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Résumé

1.     Comme indiqué dans l'avant-propos du Directeur général, la présentation du Rapport sur l'exécution du Programme 2002-03 a été modifiée conformément aux propositions approuvées en mai 2004 par le Comité du Programme à sa quatre-vingt-onzième session et par le Comité financier à sa cent septième session (FC 107/24a). Le Rapport ainsi révisé décrit les réalisations de l’Organisation et les résultats de son travail sous trois angles - stratégique, régional et par programme - et donne les informations générales habituelles sur l’utilisation des ressources aux fins de l’exécution du Programme.

2.     Le Cadre stratégique de la FAO 2000-2015 sert de toile de fond à la planification et à l'établissement de rapports axés sur les résultats en distinguant cinq Stratégies visant à répondre aux besoins des Membres, complétées par les six Stratégies pour aborder les questions intersectorielles. Le bilan de la mise en oeuvre du Cadre stratégique, qui est aussi le titre de la première partie du présent rapport, a été établi en fonction des réalisations sectorielles et interdisciplinaires directement liées aux douze objectifs stratégiques énumérés au titre des cinq stratégies visant à répondre aux besoins des Membres.

3.     Stratégie A: Les contributions à l’éradication de l’insécurité alimentaire et de la pauvreté ont impliqué divers moyens d'action tels que les conseils directs, l’élaboration de méthodologies et directives et l'échange d'information. La durabilité des moyens de subsistance en milieu rural et l’accès aux ressources ont été renforcés grâce à des activités visant à améliorer l’accès à la terre, à atténuer l’inégalité entre les sexes, à renforcer les moyens de subsistance des petits agriculteurs et à promouvoir l’éducation nutritionnelle, les pêches artisanales et la foresterie participative. L’accès à une alimentation suffisante, sûre et adéquate a été favorisé grâce à la mise au point d'outils d'évaluation, de programmes participatifs à l'échelon communautaire et de systèmes de cartographie de l'insécurité alimentaire et de la vulnérabilité, ainsi que par des conseils en matière de politiques et de programmes de vulgarisation et de formation à l’intention des groupes défavorisés. Les activités relatives à la planification des secours en cas d’urgence ont visé essentiellement à renforcer la préparation aux catastrophes et à atténuer l’impact de telles situations sur la sécurité alimentaire et les capacités de production des populations rurales. D’autres activités ont été axées sur la prévision et l’alerte rapide en matière de catastrophes naturelles ou de crises alimentaires imminentes, le renforcement des programmes de secours et de redressement du secteur agricole et la facilitation de la transition des secours d’urgence à la reconstruction et au développement, ainsi que sur les volets protection phytosanitaire et élevage d’EMPRES.

4.     Stratégie B: La promotion, l’élaboration et le renforcement des cadres politiques et réglementaires se sont traduits essentiellement par le soutien apporté à de nombreuses initiatives internationales, l’échange d’information et des conseils directs. Les accords, conventions et normes internationaux ayant bénéficié d'un appui sont énumérés ci-après:

5.     L’appui fourni à ces éléments du cadre réglementaire international a visé à encourager la participation en connaissance de cause de tous les États Membres de la FAO, compte dûment tenu des préoccupations particulières des pays en développement ou en transition et de leurs politiques, instruments juridiques et mécanismes d’appui nationaux.

6.     Stratégie C: L’augmentation durable de l’offre et de la disponibilité de denrées alimentaires et d’autres produits a été facilitée par l’échange d’informations, des conseils directs, la réalisation d’études et d’analyses et l’élaboration de méthodologies et de directives. Des options en matière de politiques et des mesures institutionnelles propres à améliorer l’efficacité et l’adaptabilité des systèmes de production, de transformation et de commercialisation ont pu être élaborées au niveau national grâce à des processus tels que l'évaluation conjointe de pays, le Cadre des Nations Unies pour l'aide au développement (PNUAD) et les documents de stratégie pour la réduction de la pauvreté (DSRP). Les domaines couverts ont été les options en matière d'utilisation des terres, les systèmes durables de production agricole et d’exploitation des herbages, l'agriculture et l'horticulture biologiques, des systèmes de production intégrée incluant les bonnes pratiques agricoles, les politiques en matière d’utilisation d’engrais, la commercialisation des produits agricoles, les finances rurales, la mécanisation, les activités postérieures à la récolte et les pêches artisanales. L’adoption de technologies appropriées pour intensifier durablement les systèmes de production et garantir une offre suffisante de biens et services alimentaires et agricoles a été encouragée par toutes les grandes disciplines techniques et par plusieurs activités interdisciplinaires (PROD PAIA, par exemple), ainsi que grâce à l’expansion du Programme spécial pour la sécurité alimentaire (PSSA). Des succès spécifiques ont été obtenus dans les domaines suivants: agriculture de conservation, cultures et cultivars de substitution, gestion intégrée de la nutrition des végétaux, aliments pour animaux de substitution et sécurité sanitaire des aliments pour animaux, utilisation de l’induction de mutation et des biotechnologies pour obtenir des variétés de cultures vivrières de base à rendement plus élevé, appui aux systèmes nationaux de recherche agricole (SNRA), intensification de la production aquacole et intégration de l’aquaculture avec les systèmes agricoles et meilleures pratiques pour l’exploitation et le génie forestiers.

7.     Stratégie D: La conservation, l'amélioration et l'utilisation durable des ressources naturelles utiles à l'alimentation et à l'agriculture ont été appuyées grâce à la coordination et à l’échange d’informations ainsi qu’à des études et des analyses. Les activités relatives à la gestion intégrée des ressources naturelles ont inclus le renforcement des capacités nationales en matière de protection et de gestion durable des forêts et des terres boisées naturelles et l’appui aux aspects du Code de conduite pour une pêche responsable relatifs aux pratiques aquacoles et à la gestion des pêches continentales durables, à l’atténuation des dégâts causés à l’environnement et à la biodiversité. La conservation, la remise en état et la valorisation des environnements les plus vulnérables ont bénéficié d’une attention modérée, mais des progrès ont été enregistrés en matière de suivi et d’évaluation des écosystèmes fragiles et de renforcement des capacités pour protéger et exploiter de manière durable ces environnements dans le cadre des conventions internationales.

8.     Stratégie E: Les efforts visant à améliorer la prise de décision grâce à la communication d'informations et d’évaluations, ainsi qu'à la promotion de la gestion des connaissances, se sont concrétisés par des produits d’information, des systèmes et des bases de données. Tous les programmes ou presque ont contribué à une base de ressources intégrée et accessible comprenant des statistiques, des informations et des connaissances actualisées, pertinentes et fiables. Les principaux systèmes d'information de l'Organisation - Centre mondial d'information agricole (WAICENT) et Base de données statistiques fondamentales de l’Organisation (FAOSTAT) - ont été améliorés, de même que des outils plus spécialisés tels que les Systèmes d’information et de cartographie sur l’insécurité alimentaire et la vulnérabilité (SICIAV), le Système mondial d’information sur les pêches (FIGIS), le Système statistique sur l'eau en milieu rural (AQUASTAT) et les bases de données sur les denrées alimentaires de base. Une assistance a été fournie aux États Membres et aux organes intergouvernementaux pour une utilisation plus rationnelle de ces ressources. Des évaluations, des analyses et des études prospectives ont été publiées, dont les publications phare de l’Organisation que sont l’Agriculture mondiale à l’horizon 2015/30, La Situation mondiale de l’alimentation et de l’agriculture (SOFA), la Situation mondiale des pêches et de l’aquaculture (SOFIA) et la Situation des forêts du monde (SOFO),ainsi que des évaluations de l’insécurité alimentaire par le biais du Système mondial d’information et d’alerte rapide sur l’alimentation et l’agriculture (SMIAR). Le Sommet mondial de l’alimentation: cinq ans après (SMA:cinq ans après) a remis en évidence la place centrale qu’occupe la sécurité alimentaire parmi les préoccupations internationales et a cherché à accélérer l'exécution du Plan d'action du SMA.

9.     L’exécution de cinq des six Stratégies pour aborder les questions intersectorielles a commencé. Au titre de la stratégie visant à promouvoir l'approche interdisciplinaire , 16 DPAI ont été créés. En ce qui concerne l'élargissement des partenariats et des alliances la FAO a participé activement aux mécanismes du Groupe des Nations Unies pour le développement et aux Missions interinstitutions ONU/Banque mondiale d’évaluation des besoins d’urgence en matière de reconstruction dans les situations postérieures aux conflits, a signé une lettre d’accord avec le Haut Commissaire des Nations Unies pour les réfugiés (UNHCR) et un mémorandum d’accord avec le Fonds mondial pour l’environnement (FME), et a renforcé sa collaboration dans les domaines de travail communs en intensifiant son interaction avec les institutions financières internationales, son assistance au Nouveau partenariat pour le développement en Afrique (NEPAD) et sa coopération avec les organisations non gouvernementales (ONG), la société civile et le secteur privé. Les efforts faits pourcontinuer à améliorer le processus de gestion ont été centrés sur l’application de la budgétisation fondée sur les résultats à tous les programmes techniques, l’amélioration des systèmes financiers et autres Oracle et la planification et la gestion des ressources humaines. Pour assurer un effet multiplicateur des ressources pour la FAO et ses Membres , de nouvelles modalités de coopération multi ou bilatérales, notamment pour les partenariats stratégiques et l'exécution nationale, ont été élaborées, parallèlement à la rationalisation des procédures et à l’expansion du Système d’information sur la gestion du programme de terrain. La diffusion des messages de la FAO a été renforcée grâce à l’élargissement du processus de communication, à l’élaboration d’un nouveau site Intranet/Extranet accessible à tous les fonctionnaires et à de nombreux bureaux de représentants de la FAO et au renforcement des relations avec les médias multilingues.

10.     Une section relative aux dimensions régionales répond à la nécessité de faire rapport sur certains résultats ayant une importance particulière à l'échelon régional. Cette analyse succincte repose sur la présentation des dimensions régionales dans le Programme de travail et budget (PTB) 2002-03 et donne un aperçu intersectoriel des activités mises en oeuvre pendant l'exercice 2002-03 intéressant plus particulièrement telle ou telle région.

11.     La section relative aux résultats d’ensemble de l’Organisation, résumée ci-après, indique l’évolution des ressources disponibles, le coût du soutien au programme de terrain, la politique linguistique de la FAO, ainsi que la représentation géographique des membres et la ventilation hommes-femmes au sein des fonctionnaires du cadre organique.

12.     Les dépenses totales pour 2002-03 ont atteint 1 milliard 400 millions de dollars EU, soit 96 millions de dollars EU (7,3 pour cent) de plus qu'en 2000-01. Les dépenses au titre du Fonds général et des fonds connexes, en hausse de 110 millions de dollars EU (16,4 pour cent) par rapport à l’exercice précédent, font apparaître une évolution considérable de l’utilisation des fonds par rapport à l’exercice précédent. En particulier, les crédits du Programme ordinaire sont restés constants en valeur courante, tandis que les dépenses augmentaient de 2 pour cent en 2002-03, situation rendue possible en partie du fait de l’augmentation sensible des recettes, grâce notamment aux activités d’investissement cofinancées, avec des gains en hausse de 22 pour cent, et au remboursement des dépenses d'appui, qui ont augmenté de 12 pour cent. On constate une augmentation des dépenses imputées sur les crédits du Programme de coopération technique (PCT) de 2000-01 (13,1 millions de dollars EU), ainsi que par rapport aux crédits de 2002-2003, ce qui a entraîné un abaissement des revenus différés du PCT (15,7 millions de dollars EU). La variance des dépenses de personnel due aux fluctuations monétaires, qui avait été favorable (plus 24 millions de dollars EU) en 2000-01, s’est inversée en 2002-03, avec un montant négatif de 34,8 millions de dollars EU (quoique, dans la pratique, cette perte ait été compensée par des gains liés à l'achat à terme d'euros portés au crédit du Compte de réserve spécial).

13.     Les dépenses engagées pour exécuter le Programme de travail se sont élevées à 723,4 millions de dollars EU, contre un budget correspondant de 724 millions de dollars EU. Les recettes se sont élevées à 72,2 millions de dollars EU. Les dépenses nettes totales se sont donc élevées à 651,1 millions de dollars EU pour une ouverture de crédits de 651,8 millions de dollars EU. Des ajustements ont été nécessaires car l’exécution du Programme de travail diffère inévitablement de celle qui a été planifiée du fait de facteurs tels que l’inflation et d’autres coûts non prévus et non budgétisés ou d’une évolution des priorités en fonction de l’environnement externe et des efforts faits par l’Organisation pour répondre aux besoins les plus pressants de ses Membres. En 2002-03, les activités techniques de l’Organisation ont représenté 79 pour cent des dépenses, réparties comme suit: 41 pour cent au titre du Chapitre 2, 25 pour cent au titre du Chapitre 3 et 13 pour cent au titre du chapitre 4. Le chapitre Politique et direction générales, qui inclut le coût de la gouvernance et de l’information du public, a représenté 10 pour cent supplémentaires, laissant un solde de 11 pour cent pour les Services de soutien et les Charges communes.

14.     Fin 2002, l’Organisation a reçu du principal bailleur de fonds un versement d’arriérés d’un montant de 100 millions de dollars EU. L’utilisation de ces fonds était stipulée dans la Résolution 6/2001 de la Conférence, de même que l’autorisation de reporter le solde non dépensé pour utilisation en 2004-05. Un solde de 41, 4 millions de dollars EU a donc été reporté au titre de cette disposition.

15.     Les dépenses au titre des fonds fiduciaires et du PNUD ont diminué de 14 millions de dollars EU (2,3 pour cent) avec d’importantes variations entre les deux exercices biennaux. Ainsi, les dépenses au titre des fonds fiduciaires (à l’exclusion des projets de secours d’urgence) ont augmenté de 10,6 millions de dollars EU (3,9 pour cent), tandis que l’exécution des opérations d’urgence diminuait de 16,3 millions de dollars EU (5 pour cent), du fait essentiellement de la réduction de la part du programme Pétrole contre nourriture en faveur de l’Iraq. Les dépenses au titre du PNUD ont diminué de 8,6 millions de dollars EU (25 pour cent).

16.     L’exécution du programme de terrain, y compris le PCT et le Programme spécial pour la sécurité alimentaire (PSSA), a augmenté d’un peu plus de 3 pour cent par rapport à 2000-01, tandis que le coût des services d’appui technique augmentait de un million de dollars EU pour se situer à 57,6 millions de dollars EU. Ainsi, les services d’appui technique (SAT), en pourcentage de l’exécution totale, sont restés pratiquement inchangés à 8,1 pour cent en 2002-03. Cette assistance technique a été assurée par le biais de projets financés par des fonds extrabudgétaires (3,9 millions de dollars EU), ainsi que par le PCT et le PSSA (10,5 millions de dollars EU) ou par des crédits SAT alloués aux divisions techniques au titre du Programme ordinaire.

17.     Le coût total du Soutien administratif et opérationnel (SAO) a augmenté de 6,8 millions de dollars EU, passant de 9,3 pour cent à 10,1 pour cent de l’exécution totale des projets, tandis que les remboursements augmentaient de 2 millions de dollars EU pour atteindre 47,3 millions de dollars EU. Le déclin net du pourcentage des coûts remboursés (de 70,4 pour cent à 66,1 pour cent) est imputable à une réduction ponctuelle des recettes au titre des projets PCT liée à une modification des méthodes comptables.

18.     Des améliorations considérables ont été apportées au système de gestion des travaux linguistiques afin de faire face à une charge de travail accrue résultant de l’application des diverses procédures recommandées pour la production simultanée de documents et de publications dans les cinq langues officielles. Parmi les améliorations apportées au système de gestion des travaux linguistiques figurent l’adoption de nouvelles technologies pour la terminologie et la traduction qui facilitent le travail des équipes de traducteurs ou de technologies qui réduisent les délais de production des documents des réunions officielles tant dans leur langue d’origine que dans les autres versions linguistiques. Ceci a permis d’afficher presque simultanément ces documents dans toutes les langues de l’Organisation sur le site web de la FAO. Le Groupe de travail interdépartemental sur la terminologie a été renforcé afin d’accélérer la mise à jour et d’assurer l’exactitude de la base de données terminologique. Un crédit spécial pour l’application de la politique linguistique a encouragé la production des publications dans d’autres langues et permis d’améliorer les systèmes de gestion.

19.     Les principes suivis par l’Organisation en matière de représentation géographique des États Membres ont été définis par le Conseil de la FAO à sa vingt-septième session en 1957. Les règles relatives à la représentation d’un pays sont fondées sur sa contribution au Programme ordinaire comparée au nombre de ses fonctionnaires financés par le Programme ordinaire, nommés à titre permanent ou bénéficiant de contrats à durée déterminée1. Fin 2003, 77 pays étaient surreprésentés, contre 73 fin 2001; 16 étaient sous-représentés, contre 11 fin 2001 et 30 n’étaient pas représentés, contre 26 fin 2001. Un rang de priorité élevé a été accordé au placement de fonctionnaires du cadre organique provenant de pays non représentés, moyennant quoi cinq des 26 pays non représentés fin 2001 étaient représentés fin 2003. À sa trente-deuxième session, tenue en novembre-décembre 2003, la Conférence de la FAO a adopté une formule révisée pour déterminer les conditions d’une répartition géographique équitable des postes du cadre organique, fondée sur la formule appliquée par le Secrétariat des Nations Unies et par plusieurs organisations du système commun des Nations Unies. La nouvelle méthodologie est appliquée depuis le 1er janvier 2004.

20.     Les dispositions prises pour affecter davantage de femmes à des postes du cadre organique au cours des quatre derniers exercices a permis de faire passer le nombre de femmes occupant ce type de postes au Siège de 21 pour cent début 1996 à 30 pour cent fin 2003 et, tous lieux d’affectation confondus, de 18 à 27 pour cent. Si le pourcentage de femmes occupant des postes du cadre organique dans les bureaux extérieurs de la FAO est nettement inférieur à celui du Siège, il augmente à un rythme relativement soutenu, puisqu’il est passé de 8 pour cent en 1996 à 18 pour cent en 2003.

21.     Le Résumé de l’exécution du programme repose sur la structure du PTB et décrit les principales réalisations de l’Organisation ainsi que d’importantes activités qui ne sont pas encore achevées, à des fins de gestion. Il inclut des informations sur l’exécution du budget et sur l’état d’avancement des produits biennaux par programme, ainsi que sur les réalisations par grand programme et programme. On notera que les résultats et les réalisations signalés ne se situent pas en règle générale au même niveau, ou ne sont pas de la même ampleur, que les principaux résultats indiqués dans le PMT. Toutefois, il est prévu que le cycle d’autoévaluation de six ans fera un bilan complet des résultats obtenus en fonction des objectifs des entités cités dans le PMT.

22.     Enfin, le rapport habituel sur les sessions non programmées ou annulées pendant la période 1er janvier 2002 – 31 décembre 2003 figure en Annexe II, tandis que la représentation géographique des membres au sein du personnel du cadre organique est présentée de manière détaillée à l’Annexe III.

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