L'auteur souligne la valeur des petite ruminants en Asie et en Afrique et l'importance de la collecte sur le terrain de données sur la productivité des diverges races locales, ces données étant les plus utiles. Par le passé, l'introduction d'animaux en provenance de pays tempérés a souvent échoué dans les zones tropicales. L'auteur évalue les méthodes d'amélioration par la génétique ou par le système d'élevage, ainsi que les critères retenus pour calculer la productivité. Les réseaux récemment créés par des organisations comme le Bureau interafricain pour les ressources animales, le CIPEA et la FAO devraient encourager la collecte et une plus large diffusion de l'information.