Archives des nouvelles 2018

Les familles agricoles vulnérables vivant dans les zones affectées par les conflits dans les plaines de Ninewa, à l’Ouest de Mossoul, seront plus aptes à résister aux chocs grâce à un projet de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), soutenu par l’Union européenne

Le Codex Alimentarius, l'organe des Nations Unies chargé d'établir des normes alimentaires, se réunit du 02 au 06 juillet à Rome afin d'examiner les normes en matière de sécurité sanitaire et de qualité des aliments.

La chenille légionnaire d’automne continue de se propager dans certains pays d’Afrique subsaharienne. Toujours plus destructrice, elle s’attaque maintenant à encore plus de cultures, à différentes parties de ces cultures, et, en plus du maïs, a un goût prononcé pour le sorgho.

Le village de Sarıt, au Sud de la Turquie, se situe à une centaine de kilomètres d’Alep de ce fait, de nombreux réfugiés syriens sont arrivés dans la commune pour y trouver refuge. En raison de leur proximité avec la Syrie, la plupart des habitants de Sarıt parlent aussi bien l’arabe que le turc.

Grâce au renforcement de la collaboration entre la FAO et la Norvège, il sera maintenant plus facile d’accéder aux données satellite. L’Initiative internationale pour le climat et les forêts va développer une plateforme numérique qui aide les pays à mesurer et à rendre compte de la situation de leurs forêts .

La FAO et l’Université d’Etat de Pennsylvanie ont uni leurs forces en vue de développer une application innovante – Nuru – visant à aider les agriculteurs à reconnaître la chenille légionnaire d’automne, un ravageur destructeur de cultures qui s’est très vite répandu en Afrique subsaharienne.

Agnès Waithira Muli, une petite exploitante agricole vivant avec son mari dans le comté d’Embu au centre du Kenya, a perdu la plupart de ses dernières récoltes à cause de la chenille légionnaire d’automne.

Un projet de la FAO, de l’Union Africaine et de la Fondation Rockefeller vise à aider les pays africains à réduire drastiquement leurs pertes après-récolte d'ici 2030

Selon un nouveau rapport publié aujourd’hui, la pollution de l’eau induite par des pratiques agricoles non durables menace sérieusement la santé humaine et les écosystèmes de la planète, un problème par ailleurs souvent sous-estimé par les décideurs politiques et les agriculteurs.

L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (UNHCR) ont lancé aujourd’hui un nouveau manuel afin d’aider à restaurer les forêts dans les régions touchées par les déplacements massifs de populations.