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ADOPTION OF REPORT
ADOPTION DU RAPPORT
APROBACION DEL INFORME

DRAFT REPORT PART I (Cont.d)
PROJET DE RAPPORT-PARTIE I (suite)
PROYECTO DE INFORME-PARTE I (cont.)

PARAGRAPHS 16 to 28 (Cont.d)
PARAGRAPHES 16 à 28
(suite)
PARRAFOS 16 a 28
(cont.)

LE PRESIDENT: Avant de poursuivre, je fais distribuer à tous les délégués le paragraphe suggéré par la Zambie: "Le Conseil a approuvé avec enthousiasme le principe de faire référence à la nécessité de la reconstitution du fonds du FIDA". Si personne ne s'y oppose, nous pourrions joindre cette note au rapport final de notre Conseil.

Une autre question est restée en suspens ce matin, qui avait été soulevée par l'Algérie et pour laquelle nous attendions une information du groupe de contact. Madame la déléguée de l'Algérie, vous avez la parole.

Mlle Faouzia BOUMAIZA (Algérie): Je crois pouvoir vous annoncer avec plaisir que nous aurions un nouveau paragraphe dans le CL 91/REP/1 examiné ce matin et voici la rédaction pour laquelle nous sommes tombés d'accord:

"Le Conseil, conformément à la résolution de l'Assemblée générale des Nations Unies"-et là le Secrétariat voudra bien nous mettre le numéro exact-"telle qu'adoptée, recommande à la Conférence la réalisation d'une étude sur les conséquences, sur la situation alimentaire et le développement de l'agriculture en Afrique australe du fait. de la politique d'apartheid de l'Afrique du Sud".

Ce serait la première partie du paragraphe. La deuxième partie sera formulée ainsi:

"Le Conseil recommande également que la FAO parachève l'étude déjà commencée concernant la situation alimentaire et agricole dans les territoires arabes occupés".

LE PRESIDENT: En ce qui concerne la première résolution, il y a eu un large débat ce matin et je pense que la FAO a déjà signalé qu'elle avait commencé des études. On pourrait mettre la "poursuite" des études sur les conséquences de la situation alimentaire. Il faut mettre "poursuite" et nous pourrions avancer ainsi.

Pour la seconde partie, il y a aussi une étude qui est en cours, je ne sais pas si la Direction générale peut nous éclairer sur ce point précis puisqu'il est recommandé de poursuivre des études.

Mlle Faouzia BOUMAIZA (Algérie): Bien entendu, s'il y a vraiment une étude de la FAO qui parle des conséquences de la politique d'apartheid de l'Afrique du Sud sur la situation alimentaire et agricole en Afrique australe, nous accepterons le mot "poursuite" mais si l'intitulé de cette étude ne correspond pas, nous ne pouvons l'accepter.

LE PRESIDENT: Est-ce que quelqu'un peut répondre à cette question?

DEPUTY DIRECTOR-GENERAL: What I said this morning was simply that the regular FAO studies of the food and agriculture situation in Southern Africa take account of the security or insecurity situation. But we have not carried out a specific study on this point, and of course it is up to the Council to take a decision on the matter, and we shall be glad to do whatever the Council says.

LE PRESIDENT: Le terme de "réalisation" plutôt que "poursuite" reste valable. Si le Conseil ne voit pas d'objection, je crois qu'on pourrait retenir ce paragraphe, à charge pour le Secrétariat de la FAO de trouver un créneau pour réaliser une telle étude.

Il reste la deuxième partie, voulez-vous répéter Madame la déléguée d'Algérie?


Mlle Faouzia BOUMAIZA (Algérie): "Le Conseil recommande également que la FAO parachève l'étude déjà commencée concernant la situation alimentaire et agricole dans les territoires arabes occupés".

DEPUTY DIRECTOR-GENERAL: Í did not give any details of this work when I mentioned it this morning, and I think the more effective formulation would be to update the work already carried out on food security with the Economic Commission for Western Asia in the occupied Arab territories.

LE PRESIDENT: Je crois que nous avons dégagé l'horizon.

Paragraphs 16 to 28, as amended, approved
Les paragraphes 16 é 28, ainsi amendés, sont approuvés
Los párrafos 16 a 28, asi enmendados, son aprobados

PARAGRAPHS 29 to 67
PARAGRAPHES 29 à 67
PARRAFOS 29 a 67

Nous passons maintenant au rapport de la 9ème session du Comité de l'agriculture, Point 6 de notre ordre du jour.

Le paragraphe 29 est un simple énoncé qui ne soulève pas d'objection, je pense.

Le point suivant est l'examen du Programme de travail de la FAO dans le secteur de l'alimentation et de l'agriculture.

Les paragraphes 30 à 40 sont approuvés.

Leopoldo ARIZA HIDALGO (Cuba): No creo que formaremos ningún problema con la pregunta que vamos a hacer. Nos parece que el párrafo esta bien, lo que quisiéramos aclarar es la situación con la formulación que se hace en là línea numero 5, que se comienza después de punto. Dice: "Se informó al Consejo de que se le presentaría un informe sobre la situación en su próximo período de sesiones, en noviembre." Esto es sobre la situación del Código Internacional de Conducta para la Distribución y Utilización de Plaguicidas.

Esta información al Consejo ¿quién la hizo? 0 ¿es el Consejo el que informa, o es la FAO quien informa? ¿La Secretaría es quien informa al Consejo que va a presentar el informe? Queríamos saber quién va a presentar este informe concretamente.

DEPUTY DIRECTOR-GENERAL: The Secretariat will present a report to the next Council Session in November.

LE PRESIDENT: Les paragraphes 41 42 et 43 sont approuvés.

Gonzalo BULA HOYOS (Colombia): Sobre el párrafo 44 tenemos algunas observaciones, casi todas son de precisiones y, como son breves e igualmente confiamos en que no son controvertidas y conocemos su agilidad mental para captarlas, las presentamos todas al tiempo.

En la primera frase del párrafo 44, después de las palabras "El Consejo tomó nota...", se agregarían dos palabras: "con satisfacción", porque creo que todo el Consejo siente satisfacción al saber que un grupo de países luchan contra la pobreza.

Luego, en la cuarta línea del párrafo 44, dice "... en la Conferencia Regional de Países de América Latina y el Caribe sobre la extrema pobreza...". El término que usó el Presidente de Colombia en Naciones Unidas y que se sigue usando en todo este proceso es "pobreza absoluta", en inglés "extreme poverty absolutely", pobreza absoluta en todo caso en castellano. Luego entre paréntesis se dice: "(Cumbre de Cartagena)". Proponemos que, después de Cartagena, se ponga una coma y se agregue:


"Colombia", y luego "febrero 1988". Esto porque, si bien no sólo los colegas de América Latina, sino también de otras partes del mundo conocen a Cartagena, una linda y agradable ciudad colombiana, hay otra Cartagena en España y además puede haber alguien que no sepa en qué país y la fecha conviene precisarla.

Luego, finalmente, en la ultima frase del párrafo 44, en vez de decir: "el Consejo esperaba recibir...", decir simplemente: "el Consejo atribuyó gran importancia al estudio de la FAO sobre..."·

Espero no haberle molestado presentando todo el tiempo, pero comparto su conveniencia de avanzar.

LE PRESIDENT: Je pense que vous ne voyez pas d'objection à approuver les observations de la Colombie.

Joao Augusto de MEDICIS (Brazil): Just to add to the last sentence of the paragraph "after the regional conference 1988 to be held in Recife, Brazil". That is my home town; that is why I need it!

LE PRESIDENT: Avec cette dernière observation du Brésil, nous pouvons approuver le paragraphe 45.

Nous passons à la 2ème section: rôle de la qualité des aliments et des normes dans la sécurité alimentaire, le commerce et la santé.

Les paragraphes 46 47 48 49 50 sont approuvés.

Nous passons à la sous-section: amélioration de la productivité dans les zones arides. Les paragraphes 51 52 53 et 54 sont approuvés.

Sous-section: effet du régime foncier et du morcellement des exploitations sur le développement agricole.

Les paragraphes 55 56 57 58 sont approuvés.

Gonzalo BULA HOYOS (Colombia): Deseamos tratar de completar lo más inocuamente posible el contenido del párrafo 59. Pensamos que en su forma actual dice que la FAO debe ofrecer una tribuna efectiva para el diàlogo, pero esto no es suficiente para confirmar la importancia que tiene la participación popular.

Por eso, proponemos que en la tercera frase del párrafo 59 se diga: "consideró necesario que la FAO-aquí viene el agregado-asista a los países en la creación de cooperativas y toda forma de asociaciones rurales y que ofrezca una tribuna efectiva.·.".

Espero que esto no ofrecerá dificultades.

LE PRESIDENT: Vous avez entendu la proposition de la Colombie: "Le Conseil a... estimé nécessaire que la FAO assiste les pays dans la création de coopératives et toutes formes d'associations rurales et qu'elle favorise le dialogue...".

Y-a-t-il des observations sur cette question?

A. Daniel WEYGANDT (United States of America): We do not have any objection to this except that it seems a little broad. We could talk about all sorts of rural organizations. We could have FAO assisting people to form youth clubs, and things like that. I think we should specify the language a bit here.

LE PRESIDENT: Y-a-t-il d'autres observations?


Leopoldo ARIZA HIDALGO (Cuba): Nosostros encendemos que la propuesta de Colombia tiene la intención de precisar que la tribuna efectiva al diàlogo entre gobiernos y las organizaciones populares no puede ser con todo tipo de asociaciones populares. Estamos hablando del sector rural. No creo que aquí puede incluirse las asociaciones de amigos de la trucha, de la bicicleta, y de las galaxias; específicamente, asociaciones de campesinos, cooperativas, productores rurales. Pueden ser jóvenes rurales, pueden ser mujeres rurales también, pero que se especifique en el ambito rural.

La participación popular en el ambito rural es a través de estas organizaciones, que pueden ser no gubernamentales o asociativas simplemente.

Esa era la intención que habíamos previamente coordinado con nuestro amigo colega de Colombia y creemos que él explicó muy claro la intención.

Gonzalo BULA HOYOS (Colombia): El colega de Cuba ha explicado muy bien nuestra intención, pero, siempre con ánimo conciliador, podríamos pedirle al colega Weygandt, de los Estados Unidos, si aceptara que se dijera toda forma y adecuada de asociaciones rurales.

Esto en cierta medida califica las asociaciones y puede tranquilizar al colega de los Estados Unidos.

LE PRESIDENT: Nous continuons. Par. 59: approuvé. Par. 60: approuvé.

Nous passons à la Sous-section "Production de racines-tubercules et plantains-stratégies et besoins". Les paragraphes 61-65 sont approuvés. Sous-section "Autres questions". Les paragraphes 66 et 67 sont approuvés.

Paragraphs 29 to 67, as amended, approved
Les paragraphes 29 à 67, ainsi amendés, sont approuvés
Los párrafos 29 a 67, asi enmendados, son aprobados

PARAGRAPHS 68 to 77
PARAGRAPHES 68 à 77
PARRAFOS 68 a 77

Les paragraphes 68-73 sont approuvés. Paragraphe 74?

Raphael RABE (Madagascar): Je voudrais qu'au début de la quatrième phrase de ce par., au lieu de "plusieurs membres", on mette "quelques membres".

LE PRESIDENT: Quelle est votre proposition?

Raphael RABE (Madagascar): Que l'on remplace "plusieurs membres" par "quelques membres", au début de la quatrième phrase du par. 74.

LE PRESIDENT: Y-a-t-il des objections à cette modification? Non. Le par. 74. est approuvé tel qu'amendé. Les paragraphes 75-77 sont approuvés.

Paragraphs 68 to 77, as amended, approved
Les paragraphes 68 à 77, ainsi amendés, sont approuvés
Los párrafos 68 a 77, as
i enmendados, son aprobados

PARAGRAPHS 78 to 85
PARAGRAPHES 78 à 85
PARRAFOS 78 a 85


Raphael RABE (Madagascar): Dans la troisième phrase, au paragraphe 80, où il est dit "le Conseil a noté que l'on veillera à ne pas rechercher un financement pour des activités…je voudrais remplacer cette phrase par "le Conseil a noté que l'on veillera à ne rechercher de financement que pour des activités qui ne pourraient être réalisées..." et continuer la phrase telle qu'elle est.

LE PRESIDENT: Cette modification est-elle reconnue? S'il n'y a pas d'objection, elle est approuvée.

Esau S. S. NEBWE (Zambia): Just a small typing error. The English version reads, "The Council took note of the Commission's discussions concerning the proposal to create an international fund for plan"-it is written as "plan" but I believe this should be written as "plant".

LE PRESIDENT: Le Président du Comité de rédaction a-t-il une déclaration à faire sur le par. 80?

V. K. SIBAL (Chairman, Drafting Committee): I just want to bring it to the notice of Council and of yourself, Mr Chairman, that the amendment just now suggested reverses the sense of what is contained in this. The drafting committee when it looked at this was conscious of the need for complementarity and the need for wording which would not overlap the programmes of IBPGR and FAO. The idea was to avoid overlap. Perhaps some Members of Council may decide to take a view on this.

DEPUTY DIRECTOR-GENERAL: It is a simple problem of interpretation and translation between French and English. The change which I had noted, as proposed by the delegate of Madagascar, would now make the sentence read, "The Council noted that care would be taken to seek support only for activities which could not be carried out by IBPGR."

LE PRESIDENT: Le délégué du Canada a demandé la parole sur le par. 80.

George Henry MOSGROVE (Canada): This point has just been satisfactorily dealt with.

LE PRESIDENT: Les paragraphes 81-85 sont approuvés.

Paragraphs 78 to 85, as amended, approved
Les paragraphes 78 à 85, ainsi amendés, sont approuvés
Los párrafos 78 a 85, asi enmendados, son aprobados

Paragraphs 86 to 98 approved
Les paragraphes 86 à 98 sont approuvés
Los párrafos 86 a 98 son aprobados

Draft Report of Plenary, Part 1, as amended, was adopted
Projet de rapport de la plénière, 1ère partie, ainsi amendée, est adoptée
El proyecto de informe de la Plenaria, Parte 1, as
i enmendado, es aprobado

DRAFT REPORT PART II
PROJET DE RAPPORT-PARTIE II
PROYECTO DE INFORME-PARTE II

V. K. SIBAL (Chairman, Drafting Committee): There is no particular point which I would like to mention at this stage. We request that these paragraphs be taken one by one.


LE PRESIDENT:

Paragraphs 4 to 7, as amended, approved
Les paragraphes 4 à 7, ainsi amendés, sont approuvés
Los párrafos 4 a 7, asi enmedandos, son aprobados

PARAGRAPHS 8 to 13
PARAGRAPHES 8 à 13
PARRAFOS 8 a 13

Gonzalo BULA HOTOS (Colombia): Hemos prescindido de hacer referencia a malas traducciones al castellano para no complicarle la vida, Sr. Presidente y porque lo presentaremos a la Secretaría; sin embargo, en la segunda frase del párrafo 9 hay un término que conviene ajustar a la traducción inglesa que es la correcta. Dice "países destinatarios"; en español "países destinatarios" es "países beneficiarios", recipient countries en inglés.

LE PRESIDENT: En français, il y a "bénéficiaires". C'est donc un problème que l'on réglera.

Paragraphs 8 to 13 approved
Les paragraphes 8 à 13 sont approuvés
Los párrafos 8 a 13 son aprobados

Paragraphs 14 to 17 approved
Les paragraphes 14 à 17 sont approuvés
Los párrafos 14 a 17 son aprobados

PARAGRAPHS 18 to 22
PARAGRAPHES 18 à 22
PARRAFOS 18 a 22

Sra. Mónica DEREGIBUS (Argentina): A propósito del párrafo 19 la ùltima frase de ese párrafo dice "que el Consejo tomó nota de la información proporcionada por la delegación del principal país contribuyente respecto de las medidas que se están aplicando para recabar los fondos"; con posterioridad el Consejo escuchó la información que el Director General como jefe de la Secretaría proporcionó a este respecto, y esto me gustaría que fuera agregado en este párrafo y que dijera de esa manera "tomó nota de la información proporcionada por la delegación del principal país contribuyente y por la Secretaría".

LE PRESIDENT: Si j'ai bien compris, la déléguée de l'Argentine a demandé d'ajouter, à la septième ligne: "il a pris note des renseignements communiqués par les principaux bailleurs de fonds et par le Secrétariat".

Y-a-t-il une observation à ce sujet? Nous considérons que c'est approuvé. La délégation de la Colombie veut prendre la parole au sujet du par. 7.

Gonzalo BULA HOYOS (Colombia): El párrafo 7 es muy largo y casi ya en la tercera parte del final hay una frase que sin duda refleja los hechos, pero que en el espíritu de concordia en que trabajamos y a la luz de la opinión que yo creo existe sobre lo que ocurrió aquí hace una semana podríamos tratar de mejorar esa frase. La frase dice "En votación por mayoría, el Consejo decidió que este tema no podía debatirse, ya que no figuraba en el Programa". Si suprimimos la primera parte de la frase o sea "en votación por mayoría" quedaría: "El Consejo decidió que este tema no debía debatirse ya que no figuraba en el Programa". Este es el hecho. Hubo votación, pero no creo que realmente sea conveniente decirlo para el Consejo ni para ninguno de sus miembros.

V. K. SIBAL (Chairman, Drafting Committee): As I mentioned earlier, the Drafting Committee spent a great deal of time on this particular paragraph as it was the concern of many differing viewpoints in the Drafting Committee as it was of many different viewpoints in the Plenary. It was after long


labours that this compromise, which we think reflects all concerns, was accepted by everybody. My recommendation would be that we leave it as it is because, if we reopen it, we are likely to spend an equal amount of time and I do not know what we will get from it.

LE PRESIDENT: Je crois que, sauf objection de votre part, nous pouvons retenir le paragraphe dans son ensemble car il est la synthèse du débat du Comité de rédaction.

Paragraphs 4 to 7, as amended, approved
Les paragraphes 4 à 7, ainsi amendés, sont approuvés
Los párrafos 4 a 7, asi enmedandos, son aprobados

PARAGRAPHS 8 to 13
PARAGRAPHES 8 à 13
PARRAFOS 8 a 13

Gonzalo BULA HOTOS (Colombia): Hemos prescindido de hacer referencia a malas traducciones al castellano para no complicarle la vida, Sr. Presidente y porque lo presentaremos a la Secretaría; sin embargo, en la segunda frase del párrafo 9 hay un término que conviene ajustar a la traducción inglesa que es la correcta. Dice "países destinatarios"; en español "países destinatarios" es "países beneficiarios", recipient countries en inglés.

LE PRESIDENT: En français, il y a "bénéficiaires". C'est donc un problème que l'on réglera.

Paragraphs 8 to 13 approved
Les paragraphes 8 à 13 sont approuvés
Los párrafos 8 a 13 son aprobados

Paragraphs 14 to 17 approved
Les paragraphes 14 à 17 sont approuvés
Los párrafos 14 a 17 son aprobados

PARAGRAPHS 18 to 22
PARAGRAPHES 18 à 22
PARRAFOS 18 a 22

Sra. Mónica DEREGIBUS (Argentina): A propósito del párrafo 19 la ùltima frase de ese párrafo dice "que el Consejo tomó nota de la información proporcionada por la delegación del principal país contribuyente respecto de las medidas que se están aplicando para recabar los fondos"; con posterioridad el Consejo escuchó la información que el Director General como jefe de la Secretaría proporcionó a este respecto, y esto me gustaría que fuera agregado en este párrafo y que dijera de esa manera "tomó nota de la información proporcionada por la delegación del principal país contribuyente y por la Secretaría".

LE PRESIDENT: Si j'ai bien compris, la déléguée de l'Argentine a demandé d'ajouter, à la septième ligne: "il a pris note des renseignements communiqués par les principaux bailleurs de fonds et par le Secrétariat".

Y-a-t-il des objections?

Giulio Cesare GARAGUSO (Italie): Je m'excuse. Je n'avais pas tout à fait saisi ce que la délégation de l'Argentine avait suggéré. Je trouve que, maintenant, la phrase n'est plus très logique.

Continue en anglais sans microphone:

LE PRESIDENT: Je ne comprends pas très bien l'intervention du délégué de l'Italie.


Giulio Cesare GARAGÜSO (Italie): Cela concerne seulement le pays et pas le Secrétariat. Je mettrais le Secrétariat après toute la phrase ou peut-être ailleurs.

LE PRESIDENT: En français, il n'y a pas de problème.

DEPUTY DIRECTOR-GENERAL: Perhaps I can read the whole sentence in English: It took note of information provided by the delegation of the main contributor country and by the Secretariat with regard to current action underway to restore sufficient funding to meet the obligations of that country to the regular budget of FAO.

Raphael RABE (Madagascar): C'était pour amender la première phrase du paragraphe 22 en disant: "Le Conseil a décidé que même si les difficultés financières...", donc on ajouterait le mot "même" et je continue la phrase telle quelle.

LE PRESIDENT: Je me tourne vers le Comité de rédaction, y-a-t-il une objection?...Il n'y en a pas, moyennant cette modification, le paragraphe 22 est approuvé.

Paragraphs 18 to 22. as amended, approved
Les paragraphes 18 a 22, ainsi amendés, sont approuvés
Los párrafos 18 a 22, así enmendados, son aprobados

Paragraphs 23 to 25 approved
Les paragraphes 23 à 25 sont approuvés
Los párrafos 23 a 25 son aprobados

PARAGRAPHS 26 to 30
PARAGRAPHES 26 à 30
PARRAFOS 26 a 30

Raphaël RABE (Madagascar): Sur le paragraphe 28, je voudrais que l'on modifie la dernière phrase et, au lieu de dire: "Elle a souligné que le Programme de travail et budget approuvé pour 1986-87 n'est pas exécuté dans son intégralité..." on dirait: "... ne pourrait même pas remédier aux ajustements de programme...". Cela reflète ce qui a été dit et nous avons, pour notre part, insisté sur ce point.

LE PRESIDENT: Pas d'observations sur cette remarque? Bien. Nous considérons que ce paragraphe est approuvé.

Joao Augusto de MEDICIS (Brazil): On paragraph 29: there is a point not reflected in the report. I would suggest the adding of some wording to that. Perhaps we could do that by ending the sentence with the phrase "agree to it", and delete the remainder of the sentence. I know that it would be a bit repetitive, but I think that it is a very important point that should be mentioned. The addition would be: "Some indebted developing countries, expressing concern as to the impact of the proposed budget increases on their impoverished economies, also postponed their positions on the proposal."

Antonio GAYOSO (United States of America): I did not understand the last phrase after "postpone". I wonder whether the delegate of Brazil would be kind enough to repeat.

Joao Augusto de MEDICIS (Brazil): "Some indebted developing countries, expressing concern as to the impact of the proposed budget increases on their impoverished economies, also postponed their position on the proposal." I suggest that could be added as an independent sentence at the end of the paragraph or after "agree to it." For me it is exactly the same.


LE PRESIDENT: Ce qui est proposé par le Brésil, c'est ou bien un additif ou bien se limiter à la rédaction suivante: "En ce qui concerne le niveau du budget proposé en dollars, certains membres ont indiqué qu'ils ne sont pas en mesure de l'approuver" et on supprimerait la portion de phrase: "...ou qu'ils réservent leur position jusqu'à la Conférence".

Peut-on supprimer: "ou qu'ils réservent leur position jusqu'à la Conférence"? Je pense que si vous êtes d'accord, on pourrait s'arrêter à: "en mesure de l'approuver".

Etes-vous d'accord?

Antonio GAYOSO (United States of Aserica): I think it would be a good idea to add it to what exists, and my delegation can go along with that. In other words, add this proposal to what exists in the Draft Report.

V. K. SIBAL (Chairman, Drafting Committee): I have not really followed the last portion of the Brazilian proposal. Could it be explained? The definition of the proposal is not clear to us.

Joao Augusto de MEDICIS (Brazil): This could be improved if any suggestion were to come from the Drafting Committee. The important thing for me is to have the concept included in this report, that some indebted developing countries expressed concern as to the impact of the proposed budget increases on their impoverished economies, and postpone a definition of the proposals in the budget. You could say "definition of the budget" if you prefer. That would be all right.

V. K. SIBAL (Chairman, Drafting Committee): I am afraid that "Postpone definition of the proposals" is not clear to us.

Joao Augusto de MEDICIS (Brazil): "Reserved their position on the budget".

LE PRESIDENT: Quelle est la position de notre Conseil?... Pas d'objection.

Le paragraphe 29 est approuvé, moyennant l'amendement du Brésil.

Paragraphs 26 to 30, as amended, approved
Les paragraphes 26 à 30, ainsi amendés, sont approuvés
Los párrafos 26 a 30, as
i enmendados, son aprobados

Paragraph 31 approved
Le paragraphe 31 est approuvé
El párrafo 31 es aprobado

Draft Report of Plenary, Part II, as amended, was adopted
Projet de rapport de la plénière, II partie, ainsi amendée, est adoptée
El proyecto de informe de la Plenaria, Parte II, as
i enmendado, es aprobado

DRAFT REPORT-PART III
PROJET DE RAPPORT-PARTIE III
PROYECTO DE INFORME-PARTE III

PARAGRAPHS 1 to 19
PARAGRAPHES 1 à 19
PARRAFOS 1 a 19

Raphaël RABE (Madagascar): Je voudrais seulement amender la première phrase du paragraphe 7 parce que ce n'est pas l'Afrique du Sud qui provoque des problèmes de déstabilisation, c'est le pouvoir en place. Je voudrais dire: "De nombreux membres ont évoqué la déstabilisation provoquée par la politique d'apartheid en Afrique du Sud".


LE PRESIDENT: Le paragraphe 7 est approuvé. Paragraphe 8?

Humberto CARRION M. (Nicaragua): Nuestra delegación como cualquier otra reconoce el derecho soberano de cualquier país de establecer reservas sobre cualquier tema que se discuta en cualquier foro de la FAO y reservas escritas que, como en este caso, en el párrafo 8 una reserva hecha por los Estados Unidos sobre lo que ellos consideran es el uso de alimentos como arma política. Consideramos, sin embargo, que el contenido de esa reserva desvía la atención sobre la interpretación correcta que se ha utilizado en otros años aquí en la FAO, sobre que significa la defensa del principio de que los alimentos no deben ser utilizados como arma política; es decir de un Gobierno contra otro Gobierno.

Si interpreté bien, los Estados Unidos argumentan su posición mencionando que los propios Gobiernos, es decir, desde el punto de vista nacional interno, los alimentos no deben ser utilizados como arma política y, por lo tanto, la reserva que hacen es.relacionada con el concepto que ellos consideran que es el uso de alimentos como arma política es basicamente de carácter interno, no internacional. Si esto es así, nosotros estamos en la obligación de incluir una reserva que rechaza este concepto. En todo caso, si no hay aclaración sobre este punto, me reservo el derecho de incluir una reserva donde la hacen los Estados Unidos de América.

Diría así: La Delegación de Nicaragua rechazó el contenido de la reserva de los Estados Unidos de América porque consideró que constituye una grave desviación de la interpretación correcta del principio que los alimentos no deben ser utilizados com arma política.

Por lo tanto, en el caso de que mi interpretación sea correcta de esa reserva, Nicaragua incluiría esta reserva, que la tengo escrita, y la pasaría a la Secretaría y confirmarse, si esta reserva la mantengo, en el caso de que no haya aclaración al respecto.

Antonio GAYOSO (United States of America): My delegation strongly supports the right of Nicaragua to add their own reservation.

Sra. Mónica DERIGIBUS (Argentina): Mi delegación también estima que la interpretación de los Estados Unidos se desvía en algo lo que siempre fue entendido en estos foros como la utilización de los alimentos como arma política; pero considera que en el caso de que cada delegación quiera presentar su propia interpretación en forma de reserva, estaríamos creando un precedente un poco peligroso para la labor de esta Organización.

Quería dejar sentado que estimamos que es una extensión indebida del concepto que se está incluyendo en el párrafo 8.

Leopoldo ARIZA HIDALGO (Cuba): Nosotros apoyamos en todas sus partes a Nicaragua en el rechazo a esta reserva. Queremos expresar también que el galimatías de la reserva de los Estados Unidos, que en definitiva no rechazan ni pueden rechazar, que son ellos los únicos que han utilizado la alimentación como arma política porque no es sólo en este foro donde se han quedado solos.

No van a crear ningún tipo de precedentes, como plantea la delegada de Argentina. El precedente no tiene otra cuestión que reafirmar que los únicos que se niegan a aceptar el principio de no utilizar los alimentos como arma política son ellos; eso no tiene ninguna otra interpretación en los 35 puntos que se aprobaron en los últimos años. Por lo tanto para nosotros aceptar la reserva técnica del Nicaragua es sencillamente dejar muy claro esta posición y Cuba quiere unirse a esta reserva de Nicaragua.

LE PRESIDENT: Nous n'allons pas trop nous étendre, je passe la parole au délégué des Etats-Unis et ensuite nous essaierons de dégager une conclusion.

Antonio GAYOSO (United States of America): I have two things to say. Firstly, I would like again to reaffirm the right of Nicaragua, which we support, to enter their own reservation. Secondly, I would like categorically to reject the unjust, unfair and unfounded accusations of the Republic of Cuba in this matter.


LE PRESIDENT: Nous allons ajouter la réserve du Nicaragua au rapport; voulez-vous donner votre rédaction?

Humberto CARRION M. (Nicaragua): Tengo preparado el texto y se lo puedo hacer llegar. Sin embargo, con serenidad, y escuchando la interpretación de los Estados Unidos, que tiene que defender a su Gobierno; pero lo que Cuba ha mencionado no es infundado. Nicaragua esta siendo agredida por los Estados Unidos por todos los medios. Este tipo de situación no es infundada, por tanto mantenemos nuestra reserva desde el punto de vista de nuestra delegación.

LE PRESIDENT: On ajoute ici la réserve du Nicaragua après la réserve des Etats-Unis. Nous avons beaucoup de travail, nous risquons de prolonger le débat, de chauffer l'atmosphère inutilement, j'adjure tous les délégués de bien vouloir nous faciliter la tache et nous permettre de terminer ce rapport. Il y a une réserve, je crois que le texte a été donné, nous allons le lire avant de passer à la suite de nos travaux.

EL SECRETARIO GENERAL: "Nicaragua rechazó el contenido de la reserva de los Estados Unidos de América por que consideró que constituye una grave desviación de la interpretación correcta del principio que los alimentos no deben ser utilizados en forma política".

LE PRESIDENT: Nous passons au paragraphe 10.

M. Afzal QADIR (Pakistan): I would like you to go back to paragraph 8. At the risk of seeming to delay the proceedings, I would like to suggest a drafting change. The second line of paragraph 8 reads, "in a climate of peace, respect, stability and international cooperation." I think that the word "respect" does not fit in here. Respect for what? I would like to suggest that we amend this line to read as follows, "...in a climate of peace, stability and respect for international cooperation", or something like that. I wonder if you have the point I am making.

LE PRESIDENT: Pourrait-on mettre "dans un climat de paix, de respect mutuel, de stabilité..."? D'accord.

Leopoldo ARIZA HIDALGO (Cuba): Solamente, Señor Presidente, para preguntarle, como le solicité si me ha incluido en el apoyo a la reserva del Nicaragua. Nada más que eso que me incluya en la reserva.

LE PRESIDENT: C'est d'accord.

Paragraphs 1 to 19, as amended, approved
Les paragraphes 1 à 19, ainsi amendés, sont approuvés
Los párrafos 1 a 19, asi enmendados, son aprobados

PARAGRAPHS 20 to 42 (continued)
PARAGRAPHES 20 à 42 (suite)
PARRAFOS 20 a 42 (continuación)

Les paragraphes 20 à 27 ont déjà été approuvés ce matin. Nous passons aux paragraphes 28-42.

George Henry MUSGROVE (Canada): We very much appreciate and approve paragraphs 28, 29 and 30 but would like to suggest an addition to the end of paragraph 30 which we would see as putting a comma after the word "Conference" and adding the words "including a resolution endorsing the Nairobi Forward-Looking Strategies".


LE PRESIDENT: Vous voudriez ajouter, à la fin du paragraphe 30: "... y compris une résolution approuvant les stratégies de Nairobi" sur la femme bien entendu.

V.R. SIBAL (Chairman, Drafting Committee): I thought I should bring to your notice that this matter was also discussed in detail in the Drafting Committee. We spent a considerable amount of time on it. The reason why such an addition was not made to paragraph 30 is because of the contents of paragraph 29 where there is a reference to the Nairobi Forward-Looking Strategies, and welcoming the efforts of the FAO to promote the integration of women in development through it. It was felt by the Drafting Committee that if the FAO is already making efforts to promote the integration of women in development through this Strategy, then perhaps there is no need to make a specific reference to it again in paragraph 30, but this is up to the Council to decide.

LE PRESIDENT: Cette réponse peut permettre de reconnaître que nous avons déjà parlé ici des Stratégies d'action de Nairobi parce qu'elles avaient été évoquées à l'article 29.

Mlle Faouzia BOUMAIZA (Algérie): Pour une fois que nous sommes entièrement et profondément d'accord avec la délégation du Canada, nous n'allons pas laisser passer cette occasion. J'appuie fortement la proposition de notre collègue du Canada.

LE PRESIDENT: IL y a donc deux délégués qui approuvent la suggestion du Canada. Y-a-t-il des objections?

José Ramón LOPEZ-PORTILLO ROMANO (México): No tenemos ninguna objeción con lo que se està aprobando. Sin embargo, en nuestros registros de este párrafo, creemos que se dejó fuera un concepto relativo a un programa de acción en ese sector que se iba a proponer efectivamente a la Conferencia.

Nosotros aquí habíamos registrado una redacción, pero quizás el Presidente del Comité de Redacción la haya también registrado y le pedimos, por tanto, a él que nos recuerde cuál fue el acuerdo al que llegamos en ese Comité en relación a este punto.

V.R. SIBAL (Chairman, Drafting Committee): I have my notes here on paragraph 30. The paragraph as originally drafted had a terminal sentence which stated that the Council noted that a proposal would be submitted to the 24th Session of the Conference for the formulation of a programme of action in this field. After discussion on the basis of the consensus reached, the sentence which replaced the sentence was, "The Council noted that proposals regarding women and development would be submitted to the 24th Session of the Conference." This is what my notes say. Obviously, the proposals will include what kind of action is going to be taken in this area.

LE PRESIDENT: Nous avons donc la proposition du Canada d'ajouter le membre de phrase: "y compris une résolution approuvant les Stratégies de Nairobi" cette proposition est appuyée par l'Algérie.

Est-ce que cette proposition est acceptée par le Conseil?

Y-a-t-il des personnes opposées à cette proposition?

José Ramón LOPEZ-PORTILLO ROMANO (Mèxico): No tenemos ninguna objeción. Simplemente, que se diga también "que presentará en la próxima Conferencia un Programa de Acción en ese sector".

George Henry MUSGROVE (Canada): I am grateful for the approval of the Council of our change. I should like to support the suggestion being put forward by the delegation of Mexico. I do recall some considerable discussion in our Plenary debate. Now it may not be the full views of the


Council, but there certainly was a number of delegations who did suggest an action plan. In some cases it was referred to as an action programme. It could well be the earlier in this paragraph, perhaps following the first sentence, that specific reference could be made to that proposal. I would support him in his intervention.

Joao Augusto de MEDICIS (Brazil): I just want to support what has been said by the delegate of Canada. There was a specific proposal put forward by the delegate of Venezuela here that was supported by all delegations. I think we could use the phrasing that has been mentioned by the Chairman of the Drafting Committee as abandoned afterwards. I cannot quite remember what you said. You know what I mean.

LE PRESIDENT: Ce thème avait été retenu à l'unanimité du Conseil. Il mérite un appui formel dans notre rédaction.

Nous avons la proposition du Canada à laquelle on pourrait ajouter la proposition du délégué du Mexique.

José Ramón LOPEZ-PORTILLO ROMANO (Mèxico): Si, quizas como lo propone Canada, después de la primera oración podría decir: "e instó al Director General a presentar en la próxima Conferencia un Programa de Acción en ese sector", o algo parecido.

LE PRESIDENT: Y-a-t-il une observation sur ce point?

DEPUTY DIRECTOR-GENERAL: If I could, I just want to clarify our understanding of the Council's decision on this matter, if it is taking a decision. I am worried about the question of the Director-General having to present a programme of action to the Conference. That is because I want to be clear about what we can do and what we cannot do in this short time running up to the Conference. There is on the agenda of the Conference an item which reads "Second Progress Report on WCAARD Programme of Action including the role of women in agricultural development." If it can be understood that as part of that document we shall be putting forward suggestions which could be incorporated ultimately into a programme of action, I think that would be, as far as we are concerned, fine. Otherwise, do we get into problems with the next Programme of Work and Budget? This is not in the Programme of Work and Budget? Is it something over and above? So I would like to reiterate the suggestion, therefore, that in our documents under this agenda item we would incorporate our suggestions for this Programme of Action. If that understanding is clear, then we have no logistic problems in meeting the request of the Council.

Antonio GAYOSO (United States of America): I appreciate the Deputy Director-General's explanation, and indeed it could well be that if that part of the WCAARD is pretty well beefed up with regard to women-it has not been very strong in the last six years or so-we can really make real emphasis on what lies ahead. If I recall correctly, during the discussions in the Drafting Committee-and sometimes to great hilarity-I have proposed something else which had to do with the presentation by FAO to the Conference of a plan of action regarding how FAO is going to stimulate more women to join the professional ranks in FAO. Perhaps there will be enough time by the time of the Conference to have at least a sketch of how this could be. Some people have been calling it an affirmative action plan, although I don't think I went that far in the Drafting Committee.

LE PRESIDENT: Je demanderai au Président du Comité de rédaction de synthétiser ces ajouts, compte tenu des observations du Directeur général adjoint et de la délégation des Etats-Unis.

V.K. SIBAL (Chairman, Drafting Committee): I would like to submit that this suggestion regarding a programme of action was considered in the Drafting Committee, but it was felt for the reasons which have now been comprehensively explained that this would be unnecessarily binding the hands of the


FAO, that we should leave the situation more flexible so that proposals on this subject could be submitted. Because if you call it a plan of action, then the expectations would be different, and it may not be possible to have that kind of a plan in such a short period. Therefore, after a lot of discussion and mutual consultations, this particular formulation that you have in the Draft Report was approved in that committee. Perhaps there is some advantage in leaving the matter flexible. If we, for example, have already studied and framed a programme of action which was debated and approved, then there would be very good logic in saying that we must put it up before the next Conference. But at the moment the situation is not so complete. You may like to consider whether you want an actual programme of action or you want to give more flexibility and say that proposals on this subject will be submitted at the next Conference.

George Henry MÜSGROVE (Canada): As I heard the Chairman of the Drafting Committee speak, I had the thought that when we appoint drafting committees in the future we must take due account of the number of women that we appoint to them. I think, in response to what he has said, that is the Director of the Drafting Committee, that the proposal put forward by Mexico urging a plan of action I think is flexible in the sense that we are not calling for, necessarily, presentation or approval but urging that something be prepared in that direction. But I wonder, and would agree, that it is a matter perhaps that could wait for a Conference decision, but that on reflection that the document show that Council is urging that progress be made in this direction.

DEPUTY DIRECTOR-GENERAL: If I could just make a comment on the statement by the distinguished delegate from the United States of America, I draw comfort from his suggestion that we are going to be able to recruit anybody in the next bienniurn.

LE PRESIDENT: La proposition du Canada est que, compte tenu des débats qui ont lieu ici, le Secrétariat prépare pour la prochaine Conférence un programme d'action qui sera accepté ou modifié par la Conférence, plus la résolution approuvant les Stratégies de Nairobi.

Est-ce qu'il y a une opposition à cette proposition?

Un programme d'action n'est pas forcément très fouillé, ce peut n'être que des orientations générales.

Nous retenons donc ce qu'a proposé la délégation du Canada, appuyé par l'Algérie et le Mexique.

Nous reprenons l'approbation des paragraphes.

Raphael RABE (Madagascar): Au lieu de dire dans le paragraphe 41: "La FAO a été priée..." j'aimerais que l'on dise: "Le Conseil a demandé à la FAO".

LE PRESIDENT: Je crois que nous pouvons approuver cette modification.

Paragraphs 20 to 42, as amended, approved
Les paragraphes 20 à 42, ainsi amendés, sont approuvés
Los párrafos 20 a 42, asi enmendados, son aprobados

Paragraphs 43 to 62. approved
Les paragraphes 43 a 62, sont approuvés
Los párrafos 43 a 62, son aprobados

PARAGRAPHS 63 and 69
PARAGRAPHES 63 et 69
PARRAFOS 63 y 69

Joâo Augusto de MEDICIS (Brazil): I would like to be added to the end of paragraph 64, and I read it: "It was recognized that the identification of policies and priorities is of exclusive competence of national governments and that no discussion on the Action Plan should be held without the


participation of concerned countries." I will repeat "It was recognized that the identification of policies and priorities was of exclusive competence of national governments, and that no discussions on the Action Plan Should be held without the participation of concerned countries".

LE PRESIDENT: Y-a-t-il une observation à cet ajout?

DEPUTY DIRECTOR-GENERAL: Just to clarify that and I hope I have understood correctly the intention of this amendment:-"It was recognized that the identification of national policies and priorities". Is that the intention, because there are inevitably discussions at global level, but I think the point is that there should be no discussion of national policies without the participation of the governments concerned.

LE PRESIDENT: Le Brésil propose d'ajouter à la fin du paragraphe, "On a reconnu que l'identification des politiques et priorités nationales relève de la compétence exclusive des gouvernements nationaux et qu'aucun débat sur le plan d'action ne saurait avoir lieu sans la participation des gouvernements intéressés. Le paragraphe 64 est approuvé avec cette réserve.

Gonzalo BULA HOYOS (Colombia): Sobre el párrafo 68 pensamos que no se refleja exactamente la opinión de los miembros que se citan en la ultima frase de este párrafo 68, y proponemos la siguiente adición: después de la ultima palabra del párrafo 68, o sea "mecanismo", "y que a tal efecto la Secretaría debería elaborar un estudio sobre posible viabilidad."

Hemos redactado esto de manera muy flexible para evitar que surgan discusiones, pero esto corresponde a lo que dijeron muchas delegaciones cuando discutimos este punto.

LE PRESIDENT: Si j'ai bien compris vous voudriez ajouter, à la fin du paragraphe 68, après le mot "mécanisme": "et qu'à cet effet le Secrétariat élabore une étude relative à la viabilité possible de ce mécanisme".

Y-a-t-il une observation sur cette proposition?

Gonzalo BULA HOYOS (Colombia): De "mecanismo", claro.

LE PRESIDENT: Y a-t-il une observation sur cette proposition?

Raphael RABE (Madagascar): J'appuie cette proposition faite par le délégué de la Colombie mais je préférerais quand même que cette phrase commence par "la majorité des membres" au lieu de "d'autres membres".

LE PRESIDENT: Nous sommes saisis de deux propositions. Je relis le dernier paragraphe: "la majorité des membres a jugé qu'il fallait continuer à étudier la proposition de création d'un nouveau mécanisme et qu'à cet effet, le Secrétariat élabore une étude relative à la viabilité possible dudit mécanisme.Pas d'objection? approuvé.

Paragraphs 63 to 69, as amended, approved
Les paragraphes 63 à 69, ainsi amendés, sont approuvés
Los párrafos 63 a 69, asi enmendados, son aprobados

Draft Report of Plenary, Part III, as amended, was adopted
Projet de rapport de la plénière. III partie, ainsi amendée, est adoptée
El proyecto de informe de la Plenaria, Parte III, asi enmendado, es aprobado


DRAFT REPORT PART IV
PROJET DE RAPPORT-PARTIE IV
PROYECTO DE INFORME-PARTE IV

Paragraphs 1 and 2 approved
Les paragraphes 1 et 2 sont approuvés
Los párrafos 1 y 2 son aprobados

Paragraph 3, including Resolution, adopted
Le paragraphe 3, y compris la rèsolution, est adopté
El párrafo 3, incluida la Resolución, es aprobado

Paragraphs 4 and 5 approved
Les paragraphes 4 et 5 sont approuvés
Los párrafos 4 y 5 son aprobados

Paragraphs 6 to 9 approved
Les paragraphes 6 à 9 sont approuvés
Los párrafos 6 a 9 son aprobados

PARAGRAPHS 10 TO 22
PARAGRAPHES 10 à 22
PARRAFOS 10 A 22

Gonzalo BULA HOYOS (Colombia): Al final del párrafo 17 proponemos que se agregue lo siguiente: "y reiteró su llamado a todos los Estados Miembros para que traten de seguir ese buen ejemplo".

En los párrafos 16 y 17 se hace un llamado sobre otros 'aspectos pero no sobre éste que consideramos importante y es el aplazamiento de la aplicación del superávit. Espero que esto no cause dificultades.

LE PRESIDENT: IL est proposé d'ajouter, à la fin du par. 17, la mention suivante: "Il a lancé à nouveau un appel à tous les Etats Membres afin qu'ils tâchent de suivre son exemple".

S'il n'y a pas d'objection, nous considérerons que le par. 17 est approuvé tel qu'amendé.

Par. 18: approuvé; par. 19: approuvé; par. 20: approuvé; par. 21: approuvé; par. 22: approuvé.

Paragraphs 10 to 22, as amended, approved
Les paragraphes 10 à 22, ainsi amendés, sont approuvés
Los párrafos 10 a 22, así enmendados, son aprobados

LE PRESIDENT: Par. 23: approuvé; par. 24: approuvé; par. 25.

PARAGRAPHS 23 to 26
PARAGRAPHES 23 à 26
PARRAFOS 23 a 26

Joao Augusto de MEDICIS (Brazil): I suggest that to add after the first sentence that ends "in the past" the following sentence:-For some of the members these measures would further penalize developing countries already facing serious economic difficulties, and would not solve the main source of FAO's financial problems". I will read it again sir. "For some of the members these measures will further penalize developing countries already facing serious economic difficulties, and would not solve the main source of FAO's financial problems".

LE PRESIDENT: Monsieur le President du Comité de redaction, quel est votre avis.?


V.K. SIBAL (Chairman. Drafting Committee): I think there should be no problem in accepting this, only I am slightly uneasy about the last part of this proposition-"would not solve the main source of FAO's financial problems". You do not solve a source. Maybe we could have another formulation which will reflect more clearly the concerns of the distinguished delegate from Brazil.

LE PRESIDENT: Voulez-vous lire la rédaction définitive s'il vous plaît?

V.R. SIBAL (Chairman, Drafting Committee): The first part will remain the same, and the last part will be: "and would not address the main cause of FAO's financial problems.

Paul R. BRYDEN (Australia): For the sake of clarity I think it might read better if we dropped the first ten words: "for some of the members", because there is a slight ambiguity as to whether those members are developing countries or whatever. I think another way of formulating it would be: "Some members felt that the measures would further penalize developing countries".

Joao Augusto de MEDICIS (Brazil): My sentence is not "for some of the Members" but "some of these Members", referring to the developing countries mentioned before.

LE PRESIDENT: C'est exact. Donc, la proposition finale est la suivante: "certains de ces Etats Membres pensent que ces mesures pénaliseront encore davantage les pays en voie de développement qui connaissent déjà de graves difficultés économiques et ne permettront pas de résoudre les principales causes de difficultés financières de la FAO".

Paragraphs 23 to 26, as amended, approved
Les paragraphes 23 à 26, ainsi amendés, sont approuvés
Los párrafos 23 a 26, asi enmendados, son aprobados

PARAGRAPHS 27 to 34
PARAGRAPHES 27 à 34
PARRAFOS 27 a 34

Par. 27: approuvé; par. 28: approuvé; par. 29: approuvé; par. 30: approuvé; par. 31: approuvé; par. 32: approuvé; par. 33: approuvé; par. 34.

Raphaël RABE (Madagascar): Je voudrais seulement ajouter à la fin de ce paragraphe la phrase suivante: "cette déclaration a été appuyée par plusieurs délégations".

LE PRESIDENT: Le Conseil veut-il ajouter, à la fin du par. 34, le libellé suivant: "cette déclaration a été appuyée par plusieurs délégations"?

Le par. 34 est donc approuvé tel qu'amendé.

Paragraphs 27 to 34, as amended, approved
Les paragraphes 27 à 34, ainsi amendés, sont approuvés
Los párrafos 27 a 34, asi enmendados, son aprobados

Paragraphs 35 to 37 approved
Les paragraphes 35 à 3/ sont approuvés
Los párrafos 35 a 37 son aprobados

PARAGRAPHS 38 to 51
PARAGRAPHES 38 à 51
PARRAFOS 38 a 51

Paragraphes 38, 39, 40, 41, 42, 43, 44, 45, 46, 47, 48 sont approuvés.


George Henry MÜSGROVE (Canada): Speed is a great virtue; it forces my mind to work far more quickly than it is accustomed to. May I make a comment on paragraph 49?

We have a slight problem here and perhaps the Council can correct me. I am not sure if I heard delegates oppose the need for an lacrease in the level of the Working Capital Fund. There may have been some but certainly our delegation-and I believe a number of others-suggested they were prepared to see an increase in the Working Capital Fund to a modest level of $20 million, but would do so in conjunction with requesting the Finance Committee to examine how that increase might be financed and further, to review the Financial Regulations which govern the use of the Working Capital Fund. I wonder if the Committee would indulge me by allowing me to include that thought in paragraph 49.

I propose a new sentence. I will not read the first one because it may reflect some people's views, but following that there could be a second sentence which would read:

"Other Members, while agreeing to a modest increase of the Working Capital Fund to US$20 million, suggested that the Finance Committee might further examine proposals for financing this increase to reduce impact on Member Nations assessments and further review the financial provisions governing access to the Working Capital Fund."

LE PRESIDENT: Il y a une proposition du délégué du Canada qui, à la fin de la première phrase qui se termine par "ont douté de la nécessité de tout accroissement du Fonds de roulement", voudrait ajouter ce qui suit: "D'autres membres, tout en souscrivant à une augmentation faible du Fonds de roulement pour le porter à 20 millions de dollars, ont proposé que le Comité financier examine des propositions visant à financer cette augmentation d'une façon qui convienne aux Etats Membres et révise également les règles régissant l'accès au Fonds de roulement".

Y a-t-il des observations au sujet de cet ajout?

V.K. SIBAL (Chairman, Drafting Committee): It is really a question as to whether a number of Members actually said this. We would like the Secretariat to advise us on this because if, apart from the delegation of Canada, some other countries have also said it we can put it and there will be no problem. Perhaps we could say, "Some other Members, while agreeing to a modest increase...".

James D-AITKEN (United Kingdom): I will come back later, Mr Chairman. My intervention relates to the use of the phrase "Council endorsed".

Rainer PRESTIEN (Germany, Federal Republic of): With regard to the proposal made by the delegation of Canada and the whole wording of paragraph 49, I recall some statements made by delegates who questioned whether it might be advisable to increase the Working Capital Fund in principle. I do not find that reflected in paragraph 49.

Paul R. BRYDEN (Australia): I associate myself with the remarks made by the delegation of the Federal Republic of Germany. I really do not see how this paragraph reflects the discussion when some Members were questioning and others were expressing reservations-and then we leap into an endorsement. I do not recall that the Committee really endorsed a proposal.

As for the suggestion of the delegate of Canada, I that is fairly helpful in terms of assessing the process of maturation of views on this. But I am a little concerned that we are somehow pushing or forcing the issue, which was not the case in the debate.

LE PRESIDENT: Il y a une question posée par le Président du Comité de rédaction: Si le verbatim de nos débats nous autorise à faire l'ajout proposé par le délégué du Canada.

Comme nous sommes en séance plénière, je voudrais savoir si le Conseil est d'accord avec ce que vient de proposer le délégué du Canada.


José Ramón LOPEZ-PORTILLO Romano (Mèxico): Para no tener necesidad de revisar los verbatims y en vista de que parece que una o dos delegaciones hablaron de esto, podríamos utilizar la expresión formulada por el Presidente y decir: otros miembros. A few other members. Lo digo en inglés por que es así como lo oigo.

En relación a la expresión de: El Consejo ratificó creo que es perfectamente vàlida, en vista de que a pesar de que se reconoció, algunos miembros lo pusieron en duda. Nadie se opuso a la ratificación.

LE PRESIDENT: Toujours sur le premier point proposé par le délégué du Canada, le délégué du Mexique propose de mettre, à la place de "D'autres membres", "quelques membres".

Y a-t-il des délégués qui veulent prendre la parole pour faire une proposition concrète?

A. Daniel WEYGANDT (United States of America): I am addressing the proposal just made by the delegate of Mexico. It is more of a drafting suggestion since in the English text the next sentence also begins with "A few". Maybe from a stylistic standpoint it is less desirable to have several sentences in a row starting with "A few". I revert to the suggestion of the Chairman of the Drafting Committee when he said "Some other Members." That is a better formulation. I may want to speak again later to make a more specific point, but that is my general point on this.

LE PRESIDENT: En vérité, nous avons une proposition du Canada améliorée par le Comité de rédaction en disant: "Certains autres membres...". Si le Conseil n'a pas d'objection, pouvons-nous considérer que cet ajout est approuvé?

Rainer PRESTIEN (Germany, Federal Republic of): My proposal is slightly different from that of the Canadian delegation. I know several delegations-including my own-expressed reservations against any adoption of any increase in the Working Capital Fund. This would be my proposal.

LE PRESIDENT: Ce sont deux idées différentes, nous terminons l'idée du Canada. La deuxième idée, c'est qu'il y a eu des délégués, dont celui de votre pays, qui ont émis des doutes sur la nécessité d'accroître le fonds de roulement. Sur ce point-là, c'est la deuxième partie. Je crois que l'article 49 commence par cette phrase qui dit: "Certains membres ont douté de la nécessité de tout accroissement du fonds de roulement". Pouvez-vous répondre, Monsieur le Président du Comité de rédaction?...Si vous permettez, cela a été dit en toutes lettres en début du paragraphe 49 et votre idée se trouve là. Nous passons la parole maintenant au Royaume-Uni et ensuite à Cuba.

James D. AITKEN (United Kingdom): We have difficulty with the phrase, "However after full discussion the Council endorsed the proposal...". Our position was quite clear. We did not simply question the need for this; we actually said we opposed it and at no point did we lift this opposition. We made our opposition clear in two places-first in the discussion on the budget and second in the discussion on Agenda Item 18. In fact, we would like to hear from some other delegations whether even the majority of the Council endorsed these proposals, because our understanding of the debate was that there was no clear indication of what the Council felt.

V.R. SIBAL (Chairman, Drafting Committee): The way this paragraph is drafted (and keeping in view the additional modifications which have been suggested in Plenary) indicates two different views were expressed on this particular subject. But the assessment of the Drafting Committee was that the view of the Council which emerged after a fully detailed discussion was that the proposal of the Finance Committee to increase the Working Capital Fund was endorsed. That is not to say that some countries had not objected to that increase, because the first three sentences are clearly pointing out that some countries took a different position. If that does not satisfy, possibly we could say "The Council generally endorsed."


LE PRESIDENT: La proposition du Comité de rédaction est de mettre: "Le Conseil dans sa majorité a approuvé...". Est-ce que cette formulation permet de rapporter fidèlement les délibérations du Conseil?

Raphael RABE (Madagascar): J'allais inverser la disposition de ce paragraphe en commençant par: "Le Conseil a approuvé la proposition..." et ensuite on mettrait la position de certains membres à la fin du paragraphe. Je crois que cela pourrait arranger les choses et lever certaines inquiétudes. Il faut plutôt rejoindre certaines positions qui ont été formulées par des délégations. Je propose donc que l'on cemmenee le paragraphe par: "Le Conseil a approuvé..." et ensuite on ferait figurer la position de "certains membres".

Leopoldo ARIZA HIDALGO (Cuba): Yo en primer lugar quiero apoyar la proposición que ha hecho la representación de Madagascar en el sentido de que tiene que comenzar ese párrafo como el ha planteado, porque creo que se puede invertir.

Lo que ha planteado Canadá es real y así se expresaron estos criterios; pero quiero alertar al Consejo sobre un comentario que acaba de hacer la delegación de Estados Unidos sobre el problema de estilo. No estamos haciendo una poesía y si en todos los párrafos hay que decir: muchos, pocos, algunos, es lo que hay que poner, ya que no estamos haciendo literatura sin sentido.

A. Daniel WEYGANDT (United States of America): I originally wanted to address the point made by the Chairman of the Drafting Committee, but I would like to address the subsequent two interventions.

Firstly, perhaps on a more lighthearted note, I would like to point out that the English language is a very rich language and there are a great number of words that can be used to describe this. As a Member of the Drafting Committee I would like to see a rather nice style to our reports. After all, we go to a lot of trouble to write them and they are printed up very nicely, and I think that we should try to retain a certain elegance to our prose. That is a somewhat more peripheral point.

I would like to pass on to the point made by the delegate of Madagascar and say that I do not support reversing the order of this paragraph. I think to do so would not accurately reflect the sentiments that lead up to the conclusion. I think it would put the cart before the horse to put the endorsement up front.

I would like to move on to the proposal made by the Chairman of the Drafting Committee, which I thought was very constructive, and simply add at this point that we did have a discussion of these difficulties in the Drafting Committee, and I did note that there were likely to be some difficulties on this text because of some ambiguities concerning whether or not the Council actually endorsed these proposals.

While I could live with what the Drafting Committee Chairman suggested in terms of generally endorsing these proposals, I think perhaps it would be a bit more accurate to say that the majority of the Council endorsed the proposal. I think that might more fully capture the sentiments expressed by some of the other speakers. I am sorry to take the floor as a member of the Drafting Committee, but I suggest that as a possible way out.

LE PRESIDENT: Si vous voulez, nous avons: "Le Conseil dans sa majorité a approuvé?", voilà ce qui est acquis; reste à voir si on inverse ou non et avant de conclure je passe la parole au délégué du Canada.

George Henry MUSGROVE (Canada): I agree with much of what has been said and for our part would be prepared to conceed that it certainly was the larger view of the Council that this particular proposal be entertained. I wonder if it would be useful to take a look at the formula that was used in paragraph 41. In essence, it is the Conference that would make the decision, hopefully one of consensus on this proposal. It may be a little much to suggest that the Council is endorsing it. What I think we are doing is broadly agreeing with the suggestion and are requesting the Finance Committee to continue preparing the appropriate documentation for the Conference.

Therefore, I wonder if we could combine paragraphs 49 and 50 and make one sentence which would look something like the formula used in paragraph 41.


LE PRESIDENT: Actuellement, ce qui est proposé par le délégué du Canada, c'est de fondre les paragraphes 49 et 50 en s'inspirant du paragraphe 41, c'est-à-dire en quelque sorte transmettre le problème à la Conférence en disant: "... appuyé l'adoption de cette proposition". Je pense quand même que nous pouvons être plus fermes dans nos engagements. Il est évident que la Conférence doit décider, mais en mettant les deux paragraphes ensemble, nous pourrions trouver un compromis entre votre idée de prendre la rédaction du paragraphe 49 et cet effort de la majorité, et d'autres délégués demandent qu'on mette cela au début de la rédaction. Monsieur le Président du Comité de rédaction, quelle est votre opinion?

V.K. SIBAL (Chairman, Drafting Committee): I would like to submit that it seems we are not really debating any substantial difference of opinion on this matter because the way the paragraph is drafted it is stated that there were differences of opinion. When we say, "The Council by a majority", it is the same thing really. I do not think that there are any substantive differences of approach in the alternative suggestions that are being considered. Therefore, the Drafting Committee suggested "The Council endorsed" because the Council was clearly saying that some countries did not accept this position. Having said that, there was no problem in saying, "The Council endorsed", because there was nothing that was not being revealed. From that point of view, since there are no substantive issues involved here, I therefore suggested, because of what was stated here, possibly you could say that "The Council generally endorsed", which leaves the position as it is. The delegate of the United States has said that this would be acceptable and if it is acceptable to others, perhaps you could live with it.

LE PRESIDENT: Y-a-t-il des objections à ce qu'on retienne, tout en laissant l'ordre tel qu'il est,: "Toutefois, au terme d'un débat approfondi, le conseil dans sa majorité a approuvé...?" Cela traduit assez fidèlement les différentes sensibilités du débat autour de ce point-là. Nous pourrions mettre "Le Conseil dans sa majorité" ou "en général".

Raphael RABE (Madagascar): Pour notre délégation, étant donné qu'il s'agit de la 91ème session du Conseil, nous pensons qu'il est tout à fait normal qu'on commence par: "Le Conseil". Ce n'est pas la 91ème session de "Certains membres".·Où indique donc la position du Conseil qui a tenu cette session et on respecte le point de vue de certains membres et nous aimerions donc que l'on inverse la disposition de ce paragraphe et qu'on commence par: "Le Conseil dans sa majorité", si on veut, qu'on n'insiste pas, mais qu'on commence par "Le Conseil".

Leopoldo ARIZA HIDALGO (Cuba): Yo quería hacer una pregunta al Presidente del Comité de Redacción. Nosotros sabemos que el orden de factores no altera el producto, pero en esta oportunidad sí que lo altera. Y entonces aquí si estoy en que se podían seguir las forma; es distinto el estilo. El Consejo determina, después se ponen las alternativas, yo quería saber en que se basó el Comité de Redacción para no comenzar este párrafo: "Con el Consejo en su mayoría ratificó..." después algunos miembros expresaron "reservas", que es la norma más general.

En estos borradores, creo que sí que hay una incidencia. No es lo mismo comenzar un párrafo dudando de la necesidad de una cosa que ratificando la situación planteada. Los que dudan, que son los menos. Creo que se está tratando de marearnos, y creo que debe analizarse con seriedad, analizar las cosas seriamente.

V.R. SIBAL (Chairman, Drafting Committee): The delegate from Cuba is a very experienced delegate and I do not know how to approach the subject he has raised, but since he has asked this question directly, I will say that to my mind there are no hard and fast formulae as to how to present each paragraph of the report. It is valid to sketch the background, give how the discussion went, and give the conclusion, as has been done in this case. When there is no conclusion, this will come straightaway, so I do not think that any injury or violence to the decision was done in presenting it like this. It is quite logical to say that a few delegates thought like that, but some thought differently, and the Council endorsed. Considering the fact that a lot of debate has taken place in the Drafting Committee and that there is no substantial issue involved, in deference to some suggestions from the floor, we could say "The Council generally endorsed."


LE PRESIDENT: Nous sommes devant une proposition concrète. Pouvons-nous dire qu'au "terme d'un débat approfondi le Conseil dans sa majorité a approuvé. Toutefois, quelques membres ont également exprimé des réserves.·· Certains autres membres..." et on ajoute la rédaction du Canada.

C'est presque académique mais nous disons tout ce qu'il y a à dire. Si cela peut donner plus de poids au Conseil, tous les éléments sont là, ceux qui ont fait des réserves, ceux qui proposent qu'on examine des propositions au Comité financier pour ne pas alourdir la discussion, chacun trouve ce qu'il a dit. Est-ce que ce schéma peut être approuvé?

À. Daniel WEYGANDT (United States of America): It seems to me that what we have here is an important formal point: to reflect what goes on in the Council's discussions. There is a discussion; the Council supposedly reaches a decision about it. Throughout this report we have followed the same format. I recall paragraph 40 where we have the same thing, where there is a discussion and the Council reaches its conclusion. This is a practice that we always follow in our draft reports. There may be some differences but it is simply logical to track the discussions in that way. I really do not understand what substantive difference it makes. My point is that we should stick with what works. I am speaking here as a member of the Drafting Committee to defend the product of the Committee's work. My point is a formal one but it is important.

Sra. Mercedes FERMIN GOMEZ (Venezuela): Yo, realmente, creo que el Comité de Redacción tiene una expresión clara, concreta y que dice lo que ocurrió, y que invirtiendo el orden de las oraciones no se le va a dar mayor fuerza a la oración, si no que se confirma. Al decir "ratificó", estamos diciendo lo mismo, sea comenzando la frase o sea diciéndola en el medio, y estoy de acuerdo con que se mantengan los dos párrafos separados, el 49 y el 50.

No me parece necesario separarlos porque entonces se le daría mayor debilidad al párrafo 50, que eso se mantuviera separado.

Tal como están los dos párrafos, estàn bien.

LE PRESIDENT: Je remercie le Venezuela. C'est exactement ce que je comptais dire, effectivement la liaison entre le paragraphe 49 et le paragraphe 50 implique le maintien de l'ordre actuel pour pouvoir aboutir au paragraphe 50, autrement il y aurait un hiatus entre les deux paragraphes. C'est une suite logique.

Je propose donc qu'on retienne cette rédaction telle quelle et en ajoutant: "Le Conseil dans sa majorité a approuvé".

Bien. Plus la proposition du Canada qui est approuvée. Paragraphe 50? Approuvé.

Rainer PRESTIEN (Germany, Federal Republic of): In my view the wording, "the majority of the Council endorsed" is much clearer than "the Council generally endorsed". Therefore, my proposal would be that we should use the words "the majority of the Council endorsed".

V.K. SIBAL (Chairman, Drafting Committee): Is this paragraph 49? Are we going back to paragraph 49?

Rainer PRESTIEN (Germany, Federal Republic of): Yes.

V.K. SIBAL (Chairman, Drafting Committee): If that is so, I would like to bring to the notice of this plenary meeting that we are talking of the Council. The Body which decides is the Council. It can decide by a majority; it can decide unanimously. Therefore, if we say "the majority decided", the majority is not a constitutional entity by itself. It should be "the Council by majority" and when we say "the Council generally" it is the same thing; it is a method of deciding. I do not think we should ignore the sentiments of the Council expressed on this issue.


LE PRESIDENT: Je propose qu'on maintienne: "Le Conseil dans sa majorité".

Leopoldo ARIZA HIDALGO (Cuba): Yo quiero insistir en el párrafo 49 para apoyar a la distinguida representación de la República Federal de Alemania porque tiene razón, porque como está en el medio del párrafo no sabemos cuándo es el Consejo, sería distinto si el Consejo estuviera identificado, pero como no lo han querido identificar, lo han puesto en el medio.

Tiene razón la República Federal de Alemania. Vamos a poner "la mayoría", no vamos a enmendar al Consejo; estamos de acuerdo con la República Federal de Alemania.

LE PRESIDENT: On pourrait dire: toutefois, au terme d'un débat approfondi, la majorité du Conseil a approuvé la proposition...

Paragraphs 38 to 51, as amended, approved
Les paragraphes 38 à 51, ainsi amendés, sont approuvés
Los párrafos 38 a 51, así enmendados, son aprobados

PARAGRAPHS 52 TO 54 INCLUDING DRAFT RESOLUTION
PARAGRAPHES 52 A 54 Y COMPRIS LE PROJET DE RESOLUTION
PARRAFOS 52 A 54 INCLUIDO EL PROYECTO DE RESOLUCION

Nous passons maintenant aux paragraphes 51 et 52 qui sont approuvés.

Gonzalo BULA HOYOS (Colombia): La primera frase del párrafo 53 ni la segunda reflejan exactamente lo que dijimos aquí varios miembros del Consejo. Proponemos dejar la primera frase como está, empezar la segunda frase diciendo en vez de "otros miembros", "esos mismos miembros observaron.··" y luego cuando se llega al final de esa segunda frase, donde dice "...reparto equitativo de la carga", agregar lo siguiente: "... y pidieron que la FAO transmitiera estas observaciones al Comité de Cuotas de las Naciones Unidas y que el Comité de Finanzas se volviera a ocupar de este asunto en su próxima reunión."

Esto lo dijimos muchos miembros del Consejo y pensamos, y así se completa la idea de que lo expresamos con mucha claridad y firmeza.

LE PRESIDENT: Nous sommes en présence d'une proposition concrète de la Colombie à savoir qu'à la ligne 3 du paragraphe 53 on remplace le terme "un autre membre" par "ce même membre" et après le terme "équitable" (une répartition équitable des charges), on ajoute la mention suivante: "Il a demandé que la FAO transmette cette observation au Comité des contributions des Nations Unies et que le Comité financier examine à nouveau cette question à sa prochaine session".

Y-a-t-il des observations sur cette proposition?

Gonzalo BULA HOYOS (Colombia): Después de las palabras "... reparto equitativo de la carga", se agrega lo siguiente: "... y pidieron que la FAO transmitiera estas observaciones al Comité de Cuotas de las Naciones Unidas y que el Comité de Finanzas se volviera a ocupar de este asunto en su próxima reunión."

José Ignacio JIJON FREILE (Ecuador): El párrafo 53, para que refleje lo que se dijo en esta sala con respecto a este punto, debe tener las observaciones que acaba de hacer el Embajador de Colombia. De esa forma, reflejaría exactamente lo que mi delegación, junto a la de otros países latinoamericanos, expresaron sobre el particular. En tal virtud, apoyamos la propuesta hecha por el Sr. Embajador Bula Hoyos.

José Ramón LOPEZ-PORTILLO ROMANO (México): Es para aclarar una cuestión que ocurrió en el Comité de Redacción cuando este asunto se trató.


Quizás, en la redacción parezca efectivamente que la intención de los que expresaron la primera formulación y la segunda es, a final de cuentas, la misma. Sin embargo, el origen de las declaraciones a las que hace referencia es distinto. Por eso, es que en la segunda oración se hace exclusivamente mención de lo de una delegación y sale con otras intenciones y otros propósitos diferentes al respecto. Y, por tanto, las dos oraciones empiezan con encabezados diferentes porque, vuelvo a repetir, aunque la ambigüedad da lugar a confusión, la verdad es que el origen de las declaraciones motiva dos inserciones distintas.

No me opongo a la inclusión de la ultima oración propuesta por Colombia, pero sí a que se mantengan los encabezados de las dos oraciones como están.

A. Daniel WEYGANDT (United States of America): I would just like to support what has been said by the distinguished delegate of Mexico. He has made my point for me very ably. I would like to go on and actually propose an amendment to what was suggested by Colombia which might take these two different points, keep them distinct and yet reflect what the Ambassador of Colombia would like to have. That is simply to put the amendment he was proposing for the end of the second sentence at the end of the first sentence and leave the second sentence unchanged. As the delegate from Mexico has pointed out, this was a separate statement with a different logic behind it.

LE PRESIDENT: Actuellement nous sommes en prèsence d'une proposition de la Colombie qui a èretenue par les délégués du Mexique, des Etats-Unis d'Amérique et de l'Equateur.

La parole est au délégué de la Suisse.

Igor MARINCEK (Suisse): Pour ma part j'ai une difficulté à comprendre tout le paragraphe avec la modification proposée par la Colombie. La majorité du Conseil, c'est-à-dire le Conseil en tant que tel, accepte que le Comité de contributions des Nations Unies était l'organisme le plus qualifié pour évaluer la capacité financière des Etats Membres et qu'il fallait pour l'instant laisser le barème des contributions tel qu'il était. Je ne vois pas comment une minorité devrait charger la FAO d'une activité qui n'est pas soutenue par la majorité. J'ai une difficulté de compréhension.

Sra. Mercedes FERMIN GOMEZ (Venezuela): Tengo que referirme a la ultima intervención porque me deja totalmente confundida.

Si nosotros tenemos una frase tan clara como ésta que dice: "otro miembro observó que esta escala no tenía debidamente en cuenta un reparto equitativo de la carga.", refiriéndose a un hecho cierto que ocurrió en la discusión, ¿por qué vanos a tener objeción en que se diga que, agregándolo a la primera frase como alguien sugiere, "algunos miembros formularon reservas etc y pidieron que la FAO transmitiera estas observaciones al Comité de Cuotas etc" como lo ha propuesto Colombia?

No están decidiendo, están solicitando, y en estas organizaciones todos los Estados tienen el mismo derecho de solicitar. Por consiguiente, yo voy a apoyar la modificación de Colombia, poniéndolo al final de la primera frase.

Gonzalo BULA HOYOS (Colombia): Señor Presidente, las aclaraciones de México y de Estados Unidos, quienes participaron en el Comité de Redacción, y la reciente intervención de la distinguida Embajadora de Venezuela, creo que facilitan la solución y sólo quiero referirme a las observaciones del distinguido colega y amigo de Suiza. Pero, antes, quiero decir que es perfectamente aceptable para nosotros, como dijo la Embajadora de Venezuela, que después del final de la primera frase "... Estados Miembros.", se agregue la adición que habíamos propuesto y que la actual segunda frase que empieza "Otro miembro..." quede tal como está.

Sólo quiero observarle al colega de Suiza que, inclusive esta propuesta nuestra es fundamental porque estamos aceptando que en el párrafo 54 el Consejo recomiende.

Solamente, como dijo Venezuela, tratamos de que se refleje lo que dijimos y estamos haciendo una solicitud que la solicitamos, veremos qué sucede.


LE PRESIDENT: La délégation de Colombie accepte que l'on mette après la première phrase: "certains membres ont demandé que la FAO transmette des informations au Comité de contribution des Nations Unies et que le Comité financier se penche de nouveau sur cette question à sa prochaine session". Ensuite, il y aurait la deuxième phrase: "un autre membre a fait observer que ce barème..."

Si tout le monde est d'accord, nous pouvons aller de l'avant.

Nous approuvons donc le paragraphe 53.

Le paragraphe 54 comporte un projet de résolution sur le barème de contributions 1988/89.

Paragraphs 52 and 53, as amended, approved.
Les paragraphes 52 et 53, ainsi amendés, sont approuvés
Los párrafos 52 y 53, asi enmendados, son aprobados

Paragraph 54, including draft resolution, approved
Le paragraphe 54, y compris le projet de rèsolution, est approuvé
El párrafo 54, incluido el proyecto de resolución, es aprobado

PARAGRAPHS 55 TO 61
PARAGRAPHES 55 A 61
PARRAFOS 55 A 61

Paragraphs 55 to 59 approved
Les paragraphes 55 à 59 sont approuvés
Los párrafos 55 a 59 son aprobados

Bashir El Mabrouk SAID (Libya) (original language Arabic): In the third sentence of para 60, which starts: "On the other hand, other delegations expressed the view that no amendment to the Rules were necessary", and this correctly reflects the discussions in the Council, but I do believe, Sir, that in this third sentence which says "other delegations expressed the view that no amendment to the Rules were necessary", Mr Chairman the discussions which took place here showed that the majority of delegations took part in the discussion and not just a few, so I suggest that we say: "The majority of delegations expressed the view that no amendment to the Rules were necessary". That in fact what was said at the actual meeting.

LE PRESIDENT: Nous avons la proposition de la Libye: "La majorité des délégations a exprimé l'avis".

A. Daniel WEYGANDT (United States of America): I would like to draw to the Council's attention that in fact paragraph 61, which we have not got to yet, makes the point that no consensus could be reached on this point. I think, recalling the debate, there was an intervention made in fact by my delegation, in which I took the floor to say it seemed that there was significant opposition to the Rule change proposal at this time and it seemed only wise to go ahead on a consensus basis. I say this because I really feel we did not have a complete situation in which every delegation expressed its view on this, and frankly, if my recollection of the debate-I do not have a tally on how many delegations spoke on either side of this, but I think it was a fairly close division. In fact I think, frankly, in my own view the majority of delegates spoke perhaps in favour of changing the Rules. It may be I am wrong about that, but certainly I feel that since the discussion goes on to say that there was no consensus on this, I think we can leave it in this balanced phraseology that some delegations spoke in favour and other delegations felt otherwise. I think that remains the flavour of the discussion.

LE PRESIDENT: Il y a une possibilité de dire "de nombreuses délégations" ou "plusieurs délégations", et le plus important est le paragraphe 61. On pourrait mettre "plusieurs délégations", nous laissons cela aux soins du Comité de rédaction.

Paragraphe 61? approuvé.

Paragraphs 55 to 61, as amended, approved
Les paragraphes 55 à 61, ainsi amendés, sont approuvés
Los párrafos 55 a 61, asi enmendados, son aprobados


Paragraphs 62 to 72 approved
Les paragraphes 62 à 72 sont approuvés
Los párrafos 62 ¿ 72 son aprobados

PARAGRAPHS 73 TO 77
PARAGRAPHES 73 A 77
PARRAFOS 73 A 77

Bashir El Mabrouk SAID (Libya) (original language Arabic): In the first sentence of paragraph 73 it says, "The Council expressed its appreciation of the work accomplished... in an atmosphere of excellent cooperation among members and frank discussion with the Secretariat", this cooperation prevailed also between members and the Secretariat. So I would like to ask the Drafting Committee to draft something along these lines in Arabic. It is not included in the Arabic text.

LE PRESIDENT: Il y a une erreur de traduction puisque dans le texte français on parle d'un "dialogue ouvert et franc" avec le Secrétariat.

Paragraphe 73? approuvé.
Paragraphe 74? approuvé.
Paragraphe 75? approuvé.
Paragraphe 76? approuvé.
Paragraphe 77? approuvé. Là pourrait intervenir un 77 bis tel que rédigé à la suite des débats de tout à l'heure avec l'accord du Comité de rédaction.

Ronald MACKINTOSH (Canada): You are moving so efficiently that I have been moving back and forth myself through the report. There was something bothering me, some topic that was missing that we had indeed discussed and that the Finance Committee had discussed. That is the question of field representation of organizations in the UN system, structure and coordination, or something to that effect. I feel that as certainly my delegation and I believe the UK delegation registered some views on this question, that there should be a sub-section entitled, as it is used in the Finance Committee document, field representation of organizations in the UN system. This is of course in reference to the JIU report on the issue. I would propose that we have that subtitle and that we have another paragraph which I suppose could be paragraph 77-it does not really matter where it goes-which says, perhaps-I will read it through quickly and then if there is interest I can read it slowly.

"The Council noted the response of the Finance Committee to observations by the JIU concerning the steady and gradual increase in FAO representations at country level. Some members expressed concern at the cost of these representations relative to the programmes they delivered." I propose a new sub-section that is field representation of organizations in the UN system. Paragraph 55 or whatever. "The Council noted the response of the Finance Committee to observations by the JIU concerning the steady and gradual increase in FAO representations at country level. Some members expressed concern at the cost of these representations relative to the programmes they delivered."

V. K. SIBAL (Chairman, Drafting Committee): This issue was not raised in the Drafting Committee and was not discussed.

Gonzalo BULA HOYOS (Colombia): Recuerdo que sí unas pocas delegaciones plantearon el tema, pero sí aceptamos esa propuesta convendría, y en esto naturalmente necesitamos el apoyo de la Secretaría, que se reflejara lo que otras delegaciones dijimos al respecto, particularmente en cuanto al hecho de que los representantes de los países no sólo se ocupan de la parte operativa, sino que tienen otras funciones; esto el Sr. Shah y el Sr. Walton me lo explicaron muy bien a mí cuando intervine al respecto.

Sra Mercedes FERMIN GOMEZ (Venezuela): Yo no entiendo realmente el sentido de esta queja, porque esto aparece como una queja por lo que se gasta por algunos países. Si esta Organización tiene que atender como se lo ordena el mandato de las Naciones Unidas, a desarrollar los problemas que


confrontan los países del Tercer Mundo y los países en desarrollo, y estos países aumentan cada vez porque en las ultimas reuniones hemos tenido nuevos miembros en cada uno de los Consejos ¿cómo podemos extrañarnos de que aumenten las comisiones y los comités que se van a ocupar de los trabajos en el terreno? Los trabajos en el terreno tienen que ser atendidos in situ y no se ha inventado todavía ni la computadora ni la televisión que puedan hacerlo por control remoto; esos son trabajos que deben hacerse allí con individuos que van a medir allí, y trabajar en los suelos, en las plantas, en las pestes, ¿cómo podríamos controlar las pestes de Africa desde aquí, en Roma, o desde una comisión que se ubique en cualquier nación de Europa?

En la medida en que se presenten los problemas y se asuman países en condiciones de atraso como miembro permanente de esta Organización, en esa medida aumentan las necesidades de crear comisiones y comités de trabajo in situ que se ocupen de esos problemas.

Yo no me sorprendo, pues, y naturalmente como yo vengo de un país atrasado o subdesarrollado entiendo ese problema; puede que los grandes países superdesarrollados no tengan esos problemas y no lo puedan ver pero eso es cuestión de óptica nada mes, pero las necesidades están allí y la justicia de atenderles también esté allí presente.

Joao Augusto de MEDICIS (Brazil): I will be very brief. I could accept what has been proposed by the delegate of Canada if we balance it with some other language. First, I remember only two members speaking on this problem, and a great number of other members, including some Latin American, African, Asian and other developing country members, emphasized the important role played by those local missions. So I could be prepared to accept changing "some members" to "a few members" in that sentence and having a sentence to the sense that a great number of other members emphasized the important role played by the local missions.

DEPUTY DIRECTOR-GENERAL: I would just like to clarify the question as I understand it. The proposal by the distinguished representative of Canada, referring, I think, to the Council's reaction to the JIU report entitled Field Representations of Organizations of the United Nations System, Structure and Coordination. We have been looking very hastily through the verbatim records and combing our own memories, and subject to correction, the only specific reference we can find to the JIU report was a formal request to the Secretariat to confirm that the six criteria, if I remember the number correctly, in the JIU report proposed for the opening of field offices were being followed by FAO. There was a statement from the podium by Mr Shah formally confirming that those criteria were being applied. There were other comments in general, of course, on field representation in connection with the Summary Programme of Work and Budget. But on the JIU report, that is the only specific question which I can personally remember at this stage.

V. K. SIBAL (Chairman, Drafting Committee): I just want to add that this particular JIU report was considered as a part of the report of the 52nd Session of the Programme Committee which figures in paragraph 77 of the Draft Report where it is stated that the Council reported the Committee's conclusions with regard to the report on field representation of organizations in the United Nations system. This was the conclusion of the Council on that report, so this separate suggestion regarding putting it in the current situation is not in accord with the action position.

Gonzalo BULA HOYOS (Colombia): Yo creo que ya los distinguidos colegas embajadores de Venezuela y Brasil explicaron muy bien la situación, al igual que el Presidente del Comité de Redacción, pero si el colega de Canadà insiste en incluir esa referencia a nombre de unas pocas delegaciones yo he preparado ya un texto que reflejaría la opinión de la mayoría de las delegaciones, porque recuerdo que se apoyó la opinión del Comité de Finanzas en el sentido de que en el informe del DCI se hizo demasiado énfasis en la parte operativa que atienden los representantes de los países, quienes no sólo atienden esa parte operativa sino otras muchas, como el Sr. Shah explicó a una pregunta mía. Yo tengo un texto que podíamos considerar.

Ronald MACKINTOSH (Canada): I am certainly in favour of balance, and naturally when I proposed language it was to be certain that our side of the argument was reflected. I am aware that in the course of these past two weeks a great number of delegations have complimented the work of the regional and country offices. My memory may be failing me, but I can hardly remember any delegations saying that they rejected specifically the JIU report. The UK delegation was the delegation to whom


the Deputy Director-General referred, I believe, in the six questions, but I am quite sure of one thing in my memory and that is that I supported him later on in the debate. Perhaps the verbatim has not been issued yet. I also expressed some concern at the observations. Again, if I return to my original point, I am in favour of balance, and if someone can tell me that they recall that they in fact objected to the JIU report, then balance would certainly be in order.

LE PRESIDENT: Je crois qu'il est nécessaire de conserver un équilibre. Personnellement, j'ai entendu beaucoup de délégations-la majorité-se féliciter des Représentants de la FAO.

Si le délégué du Canada insiste pour inclure son observation, il faut l'équilibrer par l'opinion des autres Etats Membres que nous avons entendus au cours du débat. C'est mon opinion.

Par conséquent, si le délégué du Canada insiste, il faut que la rédaction de ce libellé soit équilibrée.

Gonzalo BULA HOTOS (Colombia): Sí Sr. Presidente, quisiera aclararle al colega de Canadá que nosotros no objetamos el informe de la DCI, sino que cuando tratamos este tema solicitamos aclaración acerca del sentido de la opinión del Comité de Finanzas y el Sr. Shah me repondió muy favorablemente y con la venia de la Secretaría, naturalmente, solicitando su apoyo quiero presentar la siguiente redacción: "la mayoría de las delegaciones apoyaron la opinión del Comité de Finanzas en el sentido de que en el informe de la DCI se había hecho demasiado énfasis en la parte operativa que atendían los representantes en los países, quienes además se ocupaban de muchos otros asuntos".

Si el Sr. Shah confirma que el sentido de mi adición es correcto la repetiría lentamente.

V. K. SHAH (Director, Office of Programme, Budget and Evaluation): The distinguished Ambassador of Colombia recalls very correctly the question he put to me about the reaction of the Finance Committee to this report, and the reaction of the Finance Committee to this report, as given in its own report to the Council CL 91/6, was that the Committee recognized, felt, that there was an overemphasis given to operational activities when the JIU assessed the role, the functions, the contributions of country offices, and the Finance Committee felt that this was not a balanced way of looking at this matter. That is precisely what is reflected in the Finance Committee Report, and that is precisely what I tried and I believe I clarified in reponse to the question that was put to me in the debate.

LE PRESIDENT: Il y a la proposition du Canada qui est équilibrée par un ajout du délégué de la Colombie: la majorité des délégations appuie l'opinion de ce Comité financier, à savoir que, dans le rapport du CCI, on avait trop insisté sur la partie opérationnelle dont sont chargés les Représentants dans les pays et qui s'occupent en outre, de beaucoup d'autres responsabilités.

James D. AITKEN (United Kingdom): Thank you Mr Chairman. Perhaps I can help here as we were one of the delegations which spoke on this issue. The point of our intervention was to stress my country's support for the JIU report, and I think this is quite possible to contain within both the Canadian presentation and accepting the comments made by the distinguished delegate of Colombia.

The second sentence of the Canadian amendments reads at present: "Some members expressed concern at the costs of these representations". Can I suggest a slight modification which is simply: "Some members endorsed the report of Joint Inspection Unit and expressed concern". I think this would satisfy everyone.

Bashir El Mabrouk SAID (Libya) (original language Arabic): You mention the necessity for having a balance between the points of view expressed in this meeting. My delegation does not agree that we mention "some delegates" because only two delegations referred to this point, and the majority supported the point of view of the Programme Committee, nor can we say "the majority of delegations".


LE PRESIDENT: Nous sommes saisis de la proposition d'un paragraphe équilibré dans lequel nous reprendrions la proposition du Canada, mais amendée. Au lieu de "certaines délégations", il y aurait "un petit nombre de délégations". Et l'on ajouterait le para. proposé par le délégué de la Colombie. L'ensemble se lirait donc comme suit: "Le Conseil a noté la réponse du Comité financier aux observations du CCI relative à l'augmentation progressive et ininterrompue des représentations de la FAO dans les pays. Un petit nombre de délégations se sont déclarées préoccupées du coût de ces Représentations, eu égard aux activités qu'elles réalisent. Toutefois, la majorité des délégations a appuyé l'opinion du Comité financier, à savoir, que dans le rapport du CCI, on avait trop insisté sur la partie opérationnelle dont sont chargés les Représentants dans les pays qui s'occupent par ailleurs d'autres responsabilités."

Si ce schéma est correct, on pourrait demander au Président du Comité de rédaction de préparer la rédaction définitive de ce paragraphe.

Y a-t-il des délégués qui sont opposés à cette formulation?

A. Daniel WEYGANDT (United States of America): Actually it is really more of a question but also an indication of support. It seems as though the proposal just made by the representative of the United Kingdom has not got included in that language, and I was wondering whether that was intentional or not, and if appropriate I would like to support the inclusion of that language to give a full treatment to this. With the balance that is now being put in there, I think we can go ahead and include this.

LE PRESIDENT: "Un petit nombre de délégués ont appuyé le rapport du CCI et se sont déclarés...".

Sra. Mercedes FERMIN GOMEZ (Venezuela): Yo observo que esta proposición de Canadá e incluso el tema en general de esta discusión con relación a un informe del DCI está realmente fuera de lugar porque si nosotros observamos el tema general, el inicial que venimos discutiendo, Comité de Finanzas y llegamos a esta escala de cuotas, de repente comenzamos a hablar de un informe del DCI que pertenece a otro documento, al siguiente y, por consiguiente, no sería pertinente, porque el DCI es un organismo que se ocupa de una inspección, de cómo funcionan las cosas, no es propiamente una cuestión de finanzas, sino que sería más propio dejar esto para cuando corresponda al informe del DCI en vez de incluirlo aquí en este párrafo. Es una observación para quienes manejen esto mejor que yo, porque a mí me suena que esto no es un tema de finanzas, que es algo que pertenece a otra materia y que rompería con la unidad de este documento que estamos discutiendo.

V. K. SIBAL (Chairman, Drafting Committee): Mr Chairman, in respect of what the distinguished Ambassador of Venezuela has said, I had already brought it to your attention that paragraph 77 deals with this particular subject where the endorsement of the Council has already been laid down, but that is a discussion of the Programme Committee, and what is being brought in is a discussion of the Finance Committee on this, and I had already stated that we need to achieve consistency between the two to approach it because the Council there is endorsing completely the JIU report.

LE PRESIDENT: Si j'ai bien compris, le Président du Comité de rédaction, est-ce que ce paragraphe 77 pourrait figurer dans le rapport du Comité financier?

V. K. SIBAL (Chairman, Drafting Committee): The para 77 is on the Programme Committee which considered this subject where the subject naturally belongs. It seems that some references were made to it in the discussions on the report of the Finance Committee.

Paragraphs 73 to 77 approved
Les paragraphes 73 à 77 sont approuvés
Los párrafos 73 a 77 son aprobados
.

PARAGRAPHS 78 to 81
PARAGRAPHES 78 à 81
PARRAFOS 78 a 81


Gonzalo BULA HOTOS (Colombia): Vamos a infringir un poco nuestra manera de proceder para reconocer que lo que vamos a proponer no lo dijimos porque estábamos al final de una larga sesión, pero esperamos que no sea controvertido y corresponda a lo usual en el Consejo.

En relación con los Miembros del Comitèdel Programa de Finanzas que entran y salen. Sr. Presidente, particularmente en este caso podría ser difícil referirse a unos y otros porque, por ejemplo, el Embajador Tshicaya, del Congo, que no estuvo en la reunión anterior del Comité del Programa, seguramente estará en el próximo; yo le deseo que está en otras muchas reuniones del Comitè del Programa; pero pienso en otras personas, y particularmente, en la Sra. Fenvick, de los Estados Unidos, y permítame que lo diga excepcionalmente, que figura en el párrafo 79; pero dentro de la austeridad de nuestro informe propongo simplemente lo siguiente: que en el párrafo 80 se diga: "El Consejo tomó nota de los sustitutos y agradeció sus servicios a los miembros salientes". Es lo mínimo que pudiéramos decir.

Espero que esto no sea controvertido, y quiero aprovechar para hacer otra propuesta. Los cuatro REP los recibimos esta mañana, los hemos terminado ahora con la salvedad de algunos párrafos.

LE PRESIDENT: Pour ce qui est du premier point, "Le Conseil a pris note de la présence des suppléants et remercie les Membres sortant de leur précieuse contribution", je crois que nous ne pouvons que nous féliciter de cette suggestion.

Paragraphs 78 to 81, as amended, approved
Les paragraphes 78 à 81, ainsi amendés,Tont approuvés
Los párrafos 78 a 81, así enmendados, son aprobados

Paragraph 82, approved
Le paragraphe 82, est approuvé
El párrafo 82, es aprobado

Draft report of Plenary. Part IV, as amended, was adopted
Projet de rapport de la plènière. IV partie, ainsi amendée, est adoptée
EL proyecto de informe de la Plenaria. Parte IV, asi enmendado, es aprobado

DRAFT REPORT PART V
PROJET DE RAPPORT-PARTIE V
PROYECTO DE INFORME-PARTE V

Paragraphe 1? approuvé Paragraphe 2? approuvé Paragraphe 3?...

Gonzalo BULA HOYOS (Colombia): En la ultima frase del párrafo 3 hay una afirmación demasiado pasiva y que dice solamente: "Se observó"; por lo menos debemos decir: "se observó con satisfacción que el Africa subsahariana recibiría...".

Esto lo dijimos muchas delegaciones.

LE PRESIDENT: Y a-t-il une objection à accepter la suggestion du délégué de la Colombie?... Elle est approuvée.

Paragraphe 4? approuvé.

Paragraphe 5? approuvé.

Paragraphe 6?...

Gonzalo BULA HOYOS (Colombia): Al final de la segunda frase del párrafo 6 que termina: "Cooperación Sur-Sur," Varias delegaciones dijimos algo que es importante que se refleje. Agregar y "aumentar la eficacia del Programa". Porque no sólo contribuyen a la cooperación Sur-Sur, sino que hemos dicho que al disponerse de.alimentos situados en las propias regiones, la eficacia del Programa se incrementa.

LE PRESIDENT: Est-ce que nous pourrions avoir votre proposition de rédaction?


Gonzalo BULA HOYOS (Colombia): Señor Presidente, termina cooperación Sur-Sur y se agrega lo siguiente: "y aumenta la eficacia del Programa".

LE PRESIDENT: Voilà une suggestion claire, la Colombie suggère qu'après les termes "coopération sud-sud" on ajoute "et accroissent l'efficacité du programme".

Nous pouvons considérer que la proposition du délégué de la Colombie est retenue et que le paragraphe 6 ainsi amendé est approuvé.

Paragraphe 7? approuvé. Paragraphe 8? approuvé. Paragraphe 9?...

Gonzalo BULA HOYOS (Colombia): Dijimos algo, Sr. Presidente, de las contribuciones a la RAIE y desearíamos que se reflejase aquí, ya que pensamos que no es controvertido.

Al final del párrafo 9 se diría: y expresó su agradecimiento a todos los donantes, particularmente a los tres países en desarrollo que contribuyeron a la RAIE; particularmente a estos países en desarrollo, ya que para los países en desarrollo es mucho más difícil hacer contribuciones. Esto lo dijimos aquí.

LE PRESIDENT: Ce qui est proposé par la Colombie, c'est d'ajouter à la fin du paragraphe 9 après "donateurs" les termes suivants: "et à exprimer sa reconnaissance à tous les pays donateurs et, en particulier, aux trois pays en développement qui ont contribué à la réserve alimentaire internationale d'urgence".

Approuvé.

Paragraphe 10? approuvé.
Paragraphe 11? approuvé.
Paragraphe 12? approuvé.
Paragraphe 13?...

Gonzalo BULA HOYOS (Colombia): Vacilamos mucho, Sr. Presidente, cuando vamos a referirnos a asuntos relacionados con el PMA, porque admiramos mucho la eficacia de ese organismo. Sin embargo tenemos la impresión de que el párrafo 13 refleja unilateralmente las respuesta del Director Ejecutivo y no hace referencia a las observaciones que planteamos y que dieron lugar a esa respuesta. Por lo tanto propongo lo siguiente, repito que ojalá que no sea controvertido.

Se encabezaría así: "al haber observado algunas delegaciones una posible distribución geográfica desequilbrada del personal del PMA, y sobre todo la parte correspondiente de los países en desarrollo en puestos de alto nivel...", luego sigue la explicación.

Espero que esto no ofrezca dificultades.

LE PRESIDENT: Est-ce que vous voulez avoir l'amabilité de relire votre proposition pour que nous puissions la noter dans la suite de nos débats?

Gonzalo BULA HOYOS (Colombia): Estoy leyendo muy rápidamente Sr. Presidente, porque su tiempo es precioso.

Diría simplemente: "Al haber observado algunas delegaciones una posible distribución geográfica desequilibrada del personal del PMA, y sobre todo la parte correspondiente de los países en desarrollo en puestos de alto nivel...". Lo demás sigue igual.

LE PRESIDENT: Je vais vous lire ce qui est suggéré par la Colombie: "Certaines délégations ayant observé l'éventualité d'un déséquilibre dans la représentativité géographique du personnel du PAM, et surtout dans la part revenant aux pays en développement dans les postes à haut niveau, il a été relevé que la proportion...". Devons-nous retenir cette suggestion?


Α. Daniel WEYGANDT (United States of America): It may well be that my difficulty is simply a result of not having exactly gotten the text. It is still fairly unclear to me in detail. Basically I would like to appeal to our very distinguished friend from Colombia to leave this point. I do not think it is a particularly significant alteration. We went over this in the Drafting Committee to some extent and since this is really with reference to other organizations, we would do better to leave the text as it is.

Gonzalo BULA HOYOS (Colombia): Quiero observarle respetuosamente al Sr. colega Weygandt, de Estados Unidos, con todo respeto, por lo que hayan hecho en el Comité de Redacción que aquí estamos tratando de reflejar lo que dijimos en los debates, y esto lo dijimos muchas delegaciones y lo hemos presentado de una forma muy flexible, que no es controvertida y que, ademàs, da sentido al párrafo 13, porque en la forma actual el párrafo 13 aparece dando explicaciones sin saber por qué se originaron esas explicaciones.

La redacción que propuse no es controvertida, ha sido demasiado suave, fue mas enérgica la declaración que hicimos nosotos.

V.K. SIBAL (Chairman, Drafting Committee): I want to say that here also we do not seem to be discussing a point of substance. What the delegate of Colombia is trying to say is that the position was stated in response to a query, and he is giving only the query. Therefore, we are not adding anything or deducting anything from that paragraph. He is saying that when delegations thought that there was an imbalance, that was noted. It was given as a factual position that it is not so. Therefore, perhaps the Colombian proposal could be accepted because it is not altering anything in the draft, only amplifying the reasons why the statement was made.

LE PRESIDENT: En réalité, la rédaction commençant le paragraphe 13 proposée par la Colombie ne change pas grand chose à la conclusion définitive de ce paragraphe.

A. Daniel WEYGANDT (United States of America): I am certainly satisfied in part. I think his point is well taken. I do not think there is really an issue of substance here. As previously noted, my concern is that I am really not clear as to what the Colombian delegate is proposing. I take his point that we are moving into a document that we have not had a chance to review.

May I propose what I take to be the substance, at least for the English text. Perhaps the paragraph could begin, "In response to concerns expressed by some members", and then continue. Perhaps that is a bit more briefly worded, if it captures the same sense.

LE PRESIDENT: Je pense que la proposition des Etats-Unis est un compromis raisonnable. Je pense que la Colombie pourrait l'accepter parce qu'il y a effectivement des préoccupations qui ont été exprimées par quelques membres.

Gonzalo BULA HOYOS (Colombia): Sí, Sr. Presidente, no sólo acepto, sino que quiero ser todavía mas flexible y sobre todo evitar cualquier intención errada respecto a críticas al Programa. Podríamos decir inclusive una posible distribución geográfica desequilibrada con la redacción del colega de los Estados Unidos.

LE PRESIDENT: Je crois que maintenant la question est éclaircie et que nous pouvons approuver le paragraphe 13.

Georges EGAL (France): Vous m'excuserez de revenir en arrière, il me semble qu'un terme ambigu a échappé à la vigilance des censeurs. Au paragraphe 11, lorsque l'on parle d'organisation cela veut-il dire Programme alimentaire mondial ou l'OAA?


LE PRESIDENT: Il s'agit du PAM.

Joao Augusto de MEDICIS (Brazil): There is a point that is not reflected in the report, a point raised by the delegate of India and supported by my delegation concerning the linkage between the structural adjustment programme and the food aid programme. I supported the proposal by the Chairman of the Drafting Committee and I leave it to him to suggest the wording for that and why it should be included.

V.K. SIBAL (Chairman, Drafting Committee): The delegate of Brazil is absolutely right. This point was made by India and supported by Brazil, and if you give us a little time it may be possible to include it.

John SLISTRUP (Denmark): I have no objection to what was said, but it was not on the agenda. We were discussing the reports on the World Food Programme and its performance for 1986. Structural adjustment and food aid was discussed only at the last CFA this year. I do not object that India referred to the matter and that Brazil was supporting what India said, but it was not on our agenda and, therefore, other delegations did not have the opportunity to respond to it.

V.R. SIBAL (Chairman, Drafting Committee): As the representative of India, I would like to clarify the position. There was a reference in the report under discussion in this Council to certain cooperative arrangements being considered between the World Bank and the World Food Programme regarding the linkage of food aid with structural and sector adjustments. There was also a reference to a seminar at Abdijan where the same subject was discussed. It was in that context that we are referring in the agenda paper to what we have said, that we had serious reservations about this linkage and Brazil accepted that point.

Sra. Mercedes FERMIN GOMEZ (Venezuela): Yo quisiera hacer notar, y me excuso por la impertinencia de maestra, que estamos conduciéndonos con estas discusiones como sí esta fuera un acta de una sesión, y esto no es un acta, esto es el trabajo de un Comité de Redacción que esté preparando solamente aquellos asuntos que pertenecen a la agenda y que son pertinentes a la agenda, pero no la que cualquiera se le ocurra hacer cualquier alusión a esto, a aquello, no tiene que venir a un Comité de Redacción, no es una minuta. Entonces, algunas de estas intervenciones a mí me da la impresión que tienen el espíritu de recoger todo lo que se dijo en el acta.

Esto no es la función del Comité de Redacción.

LE PRESIDENT: C'est exact. Il y a deux délégués qui ont parlé de ce problème, qui ont parlé de l'intervention éventuelle du PAM dans les programmes d'ajustement économique à propos du séminaire entre le PAM et la Banque mondiale qui a eu lieu en septembre à Abidjan. Cela n'a pas fait l'objet d'un large débat. Le Conseil ne s'est pas prononcé pour ou contre. Il n'y a pas eu de décision. Je pense que l'on pourrait s'en tenir à ce qui est inscrit au verbatim et retenir ce qui a été proposé par le Comité de rédaction. Les paragraphes 14 et 15 sont approuvés.

Paragraphs 1 to 15, as amended, approved
Les paragraphes 1 è 15, ainsi amendés, sont approuvés
Los párrafos 1 a 15, así emmendados, son aprobados

PARAGRAPHS 16 ΤΟ 20 INCLUDING DRAFT RESOLUTION
PARAGRAPHES 16 A 20 Y COMPRIS LE PROJET DE RESOLUTION
PARRAFOS 16 A 20 INCLUIDO EL PROYECTO DE RESOLUCION

LE PRESIDENT: Nous passons au paragraphe 16 qui est approuvé, le paragraphe 17 est approuvé.


Hidiyat GANDA ATMAJA (Indonesia): After the last sentence in paragraph 18, I would like to propose additional wording. After the words "cash resources", add "particularly from those developing countries whose economy depended entirely on export of agricultural products."

LE PRESIDENT: Il s'agirait d'ajouter à la fin du paragraphe 18: "...et particulièrement dans les pays en développement dont l'économie dépend entièrement de l'exportation des produits agricoles."

Le paragraphe 18 ainsi amendé est approuvé.

Gonzalo BULA HOYOS (Colombia): Sr. Presidente, con mi promesa de que ésta es la ultima intervención. Al final del párrafo 19 consideramos oportuno agregar lo que dijimos varias delegaciones en el CPA y también aquí. Lamento que Pakistan no esté presente porque fue el primero que planteó este asunto.

Al final del párrafo 19 deberíamos decir: "algunas delegaciones reiteraron la opinión de que, no obstante, apoyaron el objetivo propuesto. Consideraban que ese objetivo podría ser más alto y que la eficacia y capacidad del PMA garantizaban el buen uso de una mayor cantidad de recursos". Espero que esto no sea controvertido, esté atribuido a algunas delegaciones y lo dijimos reiteradamente en la Sala Verde y también en la Sala Roja.

LE PRESIDENT: La Colombie a proposé d'ajouter à la fin du paragraphe 19; "quelques délégations ont réitéré l'avis, du fait, que nonobstant l'appui donné à cet objectif, ils considèrent que cet objectif pourrait être plus élevé et que L'efficacité et les possibilités du PAM garantissaient le bon usage d'une plus grande quantité de ressources."

L'article 19 ainsi amendé est approuvé.

Paragraphs 16 to 19 approved
Les paragraphes 16 à 19 sont approuvés
Los párrafos 16 a 19 son aprobados

Nous passons au paragraphe 20 qui contient une première résolution sur l'objectif de contribution au PAM pour 1989/90 et un projet de résolution soumis à la Conférence sur l'objectif de contribution au PAM pour 1989/90.

Ce paragraphe est approuvé.

Paragraph 20 including Resolution adopted
Le paragraphe 20 y compris la rèsolution est adopté
El párrafo 20 incluida la Resolución es aprobado

PARAGRAPHS 21 TO 23
PARAGRAPHES 21 A 23
PARRAFOS 21 A 23

Nous passons au paragraphe 21 qui est le point 14 de l'ordre du jour: Préparation de la 24ème session de la Conférence de la FAO et organisation de la session et calendrier provisoire.

Ce paragraphe est approuvé.

Nous passons au paragraphe 22.

Sra. Monica DEREGIBUS (Argentina): Mi delegación quisiera hacer, con relación a este parágrafo, una observación de forma y una de fondo.

Con relación a la primera de ellas, quisiéramos que se rectificara la traducción al español que se ha hecho del título del tema que se propone para la agenda de la Conferencia. En el lugar que dice "... objetivos de la FAO" o sea el párrafo, el tema dice: "Posible conveniencia de examinar determinados aspectos de los objetivos y actividades de la FAO,...", en lugar de la palabra "objetivos", nos gustaría ver la palabra "metas", que es una traducción más adecuada de la palabra "goals", que figura en el texto inglés.


En lo que respecta a la segunda de las frases incluidas en el título, lamentablemente ml delegación no se siente del todo cómoda con la manera en que está formulado el concepto. Nosotros preferiríamos ver otra formulación. No tenemos una unica formulación para ofrecer a la sala y quisiéramos ver la posibilidad de acordar una formulación común que pudiera acomodar todos los puntos de vista.

Por consiguiente, a partir de la coma que está a continuación de la palabra FAO, nosotros diríamos: "...incluida la posibilidad de reformar el proceso de preparación del presupuesto por programas", o en lugar de ello, diríamos: "...inclusive el relativo a la revisión del proceso de preparación..." y sigue hasta el final como estaba.

Creemos que la palabra "necesidad" incluida en esta frase, de alguna manera prejuzga con relación efectivamente a. la necesidad, de modo que, tal vez, esta inquietud pueda ser atendida por el resto de las delegaciones. Estamos realmente haciendo un esfuerzo para ofrecer estas formulaciones y nos gustaría conocer la opinión del resto de las delegaciones en este Comité.

LE PRESIDENT: Nous avons deux possibilités d'amendement. La première est rédigée comme suit: "y compris la possibilité de réformer la procédure du budget et Programme". La deuxième possibilité: "y compris la révision de la procédure du budget et programme."

Voilà donc deux suggestions. J'aimerais avoir vos réactions-

George Henry MUSGROVE (Canada): Our delegation is aware that paragraph 22 is the product of the Contact Group process derived out of some considerable discussion of this issue in the plenary. Therefore, we would hesitate to propose any changes although there are a good many we would like to make. Perhaps we could, without commenting on the merits of the suggestion by the delegate of Argentina, suggest to her that she might withhold proposing changes to this paragraph.

I asked for the floor for clarification of the third sentence. This states, "It was further understood that the member countries would submit their views to the Secretariat...". I wonder if a time element could be given to us by the Secretariat and whether members would agree to include a time element in this Conference, ninety days or at some stage. Could we have some clarification of that?

LE PRESIDENT: Je crois que nous pourrions scinder le débat en commençant par le point soulevé par la déléguée de l'Argentine. Ensuite, nous passerions à d'autres questions. Autrement, il y aura interférence entre les questions.

La déléguée de l'Argentine a suggéré de remplacer "nécessaire par "éventualité" ou "possibilité".

Quelle est la réaction des délégués à cette suggestion?

Joao Angusto de MEDICIS (Brazil): I would like to support what has been said by the delegate of Argentina. I understand that this wording was the result of lengthy negotiations, but on the other hand it does not reflect what was said here in the Council. It was clear that the decision on the "need" would be for the Conference to take and not for the Council. We are pre-judging the fact that there is a "need" for reform. We have not had a decision on that.

The other point is that, as has been raised by the delegate from Canada, this is extremely difficult for developing countries. This phrase is very negative from the point of view of developing countries because we have a number of studies which have already been prepared by the developed countries that are ready to be submitted and should be used as the basis for the preparation of the paper from the Secretariat. The developing countries have had no time to prepare any papers, and will not have time. We.do not have the same means as they to have papers prepared which could be used as the basis for the preparation of a paper from the Secretariat. I think the words "Which would form the basis for the preparation of a paper" should be dropped altogether.

V. K. SIBAL (Chairman, Drafting Committee): This is the result of the efforts of the Contact Group to find wording which is wide and flexible enough to meet all the concerns expressed in the meetings of this Council. It is what we think strikes a balance between all the concerns expressed. It is possible, but allow me to say something on the points raised by Argentina. What is being suggested


here is the consideration of a review of certain aspects. The aspects have still not been decided; they will be determined by an appropriate body, perhaps by the Conference. The review is to be considered, which means that a review is to be held. What kind of review should be held? Should it be held at all? These are all issues that will come up.

The need for reform in the Programme of Work and Budget is another thing which has to be looked at. Is it needed? Is it not needed? To what extent is it needed? All these issues exist. Personally I do not think-and this is also the view of the Contact Group-that any issues are being pre-judged. A door is being opened. If some countries think that there is not enough time, they can say so to the Secretariat. This is another door which is open. It is quite open to the country to say that they need more time. That is also something which the Secretariat will have to keep in mind. We are not shutting out any viewpoints, and whatever viewpoints are put forward will have to be taken into account. A paper will be submitted to the Conference, which is the Governing Body.

We have tried to strike a balance and if you try to change that balance you will have a very long debate on your hands.

LE PRESIDENT: Nous venons d'entendre le Président du Comité de rédaction qui suggère de conserver le consensus obtenu par le Comité de rédaction à la suite du travail effectué par le groupe de contact.

Il y a une liste très importante de délégués qui veulent prendre la parole. Nous allons nous concentrer sur ce point précis de l'intitulé qui va être adopté pour l'analyse des réformes éventuelles de la FAO.

J'aimerais qu'on se limite à cette question.

Edgar FONSECA (Nicaragua): Mi delegación esté completamente de acuerdo con eliminar esa palabra "necesidad" y cambiarla por cualquiera de una de las dos enmiendas propuestas por la distinguida delegación de Argentina. Creemos que esta palabra "necesidad" comporta una imposición o una obligación a la Conferencia. Si tuviéramos que inclinarnos por una de las dos enmiendas preferiríamos la primera, la palabra "posibilidad" en vez de "necesidad".

Temel ISKIT (Turkey): In fact, Mr Chairman, I had asked for the floor before you called upon the distinguished Chairman of the Drafting Committee. He has explained what I wanted to say in a much better style. I would like to underline that this formulation has been arrived at as a compromise with a view to opening the door to all the views expressed on the subject at the plenary, The point of not ρre-judging the Conference was raised many times. We thought that the word "consideration" at the beginning of the sentence took care of this concern. If the Conference considers anything, it does not pre-judge it. It may decide this way or another way. Therefore, the word "need" will be considered. The word "consideration" introduces the concept of "possibility" as suggested by the distinguished delegate of Argentina. For our part, we do not see the difference between "possibility" and "need", but I insist that "need" was part of the compromise.

LE PRESIDENT: Il s'agit de l'examen éventuel de certains aspects des buts et des opérations, y compris la nécessité de réformes. On peut l'adopter ou ne pas l'adopter, bien sûr.

Leopoldo ARIZA HIDALGO (Cuba): Nosotros estamos conscientes de que éste es un párrafo, diríamos, de compromiso y que realmente fue producto de un Grupo de Contacto. Nosotros podríamos aceptarlo en todas sus partes, pero queremos traer algunas cuestiones.

Las decisiones las toma el Consejo; el Grupo de Contacto es un grupo que el Consejo crea por su prerrogativa y tiene que venir a informar al Consejo; luego no podemos estar de acuerdo con lo que el Grupo de Contacto plantea, no estamos obligados a aceptar totalmente lo que el Grupo de Contacto plantea porque si fuera así no tendríamos que reunimos aquí. Esto hay que dejarlo bien claro.

Nuestra comprensión no puede llegar a aceptar el párrafo porque es del Grupo de Contacto y es una practica que le va a quitar al Consejo sus prerrogativas y este Grupo de Contacto surgió porque el Consejo lo aprobó. La decisión la tiene que tomar este Consejo y no el Grupo de contacto ya que el Grupo de Contacto terminó.


Nosotros queremos expresar que la distinguida representación de la India, presidente del Comité de Redacción, a nuestro entender le ha dado la respuesta a la delegada de Argentina en forma positiva. Como dice la representación de la India, como no se tiene respuesta precisa, pues si no hay respuesta precisa debe decirse "posibilidad" y no "necesidad" que es una situación ya obligante porque las necesidades son obligantes, la posibilidad es otra cosa.

Quiero recordar también que se ha planteado de inicio que este compromiso no se ha querido dividir aquí un párrafo en función de mayoría o minoría pero, sin embargo, no creo que sea mayoría los que piensen que la FAO necesita reformas, creo que quedó muy claro en varias inervenciones que a la FAO se le estaba obligando a ciertas reformas, lo dijimos unas cuantas delegaciones, por imperativo financiero o porque el primer contribuyente necesita llevarse algo para que su Congreso pueda aprobar no sé qué, no nos lo ha dicho todavía claro, no tenemos clara la situación. Todo puede llevarnos a hacer concesiones, pero creo que en términos de redacción justos la palabra "necesidad de reformas" no cabe en FAO y sí la "posibilidad" o la "alternativa". Reformar el proceso de preparación y si, como dice la representación de Turquía, que también habló muy claro y muy preciso, una cosa no quita la otra, la soberana va a ser la Conferencia, entonces podemos poner "posibilidad" y la soberana sigue siendo la Conferencia la que va a definir, "¿por qué vamos a obligarle a la soberana, a la Conferencia, e imponerle una necesidad?

La propuesta de la delegada de Argentina debe atenderse, por lo menos debe analizarse, y nosotros quisiéramos que se analizara no en forma de trinchera de qué dijimos allí ayer o no dijimos y si el Comité tiene facultades o no, es analizar sencillamente; las demás partes del párrafo que se nos presenta pueden ser aceptables, lo unico que creo que hemos ganado bastante con que sean dos o una palabra las que haya que cambiar. Somos unos cuantos con experiencia para buscar una palabra sustitutiva.

LE PRESIDENT: Si j'ai bien compris la déléguée de l'Argentine, il s'agit de l'examen éventuel de certains aspects des buts et opérations de la FAO, y compris la réforme ou révision de la procédure du budget et du programme.

Ce que la déléguée de l'Argentine propose, c'est de conserver "éventualité" et "nécessité", y compris la révision de la procédure budget. C'est bien cela? veuillez expliquer votre pensée.

Sra. Mónica DEREGIBUS (Argentina): Sr. Presidente, voy aftrepetir la sugerencia para que los delegados se den cuenta de que no hay realmente una diferencia tan enorme con lo que aquí todos estamos diciendo que estamos entendiendo y la formulación que yo propongo.

La formulación que propongo diría a partir de la coma después de FAO: "hay dos opciones": la primera es incluir la posibilidad de reformar el proceso de preparación"; allí la unica palabra que cambia es "necesidad". La segunda formulación dice: "inclusive el relativo", relativo se refiere al aspecto que está en el renglón anterior, "inclusive el relativo a la revisión del proceso de preparación del presupuesto por Programas."

Sra. Mercedes FERMIN GOMEZ (Venezuela): Vamos a ser muy escuetos porque yo creo que es una discusión de lo que llaman los poetas una tempestad en un vaso de agua.

Es tan clara la redacción de Argentina y tan precisos sus términos que no hay oportunidad de confundirlos. No hay duda de que no estamos ante una necesidad, y ya la proposición creo que fue de Arabia Saudita que la llevó al Grupo de Contacto; hablaba de la posibilidad, nunca de necesidad; por consiguiente, vamos a dar nuestro apoyo a la proposición hecha por la delegada de Argentina para modificar primero la palabra "metas" en vez de "objetivos", luego "posibilidad" en lugar de "necesidad" y así nos parece que quedaría ajustado a los términos correctos.

En segundo lugar, vamos a apoyar el criterio sustentado por la delegación de Cuba en cuanto a la característica y naturaleza del Grupo de Contacto, y, en consecuencia, a la validez de sus trabajos hasta un momento determinado, que ya feneció. Ahora queda sólo al Consejo tomar una decisión puesto que es el órgano que puede hacerlo y no está supeditado a ningún otro que haya sido creado por él mi smo·

LE PRESIDENT: J'aimerais que, dans toute la mesure possible, nous essayions de nous prononcer sur la proposition de la déléguée de l'Argentine qui est, au fond, l'élément clé du débat de cet après-midi.


Waliur RAHMAN (Bangladesh): I would first of all thank the distinguished delegate of Argentina for the clarification that she has just provided. Like you, Mr Chairman, we all have some confusion about exactly what the amendment was that was suggested on the text of paragraph 22. The text of paragraph 22 in Rep. 5 is perhaps some of the most important text that the Council is examining before adoption. We have seen the division and the sharp range of arguments that the members with preoccupations forwarded relating to the issue that is contained in the text of paragraph 22. We have listened very carefully to the clarification which has been given by the distinguished Chairman of the Drafting Committee, a clarification with which my delegation entirely agrees. It is a text which has been hammered out by the contact group after long minutes and hours. And I say after long minutes and hours because in an initial stage my delegation was involved in some contacts and negotiations to work out a possible compromise. I sincerely express my very, very deep appreciation and thanks to the members of the contact group which was mandated by the Council. It is true that the Council is the final authority. There is no denying, no questioning that fact. But we mandated the contact group, and the members of the contact group through long labours have produced this text. I think you should make an appeal, and I make the appeal through you, Mr Chairman, to the distinguished members of the Council to adopt this text, as the Chairman of the Drafting Committee has very well suggested that if you open this text for amendment and consideration, then we are going to, I am afraid, open the Pandora's box. While I say this, I tend to agree with certain views and particularly that of the distinguished delegate of Argentina when she mentioned about the pregnancy of the word "need" in this particular context. As far as my delegation is concerned, we have no difficulty in accepting the amendment, but for the sake of the unity and the cohesiveness of the debate of the Council, Mr Chairman, I will appeal to you that without any further delay on this item we should adopt it in the light of the clarification which has so aptly been given by the Chairman of the Drafting Committee.

LE PRESIDENT: Le Conseil accepte-t-il la proposition de la déléguée de l'Argentine relative aux termes "y compris l'aspect relatif à la révision de la procédure du programme et budget"?

Cela pourrait constituer une base de compromis. Cela veut dire que la révision sera analysée par la Conférence. Cette formulation peut-elle nous permettre d'aboutir à un accord sur ce point précis?

J'aimerais avoir le point de vue des délégués.

Ismael DIAZ TUBERO (España): Yo creo Sr. Presidente, que quizes por la hora nos estamos complicando un poco y no acabamos de ver bien el tema. Entre la palabra "necesidad" y "posibilidad", evidentemente hay grandes diferencias, pero lo que ocurre es que esto no es nada más que un calificativo de examinarlo. Es decir lo que hay que hacer es examinar, y así lo dice el texto: examinar las posibilidades o examinar la necesidad, y en cualquiera de los dos casos para mí no hay diferencias. Es cierto que me gusta más "posibilidad" y que estoy también de acuerdo con el representante de Cuba en que el Grupo de Contacto a todo los efectos depende de este Consejo. Pero también tenemos que tener en cuenta que han hecho un gran esfuerzo y que seguramente les ha costado mucho trabajo llegar a un acuerdo. Efectivamente hay muchas cosas que a todos nos gustaría cambiar, a muchos nos gustaría cambiar algunos matices, algunas pequeñas palabras, pero en ese caso lo que estaríamos creando en este momento sería el grupo de descontacto y creo que eso tampoco es bueno.

Por otra parte, en lo que se refiere a la otra propuesta de Argentina con respecto a la palabra "objetivo", me parece perfectamente castellana y creo que es mucho màs castellana que "metas" mucho mas española que "metas". En todo caso podría aceptar fines, pero como ve usted Sr. Presidente podemos discutir muchas cosas y podemos estar hoy y seguramente mañana también discutiendo y en este momento estamos empezando a crear el grupo de descontacto al que hacía anteriormente referencia.

En consecuencia, Sr. Presidente, yo quiero suscribir total y absolutamente lo que ha dicho el Presidente del Comité de Redacción, aceptarlo como està y no llegar a perfeccionismos que seguramente no nos van a llevar nada mes que a emplear muchas horas.

LE PRESIDENT: Nous avons donc deux possibilités. Est-ce que nous pouvons retenir le texte tel qu'il est, est-ce qu'on peut considérer que le Conseil en général est d'accord sur ce travail fait par le Comité de rédaction, ou alors, si on s'aperçoit qu'il n'est pas d'accord, peut-on accepter la rédaction du délégué de l'Argentine?

Commençons par le texte tel qu'il est: est-ce que, sans avoir à ouvrir de nouveaux débats, il y a une majorité en faveur de l'adoption du texte tel que rédigé par le Comité de rédaction?


Quels sont ceux qui sont contre ce texte, qu'ils lèvent la main...

On continue la discussion.

Mlle Faouzia BOUMAIZA (Algérie): En vérité, au début, quand la délégation de l'Argentine a pris la parole, il semblait y avoir un large consensus pour changer ce mot de "nécessité". Puis, deux ou trois délégations ont dit qu'il fallait maintenir le texte en l'état. Notre délégation ne peut accepter le texte tel que mentionné à la page 9 du REP/5 parce que, tout simplement, lorsque nous avons adopté le paragraphe 7 du REP/2, et que nous avons procédé au vote de procédure, nous avons dit que le Conseil ne pouvait pas se prononcer sur cette question et qu'il s'en remettait à la Conférence.

Si nous adoptons le texte tel que rédigé au paragraphe 22, cela voudra dire que nous demandons à la Conférence de se prononcer sur les voies et moyens de pratiquer cette réforme et non pas d'examiner la possibilité de faire cette réforme ou non.

Pour notre part et pour nous résumer, nous appuyons la délégation de l'Argentine et sa proposition d'amendement.

John GLISTRUP (Denmark): Thank you very much Mr Chairman. I have hesitated in joining up in this debate because I was part of the Drafting Committee or the contact group, and I would like to say that I am quite willing to debate this further on in the Council here but I think that you sir, decided to establish the contact group to try to hammer this out.

Now I am not in full agreement with the wording which is presented but I am prepared to go on with it. I have made quite a lot of concessions in agreeing to this wording, but if we have to break up the wording as being presented by the contact group I would have several suggestions to make, and I do not think that this would lead us very much, so may I support very strongly what the distinguished Chairman of the Drafting Group has reported to us, that we do not debate this. Of course if the Council so wish I am quite prepared, but I would then have to introduce a considerable number of changes in this item.

LE PRESIDENT: Je reconnais que c'est déjà un grand résultat que nous ayons une rédaction parce qu'autrement on aurait une série de propositions. C'est pourquoi je lance un appel aux délégués pour que nous sortions avec une volonté de dégager l'horizon. Effectivement, si on fait "un examen éventuel de certains aspects", cela ne veut pas dire qu'on les prend automatiquement en compte, cela veut dire qu'on demande qu'on les examine, ce qui laisse plus de souplesse. Mais le Conseil est souverain et j'aimerais avoir quelques réactions avant que nous puissions nous prononcer définitivement.

Bashir El Mabrouk SAID (Libya) (original language Arabic): Thank you Mr Chairman. We are very appreciative of the efforts made by the contact group. Nevertheless we do think that this paragraph does not precisely reflect what actually happened at the meeting. It would be a mistake to say that the Council agreed to add an item to the agenda. A small number of members raised the point, but the majority expressed their agreement although we did not have a new study or reexamination of the programme.

We would like to change the first sentence of paragraph 22 and instead of saying: "The Council approved the provisional agenda", we would say: "We informed the Council of the wish expressed by a number of delegations." We accept what the representative of Argentina said about the possibility of reforming the programme budget process.

José Ramón LOPEZ PORTILLO ROMANO (México): México estuvo en el Grupo de Contacto y yo creo, en buena parte producto del mérito, de que había sido una de las delegaciones que más había insistido en cuanto a que algunos de los temas que podían haber estado reflejados aquí no se trataran en las discusiones de nuestro Consejo. Inclusive la delegación de México hizo una moción de orden al respecto que fue votada por mayoría y ya ha reflejado este asunto en la parte relativa del Informe.

Yo creo en ese sentido que no podrá haber dudas del interés de la delegación de México en que este asunto no se haya tratado de la manera más precisa o adecuada posible.


En primer lugar deseo suscribir lo que ha dicho ya el Presidente del Comité de Redacción, así como el delegado de Turquía en torno a esta cuestión. Fueron muy largos los debates al respecto y muy delicado el equilibrio; pero quiero explicar para recordar un poco a mis colegas cual es la filosofía y la interpretación que está detrás de esto, porque creo que esto es importante.

En primer lugar el párrafo 22 es un todo que tiene que apreciarse como tal y forma un paquete entero. Es decir la idea de buscar un título común para acomodar por lo menos cuatro temas o propuestas distintas respecto a una cuestión más o menos común, fué la razón por la cual se buscó un título también común y luego el contenido de un párrafo que indicaba que, a la luz del debate sobre los preparativos para el 24 período de sesiones de la Conferencia de la FAO, y en vista de que muchas delegaciones habían indicado que presentarían al debate de la Conferencia diversos asuntos relacionados con este tema, diversos de distinto tipo, unos hablan del orden económico internacional, otros de la reforma del programa del presupuesto, otros hablaron del futuro papel de la FAO, etc., en vista de que varias delegaciones hablamos de estas cosas y con el propósito de evitar que la Conferencia confunda la discusión de estos asuntos tocando mùltiples documentos aparte, por separado, inconexos, por tanto podríamos decir irracionales, se buscó un titulaje común, un tema común y además un compromiso común de que todo esto se llevaría a la consideración del Consejo por la vía de la Secretaría de la FAO y que no se presentarían en relación con este tema, otros temas similares, aparte de éste, sino que todos estarían cubiertos por el mismo. Esa fue la filosofía que nos llevó a trabajar en el Grupo de Contacto, con ese espíritu trabajamos en el Grupo de Contacto.

Quiero ser preciso con lo que estoy diciendo, pues ayuda a la búsqueda de un consenso. Que el propósito del Grupo de Contacto era precisamente el tratar de buscar este conjunto de acuerdos. Ahora, respecto del enunciado específico del tema, yo quiero advertir que las discusiones se celebraron en inglés, y el inglés no es mi lengua madre, pero me surgieron en el momento en que se entablaron los debates sobre el posible título, las mismas cuestiones que a la delegación Argentina, pero quedé satisfecho cuando, efectivamente, en la racionalidad del título se dejaba ver que estaba diciendo la posible conveniencia de examinar las necesidades; es decir se le estaba ofreciendo a la Conferencia decir: me conviene examinar porque es necesario, o no me conviene porque no es necesario. Pero nadie está admitiendo aquí, y creo que esa es la interpretación que todos dimos, que es necesario una reforma y, por tanto, no se está prejuzgando la Conferencia.

Yo indiqué, y consta en el Grupo de Contacto a todos, que no se le podía indicar que había un mandato o una necesidad de revisar nada. La palabra necesidad que así, vista por separado podría implicar eso, después de la aclaración, y espero que ésta valga para otras observaciones que se han hecho, me quitaba la presión.

Yo quería, Sr. Presidente, hacer estas aclaraciones para que se pueda buscar un consenso a la luz de la filosofía que envuelve este párrafo.

LE PRESIDENT: Je voudrais intervenir à ce stade du débat. Je crois qu'effectivement le libellé est clair, il y a "examen éventuel de certains aspects des buts et opérations de la FAO", donc la Conférence pourra décider de l'opportunité d'examiner ou non. Une fois qu'il y a examen de cette éventualité, il y aura la nécessité de réformes éventuelles; donc c'est l'examen qui est éventuel, c'est le point le plus important, la nécessité est un élément qui sera examiné, mais la Conférence peut rejeter l'étude de cette nécessité de réformes. C'est l'examen éventuel de certains aspects qui est important, il faudrait que notre attention soit attirée sur le mot "éventuel" après "examen".

D'autre part, ce paragraphe contient beaucoup d'idées, c'est balancé et nous avons tous essayé hier de militer pour obtenir une plateforme de travail. Je crois que nous nous devons tous de faire un effort. Nous laissons à la Conférence le soin de décider s'il faut examiner ou non certains aspects de la FAO. Je crois que le Président du Comité de rédaction a été très clair et je ne crois pas que ceci prête à confusion ou laisse penser que le Conseil a préjugé de la nécessité de réformes.

C'est un ensemble équilibré et s'il y a un compromis, peut-être que nous pourrions aller de l'avant. Ce que je demande avec beaucoup d'insistance aux délégués, c'est de considérer que c'est un examen éventuel de certains aspects, ce n'est pas une obligation d'examiner, la Conférence peut dire "on n'a pas besoin d'examiner", elle est souveraine et nous lui laissons le soin de se prononcer sur la question.

Je pense qu'avec cela nous devrions pouvoir nous dégager de ce point très important et qui correspond à notre vision, c'est qu'il faut laisser la Conférence décider de ces questions-là.

Si nous proposons un examen éventuel c'est avec cette idée, on peut trouver une rédaction qui nous laisse libres et laisse une souplesse suffisante à la Conférence mais si on ouvre un débat, nous aurons un deuxième, troisième et quatrième point.


Est-il possible d'accepter ce paragraphe 22 dans sa globalité comme étant un compromis? Voilà la question qui est posée et que soutient le Président du Comité de rédaction.

Est-ce qu'il y a des objections à ce que l'on aille de l'avant parce que la Conférence décidera. Nous ne faisons que dire à la Conférence: nous vous passons la question pour un examen éventuel. Elle seule peut dire j'examine ou je n'examine pas. Si elle examine la question elle peut dire que la réforme est ou n'est pas nécessaire. Elle peut tout faire, mais il faut prévoir un paragraphe pour qu'elle puisse travailler sur ce thème. Nous passons la main à la Conférence et cela facilite notre tâche.

Est-ce que nous pouvons avancer dans cette direction? C'est un appel que je lance au Conseil. Il n'y a aucun engagement formel, parce qu'il y a un examen éventuel de certains aspects. On devrait pouvoir se dégager et aller de l'avant.

Est-ce qu'il y a une objection à adopter ce paragraphe dans sa globalité en précisant qu'il y a le terme "éventuel"?

Joâo Augusto de MEDICIS (Brazil): I hate to intervene at this late hour but with all due respect to the work of the Contact Group, I do not see much compromise here. None of the points we raised are included here, yet all the points raised by other delegations are included. I am really in deep concern about this text. But for the sake of compromise I do not know if we can get rid of both "need" and "possibility" and go back to "including the need for reform in the programme budget process.

A. Daniel WEYGANDT (United States of America): As the last member the Contact Group to speak, I have two observations to make before we get to the proposal which I think was made by the delegate of Brazil-that is, that I take very much the procedural point raised by the delegate of Cuba, but in fact the work of the Group did go through the Drafting Committee as any normal proposal would. So I think this product has a higher status than being just the work of five guys sitting round a table trying to hammer out a text.

The reason this Group was convened in the first place was that this kind of package deal, as it was so well put by the delegate of Mexico, could only be worked out in a small group where the exchange of ideas could take place and logic be explained. There was a tremendous amount of back and forth concessions on both sides. This emphasizes the fact that if you wish to turn this aside, my side gave an awful lot to this and are not prepared to open up the text to a series of amendments because if that is done, we cannot consider one amendment without going into all the others. If you wish to open up this text, then we must go back to a drafting group. In a final spirit of compromise-and I repeat, in a final spirit of compromise we accept deletion of "the need for", and that is it.

LE PRESIDENT: Nous pouvons remercier le délégué des Etats-Unis pour son intervention et nous pouvons utiliser l'expression "examen éventuel... y compris une réforme de la procédure du budget programme". On enlève le terme "nécessité" qui nous fait souffrir. Cette modification dégage l'horizon.

Est-ce que cela nous rapproche de votre position, Mme la déléguée de l'Argentine?

Sra. Mónica DEREGIBUS (Argentina): Sr. Presidente, lamentablemente mi delegación estuvo tentada en un primer momento de ofrecer a los hacedores de este párrafo la idea que acaba de adelantar el Embajador del Brasil. Luego de haber leído atentamente varias veces el párrafo, mi delegación desistió de esa posibilidad por cuanto agravaba el sentido que nosotros queríamos evitar. De manera que mi delegación se opone a la posibilidad de eliminar las palabras "la necesidad de" y dejar incluida la reforma. 0 sea, me opongo a lo que acaba de sugerir recientemente el Embajador del Brasil.

LE PRESIDENT: Le texte est: "y compris la procédure de réforme du budget", est-ce que d'autres délégations y sont opposées?

J'aimerais avoir la réaction des délégués sur ce texte amélioré en enlevant le terme "la nécessité".


Sra. Mónica DEREGIBUS (Argentina): Si me deja terminar de hablar por favor Sr. Presidente, mi delegación a estas alturas de las deliberaciones quisiera retirar la moción por cuanto ve que no se va a poder llegar lamentablemente a un acuerdo sobre las enmiendas que ha presentado. No obstante, quiere dejar constancia en acta que se disocia del contenido del párrafo 22 de este informe.

K. Patrick ALLEYNE (Trinidad and Tobago): I want only to suggest that we were going to ensure consistency, and on page 3 of CL 91/REP/2 that is what we agreed on-the need. I was doing exactly the same thing, Mr Chairman. I am just taking "the need" from the line below and that is it exactly.

So I think we are ready to run on and we should be finished in five minutes.

LE PRESIDENT: Est-ce que le Conseil retient le paragraphe 22 en enlevant le terme "la nécessité", moyennant les réserves que nous avons pu enregistrer?

Quels sont ceux qui sont contre ce texte après avoir retiré le terme "nécessité"? Il y a le Brésil. Y-a-t-il d'autres personnes?

La proposition est la suivante pour le paragraphe 22, on retirerait le terme "nécessité" et on dirait: "y compris une réforme de la procédure du budget programme".

Est-ce que ceci vous convient?

Joăo Augusto de MEDICIS (Brazil): As long as the delegate of Argentina withdraws her proposal, I think we can stick to the text and to the first part of it in a spirit of compromise. I do not want to be awkward. I want to express my deep reservations on this text and to register my disociation with it.

There is a second point expressed by my delegation which was not looked into. I refer to the sentence,"…member countries would submit their views to the Secretariat on relevant aspects of this question, which would form the basis for the preparation of a paper by the Secretariat for consideration by the Conference." I do not believe member countries should submit their view that would form the basis of the preparation of this paper. I have mentioned why I do not believe this, and I have mentioned this already as well.

LE SECRETAIRE GENERAL: En tant que Secrétaire général de la Conférence, je me suis arrêté un moment sur la phrase: "il a en outre été entendu que les Etats Membres communiqueront leurs vues au Secrétariat sur les aspects pertinents de la question et que cela servira de base à l'élaboration d'un document du Secrétariat qui sera présenté à la Conférence pour examen."

Je voudrais expliquer les contraintes de temps qui se posent à nous dans ce contexte. Le paragraphe premier de l'article II du Règlement général dit: "l'ordre du jour provisoire de chaque session ordinaire de la Conférence est établi par le Directeur général et transmis aux Etats Membres... 90 jours au moins avant la date fixée pour l'ouverture de la session.M

Le paragraphe 9 du même article II dit: "... le Directeur général transmet aux Etats Membres, aux membres associés et aux organisations internationales participantes, en même temps qu'il leur communique l'ordre du jour d'une session quelconque de la Conférence ou aussitôt que possible après, copie de tous rapports et autres documents ayant trait aux questions inscrites à l'ordre du jour et devant être soumis à la Conférence au cours de la session".

Si nous comptons 90 jours avant l'ouverture de la session de la Conférence, cela nous mène au 7 août. Avant cela, il faudrait que les Etats Membres intéressés fassent connaître leur point de vue, que le Secrétariat fasse une synthèse, rédige un document. Il faudrait que ce document soit traduit dans les langues voulues, qu'il soit composé, qu'il soit imprimé et diffusé. Il y a là une contrainte de temps qui me paraît difficilement surmontable, sauf si nous recevons seulement quel-ques ligne de quelques Etats Membres.

Dans le cas contraire, je prévois des difficultés logistiques. Je n'ai bien entendu pas à intervenir sur la substance des propositions, mais il est de mon devoir d'avertir le Conseil qu'il y aura de grosses difficultés logistiques.

LE DIRECTEUR GENERAL: Si le débat sur le paragraphe 22 est terminé, je voudrais donner quelques éclaircissements aux Membres du Conseil en ce qui concerne les documents ayant trait à ce nouveau point inscrit à l'ordre du jour provisoire de la Conférence.


Le débat sur l'article 22 est-il terminé?

LE PRESIDENT: Nous attendons les réactions du Conseil sur le paragraphe 22.

Personnellement j'ai proposé, dans un souci de prendre cela comme un Package deal que l'on pourrait introduire le terme "éventuel" après le mot "examen", ce qui laisse à la Conférence le soin de décider en toute souveraineté de ce qui est utile, souhaitable ou nécessaire de faire. C'est à elle de décider. Nous n'avons pas qualité ici pour décider, c'est à la Conférence éventuellement d'examiner certains aspect.

Si vous acceptez ce point de vue, nous pourrions peut-être aller de l'avant, parce que nous avons encore d'autres points encore plus compliqués à traiter.

Est-ce qu'il y a des objections sur cet article 22?

Humberto CARRION M. (Nicaragua): Sé que es un poco tarde, pero quisiera hacer un breve comentario sobre la posición nuestra sobre este punto en los debates y quiero aclarar bien esta posición nuestra.

En ningún momento nos hemos opuesto a que se examinen actividades en la FAO en términos genéricos. Tuvimos problemas con el procedimiento y así lo hicimos notar con nuestro voto en relación al punto de orden que se levanto en ese momento.

Ahora tengo entendido, por las explicaciones que nos ha dado el representante de México, que estas discusiones del Grupo de Contacto para ponerse de acuerdo sobre el párrafo 22 estaban incluidas dentro de un contexto filosofico ya muy claro.

También tengo entendido que hay un grupo de países que proponen hacer este examen que se incluye en el párrafo 22 como tema de agenda para la Conferencia que sí tiene posiciones, digamos, de carácter constructivo.

Tengo entendido por ejemplo que el grupo de países nórdicos tiene posiciones distintas en cuanto a la apreciación que tienen sobre los temas de fondo, que podrían ser examinados y que podrían ser reformados en la FAO. Esto, obviamente, quiere decir que tal vez hay algunos otros países que no están constructivamente interesados en hacer exámenes e insisten mucho, digamos, que incluyan la necesidad de reformar el proceso de preparación del presupuesto del programa de la FAO. Sin embargo, en ese espíritu constructivo y dentro del marco filosófico mencionado, el representante de México, que reinó dentro del Grupo de Contacto, creo que no habría problema, al menos por parte nuestra, de aceptar el texto tal como está presentado por el Grupo de Contacto y que ahora tenemos ante nosotros.

LE PRESIDENT: Si vous le permettez, nous allons aller de l'avant. Nous laissons è la Conférence le soin de décider si elle examinera ou non la question. Elle peut dire: cela ne nous intéresse pas, c'est prématuré. Les délégués à la Conférence ont toute latitude pour prendre position. Cela nous permet de ne pas passer pour des hommes fermés à toute idée d'amélioration, d'efficacité de la FAO.

Joăo Angusto de MEDICIS (Brazil): I am prepared to accept as a compromise the first part of paragraph 22. After your explanation of the exact meaning of it, we will somehow disassociate ourselves from the wording.

As far as the second part of paragraph 2, especially after what has been said by the Secretary-General of the Conference, as far as using papers already prepared by a limited number of countries representing only one area of the world as the basis for the paper prepared by the Secretariat, I am totally in disagreement with that. I think we could rephrase it somehow saying: "it was further understood that Member countries would submit their views to the Secretariat on relevant aspects of the question, and that the Secretariat would prepare its views on the matter." It is two different sets of papers actually, not only one set of papers that would reflect a one-sided view of the developed countries, because the developing countries, especially after what has been said by the Secretary-General of the Conference would not have time to prepare any documents on this point.


LE DIRECTEUR GENERAL: Dans ce point à l'ordre du jour provisoire de la Conférence il y a deux parties. D'abord "certains aspects des buts et opérations de la FAO". C'est très large. Cela peut englober beaucoup de choses. Ensuite, "la réforme de la procédure du budget-programme". Cela c'est précis. La délégation des Etats-Unis avait suggéré que ce point soit examiné par la Conférence en se référant à l'examen similaire à l'Assemblée générale des Nations Unies. Un examen similaire a également eu lieu à l'Organisation mondiale de la santé et se poursuit au Bureau international du Travail pour ne citer que ces trois organismes. Je suppose que la délégation des Etats-Unis, ou d'autres délégations vont envoyer au Secrétaire général ou à moi-même des documents ayant trait à ce sujet, auxquels je compte ajouter, pour information, copie des décisions qui ont été prises par l'Assemblée générale des Nations Unies sur ce même sujet-c'est une résolution, vous l'avez vue puisqu'elle faisait partie d'un document, le CL 91/17 que M. Regnier a présenté. J'y ajouterai une documentation sur ce qui s'est passé ou se passe à l'OMS, au BIT, et peut-être à l'Organisation météorologique mondiale, pour que vous soyez informés de la manière dont cette question est débattue dans d'autres lieux.

La préparation de cette documentation ne pose aucun problème. La plus grande partie est déjà disponible. J'attends seulement pour réunir ces documents que les Etats-Unis ou d'autres délégations veuillent bien faire des propositions concrètes.

En ce qui concerne "certains aspects des buts et opérations de la FAO", nous lisons au paragraphe 22: "il a en outre été entendu que les Etats Membres communiqueront leurs vues au Secrétariat sur les aspects pertinents de la question et que cela servira de base à l'élaboration d'un document du Secrétariat qui sera présenté à la Conférence pour examen."

Quels documents pourrais-je vous offrir?

Si je reçois des documents avec demande de les traduire et de les distribuer aux Etats Membres, je le ferai.

J'indiquerai les titres, les sujets qui sont proposés pour faire partie de l'examen de "certains aspects des buts et opérations de la FAO".

Je verrai tout ce qu'il y a sous "buts", tout ce qu'il y a sous "opérations".

Je ferai la liste des sujets en indiquant les pays qui les ont proposés, en les priant d'avoir un libellé assez clair. Mais je ne peux pas y mettre plus de détails. Le document sera soumis à la Conférence, pour information. Si certains membres veulent un document complet pour le faire circuler, c'est leur droit, je le ferai circuler. Mais je ferai un seul document en disant: à la lumière de ce que j'ai reçu,voilà la liste de tous les sujets qui sont proposés pour faire partie de cette étude.

En tant que Directeur général, j'ai une obligation de réserve, et je me dois de suivre les sujets qui intéressent directement l'ensemble des Etats Membres de l'Organisation et dont les organes législatifs de l'Organisation n'ont pas encore débattu.

Si je me permettais d'analyser les propositions, ce serait préjuger aussi des décisions de la Conférence. Il se peut que ce sujet ne soit pas retenu. Tant que la Conférence n'a pas décidé du mécanisme à suivre et de la procédure, je ne peux pas prendre l'initiative et commencer à étudier tous les documents. Je les ai ici: il y a un document de 115 pages, un autre de 40 pages, un autre de 20 pages. Mais je voudrais être clair. On m'a déjà invité à faire des commentaires sur ces documents; je m'y suis refusé car ce n'était ni le Conseil ni la Conférence qui me le demandaient. Quand la Conférence décidera, je m'exécuterai. Mais à ce stade, d'ici à la Conférence, je ne peux le faire. Il est clair que je ne peux pas commenter une proposition, sinon je ferais du tort aux auteurs des propositions, ne serait-ce qu'en mentionnant certaines difficultés. Il faut que la Conférence décide comment elle veut conduire cette étude, quels sont les sujets à retenir et quel rôle elle veut donner au Secrétariat dans cet examen. Mon róle, jusqu'à la Conférence, est d'établir une liste des documents et de les faire distribuer, pour information seulement. Il y a beaucoup de documents très épais, il faut le temps de les traduire dans les quatre autres langues officielles.

Voilà comment je comprends la tâche du Secrétariat, à ce stade. Evidemment, ce sujet ne sera pas soumis-c'est ce que j'ai compris-au Conseil de novembre mais à la Conférence. C'est la Conférence qui va en décider. J'aimerais avoir les instructions du Conseil. Le Conseil veut-il donner d'autres instructions?

Gonzalo BULA HOYOS (Colombia): Sr. Presidente, yo creo que, como lo ha dicho el colega de Brasil, la frase que ahora nos ocupa tiene algunos inconvenientes que se podrían obviar sobre todo a la luz de la declaración que acaba de hacer el Director General.


Nosotros nos atrevemos, con ánimo conciliatorio, a proponer que esa frase se reemplace por la siguiente: "los Estados Miembros podrán presentar sus opiniones a la Secretaría y el Director General preparará el documento que se someterá a la Conferencia".

Esto es realista, al mismo tiempo es amplio, es flexible y creo que podría evitarnos más discusión para poder avanzar.

LE PRESIDENT: Je répète ce que vient de dire le délégué de la Colombie. Il est entendu que les Etats Membres pourraient présenter leurs vues au Secrétariat sur les aspects pertinents de la question et que le Directeur général préparera un document qui sera présenté à la Conférence pour examen.

LE DIRECTEUR GENERAL: Il n'y a aucune différence. C'est écrit ici. C'est exactement le texte en français. Je n'ai aucun avis à donner, mais c'est la même chose.

Gonzalo BULA HOYOS (Colombia): Puede ser diferencia de traducción, pero en el texto castellano la versión es muy distinta porque aquí se dice "presentarían" y yo he dicho "podrán presentar" y luego habla de que esas opiniones constituirán la base, la base, y yo no creo que el Director General debe estar obligado a que esas opiniones sean la base de su documento, por eso he eliminado esa referencia, la base; damos más amplitud al Director General. Esa es la intención de mi propuesta.

Yo estoy de acuerdo con Brasil en que inclusive sería innecesario poner esto aquí porque cada Estado Miembro puede enviar sus opiniones y es obvio que el Director General es el responsable de los documentos, pero si esto da satisfacción a ciertas delegaciones podrá ser una transacción, pero no insistimos·

A. Daniel WEYGANDT (United States of America): I would support what the Director-General said a few moments ago regarding his understanding of what the procedure would be on this. I think he summed it up quite well and, at least from my standpoint, this is what those of us who participated in the contact group expected. It seems to me that it is quite a reasonable way to go about things. I also agree that maybe it is a question of translation.

I also feel that there is a distinction in the proposal just put forward by the delegate of Colombia, except that I think it does convey an element that I think is dangerous. I think what is happening is that the Secretariat is going to be asked the very position that the Director-General suggested he would like to avoid-to somehow organize these thoughts, evaluate them. I think this is opening us up to a dangerous situation. We are talking about a preliminary consideration as we have emphasized. We are going to put this document together so that the Conference can consider it. It seems to me that what we are saying simply is that to facilitate that discussion these views should be put into one comprehensive document to be distributed to all delegations in the same way to facilitate the discussion. This is what I think the contact group means by saying "the basis for". I think it conforms to what the Director-General has just suggested, and if that is agreeable perhaps we can accept that as a means of proceeding.

LE PRESIDENT: Je crois que le Directeur général a été clair.

Horacio CARANDANG (Philippines): If a delegation submits a document 120 pages long, how can the Secretariat proceed to translate that into five languages and distribute it to all countries?

LE DIRECTEUR GENERAL: Nous sommes dans l'obligation de distribuer tous les documents relatifs à un point de l'ordre du jour, si les gouvernements le souhaitent. Il y a un rpblème de temps, mais je crois que nous pouvons le faire si nous recevons immédiatement ces documents. Il y aura écrit INF, car ce ne sera pas pour décision, mais pour information. Si un gouvernement nous demande de faire distribuer un document, nous le ferons.

Je suis content que le délégué des Etats-Unis soit d'accord, ainsi que le délégué de la Colombie.


Tout ce que je peux faire, c'est une sorte de liste un peu détaillée, même si j'ai 115 pages; je peux les distiller. Dans ces 115 pages, il y a peut être 10 ou 15 sujets et la Conférence aura devant elle tout un menu et choisira sur ce menu ce qu'elle veut discuter.

C'est comme cela que la chose s'est faite à New-York. Cela s'est fait par consensus et a pris beaucoup de temps.

Il faut vous préparer pour la Conférence et avoir des groupes de contact, comme ce groupe de contact qui a été formé pour rédiger ce paragraphe. Il faudra se mettre d'accord sur le sujet, s'il doit être examiné ou non et comment. Je faciliterai la tâche en donnant la liste et j'essaierai de faire pour le mieux.

Nous ferons distribuer les documents de ceux qui le demandent. Mais il faut qu'on nous les envoit aussitôt que possible et il faut savoir à l'avance que ce ne seront pas des documents pour discussion mais pour information.

Les délégués liront ce matériel. La Conférence ne devra pas elle-même en faire l'examen. Sauf pour la question qui intéresse les Etats-Unis, car il y a déjà actuellement une discussion à ce sujet à New-York et dans les autres Organisations. On peut donc déjà avoir quelque chose sur quoi discuter. Il s'agit, je crois, du seul sujet. Mais encore une fois, la Conférence est souveraine.

Joao Augusto de Medicis (Brazil): After the explanation given by the Director-General we should amend this text because he has proposed distributing the documents as information papers. They will not be used as a basis for the preparation of the paper. We should therefore reflect the reality here. Therefore perhaps we should say "which would be distributed by the Secretariat", or something like that. I cannot accept the wording "form the basis for the preparation of a paper" because only documents prepared by developed countries would be ready on time to be used as a basis for this paper. No matter how much time we heve between now and the Conference, we will not have time to prepare any documents. Therefore, "form the basis" is totally unacceptable to us.

V. K. SIBAL (Chairman, Drafting Committee): Perhaps I can say something to clarify the situation. At least, I hope that it will clarify the situation. The phraseology used in this document has been chosen with great care. The intention was to leave a lot of flexibility to the Director-General. The paper is there. One is guaranteeing the paper is not ignored. One way is to send a paper up. The list of papers will be considered by Conference, if the Director-General wishes to comment, it is possible for him to do so. The idea is that the paper is to be the basis, and there will be a presentation by the Director-General. I do not think we are binding the Director-General in any way to presenting the paper in any particular manner. This language is open and flexible and should not really cause any operational difficulties.

Those were the views considered in the Contact Group when we discussed this matter.

John GLISTRUP (Denmark): I have listened with great pleasure to what the Director-General has said. I entirely agree with his statement. What we are expecting is a very short document with a menu, if I may use that term, for consideration by the Conference. The Conference may decide that this is an interesting aspect and that that is not an interesting aspect, and then we can go into it. I can assure you that we shall do our utmost to assist the Director-General so that he has an easy task to include a few headlines. We will digest whatever thoughts we have on those headlines before submitting those views to the Director-General so that we do not submit a volume of 120 pages.

LE DIRECTEUR GENERAL: Je crois que l'on peut citer le délégué du Brésil, celui de la Colombie et les autres qui veulent nous faciliter la tâche et qui sont d'accord. Personnellement, je n'ai pas peur de ce mot "base". Il me faut une base, il me faut un point de départ. Ce n'est pas une fin; c'est un point de départ. Je me sens à l'aise pour pouvoir préparer un document pas trop long, très simple, avec la liste des sujets et, à la Conférence, on décidera d'éliminer ou d'ajouter certains sujets ou d'en refuser carrément l'examen.

Si vous êtes d'accord, j'interprète le mot "base" comme point de départ. Il faut bien que je prenne un point de départ quelconque.


João Angusto de MEDICIS (Brazil): Perhaps we could use the expression "point de depart".· That would be a good compromise. If other delegations are not ready to accept the compromise of "point de départ"-which is very helpful in my opinion-I would like to record our objection to the words "would form the basis" for the reasons which I have already mentioned. I do not wish to detain the Council any longer if there is an indication in the verbatim record that we object to those words. Although I may come back to this at any moment, I will no longer detain the Council. If it is acceptable to other delegations, "point de départ", as proposed by the Director-General, is a very good solution.

LE PRESIDENT: Le terme "point de départ" convient-il aux délégués? Nous retenons le point de départ. Sur ce point précis, y-a-t-il une objection?

A. Daniel WEYGANDT (United States of America): Is the proposal to change the text of paragraph 22? if that is the proposal, I would like at least to know that.

LE PRESIDENT: Je rappelle ce qui est proposé et qui pourra recueillir l'agrément du Conseil. Cela servira de point de départ à l'élaboration de documents du Secrétariat qui seront présentés à la Conférence. Je crois que cela correspond à la réalité.

Ce terme "point de départ" est-il accepté?

POINT OF ORDER
POINT D'ORDRE
PUNTO DE ORDEN

Waliur RAHMAN (Bangladesh): Poinr od oeswe, Mr Chairman. I am confused and the confusion is getting worse confounded!

I would like to be corrected by you, Mr Chairman, and the Director-General himself. My understanding of the English interpretation of the French in which the Director-General addressed Council is that he is suggesting that the basis for preparation is, in his understanding, a point of departure. That is not an amendment. I do not think he proposed an amendment. He was giving his interpretation of the sense of the sentence.

LE PRESIDENT: Monsieur le délégué du Brésil nous dit que si on met "point de départ" au lieu" de "base" cela lui permettrait d'approuver ce texte, de lever sa réserve. Nous essayons de trouver un consensus. Si nous mettons "point de départ" qui correspond à l'aspect physique des choses, ce serait une possibilité pour que tout le monde approuve ce texte. Peut-on remplacer le terme "base" par le terme "point de départ"?

A. Daniel WEYGANDT (United States of America): There is a fundamental point of order here. We have adopted this paragraph. Previously I made an offer to amend the text and I indicated that that was the last change that I would be prepared to accept. I would like to operate in a spirit of consensus, but there is a significant difference between "basis" and "point of departure". The explanation that has been given by the Director-General was very useful and illuminating, but I remain with the standpoint that there is a fundamental difference between "basis" and "point of departure". There is an element here that we are talking about something that is being presented to Conference, but there is also a sense that this will be presented to the Conference-particularly from the standpoint of my delegation-which will be proposed for some sort of action. This will be considered fully by the Conference. We are not pre-judging that action, but if you change the phraseology to "point of departure" you are putting this whole process on a different track.

LE DIRECTEUR GENERAL: Je crois que tout cela est de la sémantique. Tout va venir chez moi, je vais moi-même préparer la liste des sujets qui vont être soumis et je peux vous affirmer que j'incluerai tous les sujets qui m'auront été soumis. Comment puis-je ignorer un seul sujet?


Je crois qu'on n'a pas beaucoup de temps à perdre là dessus, du point de vue pratique, c'est la même chose et le résultat sera le même, qu'il s'agisse de "point de départ" ou autre.

João Angusto de MEDICIS (Brazil):This will be my last intervention. I disagree completely with the delegate of the United States when he said that this paragraph was adopted. It was not adopted. We accepted the formulation for the first part of the paragraph and raised doubts about the second part of it.

We also regret that we are the only ones who are supposed to compromise. I do not see much compromise on the other side. As we are really in the spirit of compromise, I repeat what I said before. I accept the paragraph with the inclusion in the verbatim of all our reservation on this point, especially on the expression "form the basis for", and I reserve the right to come back to this point at any time. That is compromise. I hope that compromise can come from all sides in this House and not only from one side.

lE PRESIDENT: Est-ce qu'à ce stade, nous retenons ce paragraphe 22 avec la réserve formulée par le délégué du Brésil pour avancer? Bien. Paragraphe 23...

Mlle Faouzia BOUMAIZA (Algérie):En vérité, tout à l'heure, quand nous avions appuyé la délégation de l'Argentine pour l'amendement qu'elle avait proposé, c'est que justement nous constatons que ce texte-là ne fait pas vraiment mention d'un certain compromis. Je suis tout à fait d'accord avec le Directeur général lorsqu'il dit que "point de départ" ou "base" c'est la même chose, parce que le problème pour nous, c'est que ce document vienne d'un seul pays ou de deux ou trois pays, et par conséquent, cela sera certainement leur vue que nous allons discuter au cours de la Conférence, les pays en voie de développement n'ayant pas les moyens pour préparer des documents de cette ampleur. Nous ne pouvons que nous associer à la réserve du Brésil.

Sra. Mõnica DEREGIBUS (Argentina): La delegación de Argentina quiere reiterar que esta segunda parte del párrafo también es parte de la disasociaclón que expresó hace unos momentos.

Milutin TAPVICKI (Yugoslavia): I just said that we are joining our reservations in the second text as it was proposed by Brazil.

Gonzalo BULA HOYOS (Colombia): Consideramos que sería verdaderamente lamentable que hubiera reservas en este pärrafo después del aparente espíritu de conciliación que parecía reinar.

Apreciamos mucha la aptitud amplia y constructiva del Director General y por eso nos habíamos abstenido de intervenir pero, en la medida que avanza el debate, las declaraciones de Argelia y Brasil nos convencen cada vez más.

Nosotros también lamentablemente tendríamos que sumarnos a esas reservas; sin embargo, hacemos un ultimo esfuerzo, Sr. Presidente, si cambiamos la palabra "base", por "orientación". Si esto no es aceptable nos sumamos a la reserva de Argelia, Brasil, Yugoslavia, etc.

Jean Fidèle NGÜEMA-NZE (Gabon): Effectivement, je commençais à être perdu parce que je ne savais plus quel ordre vous suiviez. Ma délégation avait effectivement quelques observations à faire sur le paragraphe 22. Mais après avoir écouté les interventions des uns et des autres, elle s'est ralliée au compromis dégagé à propos de la première partie.

Concernant la deuxième partie du paragraphe en discussion, ma délégation pense que les observations que le Directeur général a faites et les assurances qu'il a données pouvaient suffire pour entraîner en quelque sorte l'adhésion et pour faire en sorte que le paragraphe soit admis et adopté par le Conseil. Cela pour limiter votre tâche qui a été combien difficile et que vous avez su mener à son terme.


C'est pour cela que la délégation gabonaise, tout en comprenant parfaitement les raisons qui ont motivé les réserves faites par les uns et les autres, voudrait lancer un appel ici pour que nous ayons comme garantie le Secrétariat puisque nous aurons à demander des comptes lors de la Conférence et je ne vois vraiment pas les raisons pour lesquelles nous allons formuler davantage de réserves. Je voudrais demander à nos amis s'ils peuvent se joindre à nous pour adopter le paragraphe à partir de garanties données par le Directeur général.

LE PRESIDENT:Je note que le paragraphe pourrait être adopté moins la Colombie, l'Argentine, l'Algérie, la Yougoslavie et le Brésil.

JoãO Angusto de MEDICIS (Brazil): Perhaps I was misunderstood. That was after my last intervention; I am sorry. Of course, I cannot speak for those who supported me, but it was never my intention to make a formal reservation. I meant to reserve my point of view. I did not mean to have any written reservation as a delegation. From the beginning I said that. I do not know about the others.It is up to them.

LE PRESIDENT:Paragraphe 22 approuvé.

Paragraphs 21 to 23, as amended, approved
Les paragraphes 21 à 23, ainsi amendés, sont approuvés
Los párrafos 21 a 23, así enmendados, son aprobados

PARAGRAPH 24
PARAGRAPHE 24
PARRAFO 24

Michael J. RYAN (Australia):I have just got a small problem relating to this subject of the nomination of the Chairman and other officers of the Conference. I have no problems with the text as it stands there in the Draft Report in front of us, but on the question of the nomination of the Chairman I refer to a Council document CL 91/INF/6. On page F 2 of this document there is a table. Coming down the column you come to Australia, Member Nations, and you look across in another column headed Chairman of Conference, and there are two dates there. One is 1971 and the other is 1985. Now as everyone here in this hall, all Council members realize, that is not correct. Cameroon was the Chairman of the Conference.

LE PRESIDENT:Je m'excuse de vous interrompre, je n'arrive pas à vous suivre, quel est le document auquel vous vous référez? C'est le 91/INF/6, c'est bien cela?

Je crois que le Secrétaire général veut dire quelque chose à cet endroit.

LE SECRETAIRE GENERAL: Il s'agit d'une erreur matérielle de date qui doit être corrigée. Il est évident que la Présidence de la Conférence n'a pas été assurée en 1985 par l'Australie, nous savons tous que c'est le Ministre de l'agriculture du Cameroun qui était Président en 1985. C'est une erreur matérielle et nous sortons un rectificatif.

LE PRESIDENT: Ce que vient de dire le Secrétaire général répond à votre souci?

Michael J. RYAN (Australia):The number of the document is CL 91/INF/6. That is exactly what I was going to request.

LE PRESIDENT:Paragraphe 24? approuvé.


Paragraph 24, as amended, approved
Le paragraphe 24 ainsi amendé, est approuvé
El párrafo 24, así enmendado, es aprobado

PARAGRAPHS 25 to 26
PARAGRAPHES 25 à 26
PARRAFOS 25 A 26

LE PRESIDENT: Paragraphe 25? approuvé. Paragraphe 26? approuvé.

Paragraphs 25 to 26, as amended, approved
Les paragraphes 25 à 26, ainsi amendés, sont approuvés
Los párrafos 25 a 26, así enmendados, son aprobados

Draft Report of Plenary, Part V, as amended, was adopted
Projet de rapport de la plénière, partie V, ainsi amendé, est adopté
El proyecto de informe de la Plenaria, Parte V, asi enmendado, es aprobado

LE PRESIDENT:Je souhaiterais maintenant donner la parole au Directeur général à l'issue de nos travaux car il a une communication à nous faire pour éclairer les travaux que nous pourrions entreprendre dans un avenir prochain.

LE DIRECTEUR GENERAL:Au terme de cet important Conseil, vous comprendrez que je souhaite dire quelques mots, même si l'heure tardive m'oblige à être très bref.

Mon propos n'est pas d'épiloguer sur les travaux de ces deux semaines, mais plutôt de me tourner vers l'avenir.

Les mois qui viennent revêtent une grande importance pour l'Organisation.Au cours de la Conférence de novembre prochain, les Etats Membres auront à prendre collectivement des décisions importantes pour le futur de la FAO.

D'abord, le Programme de travail et budget pour 1988-89.

Je ne peux manquer cet égard, de souligner la distorsion dont il nous faut, hélas, nous accommoder.

En effet, pour bénéficier d'une augmentation nette des programmes techniques et économiques de 2,2 millions de dollars, les Etats Membres seront confrontés à des augmentations de coûts de l'ordre de 53 millions de dollars.Croyez bien que je suis le premier à déplorer cet état de fait qui, malheureusement, échappe à notre emprise.

Il s'agit pour l'essentiel:

- de différences de change du dollar pour quelque 35 millions de dollars. La FAO n'y peut rien.

- le deuxième facteur de décalage est celui des accroissements de coûts. Ceux-ci sont évalués pour 1988-1989 à 17,9 millions de dollars. Ils résultent essentiellement de l'inflation. Si on prend le programme de 1986/87 et qu'on veuille l'exécuter intégralement en 1988/89, il coûte plus cher de 17,9 millions de dollars.

Comme je l'ai déjà dit lors de la discussion, le Secrétariat va s'efforcer de compresser au maximum ces coûts et n'hésitera pas à proposer des réductions s'il le peut.Je tiens, en effet, á faire le maximum pour que le budget soit approuvé par la Conférence par consensus.Je tiens à le répéter, car j'attache le plus haut prix à la cohésion de notre Organisation, à l'unité de vue et d'action de ses Etats Membres.

Nous nous y efforcerons en finalisant le Programme de travail et budget avec le maximum de clarté autant que de prévoyance.

Monsieur le Président, il est aussi de mon devoir d'attirer l'attention du Conseil sur les graves incertitudes qui entourent le versement de certaines contributions et mettent la stabilité financière de la FAO en danger.


A plusieurs reprises, j'ai répété que, malgré la dimension de la crise financière affectant le système des Nations Unies et la chute du dollar, la FAO pourrait, à force de rigueur et en utilisant toutes les ressources disponibles, se tirer d'affaire sans trop de dommages pendant le biennium 1986-87.

Malheureusement, les dernières informations que nous venons de recevoir de Washington nous rendent pessimistes pour l'avenir.

Nous avions espéré qu'après les réformes entreprises aux Nations Unies, et qui avaient largement satisfait l'administration américaine, la page pourrait être tournée.Cela ne semble pas le cas.

Le problème n'est plus, en réalité, la réforme des Nations Unies:c'est la compétition dans l'utilisation des ressources budgétaires.Dans cette compétition, de quel poids pèseront les engagements vis-à-vis des Nations Unies par rapport aux dépenses d'autres types:sociales, de sécurité, de politique externe bilatérale, etc?

Ce n'est pas la FAO qui est ici concernée, mais aussi et surtout l'ensemble des organisations du système des Nations Unies.

Je reconnais que l'administration des Etats-Unis a fait de son mieux et qu'elle a introduit des propositions législatives qui l'autoriseraient à régler ses contributions entièrement.

Pour 1986, sur quelque 50 millions de dollars de contributions, les USA ont payé 4,8 millions et se proposent de verser 20,5 millions de dollars "si les fonds deviennent disponibles" selon l'expression de Madame le représentant des Etats-Unis.On ne sait quand ces 20 millions seront dégelés.En ce qui concerne les arriérés, rien n'est prévu à ce jour, nous dit-on.

Pour 1987, comme je l'ai déjà indiqué l'autre jour, nous avons appris avec appréhension que le House Committee on Appropriations vient de reproposer un scénario similaire à celui de 1986.

En effet, dans un effort pour réduire le déficit budgétaire pour l'année fiscale 1988, le Comité vient de recommander pour les organisations internationales un budget quelque peu inférieur encore à celui de l'année dernière.En outre, quelque 37 pour cent de ce budget serait gelé jusqu'en octobre 1988.

Pour la FAO, cela signifie que les crédits budgétaires de l'année fiscale 1988 seraient à nouveau de l'ordre de 25 millions de dollars-c'est avec le budget fiscal de l'année 1988 que les Etats-Unis payent les contributions de 1987-la moitié de la contribution, dont une petite partie payée en 1987 d'un montant imprécisé-serait-il seulement de 5 millions comme en 1986?Nous ne savons pas-et le reste pas avant octobre 1988 si les fonds deviennent disponibles. On ne sait rien du reliquat de la contribution.

Si ce scénario devait se réaliser-j'espère que non-, le déficit projeté des dépenses par rapport aux recettes pourrait être de 52 millions de dollars, donc un chiffre supérieur à celui qui avait été avancé au Comité financier, sans parler des différentes réserves qui seraient alors épuisées.

Les disponibilités permettraient de couvrir les dépenses de l'Organisation jusqu'en février 1988. Que se passera-t-il si cette pratique devait se prolonger en 1989 et au-delà?Ce serait évidemment la basemême de la solidité financière de l'Organisation qui serait remise en cause.

Il ne s'agit pour l'instant que d'une proposition, je le répète, mais elle alimente en nous de très vives inquiétudes.

Si l'on tient compte de tous les arriérés et contributions dues, nos comptes sont plus qu'équilibrés.Nous avons même des surplus.Dans ces circonstances, être plongé dans une crise de trésorerie serait plus que malencontreux.

Je vois mal comment la Conférence, en novembre, pourrait se désintéresser de ce qui apparaît bien comme le problème le plus aigu et le plus immédiat de notre Organisation.

J'en viens maintenant à la question des réformes dont on a tant parlé.

Comme toute entreprise humaine, la FAO est perfectible et, en réalité, se perfectionne sans cesse. Il est dans la nature des choses que tout organisme vivant évolue, s'adapte, s'introspecte pour répondre aux circonstances.C'est nécessaire.Le progrès est fait de remise en cause. Tant la biologie que la sociologie nous l'ont appris depuis longtemps.

Loin de nous l'idée d'une FAO statique, ce qui serait vite synonyme de sclérose.


Depuis son origine, d'ailleurs, la FAO n'a cessé de s'interroger sur son action, d'affiner ses méthodes. Tous mes prédécesseurs se sont penchés sur cet exercice, à la demande et avec la collaboration des Etats Membres.Les structures ont été ajustées à plusieurs reprises.Moi-même, j'ai lancé de nombreuses initiatives, pour rendre la FAO plus directement utile à ses Etats Membres dans le besoin et la rendre moins bureaucratique selon les souhaits de tous.

Nous entrons dans l'ère de l'informatique, et M. Walton vous a expliqué, il y a quelques jours, comment la FAO s'organisait pour ne pas manquer ce rendez-vous avec la révolution technologique.

A travers les programmes FINSYS, PERSYS, PLANSYS, et les différentes banques de données, l'information deviendra plus aisément accessible.

L'informatique devrait nous aider à l'avenir à rendre nos méthodes de travail plus "transparentes" pour utiliser un vocable à la mode.

Les utilisateurs devront toutefois préciser avec clarté ce qu'ils veulent savoir.

Mais tout examen ou toute réflexion sur les activités d'une Organisation aussi vaste que la notre doit se faire de manière ordonnée et réfléchie, pour éviter le risque de paralysie ou le travers de la réorganisation permanente.

Les Etats Membres qui proposent ce réexamen l'ont dit et redit.Ce qu'ils cherchent, c'est renforcer l'Organisation.Ce n'est pas la bouleverser en modifiant sa constitution.Ce n'est pas poursuivre des intérêts nationaux ou régionaux en changeant les procédures.C'est la renforcer pour mieux affronter les tâches dont elle est constitutionnellement investie.Je leur en donne acte bien volontiers.

Monsieur le Président, notre Organisation ne peut se payer le luxe de se tromper, car on ne peut improviser à la hâte des modifications aux implications mal connues.

La Conférence de novembre serait donc, me paraît-il, le lieu et le moment appropriés, pour entamer une réflexion sur ce réexamen des activités de la FAO.Elle pourrait notamment s'accorder sur les sujets examiner, la méthode à employer, le calendrier de la discussion et le processus de conclusion.

Soucieux de l'unité de cette Organisation en tant que Directeur général, il est en tout cas de mon devoir de vous exhorter à prendre ces décisions dans la concorde et par consensus.

Cet examen ne doit pas devenir une pomme de discorde entre Etats Membres, un facteur de division.

Aux Nations Unies, c'est par consensus de l'Assemblée générale que le processus de réexamen a été entamé et par consensus qu'il s'est conclu ou se poursuit.Il s'est déroulé dans l'harmonie.

Le succès ne peut dépendre de quelques modifications dans la structure ou les méthodes de l'Organisation.Ce serait illusion de croire qu'il suffit de modifier un organigramme, ou créer un comité, pour tout régler.Non, le succès dépendra surtout du degré de cohésion dont les Etats Membres sauront faire preuve dans la poursuite des objectifs de la FAO.A la longue, l'esprit prévaut toujours sur la lettre.Cela vaut surtout pour une organisation comme la nôtre.

D'autre part, il serait simpliste de croire qu'on pourrait simplement transposer les conclusions de l'Assemblée générale des Nations Unies, en ce qui concerne le réexamen des Nations Unies, à toutes les agences.Ces dernières ont connu une évolution sui generis du fait de leur caractère technique et c'est à partir de leur acquis qu'on doit réfléchir à l'avenir.

Le Secrétariat est disposé à apporter sa contribution pleine et entière à cet effort de réflexion. Si je ne me suis d'ailleurs pas prononcé sur certaines suggestions qui m'ont été soumises, de-ci de-là, c'est par égard à l'obligation de réserve qu'un Directeur général se doit d'observer pour des sujets qui intéressent directement l'ensemble de tous les Etats Membres de l'Organisation et dont les organes directeurs n'ont pas débattu.

L'idée d'un réexamen est dans l'air du temps aux Nations Unies.Le Secrétariat ne la prend pas comme une critique, mais comme une contribution constructive.Il est d'ailleurs là pour appliquer les politiques et les décisions que les Etats Membres auront prises en toute connaissance de cause et avec les procédures dont l'Organisation se sera dotée.Pour y parvenir, le Directeur général doit certes faire preuve de rigueur, tout autant que de dialogue et d'ouverture d'esprit, pour orienter le Secrétariat.C'est sans doute ce que les Etats Membres attendent de lui.


Monsieur le Président, j'en terminerai là, car cette intervention finale n'avait pour but que de marquer la disponibilité du Secrétariat.Elle vous est acquise.Je suis persuadé que la FAO saura répondre aux défis de notre temps et, pour ma part, je ne ménagerai pas ma peine pour en faire toujours davantage l'instrument de progrès que ses pères fondateurs voyaient en elle.

En prenant congé de vous, je voudrais souhaiter aux délégations venues des capitales un excellent retour.Je leur donne rendez-vous à l'automne, au Conseil et ensuite à la Conférence.Cette dernière revêtira un caractère exceptionnel à plusieurs égards comme je l'ai souligné.Son importance pour l'avenir de l'Organisation n'échappe à personne.Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs les délégués, faisons en sorte qu'elle soit un franc succès.

LE PRESIDENT:Monsieur le Directeur général, merci de votre contribution.Je voudrais à mon tour, à la fin de ces discussions qui ont duré deux semaines, remercier Mesdames et Messieurs les délégués pour leur contribution riche, fouillée, pertinente à nos débats.Le nombre de nos interventions, le soin minutieux apporté par Mesdames et Messieurs les délégués à l'examen des questions inscrites à l'ordre du jour démontrent, s'il en était besoin, le souci jaloux que portent tous les délégués à renforcer le rayonnement de la FAO à travers le monde et à faciliter sa mission.

La FAO traverse actuellement une situation de trésorerie très difficile.Vous venez d'en parler, Monsieur le Directeur général, avec compétence.Nous avons noté la volonté farouche du Directeur général d'essayer d'aboutir à un consensus, tant il est vrai que le consensus est la règle d'or des organismes appropriés des Nations Unies.

Nous avons constaté, par ailleurs, avec fierté, la disponibilité de tous les délégués, sans exception, pour ouvrir un dialogue constructif, dans le respect des procédures en vigueur à la FAO, mais pour améliorer l'efficacité de l'Organisation, dans le souci constant d'essayer d'élargir ses attributions, son rayonnement et son efficacité à travers les pays du tiers monde où elle est appelée à travailler avec beaucoup d'efficacité.

Notre mission première est de faire face aux besoins essentiels et prioritaires de l'alimentation pour des millions de personnes.Je suis certain que les délégués de tous les Etats Membres de la FAO sont parfaitement conscients de la mission première essentielle et très noble de l'Organisation et qu'ils ne ménageront aucun effort pour que l'évolution nécessaire des structures de la FAO aillent dans le sens de l'accroissement de son rayonnement et de son efficacité et non pas dans une autre direction qui risquerait de laisser une grande partie de la population du tiers monde dans l'attente d'une évolution de sa production alimentaire.

Par ailleurs, je voudrais remercier le Secrétariat qui, tout au long des débats du Conseil, a répondu avec clarté et conviction aux questions des délégués.

Je suis persuadé que, malgré les problèmes dont il atraité-qui sont des problèmes très importants, car tout le monde est conscient que nous sommes à un tournant de la vie de l'Organisation-le Conseil a fait de son mieux pour préparer utilement la Conférence de 1987, qui sera une Conférence que d'aucuns considèrent historique.

Je suis persuadé que, d'ici le mois de novembre, les Etats Membres feront tous les efforts nécessaires pour que cette Conférence soit une réussite et que nous en sortions renforcés, unis, avec la volonté farouche d'aller de l'avant et de remplir notre mission humanitaire, économique et sociale dans les meilleures conditions.

Voilà ce que je voulais dire à la fin de ce Conseil.Je voudrais encore une fois remercier les délégués et les prier de m'excuser si nous avons parfois eu des séances houleuses ou trop longues.

The meeting rose at 20.15 hours
La séance est levée à 20 h 15
Se levanta la sesión a las 20.15 horas

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