CL 128/10




Conseil


Cent vingt-huitième session

Rome, 20 – 25 juin 2005

RAPPORT DE LA TRENTE ET UNIÈME SESSION DU
COMITÉ DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE MONDIALE (CSA)
Rome, 23 – 26 mai 2005


Table des matières


LORS DE L’EXAMEN DU PRÉSENT RAPPORT, LE CONSEIL POURRAIT SOUHAITER ACCORDER UNE ATTENTION PARTICULIÈRE AUX RECOMMANDATIONS FIGURANT DANS LES PARAGRAPHES
9, 15, 17-20 ET 26-28


I. ORGANISATION DE LA SESSION

1. Le Comité de la sécurité alimentaire mondiale a tenu sa trente et unième session du 23 au 26 mai 2005 au Siège de la FAO, à Rome. Ont participé à la session des délégués de 113 des 136 Membres du Comité, des observateurs de trois autres États Membres de la FAO et du Saint-Siège, des représentants de deux institutions et programmes de l’Organisation des Nations Unies et des observateurs de quatre organisations intergouvernementales et de 22 organisations non gouvernementales internationales. Le présent rapport comprend les annexes suivantes: Appendice A – Ordre du jour de la session; Appendice B – Composition du Comité de la sécurité alimentaire mondiale; Appendice C – Pays et organisations représentés à la session; Appendice D – Liste des documents et Appendice E – Conclusions du dialogue entre parties prenantes concernant l'organisation d'un Forum spécial à l’occasion de la trente-deuxième session du Comité de la sécurité alimentaire mondiale, en 2006. La liste complète des participants peut être obtenue auprès du Secrétariat du Comité de la sécurité alimentaire mondiale.

2. La session a été ouverte par M. Salif Diallo, Ministre de l’agriculture, de l’hydraulique et des ressources halieutiques du Burkina Faso, en sa qualité de Président du Comité de la sécurité alimentaire mondiale. Les séances suivantes ont été présidées par M. Soren Skafte (Danemark), M. Yahya Al Araimy (Oman) et M. Anton Kohler (Suisse).

3. Le Directeur général a souhaité la bienvenue aux invités d’honneur et a prononcé une déclaration, dans laquelle il a fait part de son inquiétude quant à l’éventualité de ne pas atteindre les objectifs du Sommet mondial de l’alimentation. M. Blaise Compaoré, Président du Burkina Faso, a prononcé un discours liminaire, au cours duquel il a souligné qu’il convenait de considérer les mesures axées sur la sécurité alimentaire comme des outils permettant d’éloigner le spectre de la pauvreté. M. Armand de Decker, Ministre de la coopération au développement de la Belgique, a prononcé une allocution sur l’aide publique au développement, en accordant une attention particulière à la sécurité alimentaire.

4. Le Comité a constitué un Comité de rédaction présidé par M. James Melanson (Canada) et composé des délégations des pays suivants: Afrique du Sud, Australie, Brésil, Canada, Colombie, Espagne, Iran, Libye, Malaisie, Norvège, Pays-Bas, République de Corée, Royaume-Uni et Tanzanie.

5. À l’occasion de la session du Comité de la sécurité alimentaire mondiale, le Secrétariat a organisé les événements spéciaux suivants:

    1. Événement spécial sur les incidences des changements climatiques, des ravageurs et des maladies sur la sécurité alimentaire et la lutte contre la pauvreté;
    2. Incidences des conflits et de la gouvernance sur la sécurité alimentaire et rôle de la FAO et dispositions prises par l’Organisation en vue d’atteindre les Objectifs du Millénaire pour le développement;
    3. La révolution verte en Afrique.

II. ÉVALUATION DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE MONDIALE - RÉSULTATS ET CONCLUSIONS

6. Le Comité a félicité le Secrétariat des améliorations apportées au niveau de la structure et du contenu du document d’évaluation (CFS:2005/2), y compris de son approche thématique axée sur les moyens de faire face à des chocs importants affectant la sécurité alimentaire.

7. Lors des débats sur ce document, il a été souligné avec préoccupation que si les progrès accomplis se poursuivaient au rythme actuel, l’objectif du SMA, de réduire de moitié le nombre de personnes souffrant de la faim d’ici 2015, ne serait pas atteint.

8. Le Comité a pris acte, en particulier, de l’impact du tsunami sur la sécurité alimentaire des pays sinistrés et du rôle primordial joué par la FAO et d’autres institutions lors de la phase de relèvement.

A. RECOMMANDATIONS

9. Étant donné que la lutte contre la faim exige un train intégré de mesures qui s’attaque simultanément aux causes de l’insécurité alimentaire transitoire aussi bien que chronique, dans le cadre des politiques de développement, le Comité a formulé les recommandations suivantes:

À l’intention des gouvernements:

La FAO devrait:

III. EXAMEN À MI-PARCOURS (2006) DU PLAN D’ACTION DU SOMMET MONDIAL DE L’ALIMENTATION

A. MODÈLE DE RAPPORT SUR LE SUIVI DU PLAN D’ACTION DU SOMMET MONDIAL DE L’ALIMENTATION

10. Le Comité a examiné le point III a) de son ordre du jour sur la base du document CFS:2005/3.

11. Après la préparation des rapports nationaux de 2004 sur les progrès accomplis dans la mise en application du Plan d’action du SMA, le Comité avait demandé au Secrétariat d’organiser un groupe de travail d’experts, équilibré sur le plan régional, chargé d’examiner les différentes options possibles pour améliorer le modèle de rapport.

12. Le Comité a souligné l’importance de disposer d’un bon modèle de rapport, dans la mesure où celui-ci aidait à évaluer avec précision la mise en oeuvre du Plan d’action du SMA et indiquait l’état d’avancement des efforts de réduction de la pauvreté et de la faim, aux niveaux national, régional et mondial, conformément aux objectifs du SMA et de la Déclaration du Millénaire. Le Comité a estimé que le modèle de rapport proposé par le groupe d’experts constituait un progrès, dans la mesure où il était plus clair et comportait un nombre réduit d’indicateurs.

13. Le Comité a reconnu que le nouveau modèle de rapport devait être envoyé aux pays membres d’ici septembre 2005 pour que les rapports nationaux sur l’état d’avancement du Plan d’action du SMA soient préparés en temps voulu, pour le 1er avril 2006, afin d’être pris en considération dans le rapport de synthèse. Le Comité, tout en estimant qu’une expérimentation détaillée du modèle de rapport serait souhaitable, a reconnu que cela ne serait pas possible, faute de temps.

14. Le Comité a souligné que la liste d’indicateurs et la partie descriptive du modèle de rapport s’épaulaient mutuellement. Il a été suggéré d’indiquer clairement dans le modèle les indicateurs se rapportant aux Objectifs du Millénaire pour le développement. Il a également été précisé que la partie descriptive du modèle servirait à fournir des informations sur deux questions importantes, à savoir la question de la gouvernance prévue dans l’Engagement I et la question de l’inégalité des revenus, contenue dans l’Engagement II. Le Comité a suggéré de réduire encore le nombre d’indicateurs.

15. Le Comité a recommandé:

B. EXAMEN À MI-PARCOURS (2006): ORGANISATION DU
FORUM SPÉCIAL

16. Le Comité a pris acte de la Synthèse des conclusions du dialogue entre parties prenantes concernant l’organisation du Forum spécial en 2006 (voir Appendice E du rapport). Lors de ce débat spécial, des représentants de 25 organisations non gouvernementales et organisations de la société civile ont eu l’occasion de s’exprimer sur un pied d’égalité avec les gouvernements.

17. Le Comité a approuvé les conclusions des débats suivantes:

18. Le Comité a proposé que chaque région envisage d’inscrire, à l’ordre du jour de la Conférence régionale les concernant, un point sur l’organisation de l’examen à mi-parcours (2006) du Plan d’action du Sommet mondial de l'alimentation et que des concertations entre parties prenantes soient organisées lors des préparatifs du Forum spécial.

19. Le Comité a recommandé que la participation des parties prenantes aux préparatifs et à la tenue du Forum spécial soit la plus vaste possible. Il a souligné qu’il était indispensable que tous les groupes concernés participent, notamment les ONG, les OSC et les associations du secteur privé.

20. Le Comité a reconnu qu'il serait nécessaire de prévoir des ressources supplémentaires à l’appui des préparatifs et de la tenue du Forum spécial.

IV. ALLIANCE INTERNATIONALE CONTRE LA FAIM

21. Le Comité a salué les progrès accomplis par l'Alliance internationale contre la faim dans les différents pays, tant en développement que développés, en ce qui concerne la mise en place d'alliances nationales regroupant un large éventail de représentants des autorités publiques et de la société civile.

22. Plusieurs gouvernements et représentants d'ONG et d'OSC ont fourni des précisions à propos des activités de l'Alliance dans leur pays ou des grands programmes nationaux visant à lutter contre la faim, comme les repas scolaires, les programmes de sécurité alimentaire et les campagnes de sensibilisation. D'autres ont informé le Comité de leur volonté de créer une alliance.

23. Les institutions dont le siège est à Rome se sont félicitées des rapports de collaboration qui se sont établis, au sein du Groupe de travail de l'Alliance internationale, entre la FAO, le FIDA, l'IPGRI et le PAM, ainsi qu'avec les ONG, afin de discuter des objectifs du Sommet mondial de l'alimentation et des Objectifs du Millénaire pour le développement et d'œuvrer à leur concrétisation. Des représentants d'ONG et d'organisations et de fédérations de la société civile ont fait part de leur gratitude à l'égard de l'Alliance internationale et de leur volonté d'y participer, tant au niveau international que national. Ils ont souligné le fait que l'Alliance apporte une valeur ajoutée à leurs propres initiatives de lutte contre la faim et la pauvreté (campagnes de sensibilisation ou de plaidoyer, projets locaux).

24. Il a été rappelé que l'Alliance internationale contre la faim fait rapport au Comité de la sécurité alimentaire mondiale et ne représente pas un mécanisme parallèle. Les contributions des gouvernements et des ONG ont mis en évidence la valeur de la notion de « bâtir ensemble » que défend l'Alliance internationale.

V. AUTRES QUESTIONS

A. ORGANISATION DE LA TRENTE-DEUXIèME SESSION

25. Le Comité est convenu de tenir sa trente-deuxième session au Siège de la FAO, à Rome, à une date qui sera fixée par le Directeur général, en consultation avec le Président.

26. Conformément à la Déclaration de Rome, le Comité entreprendra en 2006 « dans les limites des ressources disponibles, une évaluation intérimaire de grande ampleur concernant la mise en œuvre du Plan d’action du Sommet mondial de l’alimentation et un examen à mi-parcours de l’objectif fixé, qui est de réduire de moitié le nombre des personnes sous-alimentées d’ici à 2015 au plus tard. » En conséquence, le Comité réalisera, à sa prochaine session, un examen à mi-parcours des progrès accomplis dans la mise en œuvre du Plan d'action du Sommet mondial de l'alimentation.

27. Conformément à la décision prise par le Comité de la sécurité alimentaire mondiale à sa trentième session et réaffirmée à la présente session, la trente-deuxième session prévoira un Forum spécial de deux jours, selon la pratique qui avait été appliquée par la Commission du développement durable des Nations Unies, avec la participation active des gouvernements, des organisations internationales compétentes et des acteurs de la société civile oeuvrant dans les domaines d'activité du Comité, en vue de la mise en application du Plan d'action du Sommet mondial de l'alimentation. Ce dialogue devrait également comprendre un examen des mesures à prendre à l’avenir afin d’améliorer le dialogue, la consultation et la compréhension mutuelle et d'accélérer les progrès en vue de la concrétisation des objectifs du Sommet mondial de l'alimentation.

B. QUESTIONS DIVERSES

28. Il a été demandé au Secrétariat de présenter à la prochaine Réunion plénière de haut niveau de l'Assemblée générale des Nations Unies consacrée aux Objectifs du Millénaire pour le développement, en septembre 2005, un document mettant en évidence les contributions de la FAO à ces objectifs. Il a en outre été demandé au Secrétariat d'ajouter un point sur ce thème à l'ordre du jour de la session de juin 2005 du Conseil, afin de pouvoir informer celui-ci de la teneur de cette contribution.


APPENDICE A

I. ORGANISATION DE LA SESSION

    1. Adoption de l’ordre du jour et du calendrier
    2. Déclaration du Directeur général ou de son représentant
    3. Discours liminaire
    4. Composition du Comité

II. ÉVALUATION DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE MONDIALE

    1. Évaluation mondiale
    2. Menaces particulières pour la sécurité alimentaire

III. EXAMEN À MI-PARCOURS (2006) DU PLAN D'ACTION DU SOMMET MONDIAL DE L'ALIMENTATION

    1. Présentation des rapports sur le suivi de la mise en oeuvre du Plan d’action du Sommet mondial de l’alimentation
    2. Organisation d’un Forum spécial qui se tiendra durant la trente-deuxième session du CSA (dialogue entre les parties prenantes)

IV. ALLIANCE INTERNATIONALE CONTRE LA FAIM

V. AUTRES QUESTIONS

    1. Organisation de la trente-deuxième session
    2. Questions diverses
    3. Rapport de la session

APPENDICE B

Afghanistan Jordanie
Afrique du Sud Kenya
Algérie Koweït
Allemagne Lesotho
Angola Lettonie
Arabie saoudite Liban
Argentine Libéria
Arménie Lituanie
Australie Luxembourg
Autriche Madagascar
Bahamas Malaisie
Bangladesh Malawi
Belgique Mali
Bénin Malte
Bolivie Maroc
Botswana Maurice
Brésil Mauritanie
Bulgarie Mexique
Burkina Faso Micronésie
Burundi Moldova
Cambodge Mozambique
Cameroun Namibie
Canada Népal
Chili Nicaragua
Chine Niger
Chypre Nigéria
Colombie Norvège
Communauté européenne Nouvell-Zélande
Congo, Rép. du Oman
Corée, Rép. de Ouganda
Costa Rica Ouzbékistan
Côte d'Ivoire Pakistan
Croatie Palaos
Cuba Panama
Danemark Paraguay
Égypte Pays-Bas
El Salvador Pérou
Équateur Philippines
Érythrée Pologne
Espagne Portugal
Estonie Qatar
États-Unis d'Amérique République centrafricaine
Éthiopie République démocratique du Congo
Ex-République yougoslave de Macédoine République démocratique populaire de Corée
Fédération de Russie République dominicaine
Finlande République slovaque
France République tchèque
Gabon République-Unie de Tanzanie
Ghana Roumanie
Grèce Royaume-Uni
Guatemala Rwanda
Guinée Saint-Marin
Guinée équatoriale Samoa
Haïti Sénégal
Honduras Sierra Leone
Hongrie Slovénie
Îles Marshall Soudan
Inde Sril Lanka
Indonésie Suède
Iran Suisse
Iraq Suriname
Irlande Syrie
Islande Thaïlande
Italie Tunisie
Jamahiriya arabe libyenne Turquie
Jamaïque Uruguay
Japon Venezuela
  Yemen
  Zimbabwe

APPENDICE C


Afrique du Sud Féderation de Russie Niger
Algérie Finlande Norvège
Allemagne France Nouvelle-Zélande
Angola Gabon Oman
Arabie saoudite Ghana Ouganda
Argentine Grèce Panama
Arménie Guatemala Pays-Bas
Australie Guinée Pérou
Autriche Haïtie Philippines
Belgique Honduras Portugal
Bénin Hongrie Qatar
Botswana Inde République démocratique du Congo
Brésil Indonésie République démocratique populaire de Corée
Bulgarie Iran République slovaque
Burkina Faso Iraq République tchèque
Burundi Irlande République-Unie de Tanzanie
Cambodge Italie Roumanie
Cameroun Jamahiriya arabe libyenne Royaume-Uni
Canada Jamaïque Saint-Marin
Chili Japon Sénégal
Chine Kazakhstan Sierra Leone
Chypre Kenya Slovénie
Colombie Koweït Soudan
Communauté européenne Lesotho Sri Lanka
Congo, Rép. du Liban Suède
Corée, Rép. de Libéria Suisse
Costa Rica Lituanie Swaziland
Côte d'Ivoire Luxembourg Syrie
Croatie Madagascar Thaïlande
Cuba Malaisie Tunisie
Danemark Malawi Turquie
Égypte Mali Ukraine
El Salvador Malte Uruguay
Émirats arabes unis Maroc Yemen
Équateur Maurice Zambie
Érythrée Mauritanie Zimbabwe
Espagne Mexique  
Estonie Moldova  
États-Unis d'Amérique Mozambique  
Éthiopie Nicaragua Saint-Siège

ORGANISATIONS ET INSTITUTIONS SPÉCIALISÉES DES NATIONS UNIES

FONDS INTERNATIONAL DE DÉVELOPPEMENT AGRICOLE

PROGRAMME ALIMENTAIRE MONDIAL

ORGANISATION ARABE POUR LE DÉVELOPPEMENT AGRICOLE

ALLIANCE AIDE ET ACTION

ALLIANCE INTERNATIONALE DES FEMMES

ASSOCIATION INTERNATIONALE DES LIONS CLUBS

ASSOCIATION MONDIALE DES GUIDES ET DES ÉCLAIREUSES

ASSOCIATION SOROPTIMISTE INTERNATIONALE

CARITAS INTERNATIONALIS

COMITÉ INTERNATIONAL DE PLANIFICATION DES ONG/OSC POUR LE SMA:
CINQ ANS APRÈS

CONSEIL INTERNATIONAL DES FEMMES

FÉDÉRATION INTERNATIONALE DES FEMMES DES CARRIÈRES JURIDIQUES

FÉDÉRATION INTERNATIONALE DES MOUVEMENTS D'AGRICULTURE BIOLOGIQUE

FÉDÉRATION INTERNATIONALE DES PRODUCTEURS AGRICOLES

FÉDÉRATION INTERNATIONALE POUR L'ÉCONOMIE FAMILIALE

FÉDÉRATION SYNDICALE MONDIALE

FORUM INTERNATIONAL DE LA JEUNESSE POUR LE SOMMET MONDIAL DE L’ALIMENTATION

GROUPE POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA TECHNOLOGIE INTERMÉDIAIRE

INFORMATION ET RÉSEAU D'ACTION POUR LE DROIT À SE NOURRIR

LIGUE INTERNATIONALE DES FEMMES POUR LA PAIX ET LA LIBERTÉ

MOUVEMENT INTERNATIONAL DE LA JEUNESSE AGRICOLE ET RURALE CATHOLIQUE

ORGANISATION MONDIALE DU MOUVEMENT SCOUT

ROTARY INTERNATIONAL

UNION MONDIALE DES ORGANISATIONS CATHOLIQUES FÉMININES

WORLD CONFERENCE RELIGIONS FOR PEACE


APPENDICE D


Cote


Titre

CFS:2005/1

Ordre du jour provisoire et notes y relatives

CFS:2005/2

Évaluation de la sécurité alimentaire mondiale

CFS:2005/3

Modèle de rapport sur le suivi du plan d'action du Sommet mondial de l'alimentation

CFS:2005/4

Organisation de l'examen à mi-parcours de 2006: Dispositions relatives au Forum spécial

CFS:2005/5

Alliance internationale contre la faim

CFS:2005/Inf.1

Calendrier provisoire

CFS:2005/Inf.2

Liste des documents

CFS:2005/Inf.3

Composition du Comité de la sécurité alimentaire mondiale

CFS:2005/Inf.4

Liste des délégués

CFS:2005/Inf.5

Communauté européenne – Déclaration relative aux compétences

CFS:2005/Inf.6

Discours de S.E. Blaise Compaoré, Président du Burkina Faso

CFS:2005/Inf.7

Rapport de l'atelier sur l'amélioration de la mesure et de l'évaluation des privations alimentaires et de la sous-alimentation
(Rome, 24-25 janvier 2005)

CFS:2005/Inf.9

Déclaration du Directeur général ou de son représentant

CFS:2005/Inf.10

Conclusions de la réunion internationale d'examen de la mise en œuvre du programme d'action pour le développement durable des petits États insulaires en développement (Maurice, 10-14 janvier 2005) et suite donnée par la FAO

CFS:2005/Inf.11

Discours de S.E. Armand De Decker, Ministre belge de la coopération au développement


APPENDICE E

Les participants ont noté que le Secrétariat de la FAO préparerait un document analytique pour examen par le Forum spécial en 2006. Ce document examinerait les situations mondiales et régionales en matière de sous-alimentation et en identifierait les causes sous-jacentes. Des études de cas et des exemples de succès dans la lutte contre la faim seraient mis en évidence. Dans la deuxième partie du document, le Secrétariat de la FAO formulerait des propositions concernant la voie à suivre jusqu’en 2015.

Les participants au dialogue entre parties prenantes ont recommandé que, pour établir la documentation générale en vue de l’examen à mi-parcours des progrès accomplis et des questions à examiner par le Forum spécial en septembre 2006, la FAO tienne compte – sans suivre un ordre de priorité particulier – des événements et des thèmes énumérés ci-après:

Événements

Thèmes

Les participants au dialogue entre parties prenantes ont noté que le Secrétariat de la FAO élaborerait en temps opportun, c’est à dire avant les consultations ONG/OSC et les Conférences régionales de 2006, un document-cadre décrivant l’état d’avancement de la documentation destinée au Forum spécial de 2006.

Les participants sont convenus de recommander que les Conférences régionales de 2006 inscrivent à leur ordre du jour un point relatif aux préparatifs du Forum spécial de 2006. Des représentants d’ONG/OSC devraient être autorisés à participer sur un pied d’égalité aux délibérations des Conférences régionales sur ce point, comme cela a été le cas pour le dialogue entre parties prenantes de cet après-midi.

Les participants ont recommandé, en outre, que la FAO tienne compte, pour la préparation du Forum spécial de 2006, des conclusions des processus suivants:

À l’occasion du dialogue entre parties prenantes, on a noté qu’avant la trente et unième session du CSA, le Bureau du Comité avait consulté des représentants d’ONG/OSC. Il a été recommandé que le Bureau poursuive ses consultations avec des représentants d’ONG/OSC à l’occasion de la préparation du Forum spécial de 2006.

Au cours du dialogue entre parties prenantes, il a été souligné que si l’on voulait réunir pendant les Conférences régionales les représentants des communautés et groupes sociaux les plus touchés par la faim et la pauvreté auprès des consultations ONG/OSC et du dialogue entre parties prenantes, il fallait un soutien financier aux niveaux régional et international.

Enfin, il a été recommandé à la FAO d’envisager d’accroître la participation de tous les groupes concernés, notamment des ONG, des OSC et des associations du secteur privé, aux événements entre parties prenantes organisés pendant les consultations régionales et le Forum spécial de 2006.