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Développement de l'aquaculture.










FAO Département des pêches. Développement de l'aquaculture. FAO Directives techniques pour une pêche responsable. No. 5. Rome, FAO. 1998. 55p.



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    Book (series)
    Le développement de l’aquaculture. 5. L’utilisation des poissons sauvages comme aliment en aquaculture. 2013
    Ces directives techniques sur l’utilisation des poissons sauvages comme aliments aquacoles ont été développées à l’appui de l’Article 7 (Aménagement des pêcheries) et de l’Article 9 (Développement de l’aquaculture) Code de Conduite pour une Pêche Responsable de la FAO, et en particulier à l’appui des Articles 9.1.3, 9.1.4 et 9.4.3. Les objectifs des directives sont de contribuer au développement de l’aquaculture et l’utilisation durable des stocks des poissons fourrages. Les directives couvrent un certain nombre d’enjeux pertinents sur l’utilisation des poissons sauvages dans les aliments aquacoles, y compris les impacts sur les écosystèmes et l’environnement, les considérations éthiques sur l’utilisation responsable du poisson pour l’aliment, le développement et les technologies de l’aquaculture et les besoins des statistiques et des d’informations pour la gestion du développement de l’aquaculture. Des questions spécifiques liées à la gestion des ressources de pêche qui peuvent être u tilisées comme aliments sont brièvement considérées dans ces directives, comme elles ont été traitées en détail dans des directives séparées de la FAO concernant la gestion des pêches et qui, entre autre, qui s’appliquent également à la pêche des poissons fourrages. Les principes directeurs de ces directives techniques ont été développés et adoptés lors de l’Atelier des Experts de la FAO sur l’Utilisation des Poissons Sauvages et/ou d’Autres Espèces Aquatiques comme Aliments dans l’Aquaculture et ses Implications sur la Sécurité Alimentaire et la lutte contre la pauvreté, 16-18 Novembre 2007, Kochi, Inde.
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    Book (stand-alone)
    Programme de formation et manuel pratique sur l'aquaculture durable 2024
    Also available in:

    Dans le contexte du développement de l’aquaculture durable, divers principes techniques, environnementaux, socioéconomiques et de gouvernance, combinés, ont un rôle crucial à jouer. L’une des principales préoccupations de la région Afrique concerne la disponibilité du poisson par habitant, qui devrait diminuer dans les décennies à venir si la croissance de la production aquacole est inférieure à la croissance démographique. Outre sa capacité avérée à réduire la pauvreté et à améliorer la sécurité alimentaire et les moyens de subsistance, l’aquaculture peut constituer un important moteur de croissance. Certains pays disposent par ailleurs de programmes aquacoles éprouvés. De nombreux pays africains reconnaissent désormais l’importance de ce secteur et le rangent parmi les domaines prioritaires. Certains des facteurs identifiés comme nécessaires au développement du secteur sont la production de connaissances et le renforcement des capacités institutionnelles et techniques. L’éducation formelle et l’apprentissage informel doivent être privilégiés si l’on veut améliorer le niveau d’expertise, de compétence et de qualification des différents acteurs du secteur aquacole. À cet égard, il est nécessaire de mettre en place des programmes d’éducation et de formation innovants pour produire ou renforcer les connaissances et les compétences et améliorer la sécurité alimentaire, la nutrition, la croissance économique et l’emploi, autant d’éléments indispensables pour faire progresser le secteur. Ce document a été conçu comme un guide de ressources et répond aux besoins des pisciculteurs, des agents de vulgarisation agricole, des fonctionnaires et des institutions financières, qu’ils connaissent de manière précise ou non le secteur aquacole. Le programme et le manuel de formation ont également été conçus de manière à améliorer les connaissances et les compétences des écoles techniques (enseignants et étudiants) en matière de pratiques aquacoles durables.
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    Document
    FAO Commission générale des pêches pour la Méditerranée. Rapport de la trente-septième session. Split, Croatie, 13-17 mai 2013. 2014
    Also available in:

    Les représentants de vingt-et-une Parties contractantes, d’un État non membre de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée (CGPM) et onze observateurs ont assisté à la trenteseptième session de la CGPM, ainsi qu’à la quatrième session du Comité de l’administration et des finances (CAF) et à la septième session du Comité d’application. La Commission a passé en revue les activités intersessions du Comité scientifique consultatif (CSC) et du Comité de l’aquaculture (CAQ) ainsi que les résultats obtenus par le Groupe spécial mis en place pour la modernisation du cadre juridique et institutionnel de la CGPM. Les mesures adoptées par la Commission cette année comprennent notamment une recommandation sur un plan de gestion pluriannuel et sur des mesures de conservation transitoires pour les pêcheries de petits pélagiques en Méditerranée qui prévoit des actions visant à réduire la menace de surpêche et de déclin des stocks et à encourager l’exploitation durable de cette importante espèce cible tout en gardant des rendements stables. Pour ce qui est de la mer Noire, la Commission a adopté une recommandation relative à la définition d’un ensemble de normes minimales pour la pêche du turbot au filet maillant de fond et pour la conservation des cétacés, en vue de garantir la protection des jeunes turbots avant qu’ils n’atteignent la taille de maturité et de contribuer ainsi au renouvellement de cette population en mer Noire. Cette mesure prévoit également des normes pour les pêcheries de turbot visant à réduire les captures accidentelles de cétacés. Parallèlement à ces recommandations contraignantes, la Commission a approuvé deux résolutions visant à promouvoir la mise en place d’aires marines protégées (y compris les zones de pêche réglementée) et à faire adopter des directives sur la gestion de la capacité de pêche en fonction de la disponibilité des ressources, afin de renforcer le contrôle et le suivi de l’effort et de la capacité de pêche. Un autre résultat de la session a été l’adoption de lignes directrices sur des mesures de précaution en matière de conservation visant à minimiser les effets indésirables sur les stocks et à améliorer la rentabilité économique des pêches. Dans le domaine de l’aquaculture, étant donné le rôle clé de ce secteur dans l’optique de la sécurité alimentaire et de la croissance économique et compte tenu de la nécessité d’encourager son développement durable en Méditerranée et en mer Noire, la Commission a convenu de mettre en place la première plateforme aquacole multi-acteurs, qui prévoit la participation de toutes les parties prenantes du secteur. La Commission a adopté son budget autonome pour l’année 2013, s’élevant à 1 940 973 USD, ainsi que son programme d’activités pour la période intersessions, y compris au titre du premier programme-cadre 2013-2018. Il a été décidé de créer cinq nouveaux groupes de travail: trois groupes de travail sur les méthodologies aux fins de l’analyse socioéconomique, sur la pêche artisanale et sur la pêche de loisirs dans le cadre du Sous-comité des sciences économiques et sociales (SCSES), un groupe de travail transversal sur les aires marines protégées auquel participent tous les Sous-comités et un groupe de travail pour la révision de l’Accord portant création de la CGPM. La session de cette année a été marquée par des avancées substantielles à l’appui du processus de réforme, lancé en 2009, en vue de moderniser le cadre institutionnel et d’assurer un fonctionnement plus efficace de la CGPM. Le Groupe de travail pour la révision de l’Accord portant création de la CGPM sera appelé à jouer un rôle important dans ce processus de réforme, qui devrait se traduire par une coopération sous-régionale renforcée, par la mise en place de mécanismes efficaces pour assurer le respect des décisions contraignantes, par la création d’une feuille de route pour lutter contre la pêche illicite, illégale et non réglementée et assurer ainsi la durabilité à long terme des pêches et de l’aquaculture en Méditerranée et en mer Noire. Une session extraordinaire, qui se tiendra en 2014, examinera les résultats de ce processus de réforme.

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