, de la mise à jour des lois et réglementations en matière d'alimentation afin qu'elles répondent aux exigences internationales, le renforcement de la capacité des laboratoires s'occupant des aliments afin qu'ils adoptent des techniques d'analyse de pointe pour faire face aux nouveaux risques, l'amélioration de l'accès à l'information relative aux mesures SPS et aux OTC et la formation de cadres qui participent plus activement à l’établissement de normes alimentaires internationales comme celles du Codex Alimentarius.

7. Création de la Commission de la Santé Animale pour le Proche-Orient et l’Afrique du Nord (AHCNENA)

La recommandation concernant la création de la Commission a été approuvée à l'unanimité par la vingt-cinquième Conférence régionale pour le Proche-Orient, tenue à Beyrouth en mars 2000. La Commission de l'agriculture et de l'utilisation des terres et des eaux pour le Proche-Orient, à sa deuxième session, tenue à Téhéran en mars 2002, a également souscrit à sa création. À cette session, la Commission a examiné avec le Secrétariat provisoire les progrès réalisés et a affirmé le rôle important que joue l'AHCNENA dans la promotion des échanges d'animaux sains et de produits d'origine animale sans danger, sur la base de renseignements scientifiquement rationnels et relatifs à une lutte efficace contre les maladies et à l’échange d’informations dans toute la région. Depuis sa création, le Secrétariat provisoire de la Commission, au Bureau régional de la FAO au Caire, est parvenu à rester en liaison avec les États Membres et avec la FAO pour toutes les questions relatives à la santé et à la protection des animaux. Parmi les progrès réalisés, il faut citer la création d'un site WEB de la Commission (www.ahcnena.org), le maintien d’un réseau d’information avec les ministères et centres de recherche, les services vétérinaires et autres organisations et établissements des États Membres s’occupant d’élevage.

L’AHCNENA a organisé au Caire, en octobre 2003, la deuxième table ronde sur la fièvre aphteuse, pendant laquelle la Commission a également été approuvée. Cette réunion a également confirmé la nécessité des activités réalisées, notamment la traduction en arabe de six manuels sur la fièvre aphteuse relatifs à la protection de la santé animale.

Cependant, pour procéder à la création de la Commission, il faut assurer une approbation officielle des autorités gouvernementales compétentes des États Membres, après leur approbation du Préambule pour la Commission, qui serait ensuite transmis aux États Membres pour ratification. Un mécanisme de fonds fiduciaire de la FAO pour la mise en oeuvre pourrait être proposé, et le Bureau régional du Caire continuerait à assurer le Secrétariat provisoire de la Commission.

8. Evénements Latéraux:

a. Table Ronde: Financement de l'Agriculture

L'agriculture dans la région du Proche Orient a fait un développement apparent pendant les 3 dernières décennies du 20ème siècle. L'investissement public était un contribution important à un tel développement. Cependant, par l'introduction de la Réforme Economique et des Programmes d'ajustement structuraux, les gouvernements ont commencé à accorder des priorités à équilibrer leurs budgets et à commander leur dette interne, qui a eu comme conséquence des diminutions significatives d'investissement public dans l'agriculture. En même temps, l'investissement direct étranger qui découle des pays industriel aux pays en voie de développement rallentis. D'autre part, l'écoulement de l'investissement privé était également lent et n'a pas pu compenser la perte dans l'investissement public et l'investissement direct étranger.

Ces facteurs constituent les défis principaux faisant face à la durabilité du développement agricole dans la region du Proche Orient. Une table ronde serait organisée pour les pays membres et quelques agences régionales de financement pour discuter des défis faisant face à l'agriculture, pour indiquer des secteurs prioritaires pour l'investissement et pour considérer des options possibles pour le financement approprié de l'agriculture. Un document historique couvrant toutes les sujets ci-dessus serait présenté pour fournir des directives pour la stimulation de la discussion.

b. Stratégie Sous-Régionale pour la Sécurité Alimentaire en Afrique du Nord

Comme suivi du Sommet Mondial de l'Alimentation, une session spéciale serait assemblée pour les pays membres de l'Afrique du nord pour discuter la dimension sous-régionale de la sécurité alimentaire et pour indiquer les conditions et les actions pour la formulation de la stratégie, des programmes et des politiques sous-régionaux de sécurité alimentaire en vue de compléter les efforts nationaux et d'harmoniser les plans des pays membres pour les avantages mutuels des pays membres.

III. AUTRES QUESTIONS

9. Notes d’Information

a. Contribution des Forêts et des Arbres à l’Environnement, à l’Eau et à la Sécurité Alimentaire

Cette note d’information examine la contribution des forêts à l’environnement, à l’eau et à la sécurité alimentaire. Les problèmes d’environnement tels que la désertification, la dégradation de la qualité des terres et des eaux et la pollution atmosphérique ont tous une incidence négative sur l’environnement des centres urbains dans la plupart des pays du Proche-Orient et devraient s’aggraver rapidement. Les problèmes connexes tels que le stress hydrique, l’avancée du désert sur les terres agricoles et les établissements humains, l’envasement en aval des barrages et des canaux, les pluies acides et les risques sanitaires transmis par l’eau, etc., se traduiraient par la réduction de la production végétale et animale, une baisse de la fabrication d'électricité d'origine hydraulique, l'insécurité alimentaire et la dégradation de la qualité de la vie pour les communautés rurales et urbaines de la région. Une gestion forestière durable prévoyant l'aménagement des bassins versants, la plantation d’arbres dans les systèmes agroforestiers, des brise-vent, des rideaux-abris, des forêts urbaines, ainsi que des espaces verts et des arbres en dehors des forêts en général pourrait être un bon moyen d’améliorer la situation. La vingt-sixième Conférence régionale de la FAO, tenue à Téhéran en 2002, a demandé instamment aux États Membres de faire le nécessaire pour mobiliser l'appui politique, institutionnel et économique en faveur des initiatives régionales et nationales de foresterie et de plantation d'arbres dans la région.

b. Rôle du Microfinancement Rural dans le Développement Agricole Durable

Dans la région Proche-Orient, l’agriculture est dominée par de petits producteurs qui cultivent des parcelles de petites dimensions qui ne produisent pas suffisamment pour répondre aux besoins de leur famille. On sait depuis longtemps qu'une augmentation durable de la productivité des terres est parmi les principaux facteurs permettant d'accroître les revenus et d’améliorer le niveau de vie des agriculteurs, d’améliorer la sécurité alimentaire à l’échelle des ménages et au plan national, d’assurer un développement durable de l’agriculture et de lutter contre la pauvreté rurale. L'accroissement de la productivité est freiné par la limitation des ressources financières dont disposent les agriculteurs, qui ont de faibles ressources matérielles et un accès limité au crédit du secteur bancaire. Si l’on ne dispose pas des ressources financières nécessaires, il est plutôt difficile d’adopter les technologies améliorées dont on a besoin et d’acheter les intrants indispensables à l’amélioration de la productivité.

Les échecs répétés des tentatives de la plupart des pays d’étendre la couverture limitée du système bancaire officiel à l’agriculture en général et aux petits agriculteurs en particulier ont favorisé la recherche de solutions de rechange qui soient viables et qui complètent les services offerts par le système bancaire structuré. Le microcrédit a fait ses preuves comme outil d’accès aux ressources et services financiers pour les petits agriculteurs et les ruraux pauvres, y compris les femmes.

Cette note d’information vise à appeler l’attention sur les besoins financiers des petits agriculteurs et à faire le point des possibilités de satisfaire certains de ces besoins grâce à la fourniture de services microfinanciers. Elle analyse les microfinances dans une optique extérieure étudiant les caractéristiques et obstacles ainsi que les enseignements tirés des expériences passées.

Elle identifie, en outre, les possibilités d’améliorer la prestation de services microfinanciers par des intermédiaires structurés et non structurés aux petits agriculteurs et aux ruraux pauvres. Enfin, elle recommande les principales directives relatives au plan directeur nécessaire et à un environnement propice au microcrédit durable et efficace.

c. Promotion de la Recherche et de la Vulgarisation Agricoles pour un Développement Durable au Proche Orient: Cadre d’Action

Cette note d’information est fondée sur quatre études, demandées en 2002 par le Bureau régional de la FAO et la Division de la recherche, de la vulgarisation et de la formation sur les besoins, obstacles et possibilités qui caractérisent les domaines de la recherche, de la vulgarisation agricole et de l'élaboration de technologies dans la région Proche-Orient. Les conclusions de ces quatre études ont été regroupées dans un cadre d'action qui était destiné à constituer un engagement interactif et de collaboration pour les actions nationales, sous-régionales et régionales. Il met en évidence les forces qui conditionnent les arrangements politiques et institutionnels de recherche et de vulgarisation dans le monde. Il analyse les obstacles et difficultés particuliers auxquels se trouvent confrontées les organisations de recherche et de vulgarisation agricole dans la région et il décrit les mesures prises pour une action future, visant à réformer et à développer la recherche, la vulgarisation et le transfert de technologies à l’appui du développement durable et de la sécurité alimentaire. On espère que ce cadre offrira une base concrète pour des actions devant être entreprises par des pays de la région, par la FAO et par d’autres institutions internationales, ainsi que par les donateurs intéressés et autres parties prenantes.

d. Cadre Politique pour l’Intégration de la Parité Hommes-Femmes dans le Développement Agricole et Rural dans la Région du Proche-Orient

La Conférence de la FAO a adopté en novembre 2001 un Plan d'action - Parité hommes-femmes et développement pour la période 2002-2007. Son principal objectif était d'aider les femmes et les hommes ruraux à parvenir à un développement durable et à la sécurité alimentaire en favorisant une approche sexospécifique du processus de formulation des politiques, programmes et projets de développement rural. Ce document a une portée mondiale et devrait être adapté au contexte et aux priorités de la région Proche-Orient. De surcroît, les États Membres sont encouragés à renforcer leurs capacités nationales dans le domaine de méthodologies et outils tels que les programmes d’analyse socioéconomique et des questions de parité hommes-femmes, afin de rendre les programmes et projets de développement rural plus efficaces et mieux adaptés aux rôles, besoins et priorités des femmes et des hommes ruraux.

e. L’Année Internationale du Riz 2004

L’Année internationale favorise la sensibilisation au riz et donne des orientations pour le développement durable de sa culture, qui fournit l’aliment de base à plus de la moitié de la population mondiale. Une prise de conscience accrue du système rizicole devrait permettre à toutes les parties prenantes intéressées par la durabilité des systèmes de production vivrière de mieux centrer les politiques alimentaires et agricoles, ainsi que les objectifs techniques, économiques, sociaux et du développement. Les objectifs généraux de l’Année internationale du riz sont les suivants:

f. Cadre Stratégique de la FAO pour combler la Fracture Numérique Rural

Le “Programme visant à combler le fossé numérique rural, de façon à réduire l’insécurité alimentaire et la pauvreté” jette les bases d’un nouveau programme stratégique par lequel la FAO coordonnerait un partenariat international visant à combler le fossé numérique rural. Le programme visait à renforcer les capacités humaines et institutionnelles afin de tirer parti plus efficacement des informations et des connaissances en vue de les employer pour le développement agricole et rural. Cette proposition répond à un véritable fossé qui n'est pas encore abordé de façon cohérente par la communauté internationale du développement. Non seulement le fossé numérique rural touche à l'amélioration des infrastructures et de la connectabilité, mais il est aussi et surtout un problème complexe d'échange inefficace des connaissances et de gestion du contenu, de pénurie de ressources humaines et de capacités institutionnelles, qui ne peut être qu’aggravé par le caractère souvent limité des ressources financières. Les domaines généraux d’intervention suivants sont proposés: d’abord, mobilisation du contenu de l’information sous forme numérique dans les États Membres de la FAO et au sein de la communauté internationale; ensuite, renforcement des capacités, développement institutionnel et valorisation des ressources humaines axée sur l'amélioration de l’accès, de l’utilisation et de l’application des technologies de communication de l’information dans les domaines de l'agriculture et du développement rural; et enfin, amélioration de l'efficacité des travaux opérationnels de la FAO dans les domaines de la gestion de l’information et de la communication.

g. Initiative visant à faciliter l’Examen et l’Actualisation des Strategies et des Politiques Nationales à l’Appui de la Sécurité Alimentaire et du Développement Agricole : Point de Vue de la Région du Proche-Orient

10. Rapport de la Commission de l’Agriculture et de l’Utilisation des Terres et des Eaux pour le Proche-Orient

Bref rapport sur les conclusions et recommandations de la troisième session de la Commission qui se tiendra juste avant la vingt-septième Conférence régionale.

IV. CONCLUSION

11. Adoption du Rapport de la Réunion des Hauts Fonctionnaires

12. Clôture de la Réunion des Hauts Fonctionnaires

 

B. RÉUNION MINISTÉRIELLE

16-17 mars 2004

I. INTRODUCTION

1. Cérémonie d’ouverture

2. Élection du Président, des Vice-Présidents et nomination du Rapporteur

3. Adoption de l'ordre du jour et du calendrier

II. ALLOCUTIONS

4. Allocution du Directeur Général de la FAO

5. Allocution du Président indépendant du Conseil de la FAO

III. QUESTIONS À DÉBATTRE

6. Rapport de la Réunion des Hauts Fonctionnaires

7. Mesures prises suivant les Recommandations Principales de la Vingt-Sixième Conférence Régionale pour le Proche-Orient et les Activités menées par la FAO dans la Région du Proche-Orient 2002-2003

8. Rapport de la Consultation des ONG

IV. QUESTIONS DIVERSES

9. Liste des questions qui pourraient être examinées lors de la Vingt-Huitième Conférence Régionale

V. CONCLUSION

10. Date et lieu de la vingt-huitième Conférence régionale pour le Proche-Orient

11. Adoption du rapport de la Conférence Régionale (avec le rapport de la Réunion des Hauts Fonctionnaires)

12. Clôture de la Conférence