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Soutenir un développement à basses émissions des secteurs laitiers pastoraux et agropastoraux en Afrique de l’Ouest (Bénin, Burkina-Faso, Mali, Niger & Sénégal)











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    Project
    Évaluation régionale du carbone forestier pour l’atténuation du changement climatique (REDD+) en Afrique de l’Ouest - TCP/RAF/3605 2020
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    Dans le contexte de la REDD+, l’établissement d’un inventaire des ressources forestières constitue la base tant des Systèmes nationaux de surveillance des forêts ( que des Niveaux d’émissions de référence pour les forêts ( L'inventaire forestier est essentiel pour évaluer la biomasse forestière et les stocks de carbone, ainsi que pour élaborer des Facteurs d'émission ( spécifiques aux pays et régions en développement, qui peuvent être utilisés pour estimer les émissions de Gaz à effet de serre ( GES)(principalement le dioxyde de carbone) dans le secteur forestier En général, dans les pays en développement, les données nécessaires à l’établissement d’un inventaire forestier national sont soit inexistantes, soit insuffisantes pour estimer les FE pour la REDD+ C'est le cas de la plupart des pays d'Afrique de l'Ouest, ainsi que l'indiquent l'évaluation des besoins et les études de soutien ciblées financées par le Programme ONU REDD en 2015 qui ont révélé une capacité limitée d'estimation de la biomasse pour les cinq réservoirs de carbone de la région En outre, les équations allométriques existantes pour l’estimation de la biomasse, qui servent à convertir les données des inventaires forestiers, ont été élaborées sans pouvoir intégrer des données provenant d'Afrique de l'Ouest et elles ont montré des limites lors de leur application à la région De même, les données sur la densité du bois utilisées dans les équations allométriques de la biomasse proviennent d’une base de données sur la densité du bois au niveau mondial, ce qui suscite des interrogations quant à leur exactitude et à leur fiabilité lorsqu'elles sont appliquées au niveau régional ou national Ce niveau d'incertitude compromet la crédibilité des données communiquées par l'Afrique de l'Ouest à la Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques ( et à d'autres conventions internationales Les inventaires forestiers étant coûteux à réaliser, certains pays ne sont pas toujours en mesure d'investir dans des efforts visant à combler les lacunes en matière de capacités techniques et de technologies nécessaires à leur développement sans financement extérieur.
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    Brochure, flyer, fact-sheet
    Donner aux consommateurs les moyens de faire des choix alimentaires sains et de soutenir les systèmes alimentaires durables 2018
    L’alimentation est une chose personnelle: elle reflète notre culture, nos modes de vie, nos valeurs et notre pouvoir d’achat. Elle est aussi essentielle à notre survie, et détermine en grande partie notre état de santé et de bien-être. Aujourd’hui, dans le contexte de mondialisation et d’urbanisation rapide, notre alimentation est en train de changer. Les systèmes alimentaires changent et deviennent de plus en plus complexes, ce qui a tendance à créer de l’incertitude et de l’inquiétude chez nous, consommateurs. Il est essentiel que les représentants de la société civile et les pouvoirs publics réfléchissent à la façon dont ils communiquent avec les consommateurs afin de «démystifier» le système alimentaire mondial, de comprendre les points de vue et les préoccupations des consommateurs, de fournir des informations fiables pour orienter vers les consommateurs de bons choix alimentaires, et de créer les conditions permettant l’apparition d’un dialogue constructif et d’une relation de confiance. Il est admis que les aliments insalubres et les choix alimentaires nocifs contribuent fortement à la charge mondiale de morbidité. Nos comportements de consommation peuvent atténuer ou exacerber les risques inhérents à la mauvaise alimentation. Les consommateurs informés sont disposés à consommer davantage d’aliments nutritifs, à condition que ceux-ci soient abordables et disponibles, mais il est plus difficile de les convaincre d’éviter les aliments mauvais pour la santé. Les pouvoirs publics, les groupes de la société civile et les acteurs progressistes de l’industrie alimentaire ont tous intérêt à orienter les choix des consommateurs de façon à aller vers le meilleur état de santé possible. Les consommateurs ont le pouvoir de changer les choses. De plus en plus de personnes considèrent que leurs choix alimentaires influent non seulement sur leur propre santé, mais aussi sur celle des générations futures et de la planète, et elles s’intéressent notamment aux conséquences de ces choix pour le changement climatique. En transformant cet intérêt collectif en action, nous pouvons donner à un plus grand nombre de consommateurs les moyens de faire des choix alimentaires qui soient bons pour leur santé et leur bien-être ainsi que pour le monde dans lequel nous vivons. Les outils d’information ont connu une révolution ces dernières années, et l’internet et les médias sociaux sont devenus d’importantes sources d’information, mais aussi de désinformation. Les outils traditionnels d’information des consommateurs sur les aliments et les risques – tels que l’étiquetage, les brochures, les émissions de radio et de télévision et les ateliers – peuvent être complétés par des outils de communication innovants, qui permettent également le dialogue et la participation des consommateurs, améliorent la transparence et la responsabilisation et facilitent l’apprentissage et le changement de comportement.
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    Book (stand-alone)
    Croissance agricole en Afrique de l'Ouest: Facteurs déterminants de marché et de politique 2015
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    L’Agriculture ouest-africaine est à un tournant décisif. Les effets conjugués d’une forte hausse de la demande, d’une croissance économique soutenue, des prix agricoles mondiaux plus élevés et d’un environnement politique amélioré ont engendré des conditions les plus propices pour la croissance agricole depuis une trentaine d’années. Les pays d’Afrique de l’Ouest et leurs partenaires de dév eloppement reconnaissent désormais l’importance décisive du secteur pour une croissance diversifiée, la sécurité alimentaire, une nutrition améliorée et la réduction de la pauvreté. Cependant, une combinaison de défis anciens et émergents, allant du changement climatique à la volatilité accrue des prix, menace la capacité de l’Afrique de l’Ouest à saisir ces opportunités. Face aux enjeux et potentialités de l’agriculture ouest-africaine, la Banque africaine de développement (BAD), avec l’appui d u Gouvernement français, s’est associée avec l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) pour mener une étude analytique conjointe, intitulée « Croissance agricole en Afrique de l’Ouest (AGWA) : facteurs déterminants de marché et de politique ». Cette étude contribue à une meilleure compréhension de l’évolution du contexte pour la croissance du secteur agricole et agroalimentaire en Afrique de l’Ouest en : (1) examinant de plus près les facteurs déterminants et les tendances qui affectent la demande et l’offre de produits agroalimentaires ; (2) analysant la performance du secteur agricole et les politiques y afférentes au regard de ces tendances; et (3) tirant les principales implications pour l’orientation de futures politiques.

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