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Chapitre 2: Programmes techniques et économiques

(tous les montants sont exprimés en milliers de $ EU)
  Grand Programme Programme de travail 2004-05 CRZ - Programme de travail 2006-07 CNZ - Programme de travail 2006-07 CR - Programme de travail 2006-07 Fonds fiduciaire
21 Production agricole et systèmes de soutien 102 927 104 447 97 480 110 198 369 738
22 Politiques et développement alimentaires et agricoles 100 547 99 897 92 845 104 724 52 160
23 Pêches 47 223 47 487 44 353 49 572 47 771
24 Forêt 35 374 35 643 33 510 37 116 42 858
25 Contributions au développement durable et programmes spéciaux 56 376 56 718 53 146 58 807 117 316
Total 342 446 344 191 321 335 360 416 629 843
Variation de programme par rapport à 2004-05 Programme de travail au niveau des chapitres 1 744 (21 111) 17 969  
Variation en pourcentage 0,5% (6,2%) 5,2%  


Grand Programme 2.1: Production agricole et systèmes de soutien

(tous les montants sont exprimés en milliers de $ EU)
  Programme Programme de travail 2004-05 CRZ - Programme de travail 2006-07 CNZ - Programme de travail 2006-07 CR - Programme de travail 2006-07 Fonds fiduciaire
210 Entités intradépartementales du programme pour la production agricole et les systèmes de soutien 5 395 5 994 5 799 6 577 3 196
211 Ressources naturelles 17 392 17 152 15 846 17 858 37 153
212 Cultures 27 745 28 594 26 509 31 274 243 327
213 Élevage 18 859 18 718 17 458 19 662 61 777
214 Systèmes agricoles de soutien 15 905 15 438 14 121 15 838 23 167
215 Applications agricoles des isotopes et des biotechnologies 5 682 5 577 5 204 6 015 1 118
219 Gestion du programme 11 949 12 975 12 543 12 975 0
Total 102 927 104 447 97 480 110 198 369 738
Variation de programme par rapport à 2004-05 Programme de travail au niveau des Grands Programmes 1 520 (5 446) 7 271  
Variation en pourcentage 1,5% (5,3%) 7,1%  


Principales lignes d'action dans un scénario de croissance réelle zéro

280.     Au cours de l'exercice 2006-07, le Grand Programme 2.1 accordera la priorité aux processus de définition des normes et à l'élaboration de directives et cadres réglementaires adaptés dans des domaines tels que les ressources phytogénétiques et zoogénétiques, les biotechnologies, la biosécurité et la santé animale, ainsi que le développement durable et la gestion des ressources naturelles, en particulier l'eau. Il aidera les pays à acquérir de nouvelles technologies et encouragera des initiatives qui donnent suite aux préoccupations sociales, environnementales et sanitaires et qui contribuent à accroître la productivité des terres, de l'eau et de la main-d'œuvre. Il renforcera les liens entre les activités normatives et l'action sur le terrain et mettra en évidence l'assistance aux politiques, les conseils techniques et le renforcement des capacités au niveau national, de même que les liens avec les marchés, de manière à soutenir les agriculteurs et les entreprises agroalimentaires dans le cadre d'une transition vers une agriculture commerciale. Des ressources ont été transférées au Programme 2.1.2 afin de renforcer le soutien fourni à la Convention internationale pour la protection des végétaux (CIPV) et au Secrétariat du Traité international sur les ressources phytogénétiques pour l'alimentation et l'agriculture (RPGAA).

Programme 2.1.0: Entités intradépartementales du programme pour la production agricole et les systèmes de soutien

281.     La priorité est donnée avant tout au renforcement des capacités interdisciplinaires dans les approches intégrées et durables. La collecte, l'évaluation et la mise en commun de l'expérience acquise bénéficieront d'une attention toute particulière dans le cadre de l'application de meilleures pratiques d'agronomie et de gestion pour répondre à l'évolution de la situation des agriculteurs et des marchés. Les réalisations attendues pendant la période biennale (comme suite donnée aux débats du Comité de l'agriculture) sont les suivantes: diffusion des expériences nationales en matière de politiques et exemples concrets de bonnes pratiques agricoles qui répondent aux objectifs économiques, sociaux et environnementaux et contribuent à la sécurité sanitaire des aliments et à la sécurité alimentaire, sans toutefois être prescriptives ni donner lieu à des normes ou des codes à caractère obligatoire; bases d'information à l'appui de la mise au point de ces pratiques et d'une agriculture de conservation dans le cadre de systèmes de production intégrée, élaboration de principes et enseignements tirés; et renforcement des capacités de diverses institutions partenaires.

282.     Un soutien limité sera accordé aux études prospectives mondiales et aux travaux sur l'ADRD29, à la planification des communications et des publications dans l'ensemble du service, à la page Agriculture 21 du site Internet de la FAO et à d'autres matériels de promotion. À la fin de l'année 2006, à sa onzième session ordinaire, la Commission des ressources génétiques pour l'alimentation et l'agriculture (CRGAA) examinera la situation et les besoins des divers secteurs de la biodiversité, notamment la diversité biologique pour l'alimentation et l'agriculture – à l'exclusion des plantes et des animaux – et l'approche agro-écosystémique de la conservation des ressources génétiques et les questions intersectorielles. Elle adoptera un programme de travail pluriannuel qui comprendra des travaux sur les éléments constitutifs du Traité international sur les RPGAA et les préparatifs de la première Conférence technique internationale sur les ressources zoogénétiques, prévue en 2007. La vingtième session du Comité de l'agriculture sera organisée en 2007.

283.     Les ressources catalytiques destinées à appuyer les activités menées dans le cadre des domaines prioritaires pour une action interdisciplinaire (DPAI) seront augmentées, favorisant ainsi une action interdisciplinaire pour la solution de problèmes reconnus des Membres (entité 210S5).

Programme 2.1.1: Ressources naturelles

284.     Au titre du Programme 2.1.1, conformément aux priorités définies par les organes directeurs, les activités exercées dans les domaines de l'efficacité d'emploi et conservation de l'eau en agriculture, de la gestion intégrée et planification des terres, des eaux et des éléments nutritifs des plantes et formulation des politiques, et de l'amélioration de la qualité des terres et des eaux se poursuivront selon leur orientation actuelle. Le soutien aux pouvoirs publics et aux institutions pour la gestion de l'eau, y compris des ressources transfrontières, et pour la gestion des sols et de l'eau dans le cadre des bassins versants, l'accent étant mis sur les services écosystémiques, doit être renforcé. En revanche, la mise en œuvre d'activités dont les résultats sont moins prioritaires, à savoir la conservation de l'humidité des sols dans les zones d'agriculture pluviale, l'atténuation des effets des catastrophes par des mesures de maîtrise de l'engorgement et de la salinité des terres et de restauration des sols, ainsi que les contributions aux études et aux tribunes importantes, sera retardée. Les priorités régionales, notamment celles qui mettent l'accent sur le renforcement des capacités ou encore sur les politiques de gestion de l'eau, l'amélioration de l'efficience d'utilisation de l'eau, la récolte de l'eau, la dégradation et la fertilité des sols, et plus particulièrement sur les mécanismes institutionnels, doivent être mieux intégrées dans le programme. En Afrique, les activités normatives et les actions sur le terrain liées au PCT30et au PSSA31 continueront d'appuyer la formulation et l'exécution de projets dans le cadre du PDDAA32 du NEPAD33.

285.     Le programme mettra en œuvre les activités recommandées par les réunions internationales, notamment la Conférence internationale sur l'eau pour l'alimentation et les écosystèmes, qui s'est tenue à La Haye en 2005, en mettant l'accent sur l'intégration de l'agriculture et des écosystèmes pour une meilleure gestion de l'eau. Par ailleurs, il apportera une contribution, en collaboration étroite avec les Membres, aux prochains forums internationaux tels que le quatrième Forum mondial de l'eau à Mexico (2006), et à l'Année internationale des déserts et de la désertification (2006) organisée par la Convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification.

Programme 2.1.2: Cultures

286.     Au cours de 2006-07, conformément aux priorités indiquées par les organes directeurs, et notamment par le Comité de l'agriculture à sa dernière session, le Programme 2.1.2 donnera une priorité accrue à la CIPV, aux conseils scientifiques au Codex, au Traité international sur les RPGAA et à la lutte contre le criquet pèlerin. Une attention particulière sera donnée à l'horticulture pour la création de revenus et la nutrition, ainsi qu'à la production agricole intégrée et à l'agriculture de conservation, répondant ainsi à une demande croissante de la part des Membres. Le programme contribuera également au renforcement de l'approche des bonnes pratiques agricoles (BPA) dans le cadre d'un système intégré de production agricole et de protection des cultures, pour la promotion de pratiques agricoles durables tout au long de la filière alimentaire.

287.     La CIPV se concentrera sur l'harmonisation des mesures phytosanitaires, l'échange d'information et l'assistance technique, dans le but de réduire les obstacles au commerce tout en protégeant les ressources végétales nationales des dégâts causés par les organismes nuisibles. Des efforts seront déployés afin de favoriser une plus grande participation des pays en développement et de renforcer l'infrastructure et les capacités nationales, voire régionales.

288.     Le Programme 2.1.2 appuiera le Secrétariat du Traité international sur les RPGAA et son programme de travail tel qu'adopté par son organe directeur, et des ressources ont été réservées à cet effet au titre d'une nouvelle entité de programme. Un autre domaine prioritaire sera de ce fait la mise en œuvre des éléments constitutifs du Traité, et notamment du Plan d'action mondial, de certains éléments du Système d'information mondial, la conservation et l'utilisation des ressources phytogénétiques dans le contexte de la sélection végétale, des biotechnologies, de la prévention des risques biologiques et de la gestion durable de la biodiversité agricole. Ce programme renforcera la complémentarité des secteurs public et privé au sein des systèmes semenciers nationaux, harmonisera les cadres réglementaires relatifs aux RPGAA, à l'homologation de semences et au lancement de variétés, et contribuera à la préparation aux situations d'urgence, aux secours sous forme de semences et aux activités de redressement.

289.     Le volet Ravageurs des plantes du Système de prévention des urgences pour les ravageurs et les maladies transfrontières des animaux et des plantes (EMPRES) sera principalement axé sur la région occidentale (Afrique de l'Ouest et du Nord-Ouest) et la lutte préventive contre le criquet pèlerin. L'accent sera mis sur les systèmes d'alerte et d'intervention précoces et la recherche appliquée, notamment pour trouver des solutions autres que les pesticides chimiques conventionnels et répondre aux questions environnementales et de santé humaine connexes. La capacité d'aider les Membres à faire face aux situations d'urgence liées au criquet pèlerin sera maintenue. Des activités seront mises en place dans la mesure du possible à propos d'autres ravageurs et maladies des végétaux.

290.     Les ressources destinées aux domaines moins prioritaires seront réduites, limitant ainsi la capacité de fournir des avis en matière de politiques et un soutien à la prise de décisions concernant la production agricole et les systèmes de pâturage et de production à l'échelon mondial. Le soutien pour la mise en place de réseaux de semences sera limité au seul renforcement des capacités. En matière de protection intégrée, l'appui technique concernant la lutte raisonnée contre les plantes adventices sera réduit. Une nouvelle entité introduite dans le Plan à moyen terme (PMT) 2006-11: Faciliter la prise de décisions concernant les productions végétales et la protection des plantes, a été supprimée, bien que plusieurs de ses principaux produits aient été incorporés à d'autres entités.

Programme 2.1.3: Élevage

291.     Le Programme 2.1.3 a fait l'objet d'un ajustement stratégique dans le PMT 2006-11, avec une réduction de huit à six du nombre des entités, et de 24 à 19 de celui des principaux produits. Le programme cherche à définir, par l'analyse et l'information, et à favoriser: 1) le rôle du secteur mondial de l'élevage dans l'amélioration de la sécurité alimentaire et l'éradication de la pauvreté; et 2) sa capacité potentielle de répondre à une demande de produits animaux en progression rapide, par la production, la transformation et le commerce. Il s'agit d'atteindre ces objectifs tout en atténuant les effets de l'intensification de la production sur les populations pauvres, en préservant l'environnement et en réduisant les risques pour la santé publique. L'élaboration du programme tient également compte des observations faites dans le cadre des comités techniques, et notamment de la dernière session du Comité de l'agriculture.

292.     Au cours de 2006-07, des considérations d'ordre institutionnel et politique continueront d'être intégrées dans les activités du programme, afin d'aligner ses travaux techniques sur le cadre socio-économique applicable pour une croissance du secteur qui soit à la fois durable, équitable et sans risques. Le programme renforcera les systèmes nationaux de gestion et de prévention des maladies en donnant la priorité aux maladies animales transfrontières, notamment aux zoonoses telles que la grippe aviaire, dans le contexte du Cadre mondial FAO/OIE34 de lutte progressive contre la fièvre aphteuse et les autres épizooties transfrontières, et dans le cadre d' EMPRES et de l'ECTAD35. Le programme s'efforcera d'obtenir des accords entre les pays pour qu'ils mettent un terme à la vaccination contre la peste bovine et adhèrent au processus d'éradication de cette maladie à l'échelle mondiale d'ici à 2010. Les activités de santé publique vétérinaire seront renforcées en association avec le Codex et l'OIE. Les facteurs environnementaux qui favorisent l'apparition et la propagation des épizooties seront analysés afin de renforcer les capacités d'alerte rapide dans ce domaine.

293.     Les obstacles que rencontrent les petits éleveurs pour accéder aux marchés seront identifiés, tout comme les moyens permettant de les surmonter, notamment par des innovations institutionnelles et décisionnelles et le recours à de bonnes pratiques agricoles et de gestion. Une fois le premier Rapport sur l'état des ressources zoogénétiques dans le monde mis au point, les mesures prioritaires à prendre pour améliorer la gestion et la conservation des ressources zoogénétiques seront convenues lors de la première Conférence technique intergouvernementale sur les ressources zoogénétiques, en 2007. Le renforcement des capacités de gestion des ressources zoogénétiques sera poursuivi. Le programme préparera des directives détaillées pour la gestion du secteur de l'élevage dans des situations d'urgence. Des orientations générales détaillées seront publiées, et des essais lancés, concernant la gestion des déchets issus des élevages intensifs, à forte densité d'animaux. L'Atlas mondial sur la production et la santé animales, avec tous les éléments prévus, sera mis à disposition en mode interactif. Le programme étudiera les effets de l'élevage sur l'environnement sous tous leurs aspects (dynamique des maladies et écologie, diversité biologique et salubrité de l'environnement) et indiquera les mesures stratégiques et institutionnelles possibles pour la gestion de ces effets au niveau local et national.

294.     Une aide sera fournie, dans le cadre du programme EMPRES et de la Commission européenne de lutte contre la fièvre aphteuse à la sous-région de l'Europe centrale et orientale pour la lutte contre la fièvre aphteuse et d'autres maladies animales transfrontières. Les capacités opérationnelles et disciplinaires générales pour un tel soutien seront basées au Siège, tout comme le soutien relatif aux besoins prioritaires de la sous-région en matière de ressources zoogénétiques et de mesures stratégiques/institutionnelles. Des ressources supplémentaires sont allouées dans la sous-région en vue de catalyser un tel soutien.

Programme 2.1.4: Systèmes agricoles de soutien

295.     Ce programme vise à améliorer l'efficacité et la compétitivité des systèmes de production, de commercialisation et de distribution agricoles, en aidant les agriculteurs et les entreprises agroalimentaires à s'orienter vers une agriculture commerciale. Le renforcement des capacités et le resserrement des liens avec le marché pour soutenir les petits exploitants agricoles et les entreprises agroalimentaires, demeurent tout à fait prioritaires. Du matériel adapté à chaque région sera élaboré pour développer les compétences des agriculteurs en matière de gestion et de commercialisation. Des informations concernant les possibilités d'accroître les revenus ruraux seront diffusées, tandis que des renseignements sur les technologies permettant d'améliorer les opérations après récolte et de créer une valeur ajoutée pour le consommateur, seront fournis aux entreprises agroalimentaires. Des orientations seront fournies quant aux stratégies et aux pratiques de gestion à mettre en œuvre pour une meilleure rentabilité du système agroalimentaire, à tous les niveaux.

296.     Conformément au PMT 2006-11, les travaux sur les systèmes de distribution des produits alimentaires, les petites et moyennes entreprises agroalimentaires et les entreprises agricoles commerciales connexes, seront intensifiés pour répondre à l'évolution rapide, au niveau mondial, de l'organisation des systèmes agroalimentaires et des marchés associés. L'accélération de la croissance économique et le renforcement de la compétitivité seront les éléments clés de cette action. Les politiques et les contraintes institutionnelles qui affectent la compétitivité, le développement des entreprises agroalimentaires et les services agricoles fournis, seront identifiées afin de mettre au point des stratégies appropriées. Des documents d'orientation seront préparés pour améliorer l'accès aux services de commercialisation, aux financements ruraux et à la mécanisation. Les stratégies efficaces pour la gestion de la filière alimentaire et la création de nouveaux produits, seront évaluées en vue de renforcer la compétitivité commerciale. Des orientations complémentaires seront fournies concernant l'utilisation de concepts et de méthodes modernes de marché, d'organisation industrielle et de chaîne alimentaire, compte tenu des débats du Comité de l'agriculture sur la question. L'accent sera mis sur les stratégies, les approches et les technologies susceptibles d'améliorer la qualité et la sécurité sanitaire des produits dans la filière alimentaire, pour répondre aux attentes des consommateurs.

297.     Pour assurer la cohérence des travaux portant sur l'appui aux politiques et aux institutions, l'entité 214B1: Orientations concernant les politiques et les institutions pour des services agricoles durables sera fusionnée avec l'entité 214B4: Appui aux politiques et aux institutions pour la promotion d'agro-industries compétitives. L'importance donnée par le programme au bon fonctionnement des filières alimentaires – qualité et sécurité sanitaire des produits, efficacité et compétitivité – sera accrue. En revanche, deux domaines d'action seront réduits, dans une certaine mesure, du fait de l'évolution des besoins et des priorités. Le soutien concernant l'énergie et la mécanisation agricoles sera réduit d'une façon générale et centré sur les stratégies de mécanisation, notamment pour l'Afrique subsaharienne, dont les besoins demeurent importants. L'ampleur du soutien relatif aux systèmes d'information et aux bases de données sur les services agricoles sera également restreinte. Pour assurer le maintien d'une masse critique de ressources pour le Réseau d'information sur les opérations après récolte et le Centre d'apprentissage de finance rurale, les activités d'établissement de rapports sur l'énergie rurale seront réduites, tandis que le nouveau système d'information intégré sur l'économie agricole, la commercialisation et les financements ruraux, ne sera pas mis en place.

Programme 2.1.5: Applications agricoles des isotopes et des biotechnologies

298.     Le Programme 2.1.5 est exécuté en collaboration avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Il travaille en relation étroite avec d'autres programmes et vise à renforcer les capacités des pays à intensifier les systèmes de production agricole et animale, tout en préservant les ressources naturelles, et à améliorer la qualité et la sécurité sanitaire des aliments, grâce au soutien apporté à la recherche, à l'élaboration de normes, à la formation et au renforcement des capacités concernant les applications des isotopes et des biotechnologies.

299.     Des directives et protocoles détaillés, associés à des avis techniques, renforceront les capacités nationales d'application des méthodes moléculaires, génomiques et de détermination de l'abondance des isotopes pour sélectionner et introduire des allèles dotés de caractères nouveaux dans les plantes cultivées, et contribuer à rendre les systèmes de culture plus productifs et durables, notamment dans les zones marginales et sensibles au stress environnemental. Le programme impartira des connaissances théoriques et pratiques concernant aussi bien l'utilisation des appareils de mesure des isotopes et de l'humidité du sol pour l'identification et l'application des pratiques susceptibles d'améliorer la productivité de l'eau destinée aux cultures et la fertilité des sols, et de réduire au minimum les effets de la dégradation des sols, que les biotechnologies appliquées à la reproduction pour l'élargissement de la base génétique des plantes cultivées. Afin d'atténuer les risques que les insectes exotiques envahissants présentent pour la production végétale et pour l'environnement, le programme contribuera à l'application de la technique de l'insecte stérile (TIS) et d'autres méthodes de lutte biologique, en fournissant des procédures d'exploitation types pour l'élevage et la stérilisation des espèces ciblées.

300.     Le programme contribuera au processus d'éradication de la peste bovine à l'échelle mondiale et à la maîtrise progressive d'autres maladies animales couvertes par le programme EMPRES en fournissant des méthodes de détection précoce et des données d'analyse – et de qualité assurée – issues d'enquêtes moléculaires et sérologiques nationales. Il renforcera le cadre réglementaire international en coopérant activement avec l'OIE pour ce qui concerne les critères de validation des essais de diagnostic et l'accréditation des laboratoires vétérinaires. Il contribuera, par le biais du programme de lutte contre la trypanosomose africaine (PLTA), à la Campagne panafricaine d'éradication de la mouche tsé-tsé et de la trypanosomose, en conseillant les Membres sur les questions techniques et de politique intéressant l'utilisation de la technique de l'insecte stérile pour créer des zones exemptes de mouches tsé-tsé. Par ailleurs, l'accès des pays aux outils moléculaires permettant d'obtenir une meilleure caractérisation des ressources zoogénétiques indigènes et une identification plus fine des séquences d'ADN 36, sera amélioré grâce à la fourniture de marqueurs d'ADN et à la mise au point de protocoles d'analyse et d'échantillonnage normalisés au niveau international.

301.     Le programme aidera les pays à harmoniser leurs réglementations nationales sur la base de la Norme générale Codex pour les aliments irradiés et de la norme internationale de la CIPV relative à l'irradiation pour le traitement phytosanitaire. Il les aidera également à atténuer les risques d'un éventuel accident radiologique ou nucléaire pour la production alimentaire et la sécurité sanitaire des aliments en mettant au point et en expérimentant un plan de préparation et de gestion des situations d'urgence. En élaborant des directives, des protocoles et des supports pédagogiques pour l'enseignement à distance, renforcés par des activités de "formation de formateurs", et en accordant une aide aux pays qui introduisent des systèmes expérimentaux de gestion de la qualité des laboratoires conformes aux normes internationales, le programme contribuera à améliorer la qualité des services fournis par le personnel de laboratoire chargé du contrôle des aliments et de la réglementation en matière de pesticides et de médicaments vétérinaires, assurant ainsi la promotion de bonnes pratiques agricoles (BPA) tout au long de la chaîne de production alimentaire – dite de la "ferme à l'assiette", ainsi que la protection du consommateur et de l'environnement.

Scénario de croissance réelle

302.     Dans le cadre du Programme 2.1.0, les ressources supplémentaires seraient utilisées: 1) pour accélérer l'évaluation et le partage des compétences acquises en vue d'appuyer l'élaboration de systèmes de production durables; et 2) pour renforcer, à la demande des pays, les capacités nationales en matière de BPA. Le scénario de croissance réelle permettrait également de dégager des ressources catalytiques plus importantes pour soutenir les activités menées dans le cadre des Domaines prioritaires pour une action interdisciplinaire (DPAI) - 210S5.

303.     Les ressources dégagées en conditions de croissance réelle au titre du Programme 2.1.1 seraient affectées à l'amélioration de l'efficience d'utilisation de l'eau et des activités de conservation, en particulier: le soutien aux techniques de maîtrise de l'eau au niveau de l'exploitation et à la gestion intégrée des ressources; l'assistance à la modernisation du réseau d'irrigation, sa gestion et son calendrier, et la planification et la gestion intégrées des ressources en eau, en terre et en éléments nutritifs. Elles permettraient de corriger le sous-financement escompté dans un scénario de croissance zéro pour les activités suivantes: techniques de conservation de l'humidité des sols dans les zones d'agriculture pluviale; atténuation des effets des catastrophes par des mesures de maîtrise de l'engorgement et de la salinité des terres et de restauration des sols; et contributions aux études et aux tribunes importantes.

304.     Dans le cadre du Programme 2.1.2, les fonds supplémentaires dégagés pour la CIPV seraient affectés à l'accélération du programme d'harmonisation et d'élaboration de normes, et à l'assistance technique, notamment pour la participation des pays en développement à la procédure d'établissement de normes et l'application des normes de quarantaine au niveau national. Il serait possible d'apporter une réponse plus satisfaisante aux demandes d'assistance en matière d'horticulture, notamment en agriculture urbaine et périurbaine, et pour ce qui concerne la diversification des cultures comme moyen pour améliorer la santé et accroître les revenus.

305.     Les ressources supplémentaires permettraient à la FAO de renforcer les capacités nationales, sous-régionales et régionales à l'appui de la mise en œuvre du Traité international sur les RPGAA. Concernant la conservation et l'utilisation durable des ressources phytogénétiques, une augmentation des ressources permettrait à la FAO d'apporter une meilleure assistance aux pays pour l'évaluation et le renforcement des capacités nationales en matière de phytogénétique et de biotechnologie, et dans le domaine de la sécurité biologique des végétaux. En réponse à une demande croissante, des indicateurs internationaux de biodiversité agricole et des réglementations régissant l'accès aux semences pourraient être mis au point en partenariat avec diverses parties prenantes. Le mécanisme de facilitation serait perfectionné en vue de l'exécution du Plan d'action mondial pour les RPGAA.

306.     Les ressources supplémentaires dégagées au titre du Programme 2.1.3 seraient utilisées pour: 1) renforcer les capacités d'évaluation et de gestion des risques liés aux maladies et à l'environnement (notamment pour les nouvelles zoonoses, comme la grippe aviaire hautement pathogène); 2) accélérer la préparation du Système mondial d'alerte rapide pour les maladies animales transfrontières élaboré conjointement avec l'OIE et l'OMS37 dans le cadre du Programme mondial de maîtrise progressive des maladies animales transfrontières; 3) améliorer la conception et la négociation de politiques d'élevage en faveur des pauvres dans les pays et les régions; et 4) renforcer le soutien au processus régional qui aboutira en 2007 à la mise au point définitive et à l'adoption du premier Rapport sur l'état des ressources zoogénétiques dans le monde.

307.     Dans le cadre du Programme 2.1.4, les ressources dégagées en conditions de croissance réelle seraient utilisées pour: 1) renforcer le soutien institutionnel et décisionnel aux services de commercialisation du secteur privé, au développement du secteur agro-industriel et aux innovations dans l'agro-industrie afin d'améliorer la croissance et la compétitivité commerciale; 2) promouvoir la diffusion et l'adaptation régionale de documents sur le renforcement des capacités en vue d'améliorer les compétences techniques et commerciales des petits exploitants et des entreprises de transformation des produits agricoles, ainsi que leur accès aux services essentiels et aux technologies après récolte; et 3) contribuer à la mise en œuvre, en collaboration avec d'autres parties prenantes, d'interventions éprouvées en matière de techniques, de gestion et de politiques afin d'améliorer les moyens d'existence des populations rurales et urbaines pauvres, dans un certain nombre de communautés et de pays.

308.     Les fonds supplémentaires au titre du Programme 2.1.5 seraient donc affectés: 1) au renforcement de la coopération internationale pour la mise au point et l'application de marqueurs d'ADN pour la caractérisation moléculaire des ressources zoogénétiques; 2) à l'accélération de l'élaboration de normes internationales relatives aux protocoles d'analyse et d'échantillonnage, et à la fourniture de données concernant les annotations et les séquences d'acide nucléique pour une base de données liée au système DAD-IS38; 3) à l'optimisation de l'utilité des races locales par l'intégration d'informations moléculaires et phénotypiques au moyen d'un réseau international et d'ateliers connexes. Il faudrait par ailleurs accorder la priorité au renforcement des activités en matière de santé publique vétérinaire, en se concentrant sur l'élaboration, la validation et le transfert d'outils moléculaires pour le diagnostic, la surveillance et l'épidémiologie.

Incidence d'une croissance nominale zéro

309.     L'incidence sur le Programme 2.1.0 se manifesterait de plusieurs façons. Le renforcement des capacités, le partage des enseignements tirés des politiques et la diffusion d'exemples concernant les bonnes pratiques agricoles, seraient limités à quelques pays. Dans le domaine de l'agriculture de conservation, l'accent devrait être mis sur l'évaluation des expériences passées ou actuelles des pays, plutôt que sur la promotion. Le renforcement des capacités et le partage de l'expérience acquise en matière de production intégrée se limiteraient à un ou deux de ces systèmes. Une croissance nominale zéro impliquerait une nouvelle réduction de la durée du Comité de l'agriculture et du nombre des points inscrits à son ordre du jour, affaiblissant ainsi considérablement son rôle consultatif. Les contributions aux études prospectives mondiales seraient fortement réduites, tout comme les réunions consultatives avec le personnel des bureaux régionaux. La préparation et la mise en œuvre du programme pluriannuel de travail de la Commission des ressources génétiques pour l'alimentation et l'agriculture (CRGAA) seraient ralenties.

310.     Dans le cadre du Programme 2.1.1, une priorité moindre serait accordée aux systèmes d'information et de gestion des connaissances. Par ailleurs, les réductions limiteraient de manière importante les activités concernant la dégradation et la conservation des terres, la fertilité des sols, et la gestion des éléments nutritifs, avec des répercussions particulièrement négatives au niveau de l'assistance aux pays d'Afrique et d'Amérique latine, gravement touchés par le problème de la dégradation des sols. Les contributions de la FAO aux tribunes internationales sur les questions liées à l'eau et à la terre seraient affaiblies, tandis que la fourniture de services techniques au programme de terrain diminuerait inévitablement.

311.     Concernant le Programme 2.1.2, il faudrait supprimer le soutien au réseau international des collections ex situ de ressources génétiques pour l'alimentation et l'agriculture, ce qui aurait une incidence négative sur l'amélioration de la productivité et de la production agricoles dans les pays. Des fonds supplémentaires ne pourraient être destinés au Secrétariat du Traité international sur les RPGAA, avec des répercussions négatives sur la mise en œuvre du Traité au niveau national et international. En conditions de croissance nominale zéro, les fonds destinés à la CIPV seraient encore légèrement supérieurs à ceux de l'exercice biennal actuel, mais néanmoins inférieurs à ceux qui seraient dégagés dans un scénario de croissance réelle zéro. Par rapport à un tel scénario, la participation des pays en développement aux travaux de normalisation de la CIPV serait réduite, tout comme les activités de diffusion de la Convention quant aux systèmes d'information et à l'assistance technique. Il faudrait également réduire le soutien aux pays dans les domaines de la protection intégrée, de la gestion des pesticides, de l'amélioration des cultures, de la biotechnologie et de la production agricole.

312.     En ce qui concerne le Programme 2.1.3, le renforcement prévu de l'Atlas mondial sur la production et la santé animales (GLiPHA) devra être différé du point de vue de sa couverture géographique et de son intégration dans d'autres systèmes d'information. Plusieurs activités importantes de diffusion directe – en particulier la création de plateformes de négociation relatives aux politiques régionales et nationales en matière d'élevage – pourraient être limitées ou retardées. Il faudrait réduire les travaux en matière de santé publique vétérinaire qui ne sont pas directement liés au Codex et le soutien aux mesures phytosanitaires et sanitaires, notamment l'élaboration de bonnes pratiques pour la maîtrise des maladies d'origine alimentaire et de nouvelles mesures de lutte contre les zoonoses. Il faudrait également limiter les activités concernant le rôle de l'élevage dans l'éradication de la pauvreté, sauf pour ce qui est de l'atténuation des effets du VIH/SIDA et de l'impact des situations d'urgence sur l'élevage et les moyens d'existence liés à ce secteur. La lutte contre les maladies transmises par les arthropodes, notamment le soutien au programme de lutte contre la trypanosomose africaine (PLTA), serait réduite, tout comme les travaux concernant les ressources naturelles et les aspects stratégiques des interactions entre l'élevage et l'environnement. Les réductions concernant le programme statutaire relatif aux ressources zoogénétiques seraient minimes afin de garantir le respect des engagements pris. Le premier Rapport sur l'état des ressources zoogénétiques dans le monde serait achevé, tandis que des fonds supplémentaires devraient être dégagés pour la Conférence technique internationale sur les ressources zoogénétiques de 2007. Dans le cadre d'EMPRES, la poursuite des travaux concernant la conception et la mise en œuvre d'une stratégie d'alerte rapide et de lutte préventive contre les maladies dépendrait d'un financement extrabudgétaire.

313.     Dans le cadre du Programme 2.1.4, il faudrait supprimer l'assistance technique et les systèmes d'information relatifs à l'énergie et la mécanisation rurales. Il serait également nécessaire de limiter sensiblement le renforcement des capacités visant à améliorer les liaisons entre l'exploitant et le marché et supprimer l'aide directe apportée aux organisations d'exploitants agricoles pour améliorer leurs capacités commerciales. Les réductions toucheraient par ailleurs les orientations institutionnelles et décisionnelles relatives à l'agro-industrie, à la gestion de la chaîne d'approvisionnement et à l'agriculture de marché. Le soutien à la gestion des exploitations et à l'agro-industrie en Europe centrale et orientale ne relèverait plus que du personnel du Siège, tandis que l'intervention de spécialistes des questions liées à l'agro-industrie serait supprimée en Asie. Le soutien plus général à l'amélioration de l'efficacité et de la compétitivité des systèmes agro-alimentaires serait néanmoins maintenu.

314.     Concernant le Programme 2.1.5, la baisse des ressources amènerait à supprimer progressivement les produits attendus dans les domaines de la gestion des éléments nutritifs des sols, de la nutrition animale et de la performance de reproduction, ainsi que de l'irradiation des aliments. Par ailleurs, la réduction des ressources pèserait lourdement sur les produits concernant l'utilisation de la technique de l'insecte stérile contre la mouche des fruits, la caractérisation moléculaire des ressources zoogénétiques, et la santé publique vétérinaire.

Ressources extrabudgétaires

315.     Plusieurs entités du Programme 2.1.1 devraient profiter d'un certain nombre d'accords stratégiques de partenariat avec divers donateurs à l'appui des activités normatives de la FAO. Des travaux de sensibilisation concernant la productivité des sols et l'aménagement des sols et des eaux, dans le cadre d'écoles pratiques d'agriculture et par le biais d'approches agroécologiques, sont ainsi menés au titre du Programme de partenariat FAO/Norvège, tandis que des activités concernant la biodiversité agricole pour la santé des sols, l'agriculture basée sur les eaux de ruissellement et la gestion de l'humidité des sols sont réalisées dans le cadre du Programme de partenariat FAO/Pays-Bas. D'autres projets importants sont l'Initiative du bassin du Nil et l'évaluation FEM39/PNUE40 de la dégradation des terres dans les zones arides (LADA).

316.     Un appui extrabudgétaire est prévu au titre du Programme 2.1.2 dans divers domaines, notamment: la participation des pays en développement aux travaux de normalisation de la CIPV; la prévention et l'élimination des pesticides périmés; le Secrétariat conjoint PNUE/FAO de la Convention de Rotterdam; la formulation de politiques mondiales sur la biodiversité; la protection intégrée; le Traité international sur les RPGAA et activités connexes; la coordination des activités de prévision et de lutte contre le criquet pèlerin. Sur le terrain, les activités porteront également sur le soutien aux programmes nationaux et régionaux de protection intégrée; la conservation et l'utilisation durables des ressources phytogénétiques; l'amélioration des systèmes de culture herbagère et horticole; l'amélioration des systèmes phytosanitaires et des règlements concernant les pesticides, et la réponse rapide et la lutte contre les ravageurs transfrontières des plantes, notamment le criquet pèlerin (EMPRES).

317.     Plusieurs entités du Programme 2.1.3 devraient également être soutenues par des accords stratégiques de partenariat avec divers donateurs, par exemple au titre de l'Initiative pour des politiques d'élevage en faveur des pauvres (IPEFP) financée par le Ministère britannique du développement international. La préparation du premier Rapport sur l'état des ressources zoogénétiques dans le monde et sa mise au point définitive lors de la Conférence sur les ressources zoogénétiques en 2007, bénéficieront aussi d'un financement par des donateurs. Des fonds extrabudgétaires seront également dégagés pour l'initiative Élevage, environnement et développement41, notamment par le FEM pour de grands projets régionaux concernant l'élevage et l'environnement.

318.     D'autres projets importants concerneront: le renforcement des capacités de diagnostic et de surveillance de l'encéphalopathie spongiforme bovine (BSE); la mise en œuvre du Code d'usages du Codex pour une bonne alimentation animale; le soutien au Programme mondial d'éradication de la peste bovine; la lutte contre les maladies transfrontières des animaux, notamment la grippe aviaire, à l'échelon régional. L'Union européenne continuera de fournir son soutien à la Commission européenne de lutte contre la fièvre aphteuse.

319.     Des ressources extrabudgétaires sont prévues pour le Programme 2.1.4 dans plusieurs domaines: la sériciculture, les bonnes pratiques agricoles et le Centre d'apprentissage de la finance rurale. Des donateurs financeront également des projets portant sur la diversification des moyens d'existence, le traitement artisanal des produits agricoles et la transformation des huiles alimentaires. Un soutien technique important est fourni à des projets d'urgence dans une vaste gamme de pays.

320.     Il est prévu que la contribution de l'AIEA au programme conjoint (2.1.5) dépassera 23 millions de dollars EU, y compris pour le laboratoire FAO/AIEA pour l'agriculture et les biotechnologies de Seibersdorf. Le programme fournira également des services techniques à des projets et des cours de formation financés dans le cadre du programme de coopération technique de l'AIEA pour une valeur estimative de 26 millions de dollars EU. Étant inscrits dans les comptes de l'AIEA, ils ne figurent pas dans les tableaux récapitulatifs.


29 Agriculture et développement rural durables

30 Programme de coopération technique

31 Programme spécial pour la sécurité alimentaire

32 Programme détaillé pour le développement de l'agriculture africaine

33 Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique

34 Organisation mondiale de la santé animale

35 Centre d'urgence de la FAO pour la lutte contre les maladies animales transfrontières

36 Acide désoxyribonucléique

37 Organisation mondiale de la santé

38 Système d'information sur la diversité des animaux domestiques

39 Fonds pour l'environnement mondial

40 Programme des Nations Unies pour l'environnement

41 LEAD

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