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Livres

Répertoire exhaustif des ordres et familles d'angiospermes

CROCUS LINNAEUS (IRIDACEAE) ANNONCE LE PRINTEMPS elle sert aussi à aromatiser et colorer les aliments

An intergrated system of classification of flowering plants. Arthur Cronquist. Columbia University Press, New York, 1981. xviii, 2 162 p., illus. $100.

Il était impérieux de disposer d'un ouvrage de ce genre couvrant tous les ordres et les familles de phanérogames. Families of flowering plants, de John Hutchinson (3e édition, 1973) suit une classification qui ne répond plus aux besoins de l'étudiant exigeant, et encore moins à ceux du taxinomiste de métier; en outre, l'ouvrage ne fournit pas beaucoup d'informations en dehors de la macro-morphologic. Syllabus der Pflanzenfamilien, d'Engler (12e édition, par H. Melchior, 1964) est également quelque peu dépassé et assez limité, quoique présentant une ébauche de subdivision des familles et des genres.

La publication de ce nouvel ouvrage de Cronquist vient par conséquent à son heure. C'est le seul actuelle ment qui, dans le cadre d'un système de classification moderne, donne une information complète sur les familles, incluant la morphologie macroscopique, l'anatomie végétative, l'embryologie, la composition chimique, la sérologie, les nombres chromosomiques, et les fossiles connus. Toutes ces catégories de données sont indispensables aujourd'hui pour la pleine compréhension des relations et de la biologie des groupes végétaux. L'ouvrage de Cronquist est une véritable mine de renseignements. Les nombreuses références qui accompagnent les descriptions des ordres sont également bien choisies et d'actualité. On y trouve 225 illustrations de haute qualité; en règle générale, elles montrent les détails d'une espèce représentative choisie dans la famille considérée.

Toutefois, l'ouvrage, étant volumineux, est difficile à manier. Présenté sous un format plus large et imprimé sur deux colonnes, il aurait été deux fois plus mince. En outre, les descriptions d'ordres et de familles, présentées en alinéas serrés risquent de paraître trop denses au lecteur.

Cela mis à part, je ne trouve à cet ouvrage que des mérites. Les informations sont aussi exactes que possible et exposées clairement. L'immense savoir de Cronquist lui-même, allié à ses relations avec des botanistes du monde entier, dont l'U.R.S.S., ainsi que les facilités mises à sa disposition à la bibliothèque et à l'herbier du New York Botanic Garden, se reflètent dans la richesse et la précision des renseignements.

L'usage que Cronquist en fait pour construire son système de classification mérite aussi quelques commentaires. Il se dégage peu à peu parmi les quelques taxinomistes travaillant aux niveaux les plus élevés de la classification, un consensus, de sorte que les principales caractéristiques des classifications actuelles tendent à se rapprocher. Une coopération plus étroite dans l'avenir permettra de réduire plus encore certaines différences techniques et terminologiques superflues. La similitude croissante des classifications est due pour une large part à des données nouvelles non équivoques. La plupart des groupements et des concepts de Cronquist sont sans aucun doute avisés, et plus séduisants que ceux d'autres classifications qui adoptent une hiérarchie plus complexe, ou divisent les ordres et les familles en un plus grand nombre d'entités, ou encore font les deux. En dépit de son vaste savoir Cronquist semble quelque peu paralysé par son esprit conservateur, opposé aux innovations. C'est ainsi qu'à mon avis les familles suivantes ne sont pas à leur place dans les ordres où elles sont rangées d'après une ressemblance superficielle, et devraient en être exclues: les Chloranthaceae dans les Piperales; les Nelumbonaceae dans les Nymphaeales; les Coriariaceae dans les Ranunculales; les Sarraceniaceae et les Droseraceae dans les Nepenthales: les Fouquieriaceae et les Bixaceae dans les Lamiales; les Hippuridaceae et les Hydrostachyaceae dans les Callitrichales; les Poaceae dans les Cyperales. Ces quelques changements a eux seuls rendraient la classification plus convaincante. Un certain nombre d'autres modifications l'amélioreraient encore davantage. Etant moi-même l'auteur d'un système de classification différent, et ayant des appréciations autres, je suis évidemment tenté d'avancer des points de vue divergents.

L'attitude conservatrice de Cronquist est particulièrement manifeste dans le cas des Liliiflorae. Au lieu de reconnaître les Alliaceae, les Hyacinthaceae, les Alstroemeriaceae, et un certain nombre d'autres familles séparées en les plaçant sur un même niveau, Cronquist les inclut toutes dans ses Liliaceae. Cette approche est à la fois radicale et pratique, bien que d'importants groupements de genres, représentant des lignes d'évolution d'intérêt capital, soient relégués au niveau de sous-familles dans les Liliaceae. Chose étonnante, au milieu de cette jungle de groupes génériques, Cronquist en reconnaît quelques-uns, tels que les Cyanastraceae, les Aloëaceae, les Iridaceae.

Quelques observations s'imposent aussi à propos des concepts fondamentaux dont s'inspirent les considérations sur l'évolution des angiospermes. Cronquist prétend que les premiers angiospermes étaient probablement des arbustes ripicoles, et avaient des grains de pollen à sillon unique, et des feuilles à nervation irrégulière pennée-réticulée. Sa succession d'ordres montre qu'il est partisan de la théorie dite de l'euanthie, selon laquelle les Magnoliales seraient l'ordre existant de plantes à fleurs le plus archaïque, ce qui est en accord avec l'opinion générale actuelle. Les relations entre monocotylédones et dicotylédones sont expliquées d'une manière plus vague, et à mon sens peu satisfaisante. La parenté étroite entre Nymphaeales et monocotylédones est soulignée, et bien que Cronquist ne laisse pas entendre que les Nymphaeales sont les ancêtres directs de l'ensemble des monocotylédones, il conclut que les dicotylédones prémonocotylédones ressemblaient probablement dans une certaine mesure aux Nymphaeales modernes. Des empreintes de feuilles ressemblant à des nénuphars, datant de l'albien, corroborent cette thèse. Dans la discussion sur les affinités des Nymphaeales, j'aurais aimé voir mentionner les caractères des plastes des tubes criblés, la présence de périsperme (remarquablement semblable a celui des Piperales), et les caractères chimiques. Il aurait été bon d'évoquer d'autres points de vue, par exemple celui selon lequel les Dioscoreales monocotylédones, telles que Trichopus, et divers membres des Magnoliales sensu lato dicotylédones montrent un certain nombre de similitudes frappantes.

Cet ouvrage, toutefois, n'a pas pour propos d'exposer des doctrines philosophiques ou «évolutionnistes», mais de présenter d'une façon très pragmatique les groupes actuels d'angiospermes et leurs caractéristiques. Il est vivement recommandé pour la somme de données exactes qu'il contient, sans parler de son aspect attrayant, et il est de loin supérieur aux autres manuels du genre. Il devrait figurer sur les rayons de toutes les bibliothèques des départements de botanique des universités, et être mis à la disposition des jardins botaniques et des écoles secondaires dans le monde entier. Il mérite aussi, sans aucun doute, d'avoir sa place parmi les ouvrages de tous les taxinomistes s'intéressant à une vaste gamme de domaines.

Rolf Dahlgren
Musée botanique, Université de Copenhague, Danemark (Extrait de la revue Science, Vol. 216, No. 4551)

De la souplesse face aux contraintes

Decision making in forest management, par M.R.W. Williams. Research Studies Press (John Wiley). Chichester, Royaume-Uni, 1981, 143 pages.

C est le premier ouvrage d'une série de documents sur la recherche forestière, parrainée par la Royal Forestry Society of England, Wales and Northern Ireland. Rédigé dans un style facile et simple. c'est un ouvrage concis qui traite simplement le sujet. Il est exactement ce qu'il entendait être, c'est-à-dire un manuel et un guide pratique. Les principes et la théorie de la prise de décision sont suffisamment et clairement illustrés par des exemples qui montrent leur puissance et leurs limites.

Decision making in forest management donne à l'étudiant et au gestionnaire d'importants outils de base qui les aideront à prendre des décisions rationnelles et à adopter Des systèmes de gestion plus souples et plus pragmatiques, compte tenu des diverses contraintes. Les techniques d'analyse financière ont certes l'avantage de fournir des données quantifiées. donc accessibles à tous, mais il est évidemment difficile d'y recourir dans le cas d'éléments non mesurables. Toutefois, si les limites en sont connues, elles peuvent aider à décider «juste».

Comme l'auteur le fait remarquer avec raison, «décider juste» est encore plus important en sylviculture que dans la plupart des autres types d'entreprises étant donné la durée des périodes en jeu.

Bien que l'ouvrage soit écrit avant tout à l'intention du lecteur du Royaume-Uni, il constitue un matériel de référence très utile pour les étudiants et les forestiers d'autres pays, notamment du monde en développement.

Le livre est divisé en 16 chapitres et comprend des barèmes de calculs financiers en fonction de la rotation, les taux d'escompte et les taux composés, le rapport prix/dimension, les recettes et les dépenses actualisées, les recettes nettes actualisées, le taux de rentabilité interne et différents cas de figure.

Il comporte aussi un index très utile. Dans tout l'ouvrage l'auteur s'est efforcé de n'utiliser qu'un minimum de jargon et il mérite un éloge particulier pour sa présentation simple et directe.

C. CHANDRASEKHARAN
Rome

Pour un meilleur charbon de bois

The production of charcoal in a portable metal kiln, par A.R. Paddon et A.P. Harker. London: Tropical Products Institute, Ministry of Overseas Development, 1979, 28 pages y compris les annexes. £ 0.85.

Les fours de carbonisation portables conviennent parfaitement aux pays en développement. On y utilise depuis toujours le charbon de bois pour les usages tant domestiques qu'industriels. Vu le prix sans cesse croissant des combustibles fossiles. le coût et les difficultés de transport du bois de chauffage, le charbon de bois devrait conserver une grande place dans le proche avenir.

La méthode traditionnelle de carbonisation en meule ou en fosse gaspille du bois, parce qu'un contrôle effectif de la combustion est impossible. En outre, le charbon produit contient souvent des impuretés, terre et cailloux. Avec les fours portables on contrôle mieux la carbonisation, et par ailleurs on peut facilement les déplacer d'un point à un autre et ainsi utiliser du bois qui sans cela serait perdu, tel que les rémanents de coupe.

Cette brochure rédigée par A.R. Paddon et A.P. Harker, de l'Institut des produits tropicaux du Ministère britannique du développement d'outremer. est un rapport sur les études faites par la Section des produits forestiers et de la technologie des combustibles de cet Institut à propos des fours métalliques portables actuellement disponibles dans le commerce. Sur la base de ces études. un nouveau four a été conçu, et a déjà servi à des programmes de formation dans des pays en développement.

La plupart des essais de carbonisation utilisaient des bois enstérés avec une teneur en humidité variant entre 27 et 38 pour cent (du poids du bois humide). mais un essai a aussi été fait avec des coques de noix de coco.

Comment on utilise le bois

An elementary manual of timber utilization, par A.D.K. Hardie. Silverburn, Penicuik, Midlothian, Royaume-Uni, International Forest Science Consultancy, 1980. 95 pages. £5.00.

Comme l'indique le titre, l'ouvrage de A.D.K. Hardie est un «manuel élémentaire». Il part en effet du tout début, avec le schéma d'un arbre montrant les racines, le tronc, les branches, les feuilles, la cime. Puis il développe le thème en amenant peu à peu le lecteur selon une suite logique à se faire une idée complète de l'utilisation des bois, et à saisir des notions qui n'ont rien d'élémentaire. Les divers sujets sont traités avec suffisamment de schémas et de définitions pour être clairs, mais aussi avec assez d'informations techniques pour être utiles au spécialiste.

Les trois premiers chapitres sont consacrés à la nature du bois - sa croissance et sa structure. ses cellules et ses tissus, et enfin ses propriétés. Ayant posé ces bases solides, l'auteur poursuit en consacrant un chapitre à chacune des grandes étapes de l'utilisation des bois: mesure et cubage, conversion primaire, conversion secondaire, séchage, classement, conservation, machines à bois, énergie, emplois des bois.

L'auteur écrit en postface: «On prétend souvent que le bois est un matériau de second ordre, démodé, condamné à être remplacé par les plastiques et les métaux. Il semble au contraire que le bois a un avenir plus brillant et plus prometteur que jamais comme l'une des matières premières les plus utiles à l'homme».

Doit-on faire confiance a Héphaïstos?

The god that limps: science and technology in the eighties, par Colin Norman. W.W. Norton and Co., 1981, 224 pages.

Etranges Grecs dont le seul dieu imparfait était précisément celui qui devait assurer le bon fonctionnement de la société. Héphaïstos, dieu du feu et des forges, boitait; il était laid et irascible, et avait été chassé deux fois de l'Olympe. Pourtant, il était très populaire en raison de nombreuses aptitudes techniques et il avait pour rôle de trouver et de conserver des techniques essentielles.

L'histoire d'Héphaïstos est symbolique du rôle de la science et de la technologie modernes. Dans une analyse des tendances technologiques actuelles. Norman montre le sérieux avec lequel nous devons en examiner l'impact social. Sans aucun doute la technologie a beaucoup apporté à la société, mais ses possibilités et sa souplesse ne doivent pas faire oublier ses impuissances: alors qu'on peut aller sur la lune. pourquoi la science n'arrive-t-elle pas à résoudre les problèmes de la pauvreté et du chômage?

Pour Norman, l'accent constant mis sur le progrès technique comporte pour la société et pour l'environnement une facture qu'il faudra continuer à payer alors que ses avantages immédiats appartiendront depuis longtemps au passé. La science et la technologie sont maintenant intimement liées au fonctionnement de la société, mais leur essor a été inspiré avant tout par des raisons de profit ou d'intérêt politique sans grand effort pour améliorer la société dans son ensemble. Le fossé entre riches et pauvres pourrait se creuser rapidement si les objectifs futurs ne sont pas repensés. Norman écrit: «... La clé du développement technologique réside dans le milieu où interviennent les changements technologiques... le milieu physique, politique, économique et social.» Autant de facteurs à prendre en compte pour assurer une évolution équilibrée et sans à-coups.

ADELYN M. JONES
Sierra Club Bulletin

La lutte biologique contre les ravageurs est-elle dangereuse?

Environmental protection and biological forms of control. Ecological Bulletin No. 31. Compte rendu d'un séminaire international organisé par la Commission suédoise pour la recherche sur les ressources naturelles et le Comité suédois de contrôle des produits, Stockholm, 14-17 mai 1979. Publié sous la direction de Bengt Lundholm et Margareta Stackerud. Illustré, broché. 171 pages. $US25.

Les dangers que comporte l'emploi des pesticides «chimiques» sont assez bien connus aujourd'hui. en raison surtout des tests rigoureux exigés avant leur homologation en vue d'une utilisation spécifique. La situation est différente pour les pesticides à base d'ingrédients à action biologique et pour les méthodes de lutte biologique. Bien que ces méthodes et ces substances soient employées depuis longtemps. ce n'est que récemment que leur importance a été reconnue par les autorités phytosanitaires. Il n'existe aucune spécification particulière de testage malgré les divers dangers encourus. Pourtant il est évident que les méthodes de lutte biologique sont d'une nature très différente, et ne peuvent être traitées d'une manière identique.

Cet ouvrage est fondé sur les rapports présentés à un colloque sur «La protection de l'environnement et la lutte biologique contre les ravageurs», qui s'est tenu à Stockholm du 14 au 17 mai 1979, et qui avait pour objet d'évaluer les connaissances actuelles sur les risques inhérents à la lutte biologique au moyen d'échanges de vues entre chercheurs et autorités nationales responsables de l'homologation des pesticides. On y trouve, à la suite du discours d'ouverture, les textes de 10 communications. et diverses annexes dont les directives proposées en France pour l'homologation des pesticides non classiques.

Feuilles comestibles sous les tropiques

Edible leaves of the tropics, par Franklin W. Martin et Ruth M. Ruberté. 2nd ed. Washington, D.C. Mayagüez Institute of Tropical Agriculture, Agricultural Research Service, Southern Region, U.S. Dept. of Agriculture. Edité par Antillian College Press, Mayagüez, Puerto Rico, 1979. Tableaux, photographies, bibliographie. 234 pages.

Bien que les feuilles vertes fassent normalement partie de l'alimentation dans de nombreuses régions du tiers monde, et soient souvent consommées en temps de disette. leur valeur considérable en tant que ressource alimentaire est généralement méconnue ou sous-estimée. Elles sont souvent dépréciées ou détruites. Le mépris ou les préjugés qui les entourent depuis fort longtemps, et qui sont encore aggravés par l'urbanisation. constituent un obstacle à la pleine utilisation de cette importante source d'aliments.

Edible leaves of the tropics se propose de remédier à cette situation en présentant une étude détaillée qui est une introduction. susceptible d'intéresser aussi bien le chercheur et le planificateur que le consommateur villageois. Après un chapitre d'introduction, on y parle des principales plantes herbacées à feuilles vertes. des plantes fruitières. légumières et ornementales à feuilles comestibles, des plantes adventices communes, des arbres tropicaux, des feuilles tropicales telles qu'épices. thé, plantes à tisane. de la culture des feuilles vertes de la zone tempérée sous les tropiques, des salades vertes tropicales. des feuilles toxiques. et enfin de la culture et de l'utilisation des légumes à feuilles vertes.

Cinquante-six photographies en noir et blanc très claires illustrent le texte. On trouvera également dans cet ouvrage une liste de 44 pages des plantes tropicales à feuilles vertes comestibles et une liste alphabétique de huit pages des espèces mentionnées dans le texte.

Chimie et environnement

Chemical concepts in pollutant behaviour, par Ian J. Tinsley. John Wiley and Sons, New York, 1980. 265 pages. $US21.50.

Cet ouvrage, inspiré du cours de Ian J. Tinsley à l'université d'Etat de l'Orégon, s'adresse à des étudiants en chimie ayant suivi environ deux années d'enseignement universitaire. Il montre que le comportement des composés chimiques dans l'environnement est le résultat d'interactions complexes, déterminées par les propriétés chimiques, physiques et biologiques tant de ces corps que de l'environnement lui-même.

Le premier chapitre, consacré à la chimiodynamique. explique comment les composés chimiques se répartissent dans l'environnement en fonction de diverses propriétés telles que solubilité, pression de vapeur, coefficient de partage et pH. Le deuxième chapitre traite de leurs modifications dans l'environnement sous l'effet par exemple des processus photochimiques, des réactions d'oxydoréduction. de l'hydrolyse et des transformations métaboliques. Le troisième chapitre porte sur la bio-accumulation et la diffusion des produits chimiques par la chaîne alimentaire. Dans le quatrième chapitre on trouve une brève explication des principales méthodes d'analyse employées pour identifier et mesurer les polluants chimiques dans des échantillons de milieux. Le cinquième chapitre traite de cinq problèmes assez bien connus: le DDT. les décharges publiques de déchets chimiques. le fréon et l'ozone, le DDVP ou dichlorvos (plaquettes Vapona). et les esters de 2.4.5-T dans les eaux superficielles.

Logan Norris, qui analyse l'ouvrage dans Forest Science (Vol. 26. No. 2. 1980, p. 215-216), estime qu'il est trop élémentaire pour des chercheurs expérimentés, trop technique pour des agents de maîtrise et des cadres qui ne s'intéressent qu'accessoirement à la chimie de l'environnement, mais qu'il convient parfaitement pour des étudiants ou des ingénieurs diplômés depuis peu en chimie moderne qui souhaitent poursuivre des études ou des recherches sur ce sujet.

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