15 - 17 Mars 2016
Harare, Zimbabwe

Cet atelier de validation est organisé dans le cadre du projet intitulé : « Développement des stratégies de réduction des pertes alimentaires en faveur des petits producteurs en Afrique, Phase 1 » lancé en 2014. Il s’agit d’une initiative financée par le Ministère des affaires étrangères du gouvernement de la Norvège et mise en œuvre par la FAO dans onze pays africains (Angola, Botswana, Cameroun, Côte d’Ivoire, Ghana, Kenya, Namibie, Rwanda, Swaziland, Zambie et Zimbabwe) en partenariat avec les ministères de l’agriculture de chaque pays.

L’atelier a pour but de présenter les données découlant des études d’évaluation des pertes qui ont été menées tout au long des chaînes d’approvisionnement concernant un éventail de denrées alimentaires différentes, comme le maïs, le millet, les pommes de terre, les légumineuses et l’horticulture.

Objectifs de l’atelier

1. Atteindre une meilleure compréhension plus vaste des causes des pertes alimentaires, leur ampleur et leurs impacts socio-économiques.
2. Identifier les stratégies et les solutions pratiques visant à réduire les pertes alimentaires.
3. Trouver un accord sur le chemin à suivre pour développer un programme de réduction des pertes alimentaires (Phase 2).

Formule de l’atelier de travail

La réunion comprendra la présentation d’exposés ainsi que des discussions participatives. Les séances de groupe ainsi que les plénières auront pour but d’identifier et de définir les stratégies et les solutions prioritaires à court et à moyen termes pour réduire les pertes alimentaires dans les  chaînes d’approvisionnement alimentaire les plus importantes.

Participants (uniquement sur invitation)

Les participants invités à cet atelier incluent les membres des équipes travaillant sur l’évaluation des pertes alimentaires (généralement du milieu universitaire et de la recherche), les responsables des gouvernements, les représentants du secteur privé, les organisations sous-régionales et régionales (y compris l’Union africaine, la COMESA, et d’autres), ainsi que les partenaires du secteur du développement et les cadres de la FAO.