Forum global sur la sécurité alimentaire et la nutrition (Forum FSN)

Appels à contributions

Appel à contributions sur les expériences et les approches efficaces de politique pour aborder la question de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le contexte de la dynamique changeante des relations entre zones urbaines et zones rurales

Chers/ères membres du Forum FSN et collègues,

L’urbanisation et la transformation rurale sont deux phénomènes qui s’étendent rapidement de par le monde et qui ont diverses répercussions sur la sécurité alimentaire et la nutrition; ils requièrent également des politiques et des programmes d’un nouveau genre qui tiennent compte des contextes ruraux et urbains et de leurs problèmes respectifs.

Dans la foulée du Forum FSN sur l’urbanisation, la transformation rurale et leur incidence sur la sécurité alimentaire et la nutrition, tenu los de la dernière séance plénière du CSA, celui-ci a entrepris de réunir des expériences et des approches politiques pour aborder la question de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le contexte changeant de la dynamique rurale-urbaine. Le but est donc d’ébaucher plusieurs messages clés de politique et d´étayer le développement d’approches et de programmes efficaces qui devront aboutir à une amélioration de la sécurité alimentaire et de la nutrition.

Nous vous invitons à participer à cet exercice et à nous faire part des informations que vous possédez sur les expériences et approches de politique, quelle qu’en soit l’ampleur, de longue date ou récentes, pour autant qu’elles visent l’amélioration de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le contexte changeant de la dynamique urbaine-rurale. 

Veuillez trouver ci-après l’appel du CSA et les critères de révision. Vous êtes invités à remplir le formulaire ci-joint de la manière la plus adéquate à votre cas et dans la langue de votre préférence (anglais, arabe, chinois, français, russe ou espagnol).

Vous pouvez adresser votre requête par courriel [email protected] ou l’afficher en ligne, après votre inscription sur le Forum FSN (http://www.fao.org/fsnforum/fr) .

 Diverses requêtes et les principaux messages y associés seront inclus dans la prochaine publication du  CSA sur: « Aborder la question de la sécurité alimentaire et de la nutrition dans le contexte de la dynamique rurale-urbaine: expériences et approches politiques efficaces ».

Nous espérons que vous profiterez de l’occasion de participer à ce processus et de nous faire part de vos idées et de vos résultats.

L’équipe du Forum FSN

Le Comité de la sécurité alimentaire mondiale (CSA) appelle à présenter des résumés d’expérience et d’approche politique pour aborder la question de la sécurité alimentaire de la nutrition dans le contexte de l’urbanisation et de la transformation rurale.  

Cet appel sera lancé par l’intermédiaire du Forum global sur la sécurité alimentaire et la nutrition (Forum FSN) http://www.fao.org/fsnforum/ à partir du 8 février 2017. Le délai de présentation est le 15 mars 2017.

Les expériences et les approches de politiques doivent être centrées sur les relations entre les zones rurales et urbaines et être liées à une ou à plusieurs sphères thématiques suivantes:

  • Gouvernance: la planification territoriale/intégrée, la fourniture de services et d’infrastructure pour renforcer la connectivité, les politiques urbaines et rurales et les cadres réglementaires, la propriété foncière, les arrangements institutionnels et les cadres réglementaires
  • Durabilité: l'agriculture, le changement climatique, l’utilisation des ressources naturelles, l’efficacité économique, l'inclusion sociale
  • Systèmes alimentaires: l’agriculture, la durabilité, la production de denrées alimentaires, les pertes et le gaspillage de nourriture, la transformation des denrées alimentaires (transport, stockage, traitement, financement, vente en gros et au détail), les modèles de consommation de produits alimentaires, la gestion de la chaîne d’approvisionnement, la nutrition, les chaînes de valeur, les flux de ressources, les réponses rurales au phénomène d’urbanisation
  • Équité sociale et économique: le travail et l’emploi, l'emploi des jeunes, la protection sociale, les modèles de consommation, la santé, la nutrition, la migration, les systèmes de moyens d'existence à niveaux multiples, la mobilité professionnelle, l’égalité des genres, l'éducation, la participation sociale, la réduction de la pauvreté, le développement de l'économie rurale, la résilience

Toutes les propositions seront communiquées par le biais du Forum FSN et affichées sur le site Web du CSA. Une équipe technique spéciale révisera et sélectionnera les propositions reçues en fonction des critères suivants:

  • Axe sur les relations entre zones rurales et zones urbaines: mesure dans laquelle l’expérience/la politique aborde les interrelations et les complémentarités entre les zones rurales et les zones urbaines
  • Impact/pertinence pour la sécurité alimentaire et la nutrition: mesure dans laquelle l’expérience/la politique aborde les questions de la sécurité alimentaire et de la nutrition (disponibilité, accès, utilisation et stabilité) et la réduction de la pauvreté
  • Adversité: mesure dans laquelle l’expérience/la politique offre des enseignements (positifs et négatifs) sur la manière dont les lacunes, les obstacles et d'autres circonstances défavorables (de type administratif, économique, politique, etc.) ont été abordés
  • Equité: mesure dans laquelle l’expérience/la politique aborde la question du rôle des petits producteurs, y compris les exploitants familiaux, les personnes et les groupes vulnérables (femmes, jeunes, personnes handicapées, populations autochtones, migrants/réfugiés)
  • Innovation et changement: mesure dans laquelle l’expérience/la politique présente un élément propre de changement dans l’approche adoptée

À l’issue du processus de révision et de sélection, l’équipe technique spéciale effectuera une synthèse et une analyse des expériences élaborera des messages clés qui seront discutés et adoptés par le groupe de travail à composition non limitée du CSA sur l’urbanisation et la transformation rurale, en juin 2017. Le document qui en résultera sera présenté en vue de son adoption à la prochaine séance plénière du CSA qui se tiendra en octobre 2017.

Cette activité est maintenant terminée. Veuillez contacter [email protected] pour toute information complémentaire.

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Representación Permanente de la República Argentina

Proponente

Ministerio de Agroindustria de la Nación



Principal entidad responsable

Ministerio de Agroindustria de la Nación



Fecha/periodo

Junio 2015 al presente.



Fuente de financiación

Propia y externa.



Lugar

Argentina



Antecedentes/Contexto

Los datos internacionales indican que en la actualidad 842 millones de personas pasan hambre, de las cuales 47 millones pertenecen a América Latina. Paralelamente, se suele decir que la producción de alimentos deberá incrementarse aún más, puesto que las estimaciones son que para el año 2050 la población mundial alcanzará los 9200 millones.

Por su parte, la Organización de las Naciones Unidas para la Alimentación y la Agricultura (FAO) ha publicado un informe del Instituto Sueco de Alimentos y Biotecnología (SIK) donde se estima que alrededor de 1300 millones de toneladas de alimentos se desechan en todo el mundo, aproximadamente 30% de la oferta alimenticia mundial, aun cuando todavía son aptos para consumo humano. Estas cifras alcanzan a toda la cadena agroalimentaria, desde la producción primaria hasta los hogares, y se traducen en un costo económico, social y ambiental muy significativo.[1]

Aunque para ese entonces los resultados del informe se interpretaron con precaución debido a la escasa información disponible y a las dificultades para obtenerla, luego de varios años y una multiplicidad de investigaciones posteriores, hoy se reconoce que la cifra no estaba tan errada.

Esta problemática permite visualizar la falta de eficiencia de los sistemas alimentarios y cadenas, que se traducen en pérdidas del valor económico. Al mismo tiempo, la creciente globalización hace que algunos productos alimenticios se produzcan, procesen y consuman en partes muy diferentes del mundo. De modo que productos básicos que se desperdician en una parte del mundo, pueden afectar la disponibilidad y los precios en otros lugares.

América Latina es la región que en proporción presenta las menores pérdidas y desperdicios que en promedio rondan el 15% de los alimentos disponibles. En particular, se producen mayormente en las etapas de consumo (28%), producción (28%), manejo y almacenamiento (22%), y en menor medida en el comercio, la distribución (17%) y durante el procesamiento (6%).

Sin embargo, este porcentaje es alarmante considerando el rol que desempeña la región como productor de alimentos. En términos numéricos sólo el desperdicio en la etapa de comercio minorista y consumo rondaría los 25 kilos de alimentos per cápita al año.[2]

En este contexto, se reconoce que el problema tiene escala mundial, pero sus causas varían en cada país, provincia e incluso ciudad, en función de las características geográficas del territorio, el tipo de producción, la infraestructura, el perfil de los consumidores, entre otros factores. Por lo cual necesariamente requiere un abordaje integral y un horizonte de trabajo amplio.

Además de ser un obstáculo para la seguridad alimentaria; la pérdida y el desperdicio de alimentos también tiene un impacto ambiental negativo. Producir alimentos que nadie consumirá, significa utilizar de manera ineficiente los recursos naturales, los servicios y otros bienes.

A ello se añade el costo ambiental representado por la emisión de gases de efecto invernadero – generadas durante todo el proceso de la cadena alimentaria- que de este modo contribuyen inútilmente al calentamiento global y al cambio climático. Las consecuencias ambientales son mayores a medida que el desecho se produce en etapas de la cadena más avanzadas. Es decir cuanto mayor es el grado de procesamiento en un alimento, mayor es el impacto ambiental.

Por último, los alimentos que se tiran aumentan el volumen de basura y agudizan el problema de tratamiento de los Residuos Sólidos Urbanos.

América Latina y el Caribe

Dada la complejidad, la FAO ha reconocido la importancia de coordinar las acciones a nivel regional como un asunto estratégico para mejorar la seguridad alimentaria y nutricional, en línea con el compromiso asumido en la XXXIII Conferencia Regional para América Latina y el Caribe.

La Oficina Regional de la FAO realizó en 2014 una Consulta Regional de Expertos para identificar referentes que estuvieran desarrollando acciones en esta materia, en pos de analizar los desafíos, así como la futura incorporación de acciones coordinadas en las políticas públicas y fortalecimiento de los sistemas alimentarios.

Como resultado de esta reunión, los participantes acordaron conformar la Red Latinoamericana y Caribeña de Expertos para la Reducción de Pérdidas y Desperdicios de Alimentos, con la función de ser el soporte técnico y ente facilitador a nivel nacional de la Iniciativa SAVE FOOD en la región.

Asimismo, se trabajó en una propuesta de Plan de Acción Regional basado en tres pilares: a) gobernanza y alianzas, b) investigación, tecnología y conocimiento, e c) información y comunicación.

El Equipo de nutrición y educación alimentaria de la Dirección de Agroalimentos tuvo la oportunidad de participar junto con colegas de la Representación de la FAO en Argentina, la Red Argentina de Bancos de Alimentos y del Instituto Nacional de Tecnología Agropecuaria (INTA).

Un año más tarde, la Oficina Regional de la FAO convocó a autoridades de los países a participar del Primer Diálogo Regional sobre Pérdidas y Desperdicios de Alimentos para América Latina y el Caribe, en la ciudad de Santo Domingo, República Dominicana. El encuentro logró un compromiso respecto del Plan de Acción Regional donde se impulsa a construir alianzas para apoyar a los países a enfrentar los principales desafíos relacionados con la seguridad alimentaria, el desarrollo rural y el alcance de sistemas alimentarios más eficientes e inclusivos.

Así es que en la mayoría de los países de la Región se observan iniciativas de prevención y reducción de pérdidas y desperdicios de alimentos, que han surgido desde el ámbito público, privado, organismos no gubernamentales y muchos otros como los movimientos Disco Sopa o similares.

Argentina

Considerando que la reducción del desecho alimentario deriva en ser más competitivo, desde 2013 la Dirección de Agroalimentos (DAA) ha estado abordando la reducción de las pérdidas y el desperdicio de alimentos. En un principio, se trabajó en la difusión de la temática haciendo hincapié en su impacto en la seguridad alimentaria y el cuidado del ambiente; como así también en la oportunidad para articular acciones en todo el sistema agroalimentario. En este sentido, la DAA observó la necesidad de formular e implementar acciones que permitan profundizar la información, estimar la magnitud del problema, identificar los principales factores que contribuyen a su generación y proponer acciones de ejecución inmediata que posibiliten progresivamente, en el corto, mediano y largo plazo, reducir las PDA de manera eficaz.

Cabe mencionar que desde el inicio de las acciones, se trabajó en articulación permanente con la Representación de la FAO en Argentina y la Red Argentina de Bancos de Alimentos.

En 2015 la Dirección de Agroalimentos del Ministerio de Agroindustria realizó el primer Ejercicio de estimación de las pérdidas y desperdicio de alimentos en Argentina, para analizar las causas, magnitud y consecuencias. La investigación trabajó sobre los principales sectores agroalimentarios representativos de la actividad económica del país, en términos de producción, de exportaciones y de importancia relativa para las economías regionales.

La metodología de cálculo se basó en la desarrollada por el Instituto Sueco de Alimentos y Biotecnología, a pedido de FAO en 2011; la cual se aplicó sobre 7 sectores (Carnes, Cereales, Frutas, Hortalizas, Lácteo, Oleaginosas, Raíces y tubérculos), y a su vez en los siguientes productos: carne bovina, aviar, porcina, leche, trigo y maíz, soja y girasol, frutas de pepita y de carozo, y papa.

Más allá que el informe contiene estimaciones muy preliminares y requieren ajustes metodológicos, el trabajo arrojó un volumen total de PDA de 16 millones de toneladas (T) de alimentos en su “equivalente primario”, lo que representa el 12,5% de la producción agroalimentaria, donde las “pérdidas” explican el 90% del total, mientras que el “desperdicio” sólo el 10%. Esto nos indica que estamos muy por debajo del promedio mundial (30% de PDA total). No obstante, las cifras expresadas en toneladas resultan alarmantes: 14,5 millones de T de “pérdidas” y 1,5 millones de T de “desperdicio”.

Asimismo, se observan sectores como el hortícola o el frutícola con porcentajes que ascienden al 45 y 55%, similares e incluso superiores al promedio mundial (45%); que coinciden con apreciaciones del INTA, donde se consigna que en Argentina sólo se consume la mitad de las frutas y hortalizas que se cosechan, y aproximadamente el 80% de esa pérdida se registra en las etapas de producción, post cosecha y procesamiento.

En líneas generales se observan dificultades de acceso a la tecnología y a la innovación en los procesos, limitaciones en términos de conservación y transporte, necesidad de desarrollar procesos alternativos para productos perecederos, y necesidad de concientizar a la población y actores productivos, y sobre la re utilización de los excedentes.

Por su parte, la Cooperación del Mercado Central de Buenos Aires compartió algunas cifras de las 50 especies principales. Estas indican que durante 2013 debieron ser decomisadas más de 4.200 toneladas de frutas y verduras que no se hallaban aptas para su comercialización entre las que se encuentran zanahorias, peras, tomates, cebollas, papas, zapallitos, melones, y otras 43 especies más.

En relación a otras investigaciones locales, resulta ilustrativo citar los estudios sobre determinaciones de la composición de los Residuos Sólidos Urbanos (RSU) en la Ciudad Autónoma de Buenos Aires y el Área Metropolitana. Estos son realizados por el Instituto de Ingeniería Sanitaria de la Facultad de Ingeniería de la Universidad de Buenos Aires en convenio con la Coordinación Ecológica Metropolitana (CEAMSE). En la última publicación (2011) estimaron que los desechos alimenticios representan el 41,55% en la CABA y el 37,65% en el AMBA del total de los RSU. Es decir que los alimentos constituyen el mayor porcentaje de desechos, seguido de los plásticos, papeles y cartones debajo del 18% aproximadamente. Algunos de estos desperdicios son inevitables, no obstante el estudio señala que una gran cantidad podrían ser reutilizados puesto que son productos sin consumir o a medio consumir.



Enfoque/Objetivos

Coordinar, proponer e implementar políticas públicas, en consenso y con la participación de representantes del sector público y privado, sociedad civil, organismos internacionales, entre otros, que atiendan las causas y los efectos de la pérdida y el desperdicio de alimentos.



Características principales de la experiencia/proceso

Las acciones del Programa se estructuran en tres pilares acordados a nivel regional: a) gobernanza y alianzas; b) investigación, tecnología y conocimiento, y c) comunicación.

Detalle de acciones 2013-2016

a) Gobernanza y alianzas

- Desde su conformación, la Dirección de Agroalimentos es miembro de la Red Latinoamericana y Caribeña de Expertos para la Reducción de Pérdidas y Desperdicios de Alimentos coordinada por la Oficina Regional de la FAO para América Latina y el Caribe. Octubre 2014.

- Participación en la Reunión de Expertos Agrícolas del Grupo de Trabajo de Desarrollo del G20 celebrada en Estambul, Turquía. Febrero 2015.

- Participación en el Primer Diálogo Regional sobre Pérdidas y Desperdicios de Alimentos organizado por la Oficina Regional de la FAO para América Latina y el Caribe, Santo Domingo, República Dominicana. Septiembre 2015.

- Fortalecimiento del programa de capacitaciones con organizaciones vinculadas a la Red Argentina de Bancos de Alimentos y los 16 bancos de alimentos en todo el país.

- Mención especial en la Categoría V Campañas de difusión y educación que promueven los hábitos saludables, la innovación y sustentabilidad agroalimentaria con el proyecto “Pérdida y desperdicio de alimentos: un problema global con soluciones locales”. Noviembre 2015.

- Realización de 2 eventos con el propósito de ampliar la participación de diferentes actores públicos, privados y del tercer sector, en vías de afianzar el compromiso para el trabajo mancomunado y multisectorial, a saber:

1. Hacia la reducción de pérdidas y desperdicio de alimentos en Argentina. Presentación del Programa Nacional y los resultados del Proyecto de Cooperación Técnica de FAO “Diseño metodológico para la estimación de los desperdicios de alimentos de la Argentina en las etapas de distribución y comercio minorista y consumo en hogares”. Marzo 2016.

2. Reducir las pérdidas y el desperdicio de alimentos depende del compromiso de todos. Firma de cartas de adhesión al Programa Nacional, presentación de los avances y de las herramientas de comunicación. Septiembre 2016.

- Se mantuvieron 36 reuniones de coordinación y articulación público-privada para avanzar en acciones múltiples para contribuir con la reducción de PDA en los diferentes ejes de trabajo.

- Adhesión de más de 50 contrapartes del sector público, privado y tercer sector al Programa Nacional, lo que significa un gran avance en materia de articulación multisectorial en la temática y nos posiciona como pioneros en la región.

- Conformación de la Red Nacional para la Reducción de Pérdida y Desperdicio de Alimentos.

b) Eje investigación, tecnología y conocimiento

- Ejercicio de estimación sobre pérdidas y desperdicio de alimentos en Argentina realizado por el área de estudios sectoriales de la Dirección de Agroalimentos de la ex Subsecretaría de Agregado de Valor y Nuevas Tecnologías.

- Ejecución del Proyecto de Cooperación Técnica de la FAO Diseño metodológico para la estimación de los desperdicios de alimentos de la Argentina en las etapas de distribución y comercio minorista y consumo en hogares (TCP/ARG/3501).

c) Eje comunicación y difusión

- Sección en el Sitio Web www.alimentosargentinos.gob.ar destinada al Programa Nacional de Reducción de Pérdida y Desperdicio de Alimentos. Contiene información institucional y además un sector destinado a brindar información al público general.

- Campaña Valoremos Los Alimentos

Logotipo aprobado para tal fin por Resolución Ministerial N° 18/2016.

Desarrollo de banners y folletos para dar a conocer la iniciativa, y brindar información y consejos tendientes a reducir el desperdicio de alimentos.

Manual para aprovechar al máximo los alimentos y evitar el desperdicio. El equipo de nutrición y educación alimentaria ha desarrollado un manual con ideas y consejos simples para poner en práctica en el hogar e incentivar a un uso y consumo más responsable de los alimentos. Está dirigido especialmente al consumidor aunque también es adecuado para el personal de servicios de alimentación.

Spots Valoremos los Alimentos por Narda Lepes. Se desarrollaron 8 videos donde la chef brinda un mensaje positivo sobre la necesidad de valorar la comida, aprovechar los alimentos y evitar el desperdicio; mientras que propone consejos para utilizar las sobras de los alimentos o preparaciones para cocinar un nuevo plato.

Otros materiales de difusión. Se utilizaron pines, repasadores, individuales de papel, manteles, banners y calcomanías para entregar en ferias y eventos gastronómicos.

Redes sociales. La campaña estuvo disponible a través de las redes Facebook, Twitter e Instagram entre septiembre y diciembre 2015.

Apoyo a campañas de terceros:

Campaña Valoremos Los Alimentos, ejecutada por Solidagro Asociación Civil en redes sociales con motivo del Día Mundial de la Alimentación. Octubre 2016.

Resultados: a través de las redes Facebook y Twitter se alcanzaron un total de 5891 personas, y por medio del mailing masivo se alcanzaron 3091 personas.

Campaña No Tires Comida en el marco de Valoremos Los Alimentos; ejecutada por Unilever de Argentina S.A. y Supermercados Carrefour en conjunto con FAO Argentina y la Dirección de Agroalimentos. Octubre – noviembre 2016.

Resultados: la campaña se replicó por diferentes medios de comunicación en las 588 tiendas de Carrefour; y además por el circuito de comunicación interna para 4600 empleados.

Publicaciones

Ficha N° 14 Desperdicios de alimentos. Publicada en el Sitio Web Alimentos Argentinos. Dirigida especialmente a brindar al consumidor ideas simples para evitar el desperdicio individual en los hogares.

Las huellas del despilfarro. Revista Alimentos Argentinos N° 58. Julio 2013.

Ningún alimento debe ser desperdiciado. Revista de Investigaciones Agropecuarias (RIA) N° 39. Diciembre 2013.

Dejar la huella. Revista Bacanal. Abril 2014.

Cómo evitar el derroche. Revista Alimentos Argentinos N° 62. Julio 2014.

Hacer mejor las cosas correctas. Tecnologías para aumentar la productividad disminuyendo pérdidas y desperdicios. Revista Alimentos Argentinos N° 62. Julio 2014.

Cinco eses contra los desperdicios. Revista Alimentos Argentinos N° 63. Septiembre 2014.

Red de Expertos para reducir el despilfarro de alimentos. Revista Alimentos Argentinos N° 64. Diciembre 2014.

Un ejercicio de estimación. Pérdidas y desperdicio alimentario en Argentina. Revista Alimentos Argentinos N° 65. Abril 2015.

Aprovechar al máximo los alimentos. Revista Celi&Co Año 10 Número 39. Junio2015.

Sección de Argentina en el Boletín 3 Pérdidas y desperdicios de alimentos en América Latina y el Caribe. Reducir a la mitad las Pérdidas y Desperdicios de Alimentos per cápita en 2025, un compromiso de la región. FAO, febrero 2016.

Organicemos las compras. Revista CELI&CO “La revista de los celíacos”. Año 11 – N° 43. Junio 2016.

Valoremos los alimentos, evitemos pérdidas y desperdicios. Revista DIAETA (B. Aires) 2016; 34 (155):25-32. ISSN 0328-1310.

Pérdidas y desperdicios de alimentos: un problema global con soluciones locales. Revista La Alimentación Latinoamericana. Año L – 327. Noviembre 2016.

Iniciativas para valorar los alimentos. Revista Énfasis Alimentación. Nº1. Febrero 2017.

Desarrollo de la Guía Integral para Municipios. ¿Qué puede hacer una ciudad para reducir pérdidas y desperdicios de alimentos?, en conjunto con Banco Mundial Buenos Aires. Abril 2017.

Conferencias en eventos

Organización del Día Mundial de la Alimentación 2013: Reducir la huella alimentaria. ¡Vos también podes ser parte! El evento contó con la exposición de representantes de FAO Argentina y el testimonio de la Directora de la Red Argentina de Bancos de Alimentos. Octubre 2013.

V Ciclo de Cine Ambiental Historias sobre el impacto de nuestro estilo de vida en la naturaleza. Banco Mundial. El evento contó con una mesa de debate junto a Martiniano Molina, y representantes de FAO Argentina y de la Red Argentina de Bancos de Alimentos. Marzo 2014.

Pérdidas y desperdicios de alimentos. Presentación en la V Jornada Regional de la Red Nacional De Protección De Alimentos (RENAPRA) Región Centro: "Sumando actores: la participación comunitaria y la intersectorialidad como factores clave en el éxito de las intervenciones" en la ciudad de Larroque, Entre Ríos. Septiembre 2014.

Pérdidas y desperdicios de alimentos. Presentación en la V Jornada Regional de la Red Nacional De Protección De Alimentos (RENAPRA) Región Patagonia Norte y Cuyo: "Sumando actores: la participación comunitaria y la intersectorialidad como factores clave en el éxito de las intervenciones" en la ciudad de Villa La Angostura, Provincia de Neuquén. Octubre 2014.

Pérdidas y desperdicios de alimentos. Disertación en el Congreso Argentino de Nutrición organizado por la Federación Argentina de Graduados en Nutrición. Mayo 2015.

Cómo abordar la problemática de la pérdida y el desperdicio de alimentos. Disertación en I Congreso Latinoamericano del FANUS, V Congreso de Alimentos Siglo XXI y la XXXVIII Reunión de CASLAN. Agosto 2015.

Programa Nacional de Reducción de Pérdida y Desperdicio de Alimentos. Disertación en la II Cumbre de Alimentos, nutrición y salud de la Provincia de Buenos Aires. Septiembre 2015.

Programa Nacional de Reducción de Pérdida y Desperdicio de Alimentos. Disertación en el Seminario Producción de Alimentos de la Secretaría de Agricultura, Ganadería y Pesca. Septiembre 2015.

Programa Nacional de Reducción de Pérdida y Desperdicio de Alimentos. Disertación en el Primer Diálogo Regional sobre Pérdidas y Desperdicios de Alimentos organizado por la Oficina Regional de la FAO para América Latina y el Caribe, Santo Domingo, República Dominicana. Septiembre 2015.

Participación en el evento organizado por el Banco Mundial: Pérdidas y desperdicio de alimentos, ¿Qué se puede hacer en Argentina? Octubre 2015.

Pérdidas y desperdicios de alimentos, un problema global con soluciones locales. Disertación en el XV Congreso Argentino de Ciencia y Tecnología de Alimentos organizado por la Asociación Argentina de Tecnólogos Alimentarios. Noviembre 2015.

Pérdida y desperdicio de alimentos, un nuevo enfoque. Disertación en la 11a Jornada de Actualización en Nutrición y Tecnología de Alimentos. Universidad Nacional de Luján. Provincia de Buenos Aires. Noviembre 2015.

Programa Nacional de Reducción de Pérdida y Desperdicio de Alimentos. Disertación en XX Congreso Argentino de Nutrición, organizado por la Sociedad Argentina de Nutrición. Noviembre 2015.

Durante 2016 se realizaron 17 disertaciones la mayoría en congresos, seminarios y jornadas técnicas de alimentos, nutrición y sustentabilidad.

Presencia en medios de comunicación

Consejos para no desperdiciar alimentos. Junto a FAO Argentina en el Programa Cocineros Argentinos, TV Pública.

Consejos para evitar el desperdicio de alimentos. Programa Red de Salud, TV Pública.

Participación en el Programa Sábado Verde de Radio Ciudad. Agosto 2014.

Entrevista para Canal Rural durante la II Cumbre de Alimentos, Nutrición y Salud de la Provincia de Buenos Aires. Septiembre 2015.

Participación en el Programa Vivo en Argentina, TV Pública. Diciembre 2015.



Actores clave involucrados y su función

Sector público, sector privado, tercer sector, academia, organismos internacionales.



Principales cambios observados que suponen una mejora de la seguridad alimentaria y la nutrición

La temática ha sido muy bien recibida tanto por el sector agroalimentario como por los consumidores.



Desafíos a los que hubo que enfrentarse y cómo se superaron



Enseñanzas/mensajes clave

Para avanzar en sistemas alimentarios sostenibles es necesario el trabajo multisectorial e interdisciplinario, con un liderazgo desde el sector público, y un rol activo de otros sectores.

 

[1] Iniciativa mundial sobre las pérdidas y el desperdicio de alimentos. SAVE FOOD. FAO 2012.

[2] Pérdidas y desperdicios de alimentos en América Latina y el Caribe. FAO 2014. 

Representación Permanente de la República Argentina

Proponente

Programa “El Mercado en Tu Barrio” (EMETB)



Principal entidad responsable

Subsecretaria de Alimentos y Bebidas del Ministerio de Agroindustria de la Nación

Subsecretaría de Comercio Interior del Ministerio de Producción de la Nación



Fecha/periodo

Inicio septiembre de 2016 – continua todo el año 2017



Fuente de financiación

Fondos propios de cada ministerio mencionado.



Lugar

Argentina: alcance nacional

Se inició en el conurbano de la provincia de Buenos Aires, y en este año 2017 se empieza a implementar en el interior del país.



Antecedentes/Contexto

El programa se desarrolla para ofrecer en la población productos de calidad y a precios accesibles en poblaciones de barrios más vulnerables, dado que la coyuntura de los últimos años generaba una oferta en el mercado con alta disparidad de precios para los mismos productos.



Enfoque/Objetivos

  • Ofrecer a la población en general y la socialmente más vulnerable en particular, una oferta variada de alimentos a precios accesibles.
  • Acercar el productor al consumidor, acortando la cadena comercial.
  • Posicionar las ferias y mercados de cercanía como espacio de comercialización de ALIMENTOS que cumplen las condiciones higiénico-sanitarias, a un precio económico, asegurando la calidad, variedad en la oferta y ofreciendo información al consumidor sobre aspectos nutricionales, de consumo y recomendaciones de compra.

Características principales de la experiencia/proceso

Se ofrece alimentos frescos y procesados de los principales rubros (lácteos, frutas y verduras, carnes, farináceos), con una oferta variada y de calidad, a un precio económico. Los puestos son entre 8 y 12, y no se repiten los productos, de manera que no hay competencia en el EMETB entre los feriantes que participan.

Las mejoras en el precio al consumidor se logran con la disminución de intermediarios, la disponibilidad de espacio gratuito para la venta, la certeza de la venta por la publicidad de la feria a cargo de Nación y el Municipio.

Se prioriza la participación de productores y/o pymes de alimentos locales.

Además, se busca alentar a la comercialización formal de alimentos cumpliendo con la normativa higiénico-sanitaria e impositiva.



Actores clave involucrados y su función

Gobierno provincial y municipal, feriantes (que pueden ser pymes alimentarias o productores agropecuarios).



Principales cambios observados que suponen una mejora de la seguridad alimentaria y la nutrición

El EMETB al ofrecer rubros variados de la canasta básica, y con una amplia variedad de frutas y verduras de calidad y a buen precio permite cumplir con la seguridad alimentaria en distintos aspectos: inocuidad, acceso a los alimentos, y como necesidad desde el plano nutricional informar y promover el consumo de frutas y verduras.



Desafíos a los que hubo que enfrentarse y cómo se superaron

Lograr el cuidado de los materiales entregados a los feriantes a través del municipio. Solo en pocos casos mantener la periodicidad, o mejorar los lugares seleccionados por el Municipio para el emplazamiento de la feria.

Buscar que EMETB no sea una competencia para los comercios cercanos, para lo cual funcionan un solo día de la semana, según el caso, son semanales o se reitera en el mismo a los 15 días.

Generar un buen circuito de comunicación para dar a conocer la feria, en algunos se ha logrado un excelente record de venta con participación de más de 3000 compradores en un día.



Enseñanzas/mensajes clave

Es clave el acompañamiento y seguimiento de los EMETB antes y después del lanzamiento del mismo.

Evaluar las condiciones de cada lugar y conocer los actores locales para priorizar variedad, calidad y producción de la zona, y consensuar precios referenciales de los productos que beneficien tanto al productor como al consumidor.

Representación Permanente de la República Argentina

Proponente

Ministerio de Agroindustria de la Nación



Principal entidad responsable

Subsecretaría de Alimentos y Bebidas (SSAyB)



Fecha/periodo

2015-2016



Fuente de financiación

PROCAL-Ministerio de Agroindustria



Lugar

Argentina



Antecedentes/Contexto

Durante el año 2015 se llevó a cabo un Proyecto de Asistencia Integral para la implementación de Sistema de Gestión de Calidad y Promoción del consumo interno de legumbres a través del PROCAL.

En vistas de la declaración de la Organización de las Naciones como el año 2016: Año Internacional de las Legumbres, reconociendo sus bondades nutricionales y productivas y con el propósito de crear mayor conciencia de la contribución que tienen estos alimentos para la seguridad alimentaria.



Enfoque/Objetivos

Fomentar el consumo de legumbres en el mercado interno e incentivar su incorporación a la producción de alimentos procesados y de comodidad



Características principales de la experiencia/proceso

- Ficha de nutrición sobre Legumbres dirigida al consumidor en la cual se brinda información nutricional, recomendaciones y formas de consumo de las legumbres (septiembre 2014). Esta divulgación se publicó en la página de la dirección de Agroalimentos y se difundió a través de sus Redes Sociales llegando a más de 6000 seguidores.

Disponible en: http://www.alimentosargentinos.gob.ar/HomeAlimentos/nutricion/ficha_31…

- Colaboración en proyectos de investigación: Se puso en contacto a representantes de la CLERA con la Facultad de Farmacia y Bioquímica de la Universidad de Buenos Aires, para que ejecuten la realización de análisis de composición química de 5 variedades de porotos. Estos resultan en los primeros análisis realizados en porotos nacionales, a la fecha se utilizan datos de composición química de variedades de otros países (Marzo 2015).

Más información: http://www.alimentosargentinos.gob.ar/HomeAlimentos/Nutricion/Legumbres/

- Elaboración e impresión de 2000 ejemplares de un Manual de Buenas Prácticas Agrícolas para Legumbres (mayo 2015).

Disponible en: http://www.alimentosargentinos.gob.ar/HomeAlimentos/Publicaciones/docum… calidad/bpa/BPA_Legumbres.pdf

- Elaboración e impresión de 3000 Recetarios “Recetario: Hoy comemos…¿Legumbres”. La publicación se difundió en diversos eventos que se han programado entorno a esta temática (mayo 2015).

Disponible en: http://issuu.com/alimentosargentinos.gob.ar/docs/daa_recetario_de_legum… 02827449c69

- Realización de la I Jornada de Revalorización de las legumbres secas en la alimentación humana (29/05/2015): Con el propósito de fomentar la incorporación de este importante grupo de alimentos a la dieta diaria, la Dirección de Agroalimentos en conjunto con el Foro de la Alimentación, Salud y Nutrición (FANUS) y la Cámara de Legumbres de la República Argentina (CLERA) organizaron un evento con el objetivo reunir a los actores más relevantes del sector con el propósito de impulsar la incorporación de este alimento en la alimentación diaria, revalorizando sus características nutricionales, dando a conocer las diferentes etapas de la cadena agroalimentaria, con especial hincapié en la producción de alimentos industrializados. Asistieron 150 personas.

Para mayor información: http://www.alimentosargentinos.gob.ar/HomeAlimentos/Noticias/noticia_co… hp?id_noticia=437

- Articulación de acciones con otras entidades u organismos: Se puso en contacto a la CLERA con diferentes Cámaras de alimentos tales como la Cámara Argentina de Productores de Alimentos Libres de Gluten (CAPALIGLU) o con herramientas de agregado de valor, tales como Producción orgánica, sello alimentos argentinos, entre otros (Julio 2015).

- Propuesta de actualización de la sección de nutrición de la página de la CLERA. La propuesta se presentó formalmente en reunión de la Comisión Directiva de la Cámara el día 11/11/2015.

- Fichas de Tecnología para la Industria Alimentaria. Se realizaron dos fichas sobre tecnología las cuales brindan información completa sobre aquellos procesos tecnológicos que resulten útiles a los distintos actores de las cadenas alimentarias. A saber: Ficha N° 24: Procesamiento de Legumbres, Opciones para la Diversificación del Consumo (noviembre 2014); y Ficha N° 25: Procesamiento de Legumbres: Etapas Poscosecha e Industrialización (mayo 2015).

Disponibles en: http://www.alimentosargentinos.gob.ar/contenido/sectores/tecnologia/Fic… http://www.alimentosargentinos.gob.ar/contenido/sectores/tecnologia/Fic…

Publicación en Revista “Celi&CO” N°38.

Publicación desarrollada por el Equipo de nutrición y educación alimentaria de la Dirección de Agroalimentos sobre “Legumbres: Naturalmente ricas y libres de gluten” en la cual se explican las características nutritivas de estos alimentos y se brindan consejos para su consumo (marzo 2015).

- Publicación en Revista “Alimentos Argentinos” N° 66.

Esta publicación contó con un informe especial referido a las legumbres. En esta edición se trataron temas como La I Jornada de Revalorización de las Legumbres secas en Argentina, Potencial de subproductos a base de legumbres para la exportación y Procesos para la industrialización de las legumbres (junio 2015).

Disponible en: http://issuu.com/alimentosargentinos.gob.ar/docs/aa_66_issuu

Sección especial en la página web institucional: http://www.alimentosargentinos.gob.ar/HomeAlimentos/Nutricion/Legumbres/



Actores clave involucrados y su función

Ministerio de Agroindustria

CLERA: Cámara de legumbres de la República Argentina



Principales cambios observados que suponen una mejora de la seguridad alimentaria y la nutrición

Colaboración en proyectos de investigación

Diseño e impresión del Recetario Hoy comemos… ¡legumbres! Contiene

Diseño e impresión de 2000 ejemplares de la Guía de Buenas Prácticas Agrícolas para legumbres

Elaboración de dos fichas sobre tecnología.

Realización de la I Jornada de revalorización de las legumbres secas en la alimentación humana. Participación en el Encuentro Anual de Productores de Legumbres del Norte

Articulación de acciones con otras entidades u organismos.

Propuesta de actualización de la sección de nutrición en el Sitio Web de la CLERA.

Colaboración con Correo Oficial de la República Argentina S.A.



Desafíos a los que hubo que enfrentarse y cómo se superaron



Enseñanzas/mensajes clave

Las legumbres mejoran la calidad nutricional de la población

Representación Permanente de la República Argentina

Proponente

Ministerio de Agroindustria de la Nación



Principal entidad responsable

Subsecretaría de Alimentos y Bebidas (SSAyB)



Fecha/periodo

2012-2016



Fuente de financiación

Ministerio de Agroindustria de la Nación



Lugar

Argentina



Antecedentes/Contexto

A través del Convenio Marco entre la ex - Secretaría de Agricultura, Ganadería, Pesca y Alimentos y la Red Argentina de Bancos de Alimentos se llevó a cabo un plan de encuentros para las Organizaciones Comunitarias Vinculadas (OCV) a dicha ONG.



Enfoque/Objetivos

El Equipo de Nutrición y Educación Alimentaria realiza en conjunto con la Red Argentina de Bancos de Alimentos capacitaciones destinadas al personal involucrado en la organización de la compra, recepción, preparación y servicio de alimentos de las Organizaciones Comunitarias Vinculadas (OCV) a los diferentes Bancos del país.

Estos talleres están destinados a capacitar al personal de las OCV para perfeccionar sus tareas, actualizar conocimientos y colaborar con su labor diaria que tiene por destinatarios a la población vulnerable.



Características principales de la experiencia/proceso

En el año 2005, la ex SAGPyA y la Red Argentina de Bancos de Alimentos (RABA) firmaron un convenio para el trabajo conjunto. La ex SAGPyA, a través de lo que actualmente es la Dirección de Agroalimentos, realizó durante los primeros años actividades que estuvieron vinculadas a la capacitación sobre Prácticas de Manipulación Higiénica de Alimentos. En el año 2011, con la conformación del Equipo de nutrición de la Dirección de Agroalimentos, comenzó un proyecto conjunto entre el Equipo y la Red que amplió los objetivos de capacitación, incluyendo otros temas útiles para los asistentes como son el diseño de menú, aprovechamiento de nutrientes y alimentación saludable.

Con este mismo sentido, las capacitaciones se fueron amoldando a la necesidad específica que cada Banco de Alimentos identificó como prioritaria. De esta forma, los temas a abarcar se ampliaron y empezaron a incluir adaptación del menú para personas con enfermedades crónicas no transmisibles, prácticas preventivas para enfermedades vinculadas a la alimentación (Síndrome Urémico Hemolítico, Alergias Alimentarias, Celiaquía, entre otras) y demostraciones culinarias sobre el uso de alimentos que estaban altamente disponibles en los Bancos de Alimentos.

Entre los temas vistos, se señalan:

» Gráfica de la alimentación saludable y nutrientes esenciales en las etapas de la vida.

» Técnicas de aprovechamiento de nutrientes y enriquecimiento de preparaciones.

» Diseño de menús para servicios de alimentación.

» Patologías de interés y menús especiales.

» Optimización del uso de los alimentos para minimizar desperdicios.

» Manipulación higiénica de los alimentos e inocuidad en el servicio de alimentación.

» Enfermedades vinculadas a la alimentación, con hincapié en enfermedades crónicas.



Actores clave involucrados y su función

Equipo de nutrición y educación alimentaria del Ministerio de Agroindustria Personas que manipulan alimentos en las organizaciones Comunitarias Vinculadas (OCV) pertenecientes a la Red Argentina de Bancos de Alimentos.



Principales cambios observados que suponen una mejora de la seguridad alimentaria y la nutrición

Mejora en la utilización y aprovechamiento de recursos.

Las capacitaciones estuvieron programadas teniendo en cuenta las necesidades manifestadas por los diferentes bancos de alimentos. De esta forma, se han realizado talleres que abarcaban desde nociones básicas de manipulación higiénica de alimentos y nutrición, hasta encuentros más específicos sobre diferentes patologías de tratamiento alimentario, a fin de contribuir con los cuidados especiales de algunos alimentos y el armado del menú en estas enfermedades.



Desafíos a los que hubo que enfrentarse y cómo se superaron

Cubrir todos los bancos de Alimentos del país.



Enseñanzas/mensajes clave

Disminuir los riesgos de contaminación y optimizar recursos.

Se han obtenido otros logros muy significativos tanto para el Equipo como para la Red, como ser la participación de la Organización de las Naciones unidas para la Agricultura y la Alimentación (FAO) mediante un juego didáctico, la creación de un recetario básico, la participación en los Día Mundial de la Alimentación y colectas de alimentos para la RABA.

Generar espacios para el aprendizaje en profundidad de temas prioritarios identificados por los asistentes en los encuentros anteriores.

Representación Permanente de la República Argentina

Proponente

Subsecretaria de Agregado de Valor



Principal entidad responsable

Ministerio de Agricultura, Ganadería y Pesca de la Nación



Fecha/periodo

2010 a la actualidad



Fuente de financiación



Lugar

Argentina



Antecedentes/Contexto

  • Las enfermedades cardiovasculares son la principal causa de muerte en el mundo. La presión arterial (PA) elevada es la causa directa más importante de muerte en todo el mundo.
  • En nuestro país, la presión arterial elevada explicaría el 62% de los accidentes cerebrovasculares y el 49% de las enfermedades coronarias (Según resultados de la última Encuesta Nacional de Factores de Riesgo del Ministerio de Salud (ENFR 2013).
  • Las principales fuentes de consumo de sodio son los alimentos procesados y la sal de mesa.
  • En la República Argentina el consumo de sal oscila entre 12 y 13 gramos diarios, valores muy por encima de los 5 gramos/día que recomienda la Organización Mundial de la Salud (OMS) y la Organización de las Naciones Unidas para la Agricultura y la Alimentación (FAO).

- Estrategia mundial sobre régimen alimentario, actividad física y salud”, 57ª Asamblea Mundial de la Salud, OMS, mayo 2004.

- Resultados de la 1ª, 2ª y 3ª Encuestas Nacionales de Factores de Riesgo 2005, 2009 y 2013respectivamente, Ministerio de Salud de la Nación.

- Resultados de la Encuesta Nacional de Nutrición y Salud (ENNyS), 2005, Ministerio de Salud de la Nación -

- Indicadores Básicos Argentina, Ministerio de Salud de la Nación.



Enfoque/Objetivos

Esta iniciativa persigue disminuir el consumo de sodio de la población en su conjunto para reducir la importante carga sanitaria que representan las enfermedades cardiovasculares, cerebrovasculares y renales.



Componentes de la iniciativa

1- Concientización a la población sobre la necesidad de disminuir el consumo de sodio a través de los alimentos procesados y la incorporación de sal de mesa en las comidas.

2- Reducción progresiva del contenido de sodio de los alimentos procesados mediante acuerdos con la industria de alimentos.

3- Reducción del contenido de sal en la elaboración del pan artesanal.



Características principales de la experiencia/proceso

Se trabajó con diferentes organismos públicos vinculados a la salud y a la producción/elaboración de alimentos y los productores/elaboradores de alimentos evaluando y analizando la factibilidad tecnológica y aceptación del consumidor.

En 2010 se conformó la Comisión para la Reducción del Sodio con el fin de continuar trabajando en las directrices de la OMS/OPS en relación a nutrición, salud y actividad física. La Comisión está integrada por técnicos del sector público como también de las principales cámaras y empresas de alimentos y la sociedad civil.

Se crearon los siguientes subgrupos de trabajo según las características de los alimentos: •Farináceos, •Sopas, aderezos y conservas, •Productos cárnicos y derivados, •Lácteos-quesos.

Se realizó el análisis del universo de productos teniendo en cuenta:-el rol del sodio y su importancia en cada caso,-viabilidad y costo directo en el desarrollo y potencial impacto en las ventas,-posibilidad de incorporar sustitutos.

Posteriormente se priorizó aquellos de consumo habitual o de mayor ingesta, que tienen altas concentraciones de sodio y su modificación a nivel tecnológico es posible sin alterar la esencia de cada producto.

En un principio se avanzó a través de Convenios Marco de Reducción Voluntaria y Progresiva de Sodio en los Alimentos Procesados firmados entre el Ministerio de Salud, el Ministerio de Agricultura, Ganadería y Pesca y representantes de la industria alimentaria.

Actores clave involucrados y su función

Ministerio de Salud: dando lineamientos para obtener resultados que favorezcan la salud pública.

Ministerio de Agricultura, Ganadería y Pesca: ofreciendo herramientas técnicas en cuanto a normativas e inocuidad.

Productores/elaboradores de alimentos: ofreciéndose a trabajar en la reducción de sodio agregado en sus productos.

Más de 60 las empresas de alimentos comprometidas con la iniciativa a través de la firma de Convenios Marco Voluntarios y Progresivos con ambos Ministerios, lo que implica más de 600 productos en proceso de modificación para obtener alimentos con menor concentración de este mineral, imprescindible para la vida pero perjudicial si es consumido en exceso. Las reducciones de sodio varían entre 5% y 18% según el producto que se trate.



Principales cambios observados que suponen una mejora de la seguridad alimentaria y la nutrición

Según datos del Ministerio de Salud, en el periodo 2010-2014 se ha logrado disminuir el consumo de sal en casi 2 gramos/día, lo que equivaldría a prevenir alrededor de 4000 muertes por enfermedad cardiovascular.

El 16 de diciembre de 2013 fue promulgada y sancionada la Ley 26.905, cuyo principal objetivo es promover de forma integral la reducción del consumo de sodio en la población, y también determinar lineamientos para el desarrollo de políticas sanitarias que conlleven a la promoción de hábitos saludables.

En enero 2017 estos valores fueron incorporados al Código Alimentario Argentino (CAA), contemplando fechas de adecuación para la industria de alimentos.

Disponible en:

-(Ley 26.905)

http://servicios.infoleg.gob.ar/infolegInternet/anexos/220000-224999/22…

-(Decreto 16/2017) http://servicios.infoleg.gob.ar/infolegInternet/anexos/270000-274999/27…

-Resolución Conjunta 1 - E/2017 de la SECRETARÍA DE POLÍTICAS, REGULACIÓN E INSTITUTOS Y la SECRETARÍA DE AGREGADO DE VALOR, la cual fija valores máximos de sodio para diferentes categorías:

http://servicios.infoleg.gob.ar/infolegInternet/anexos/270000-274999/27…



Desafíos a los que hubo que enfrentarse y cómo se superaron

Debate y discusión sobre las dificultades para reducir el sodio en los alimentos. Implementación de tecnología, conocimiento técnico/científico.

Uno de los factores clave para avanzar en la reducción fue contemplar especialmente la función que cumplía el sodio en cada categoría de alimento (saborizante o tecnológico).

Además se contempló que las modificaciones sean graduales de modo de evitar un cambio tan abrupto en el sabor y características propias del producto.

Se superó estableciendo límites factibles en cuanto a aceptación del consumidor y lo factible tecnológicamente. Como resultado del trabajo multisectorial y multidisciplinario, con un análisis voluntario y progresivo, luego fueron establecidos límites máximos de sodio por categoría de alimentos.



Enseñanzas/mensajes clave

El desarrollo de estas políticas debe darse a través de procesos de construcción colectiva donde las acciones se delineen y lideren desde organismos del estado, con un objetivo sanitario que prime acompañado por una mirada desde la producción de los alimentos. La participación del sector productivo desde etapas incipientes permite un mayor compromiso para lograr resultados más eficientes y factibles de ser implementados, el cual debe incluir un plan de trabajo y un cronograma de reducción de carácter progresivo, contemplando los plazos de adecuación necesarios para lograr los resultados esperados.

Elementos fundamentales:

- Compromiso de los actores en cuestión.

- Contar con un diagnóstico de situación.

- Resultados costo efectivos positivos.

- Plantear objetivos concretos y factibles.

- Trabajo mancomunado e interdisciplinario.

- Sinergia entre el sector público y privado.



Más información: http://www.alimentosargentinos.gob.ar/HomeAlimentos/Nutricion/reduccion…



http://www.msal.gob.ar/ent/index.php/informacion-para-ciudadanos/menos-…

Representación Permanente de la República Argentina

La Representación Permanente de la República Argentina ante FAO, FIDA y PMA tiene el agrado de remitir en adjunto experiencias adicionales a las ya suministradas mediante la página web relativas a la "Convocatoria de experiencias y enfoques normativos eficaces para abordar la seguridad alimentaria y la nutrición en el contexto de dinámicas rural-urbanas cambiantes".

Cordialmente.



Proponente

Subsecretaria de Agregado de Valor



Principal entidad responsable

Ministerio de Agricultura, Ganadería y Pesca



Fecha/periodo

2010-2014



Fuente de financiación



Lugar

Argentina



Antecedentes/Contexto

Las grasas trans de origen industrial son ácidos grasos (AGT) que se forman durante el proceso de hidrogenación parcial de aceites vegetales para formar grasas semisólidas. También pueden producirse durante la refinación de los aceites y durante la fritura cuando el calentamiento se realiza a muy altas temperaturas, por tiempos prolongados y con aceites poliinsaturados. Estas grasas tienen efectos adversos para la salud y pueden producir alteraciones del metabolismo de lípidos en la sangre, inflamación vascular y desarrollo de enfermedades cardíacas, cerebrovasculares y renales. Además aumentan el colesterol LDL conocido como "colesterol malo" y reducen el HDL o "colesterol bueno".

- Estrategia mundial sobre régimen alimentario, actividad física y salud”, 57ª Asamblea Mundial de la Salud, OMS, mayo 2004.

- Declaración de Río de Janeiro. América libre de grasas trans.

- Publicación OPS “Aceites saludables y la eliminación de ácidos grasos trans de origen industrial en las Américas: Iniciativa para la prevención de enfermedades crónicas” (2008).

- Resultados de la 1ª y 2ª Encuestas Nacionales de Factores de Riesgo 2005 y 2009 respectivamente, Ministerio de Salud de la Nación.

- Resultados de la Encuesta Nacional de Nutrición y Salud (ENNyS), 2005, Ministerio de Salud de la Nación -

- Indicadores Básicos Argentina 2008, Ministerio de Salud de la Nación.



Enfoque/Objetivos

-Visión: Contribuir a mejorar la calidad de vida de los argentinos mediante la reducción de Grasas Trans.

-Misión: Desde el Estado, actuar como facilitadores de información y promoción de actividades tendientes a la reducción de las Grasas Trans durante el período comprendido entre el año 2010 y 2014.

Objetivos generales:

- Notificar e incentivar a las empresas elaboradoras de alimentos a que reduzcan las grasas trans de sus productos.

- Informar al consumidor sobre qué son las grasas trans, su origen, sus efectos y la necesidad de disminuir su consumo.

La campaña estuvo dirigida a dos poblaciones en particular: la industria de alimentos y el consumidor medio.



Características principales de la experiencia/proceso

Trabajo multidisciplinario y multisectorial: Se conformó la Comisión Nacional de trabajo para la Reducción de Grasas Trans, integrada por representantes de los Ministerios de Salud de la Nación y de Agricultura, Ganadería y Pesca, con la participación del Ministerio de Desarrollo Social y de las Cámaras de la Industria de Alimentos y Bebidas, sociedad civil, academia, Asociaciones de Consumidores, entre otros organismos. La cual se dividió en 3 subgrupos de trabajo paralelos: Regulación-Legislación, Comunicación y Académico-científico.

A fines del año 2010 se logró la modificación del Código Alimentario Argentino mediante la incorporación de la Resolución Conjunta SPRI 137/2010 y SAGP 941/2010. La mencionada reforma establece que: ”…el contenido de ácidos grasos trans de producción industrial en los alimentos no debe ser mayor a 2% del total de grasas en aceites vegetales y margarinas destinadas al consumo directo y a 5% del total de grasas en el resto de los alimentos. Estos límites no se aplican a las grasas provenientes de rumiantes, incluyendo la grasa láctea…”.

Del mismo modo se generaron materiales de difusión para la industria y el consumidor:

- Guía de Recomendaciones para pequeñas y medianas industrias, la cual describe diferentes metodologías de sustitución y modificación de alimentos procesados.

Disponible en: http://www.alimentosargentinos.gob.ar/HomeAlimentos/Nutricion/publicaci…

- Flyer y afiche sobre los efectos nocivos de las grasas trans en el organismo y difusión de recomendaciones básicas para disminuir su consumo:

Disponible en: http://www.alimentosargentinos.gob.ar/contenido/GrasasTrans/documentos/…



Actores clave involucrados y su función

Trabajo conjunto de diversos organismos del Estado, la academia, la industria y las organizaciones de la sociedad civil, a saber: Ministerio de Salud de la Nación, Ministerio de Agricultura, Ganadería y Pesca, Ministerio de Ciencia, Tecnología e Innovación Productiva, Ministerio de Desarrollo Social, Instituto Nacional de Alimentos (INAL), Instituto Nacional de Tecnología Industrial (INTI), Cooperativa Obrera, Moreno Oleaginosas, Coordinadora de la Industria de Productos Alimenticios (COPAL), Advanta, Servicio Nacional de Sanidad y Calidad Agroalimentaria (SENASA), Asociación Argentina de Grasas y Aceites (ASAGA), Asociación Argentina de Dietistas y Nutricionistas Dietistas (AADyND), Sociedad Argentina de Nutrición (SAN), Universidad Nacional de La Plata (UNLP), entre otros.



Principales cambios observados que suponen una mejora de la seguridad alimentaria y la nutrición

Las industrias de alimentos contaron con un plazo de cuatro años para adecuarse. Se realizaron encuentros intersectoriales con las empresas e importadores, con investigadores del Instituto de Tecnología en Polímeros y Nanotecnología del Consejo Nacional de Investigaciones Científicas y Técnicas (CONICET) para buscar alternativas de sustitución de las grasas trans y con integrantes de Instituto Nacional de Tecnología Industrial (INTI) para el acompañar a la industria de alimentos en los procesos de reducción y/o sustitución.

Se realizaron en todo el país relevamientos de la cantidad de grasas trans indicadas en los rótulos de los y se analizó la composición de los alimentos de origen industrial. Así pudo observarse que las principales marcas de margarinas y aceites a la venta cumplen en un 100 por ciento con los valores establecidos al igual que los snacks, tal como lo demostraron los análisis químicos. El 78% de las galletitas relevadas no supera los límites de estas grasas establecidos por el CAA al igual que 92 % de las marcas de tapas de empanadas y tartas analizadas.



Desafíos a los que hubo que enfrentarse y cómo se superaron

Para el monitoreo y control se realizó una importante inversión en infraestructura y equipamiento de los Laboratorios que conforman la RENALOA -Red Nacional de Laboratorios Oficiales- coordinados por el Instituto Nacional de Alimentos (INAL), con el fin de poder realizar el análisis de grasas trans en los alimentos elaborados por las industrias.



Enseñanzas/mensajes clave

El desarrollo de estas políticas debe darse a través de procesos de construcción colectiva donde las acciones se delineen y lideren desde organismos del estado, con un objetivo sanitario que prime acompañado por una mirada desde la producción de los alimentos. La participación del sector productivo desde etapas incipientes permite un mayor compromiso para lograr resultados más eficientes y factibles de ser implementados, el cual debe incluir un plan de trabajo y un cronograma de reducción de carácter progresivo, contemplando los plazos de adecuación necesarios para lograr los resultados esperados.

Elementos fundamentales:

- Compromiso de los actores en cuestión.

- Contar con un diagnóstico de situación.

- Resultados costo efectivos positivos.

- Plantear objetivos concretos y factibles.

- Trabajo mancomunado e interdisciplinario.

- Sinergia entre el sector público y privado.

Más información:

http://www.alimentosargentinos.gob.ar/HomeAlimentos/Nutricion/argentina…

http://www.msal.gob.ar/ent/index.php?option=com_content&view=article&id…

María Alejandra Saleme Daza

Agencia de Cooperación e Inversión de Medellín y el Área Metropolitana
Colombia

Proponente

Alcaldía de Medellín- Gobernación de Antioquia- Área Metropolitana del Valle de Aburra – Organización de las Naciones Unidas para la agricultura y la alimentación FAO.



Principal entidad responsable

Alcaldía de Medellín



Fecha/periodo

Años 2016- 2019



Fuente de financiación

Recursos públicos



Lugar

Departamento de Antioquia, Colombia



Antecedentes/Contexto

El proyecto propuesto “Alianza por el Buen Vivir” es un modelo de Intervención para el Departamento de Antioquía, Colombia, que representa el interés interinstitucional de la Alcaldía de Medellín, La Gobernación de Antioquia, el Área Metropolitana del Valle de Aburrá y La FAO por “Dignificar al campo y al campesino antioqueño” y de mejorar su calidad de vida no solamente del productor Antioqueño, sino también de todos los actores que conforman las cadenas de distribución y abastecimiento de alimentos.



Desde hace décadas los gobiernos han probado las mismas fórmulas para el Desarrollo Rural: aumentar la producción y la productividad de alimentos básicos, asesoría técnica campesina, políticas de libre comercio con otros países, mecanismos de financiación de la producción agraria y pecuaria, e incentivos para la inversión extranjera directa especialmente enfocados en industrias extractivas.



Estas políticas han sido inefectivas o contraproducentes: los aumentos en la producción y la productividad no se han traducido en aumentos de ingresos para los campesinos, la gran mayoría los productores rurales no se han beneficiado directamente del acceso a nuevos mercados extranjeros, los mecanismos de financiación no han sido capaces de incluir a la gran mayoría de los campesinos más necesitados, y las zonas de prevalencia extractiva en muchos casos son las zonas más pobres y violentas del país.



La Alianza por el BUEN VIVIR no resalta el bienestar humano como un fin autónomo, sino que entiende el bienestar humano como un elemento constitutivo del sistema natural, es decir que la humanidad hace parte de la naturaleza, y no se puede entender el BUEN VIVIR sin gestionar todos los recursos que componen y rodean a las personas con una visión de largo plazo.



Como consecuencia, esta Alianza por el BUEN VIVIR necesariamente es un esfuerzo que:



1. Tiene como beneficiarios de la Alianza a personas rurales y urbanas de los estratos socioeconómicos más necesitados, con el objetivo específico de mejorar su bienestar.

2. Tiene como base del Desarrollo la conformación de asociaciones y redes que mejoren el tejido social y optimicen la productividad y las economías de escala.

3. Se realizan en “proyectos detonantes” o de gran escala que permiten un mayor impacto en el territorio

4. El impacto se mide no solo a nivel social, sino que debe traer beneficios para todo el sistema natural desde la sostenibilidad ambiental.

5. Los proyectos se desarrollan en alianzas o asociaciones con entidades privadas y/o sociales que permiten mayor velocidad, transferencia de conocimientos, continuidad en los procesos, y mejor gestión y distribución de riesgos.



En este sentido, todos los proyectos realizados por la Alianza promueven tanto el aumento del bienestar, como la disminución de la inequidad en el mismo. Para lograrlo, la Alianza por el BUEN VIVIR es una colección de actores públicos que deciden unir esfuerzos en una única estrategia interinstitucional de intervención estatal directa enfocada en el Departamento de Antioquia. En este sentido, el papel del Estado a través de la Alianza es:

  • Minimizar los fallos de mercado en el sector de alimentos frescos y manufacturados. Estos fallos de mercado incluyen altos costos de intermediación, información asimétrica, estructuras monopólicas (competencia imperfecta), e impactos negativos al ambiente (externalidades), entre otros.
  • Mejorar el crecimiento y la competitividad de empresas y actores específicos del sector agropecuario y agroindustrial a través de subvenciones y transferencias de recursos financieros y no financieros que optimicen sus matrices de gastos y costos
  • Conglomerar y organizar actores sociales, públicos, privados, y académicos para mejorar las economías de escala, transferir conocimientos, y en general optimizar los recursos económicos alrededor de proyectos específicos.

Enfoque/Objetivos

Objetivo General: Contribuir a la eficiencia de los Sistemas Agroalimentarios en rubros de importancia de la canasta básica para generar Seguridad Alimentaria en familias vulnerables, urbanas y rurales y desarrollo rural sostenible en el Departamento de Antioquia



Objetivos específicos:

  • Mejorar la eficiencia de los sistemas productivos y generar valor agregado de los procesos realizados por los productores de pequeños y medianos productores.
  • Mejorar la eficiencia en cada uno los eslabones de la cadena de comercialización, en los rubros y municipios seleccionados, con el fin de cubrir la demanda de alimentos local y regional.
  • Implementar estrategias para optimizar el uso de los recursos naturales en los sistemas agroalimentarios de los rubros seleccionados.
  • Implementar las Tecnologías de la información y la comunicación (TIC) que permita hacer más eficiente los sistemas agroalimentarios.

Características principales de la experiencia/proceso

Los resultados del proyecto están orientados a mejorar la eficiencia de los sistemas agroalimentarios en rubros de importancia de la canasta básica y de esta forma generar mejoramiento de la seguridad alimentaria y nutricional y en la calidad de vida en familias vulnerables, tanto en el ámbito rural y urbano. Así como favorecer el desarrollo rural sostenible en el Departamento de Antioquia.



Los efectos del proyecto se lograrán, a través de la formación y asistencia técnica, acompañamiento continuo, dotación e infraestructura con el fin de generar capacidades para incrementar la producción y consumo de alimentos inocuos, fomentar buenos hábitos y condiciones alimentarias saludables, promover la articulación de la agricultura familiar con mercados de proximidad y/o regionales a través del mejoramiento de la eficiencia del subsistema de abastecimiento, generando ahorros en el gasto de los alimentos e ingresos a partir de los rubros de la canasta básica.



Actores clave involucrados y su función

La Alianza para el Buen Vivir es un instrumento interinstitucional con capacidad para articular completamente el sistema agroalimentario bajo una única política integral. Esta articulación comprende las tres etapas básicas de la cadena:

  • Producción y productividad de alimentos en las subregiones (a cargo de la Gobernación de Antioquia),
  • Distribución y transporte (a cargo del Área Metropolitana del Valle de Aburra),
  • Consumo y comercialización (a cargo del Municipio de Medellín).

Estas tres instituciones que conforman la comisión tripartita, tienen de manera correspondiente su vez tres públicos objetivos:

  • Asociaciones de pequeños y medianos productores
  • Empresas y empresarios de logística y transporte
  • Tenderos, medianas superficies, y familias consumidoras

Que se enfocan en tres objetivos de intervención general correspondientes: ingresos familiares y formalización laboral; minimización de la intermediación y la especulación; y disminución del precio de venta y aumento de la calidad en los productos agropecuarios, respectivamente.



La FAO como organismo Internacional participa de manera transversal en el proyecto a través de asesoría y asistencia técnica, intercambio de experiencias y monitoreo y seguimiento a los indicadores y resultados del proyecto.



Aunque las instituciones tiene roles muy específicos en el proyectos es importante mencionar que la articulación y el trabajo conjunto es la garantía de la sostenibilidad y éxito del proyecto.



Principales cambios observados que suponen una mejora de la seguridad alimentaria y la nutrición

La pobreza campesina y la falta de seguridad alimentaria y nutricional son dos caras de la misma moneda. Los productores campesinos reciben muy poco por su producto y los consumidores pagan un mayor precio y tienen una menor calidad de los alimentos porque ambos grupos se enfrentan a un sistema agroalimentario monopólico y especulador, con políticas públicas desarticuladas, de bajo impacto, y de corto plazo, y bajo una planificación estratégica sectorial prácticamente nula y cerrada a las tendencias globales.



Por lo anterior la Alianza por el Buen Vivir propone resultados concretos dirigidos a atender las ineficiencias de la cadena agroalimentaria, teniendo como base dos resultados clave esperados:

  • Mejorar en un 15% los ingresos de los pequeños y medianos productores de alimentos a través del mejoramiento de la productividad y la eficiencia de la cadena de abastecimiento y los sistemas productivos.
  • Mejorar la seguridad alimentaria y nutricional de familias vulnerables por : la disminución en (15%) en los precios de compra de los alimentos

Desafíos a los que hubo que enfrentarse y cómo se superaron

La articulación institucional y la perspectiva y alcance que cada institución le da al proyecto hace que se complejice la concertación de las metas y resultados, así como de las metodologías para el abordaje del proyecto. Esta situación se ha ido superando en la marcha a través de reuniones periódicas involucrando personas de las instituciones con diferentes perfiles y experiencias que aterrizan un poco más las ideas.



La poca disponibilidad de tiempo de los diferentes funcionarios de las instituciones para la formulación del proyecto ha hecho que se alarguen los tiempos, esto se ha superado gracias al interés de las instituciones participantes de aportar profesionales de dedicación exclusiva a dicha formulación.



Enseñanzas/mensajes clave

Cada institución desde su fortaleza aporta sus recursos para el desarrollo de la propuesta, esto hace que se evidencie una real articulación que permite beneficiar a todos los actores del sistema agroalimentario evitando que se realicen intervenciones aisladas que no son sostenibles.



La constante comunicación y divulgación del proyecto con diferentes actores y en diferentes escenarios ha hecho que se vinculen más interesados al proceso enriqueciendo cada vez más la propuesta de intervención.

Daniela Poli

Università degli studi di Firenze
Italy

Proponent

Department of Architecture of the University of Florence

Metropolitan City of Florence

Municipality of Florence

Municipality of Scandicci

Municipality of Lastra a Signa



Main responsible entity

Department of Architecture of the University of Florence



Date/Timeframe

May 2015- September 2016



Funding source

Regional Authority for the promotion of participation of Tuscan Region (L:R: 46/2013).



Location

The project area coincides with the periurban area among Florence, Scandicci and Lastra a Signa. More specifically, the site covered by the project is the rural/agricultural area of these three municipalities included among the rivers Arno, Greve and Vingone.



Background/Context

The plain between Florence and Lastra a Signa, covered by the project, is strongly urbanized (in 1954 the urbanized surface was 23% of the total, passed to 60,5% in 2007). Nevertheless, the territory situated on the left side of the Arno river preserves a rural connotation, hosting proximity agriculture and horticulture. In some riverfront areas (Mantignano, San Colombano) and on the lower hilly slopes of Scandicci, there are small or medium plots of land creating an agricultural mosaic. This kind of fabric is characterized by the association of arboreal and herbaceous crops (mostly vineyards and olive trees) and by a traditional texture which is still dense or medium-dense. There are also little fields of mixed crops (herbaceous and grapevine), which are really valuable for their meaning in terms of historical and cultural heritage. The level of ecological diversification is generally quite high.



Focus/Objectives

The main goals of project were:

  • protection and regeneration of the periurban agricultural area;
  • promotion of food security through the construction of local networks of farmers, citizens and public institutions;
  • support of agricultural practices inclusive for the empowerment of vulnerable individuals and groups (disable, indigenous people, migrants, prisoners).

These objectives have been pursued through the tool of ‘Parco Agricolo Perifluviale’.



Key characteristics of the experience/process

The project addresses a participatory management of the territory aimed at inclusiveness, at food security and at well-being of the community. Particulary it aims to build of the ‘social pact’ consist of networks of local actors. These pact are real sites of self-construction and care of rural areas, whit benefits in the security food of populations involved.



Key actors involved and their role

The project has involved many actor: public institutions, associations of citizens, farmers through various modalities of interaction and negotiation addresses at building ‘social pacts’ for the care and development of rural areas and promote food security.



Key changes observed with regards to food security and nutrition and sustainable agriculture and food systems

The main changes observed are:

  •  a growing of awareness in the local population of the importance of the provenance of their food. Consequently increased their attitude a to turn to agricultural markets supported by local producers to meet their basic food needs.
  • a growing of experiences of social farming. The social farming is a farming practice that uses agricultural resources to provide social or educational care services for vulnerable groups of people. Particularly the social farming experiences observed in the area of the project concerns the work involved migrants and ex-prisoners.

Challenges faced

The main challenge faced is the institutional recognition of the ‘Parco Agricolo Perifluviale’. The institutional recognition of the Park to increase the possibilities of access to funding and to the protection of agricultural practices action.



Lessons/Key messages

The food security can only be guaranteed through the active involvement of local actors.

Volet mise en place de kiosque de vente de fruits et légumes dans des quartiers du projet « amélioration de la qualité, la disponibilité et la consommation des légumes à Cotonou par l’approche éco-santé ».

Dr Charles Sossa, Institut régional de santé publique (IRSP), Bénin, 2017

Introduction

Les activités du projet « Amélioration de la qualité, la disponibilité et la consommation des légumes à Cotonou par l’approche Eco-Santé », mise en œuvre par l’Institut Régional de Santé Publique (IRSP) en collaboration avec l’Institut des Sciences Biomédicales Appliquées (ISBA), avait procédé le mercredi 22 octobre 2014, au lancement officiel des activités de vente de légumes Eco dans le quartier Djèdjèlayé. Ont pris part à cette cérémonie de lancement, le groupe des chercheurs, constitué par des enseignants et assistants de recherche des institutions de l’IRSP et ISBA; le chef du 2e arrondissement et quelques chefs quartiers du 2e arrondissement; une délégation des responsables et membres des groupes de solidarité de différents quartiers de l’arrondissement; le président de l’association des parents d’élèves et les habitants du quartier.

Genèse et But

Ce projet, est une continuité du projet Eco-santé dont l’une des actions phares a été la création ‘’des groupes de solidarité’’  dont le but était de mener des activités saines devant contribuer à prévenir et d’amoindrir les conséquences (une fois qu’elle la maladie s’est installée), des maladies non Transmissibles telles que le l’obésité, l’hypertension artérielle, le diabète et certains types de cancer.

Description fonctionnement

Ainsi à travers ces kiosques installés pour la vente de légumes frais et bio produits à partir du compost, les consommateurs auront accès à des légumes en vue de prévenir ces maladies.

Sur trois kiosques prévus par le projet, un seul a pu être installé dans le quartier de Djèdjèlayé. Dans ce dernier, toutes sortes de légumes étaient vendus à savoir :

  • les légumes feuilles : Amarantes, grande morelle, célosie, vernonia, …
  • les légumes fleurs : Chou, laitue,
  • les légumes racines : Carottes,
  • les légumes tiges : Echalotes
  • les légumes fruits : Tomates

Ce kiosque était animé par les membres du groupe de solidarité du quartier Djèdjélayé qui avaient en charge la responsabilité de conduire les activités d’approvisionnement, de vente et de conduite de la gestion du kiosque. L’approvisionnement des légumes se faisait hebdomadairement chez les maraîchers de Houéyiho. Ensuite ils sont conservés dans un dispositif de conditionnement (Canaris enfoui dans un trou et maintenu toujours humide /frais) conçu pour la circonstance et qui permet de maintenir au frais les légumes durant toute la semaine. Une femme du quartier était recrutée pour animer le kiosque et rémunérée au prorata des bénéfices générés par l’activité.

A la fin de chaque, le point de la vente de la journée est faite et enregistrée dans le cahier de gestion. Ce qui permet de voir la marge bénéficiaire et de dégager le prix d’achat de nouvelle acquisition de légumes.

Le projet avait bénéficié d’un financement de l’ISBA à travers le Projet Eco-Santé à hauteur de Six millions et de l’IRSP à hauteur de Deux millions soit un total de Huit millions de Francs CFA.

Ainsi cette activité de vente de légumes bio très appréciée d’une part par les membres du groupe d’entraide et surtout par la population qui a développé un lien de clientélisme avec le kiosque, n’a durée malheureusement que 5 mois.

Difficultés

Quatre principales raisons expliquaient cet état de chose.

  • La première c’est le coût d’acquisition des légumes auprès des maraîchers qui revenait cher pour raison des coûts de production élevé. Ce qui avait pour conséquence, la création d’un manque à gagner par l’équipe de gestion du kiosque
  • La deuxième raison évoquée par les animateurs était la distance trop importante entre le lieu de ravitaillement et le lieu de vente. Ainsi les coûts liés au transport ne faisaient que creuser davantage la marge déficitaire.
  • La dernière, raison enregistrée était la non stabilité de la disponibilité des légumes chez les maraîchers.
  • la détérioration rapide des fruits et légumes à cause de la chaleur tropicale.

L’option de des livraisons de paniers de fruits à domicile a été proposée. L’éducation nutritionnelle par un nutritionniste diététiste était nécessaire pour promouvoir et soutenir la consommation des fruits et légumes dans les quartiers (pour susciter les commandes de panier de fruits et légumes par les ménages et restaurants de quartiers). Cette activité n'a pu être organisée par manque de ressources pour recruter et payer un tel service.

Conclusion

Le projet initialement porteur d’espoir a dû être interrompu pour trouver des solutions aux difficultés rencontrées.  Vu l’importance de la consommation des légumes dans la lutte contre les maladies chroniques il est important que l’initiative soit repensée en tenant compte des difficultés évoquées soit remise en selle. 

 

Jacopo Valentini

WFP CFS Team
Italy

We are happy to share with you the World Food Programme’s contribution for the CFS Call for experiences and effective policy approaches in addressing food security and nutrition in the context of changing rural-urban dynamics.



Many thanks and best regards,



Jacopo Valentini

WFP CFS Team



Title

Home Grown School Meals: the Example of Kenya



Proponent

World Food Programme



Main responsible entity

  • Government of Kenya, Ministry of Education
  • WFP Kenya Country Office

Date/Timeframe

Since 2009



Funding source

  • Government of Kenya
  • Various international donors

Location

Kenya



Background/Context

School meals

Every day at least 368 million children across low-, middle- and high-income countries are fed at school by their governments. There are good reasons for this: school meals provide children with nutritious food that is essential for their development and learning and, where children or communities are in difficult or disrupted circumstances, can help children find regular support for their daily needs in the classroom.



School meals in Kenya

WFP started school feeding in Kenya in the 1980s, but since 2009 the government has been implementing a government-led home-grown school meals programme (HGSMP). The home-grown school meals programme provides locally produced and purchased food to children in school, with the dual objective of increasing local food production and ensuring school attendance.



Home-grown school meals in Kenya

In 2016, the government-led HGSMP targeted 950,000 children in both arid and semi-arid counties. In parallel, WFP continued to provide school meals for 430,000 children in the arid lands and targeted schools in the informal settlements in Nairobi, that are not yet covered by the HGSMP, where national capacities are still constrained, enrolment and attendance disparities significant, and food insecurity and malnutrition high. To support the sustainable expansion of the HGSMP, WFP also prepared schools in Nairobi, Tana River and parts of Turkana for inclusion into the national HGSMP; this involved another 152,000 children.



In Kenya’s HGSMP model, funds are transferred from the National Treasury to the Ministry of Education and then to school accounts. The schools announce a call for tenders and buy food from local suppliers (traders or farmers). This model is used in both rural and urban areas, linking smallholder farmers to schools in both contexts.



WFP provides capacity development support to smallholder farmers, small-scale traders and food processors throughout the country. This is done through training and coaching, food purchases, donation of equipment and facilitation of access to structured markets. The training modules focus on post-harvest handling, agribusiness, financial literacy, gender and procurement processes for the home grown school meals programme (HGSMP) and other structured markets. As a result of these training and market linkage forums, targeted farmer organizations are now aware of the business opportunity offered by the HGSMP market and other markets.



With the support of WFP, the State Department of Agriculture, in consultation with other national and county government ministries, is developing a policy document to provide the basis for guaranteed mechanisms for at least 30 percent of foodstuffs for public institutions to be purchased from smallholder farmers.



Fresh food in Nairobi county

In 2016, WFP and the Government of Kenya also started looking at options to introduce fresh foods into school meals. Several models were initiated to test efficient and effective ways to incorporate locally sourced fresh foods in the school meals in Nairobi County. Three models are tested:

  • an additional transfer to schools to cover the cost of fresh food
  • using an off-site kitchen that aggregates fresh foods from the export market to deliver to schools
  • repurposing cosmetically unacceptable fresh foods T

These pilots are active in 88 schools in Nairobi county, reaching almost 80,000 students daily.



Focus/Objectives

  • The objective of the HGSMP is to contribute to equitable access to quality education, improved retention, completion and transition rates, and provide a market for farmers.
  • The plan is to have a fully government-led school meals programme by December 2018. In the long term, at least 30 percent of the food should be purchased from smallholder farmers.

Key characteristics of the experience/process

  •  The programme is transitioning from a WFP-led to a government-led programme and in 2016 over 60% of the served school meals were managed by the government.
  • Both the government and WFP transfer cash to the schools, who are in charge of procuring locally the food for the school meals.



Key actors involved and their role

  • Government of Kenya, Ministry of Education: responsible for the government-led home-grown school meals programme
  • Government of Kenya, Ministry of Health: inspection of food quality
  • School Meals Committee: administers and manages, at the school level, all facets of the HGSMP implementation, including procurement, food preparation and reporting
  • Local traders: participate in tenders
  • Farmers’ organizations: inform farmers about market opportunities; aggregate supply
  • WFP Kenya Country Office: responsible for the implementation of the WFP-led school meals programme and home-grown school meals programme; capacity strengthening of the farmers and farmers’ organizations



Key changes observed with regards to food security and nutrition and sustainable agriculture and food systems

The HGSMP was evaluated by an external evaluator in mid-2014 and the evaluator found that schools had received a total of Ksh 2.2 billion for local food procurement between 2009 and 2014 under the HGSMP, effectively turning school meals into a major market opportunity for the local farmers.



The evaluation did not measure the changes in food security and nutrition. However, a meta-analysis of 42 studies of school meals programmes around the world found a positive effect on the weight-per-age of the school children: +0.24kg/child/year in pre-school feeding and +0.37kg/child/year in school feeding (Kristjansson et al., 2016).



A Local Economy Wide Impact Evaluation (LEWIE) of the Kenyan HGSMP is scheduled in 2017.



Challenges faced

In some regions of Kenya the access of local farmers to the market of home-grown school meals remained limited in scale because of: irregular transfers of funds to schools; inadequate communication; low awareness amongst potential suppliers during procurement processes; low preference of some schools for locally produced foods.



Lessons/Key messages

By 2019, with sufficient funding and the required legal frameworks in place, Kenya could have one of the largest locally procured and fully government-financed school meals programmes in Africa.