Eyadema Hamada Hamza

MFR
Comoros

ENGLISH TRANSLATION BELOW

Le monde entier plus particulièrement  l’Afrique la faim et la pauvreté ont pris le déçue. Les jeunes Africains doivent lutter contre le désastre en touchant le sol. Nous le Comores, nous pensons  solutionner ce problème, en formant des jeunes dans le secteur agricole sur des techniques modernes afin de répondre aux besoins nécessaires pour la lutte contre la faim et la pauvreté dans le continent africain. Sur  ce, les jeunes du pays doivent bénéficier des formations : penseriez –vous que la faim et la pauvreté peuvent être éradiqué dans le continent africain ? Pour repondre à cette problématique nous devons étudier ce fléau sur les axes suivants.

 1-expérience en tant que jeune dans le secteur agricole

 a)-Décriez –vous en tant que jeune africain impliqué dans le secteur agricole aux Comores.

b)-ce qui ma poussé à m’engager dans le secteur.

2-Principale réalisations et histoire de réussite

a)-mes principales réalisations.

b)-solutions innovantes  qui mon aidé dans mon travail.

c)-les exemples de réussite

3- penseriez –vous l’insertion, la commercialisation et la conservation des produits agricoles pour lutter contre la faim et la pauvreté ?

Penseriez –vous à l’innovation des techniques agricoles et la pérennisation dans les pays africains ?

Je suis un jeune comorien connu au nom de Eyadema Hamada ; j’ai suivi de formation supérieur au Comores sur l’agriculture et l’élevage plus particulièrement les volailles.je suis venu d’une famille de la brousse qui a connu l’agriculture ancienne.je me suis élevé dans des différents champs pour des cultures différentes. J’ai pratiqué peu à peu avec mes parents les cultures vivrières. Je suis l’ainé d’une famille qui compte 8(huit) enfants ; la vie devenue de plus en plus difficile donc j’ai participé à l’agriculture pour aider ma famille  brève…

Dans notre pays, si on parle d’agriculteur  tous le monde ignore cette personne.les agriculteurs n’ont pas de place dans notre société. Mais cela ne m’a pas empêché d’aller dans un centre de formation. D’abord pour mes parents nous avons mangé les rendements ; nous ne connaissions pas la faim. J’ai pris ma décision de m’engager dans le secteur pour supprimer la pauvreté et cela ça ma aidé de devenir un technicien agricole sur le terrain. J’ai pris les choses en main pour que mes cadets suivent le chemin de l’école et le ciel m’a aidé. 

Ce que j’ai réalisé pour sortir dans cette nasse : j’ai choisi la culture maraichère car c’est la culture qui a moins de dépense, consommable dans les hôtels, résistant et les plus rentable. Prenons l’exemple d’un concombre dans vingt mètre carré on peu aller jusqu’à 500kg et les dépense de cette culture sont très minime.  

Mes réalisations sur une parcelle de 100m2  j’ai réalise une culture de piments voir les dépenses sur le tableau ci-dessus :

Le rendement de ce tableau durant une année s’est élevé à 1000000 de francs comoriens. Mal grès tout les problèmes de vente, Cette expérience m’a permit d’aider mes proches et mes parents. Avec les techniques innovées, je pense que nous pouvons réduire ou même éradiquer la faim et la pauvreté en Afrique. Mais les problèmes majeurs c’est l’insertion, la commercialisation et la conservation.

Donc le développement d’un pays passe par les mains d’œuvres qualifiés, valoriser l’agriculture et les centre des formations professionnel .les jeunes Africains ne laissent aucun mètre que la main passe.

Conclusion

Plus de 75%de la population comorienne est paysanne dont leur préoccupation majeur est d’améliorer leur revenus malgré les différentes problèmes liés à la production. Pour qu’un jour ses démunis puissent se rassurer des meilleur rendements de leur travail, plusieurs facteurs doivent être pris en considération parmi les quelles une bonne gestion de l’exploitation une excellente connaissance des technique des production ainsi qu’une bonne maitrise des aspects économiques et financiers liés à la production

Recommandations :

  1. Appuyer techniquement les producteurs à améliorer la production
  2. Appuyer financièrement les producteurs à produire plus
  3. Mise en place des centres de conseils agricoles opérationnels dans les différentes régions
  4. Arrêter les intrants agricoles importés illégalement
  5. Disponibilité des marchés pour écouler les produits à temps

Throughout the whole world, and in particular in Africa, hunger and poverty have brought disillusionment. Young Africans must fight against disaster concerning the soil. We, in the Comoros, aim to solve this problem, by training the youth in the agricultural sector in modern techniques so as to fulfil  the requirements needed to fight hunger and poverty in the African continent. In this regard, the youth of the country must benefit from training: would you think that hunger and poverty can be eradicated in the African continent? To answer that question we must study this scourge via the following approaches:

 1- Experience as a youth in the agricultural sector

 a) Describe yourself as a young African involved in the agricultural sector in the Comoros.

b) What motivated you to engage in the sector.

2- Major achievements and success stories

a) My main achievements.

b) Innovative solutions that have helped in my work.

c) Examples of success

3- Would you think about insertion, marketing and conservation of agricultural products in the fight against hunger and poverty?

Would you think about innovation of agricultural techniques and for the long term in African countries?

I am a young Comorian, called Eyadema Hamada; I have gone through Higher Education in the Comoros on agriculture and rearing animals, in particular chickens.  I come from a family in the countryside, which practiced the old ways of farming.  I was brought up to use different fields for different crops. I worked  little by little with my parents on basic food crops. I am the eldest in a family of 8 children; life had become more and more difficult therefore in short I started farming  to help my family.

In our country, if one talks about a farmer everyone ignores this person.  Farmers do not have status in our society. But that did not stop me from going to a training centre. In the case of my parents we ate what we produced; we did not go hungry. I took the decision to engage in the sector to eliminate poverty and that helped me to become an agricultural technician in the field. I have taken charge so that my younger siblings can go to school and heaven has helped me. 

What I have done to come out of this tangle: I have chosen market gardening  because it is the least expensive way of producing crops, which are consumed in the hotels, are more resistant and the most profitable. Take the example of a cucumber in 20 m2, one can get up to 500kg and the expenditure for this crop is minimal.  

My results in a 100m2  plot: I carried out a cultivation of chillies, see the expenditure in the table below:

The productivity of this table for a year has been 1 000 000 Comoros francs. Despite all the sales problems, this experience has allowed me to help my loved ones and my parents. With innovative techniques, I believe that we could reduce or even eradicate hunger and poverty in Africa. But the major problems are insertion, marketing and preservation.

Therefore the development of a country depends on a qualified labor force, the value placed on agriculture and professional training centers.  Young Africans leave no meter of land that can be tilled.

Conclusion

More than 75% of the Comorian population work in farming therefore their main preoccupation is to improve their income, despite the different problems related to production. So that one day these deprived people can be assured of better returns for their work, many factors must be taken into consideration among which good management of the farming activity, an excellent knowledge of production techniques as well as a good training in relation to the economic and financial aspects associated with production.

Recommendations :

  1. Technical support to the producers to improve production.
  2. Financial support to producers to increase production.
  3. Set up centers for agricultural operational advice in the different regions.
  4. Stop the illegal imports of agricultural inputs.
  5. Availability of markets to sell the products in time.