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Résumé

JUSTIFICATION D’UN RECUEIL D’INITIATIVES RECENTES POUR LE DEVELOPPEMENT DURABLE DANS LE DOMAINE DE L’AGRICULTURE ET DE LA GESTION DES TERRES

Alors que l’on a observé, depuis la Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement (UNCED, 1992), des progrès considérables pour augmenter la production alimentaire et pour mieux appréhender la gestion des ressources naturelles, de graves problèmes de pauvreté, d’insécurité alimentaire et de dégradation de l’environnement persistent encore.

Au cours des 40 dernières années, la production mondiale alimentaire par tête a augmenté de 25 pour cent et le prix des aliments a baissé de 40 pour cent. Comme indicateur de cette croissance, du début des années 1960 jusqu’à la fin 1990, le rendement moyen des céréales est passé de 1,2 t/ha à 2 525 t/ha dans les pays en voie de développement, alors que la production totale de céréales est passée de 420 à 1 176 millions de t/an. Malgré cela, le monde doit encore affronter le défi vital de l’insécurité alimentaire. Malgré la baisse constante du taux de fécondité et la réduction de la taille des familles, on prévoit une augmentation de la population mondiale qui passera à 8,9 milliards d’individus en 2050. A cette date, 84 pour cent de la population se concentrera dans les pays en voie du développement.

En l’an 2000, il y avait 790 millions de personnes qui souffraient de la famine. En dépit de progrès en matière de consommation moyenne de nourriture par individu (augmentation de 17 pour cent pour atteindre 2 760 kcal/jour lors des 30 dernières années), la population de 33 pays consomme toujours moins de 2200 kcal/jour. Bien que la combinaison d’une croissance de la production et d’une augmentation des importations entraînera une consommation par personne d’environ 3 000 kcal par jour vers 2015, on prévoit une persistance de l’insuffisance alimentaire et de la malnutrition. Dans les décennies à venir, la demande d’aliments à la fois augmentera et changera de nature et ce, pour trois raisons:

® l’augmentation de la population (au moins jusqu’au milieu ou la fin du XXIème siècle) signifie que dans l’absolu la demande alimentaire augmentera;

® la croissance des revenus signifie que la population aura plus de pouvoir d’achat (bien que celui de populations importantes ne dépassera pas 1 dollar EU/jour);

® la croissance de l’urbanisation signifie que la population aura tendance à adopter de nouveaux régimes alimentaires, en particulier une plus forte consommation de viande - il est prévu que la demande double d’ici 2050 dans les pays en voie de développement et s‘accroisse de 25 pour cent dans les pays industrialisés, contribuant à une augmentation de la demande de céréales par personne (il faut 7 kg d’aliments pour produire 1 kg de bœuf, 4 kg pour 1 kg de porc, 2 kg pour 1 kg de volaille).

La 55ème session de l'Assemblée générale, dans sa résolution 55/199 du 20 décembre 2000, a décidé d'évaluer aux niveaux les plus élevés les progrès dans la mise en œuvre de l'Action 21 et dans celle des autres décisions du CNUED. Le Sommet s'est tenu durant l'été 2002 à Johannesburg et il s'intitule le Sommet mondial du développement durable. Le présent recueil d'études de cas portant sur la gestion améliorée des terres, dans le cadre de l'Agriculture et du développement rural durables (ADRD), a été réalisé comme document d'appui pour le Rapport de la Commission de travail sur le développement durable CDR + 10 concernant l'ensemble des terres et de l'agriculture pour les chapitres 10, 12 et 14 de l'Action 21.

Ce rapport regroupe l'ensemble des 75 études de cas illustrant la mise en œuvre des principes de l'Action 21 de la Conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement. Les cas proviennent de 45 pays différents. Le but est de fournir des faits concrets pour répondre aux cinq questions-clés des décideurs:

® Quelles innovations techniques conduisent à l'amélioration de la production alimentaire dans le cadre de l'agriculture et du développement rural durables (ADRD)?

® Quels sont les nouveaux partenariats institutionnels et les nouveaux dispositifs de travail en coopération qui ont été développés pour mettre en œuvre l'Action 21 dans le secteur agricole?

® Quels sont les exemples de politiques efficaces qui ont été mises en œuvre par les gouvernements pour soutenir la gestion durable des terres et de l'agriculture et le développement rural durables (ADRD)?

® Quels sont les résultats obtenus en matière de développement rural lors de la mise en œuvre réussie de l'ADRD?

® Quels sont les résultats environnementaux plus mondiaux obtenus grâce à la mise en œuvre réussie de l'Action 21?

Ces 5 secteurs-clé sont à leur tour divisés en un total de 20 sous-secteurs secondaires.

ASPECTS CONCEPTUELS CLES

Les dernières années ont vu une convergence significative concernant à la fois les concepts et la mise en œuvre des thèmes de l’ADRD. Cela apporte la preuve d’une meilleure compréhension de la nature de l’agriculture durable et de ses liens avec le développement rural durable et illustre l’engagement croissant d’un grand nombre d’institutions dans sa mise en œuvre. Ces institutions viennent des secteurs public et privé, gouvernemental et non gouvernemental et il s’agit d’organisations locales nationales et internationales.

Qu’entendons-nous par agriculture durable? En premier lieu, un système de production alimentaire plus durable cherche à optimiser l’utilisation des biens et des services de la nature, sans cependant endommager l’environnement (pour une liste de références-clés, voir la bibliographie à la fin du rapport). L’ADRD se conforme à ce principe en intégrant dans les modalités de la production alimentaire des processus naturels tels que le recyclage nutritionnel, la fixation naturelle d’azote, la régénération des sols ou l’utilisation de prédateurs naturels des ravageurs.

Il minimise également les intrants non renouvelables (pesticides et fertilisants) qui endommagent l’environnement et nuisent à la santé des agriculteurs et des consommateurs. Il fait un meilleur usage des connaissances et des savoir-faire des agriculteurs, en leur redonnant confiance. Il cherche à valoriser la capacité de la population rurale à travailler ensemble pour résoudre les problèmes de gestion courants, tels que la lutte contre les insectes ravageurs, la gestion des bassins hydrographiques, de l’irrigation, de la forêt, du crédit (cette capacité est à présent appelée «Capital social»).

L’ADRD produit à la fois de la nourriture et d’autres biens pour les familles et les marchés agricoles, en ayant également un impact positif sur divers biens publics, tels que l’eau potable, la faune, la séquestration du carbone, la protection contre les inondations et la qualité du paysage. Elle a de nombreuses fonctions non agricoles spécifiques pour lesquelles elle ne peut pas être remplacée par d’autres secteurs (par exemple, la biodiversité au niveau de l’exploitation agricole, l’alimentation des nappes souterraines, la migration des villes vers la campagne, la cohésion sociale). L'ADRD est par conséquent multifonctionnelle, générant de nombreux effets secondaires positifs, tout en réduisant les effets secondaires négatifs au minimum.

L’agriculture durable résulte de l’adoption de technologies et de pratiques agricoles qui maximisent la productivité des terres en cherchant à minimiser les dommages aux ressources naturelles (les sols, l’eau, l’air et la biodiversité) ainsi que ceux à la santé humaine (pour les agriculteurs, les autres populations rurales et les consommateurs). Elle privilégie les technologies régénératrices et conservatrices des ressources afin de minimiser l’utilisation préjudiciable d’intrants non renouvelables ou dérivés d’hydrocarbures fossiles.

Parce qu’elles cherchent à faire une meilleure utilisation des biens et des services de la nature, les technologies et pratiques doivent donc être adaptées aux conditions locales. Celles-ci sont liées aux configurations du capital social (relations de confiance intégrées dans de nouvelles organisations sociales, nouveaux partenariats verticaux et horizontaux entre les institutions) et au capital humain (leadership, créativité, gestion des capacités et des connaissances, capacité à expérimenter et à innover).

SOURCES D’EVIDENCE

Ce recueil s’appuie sur un large éventail de sources d’information sur l’ADRD provenant de pays en voie de développement, industrialisés et en transition. Trois ensembles de données-clés constituent la base de cette information:

® la base de données «Cultiver notre avenir» de la FAO, développée pour la Conférence de Maastricht qui s’est tenue en Septembre 1999. Elle contient les détails de 160 projets (www.fao.org);

® la base de données de l’Université d’Essex réalisée pour le Projet de recherche: «Réduire la pauvreté alimentaire par le biais de l’agriculture durable» (1998-2001), qui contient la narration détaillée des 47 projets et initiatives localisés dans les pays en voie de développement, ainsi qu’une documentation d’appui analytique et descriptive de l’ensemble des 208 études de cas (www2.essex.ac.uk/ces);

® le Secrétariat du Comité de la FAO pour la Sécurité alimentaire mondiale (SAM) et les études de cas du Programme spécial de la FAO pour la sécurité alimentaire mondiale.

De plus, la FAO a organisé une Conférence électronique durant le mois de mars 2001 pour recueillir les opinions et les initiatives concernant les terres et l’ADRD.

CADRE DE REFERENCE POUR LES ETUDES DE CAS DE L’ADRD

Les cas de réussite de l’agriculture durable ont été sélectionnés conformément à un cadre de référence comprenant cinq questions-clefs pour les décideurs. Ces cas concernent les innovations techniques, les nouveaux partenariats institutionnels, les politiques facilitatrices et les effets dans les domaines du développement rural et de l’environnement. Ils ont ensuite été répartis entre 20 secteurs secondaires d’intérêt (voir figure) liés aux innovations techniques, aux partenariats institutionnels, aux politiques facilitatrices, aux effets sur le développement rural et sur la gestion environnementale.

Chaque cas de l’ADRD est classé dans la section la plus appropriée selon les critères primaires et secondaires, afin d’illustrer les principales leçons tirées du cas. Chacun d’eux comprend un court descriptif des éléments-clés des résultats obtenus.

Cinq questions primordiales pour un compendium d’initiatives récentes de développement durable dans le domaine de l’agriculture et de la gestion des terres

1. Quelles sont les innovations techniques qui conduisent à l’amélioration de la production alimentaire dans le cadre de l’ADRD?

2. Quels sont les nouveaux partenariats institutionnels et les nouveaux dispositifs de travail en coopération qui ont été développés pour mettre en œuvre l’Action 21 dans le secteur agricole?

3. Quels sont les exemples de politiques facilitatrices qui ont été mises en œuvre par les gouvernements pour soutenir la gestion durable des terres et de l’ADRD?

4. Quels sont les effets sur le développement rural qui ont été obtenus lors de la mise en œuvre réussie de l’ADRD?

5. Quels sont les effets sur l’environnement plus global qui ont été obtenus avec la mise en œuvre réussie d’Action 21?

ß

1. Innovations technologiques conduisant à l’amélioration de la production alimentaire

Amélioration de la qualité du sol

Meilleure utilisation des eaux

Gestion des ravageurs avec un minimum/ zéro de pesticides

Redéfinition de tout le système et adoption à grande échelle

2. Nouveaux partenariats institutionnels et accords de travail en coopération

Nouveaux partenariats

Fédérations et groupes sociaux

Secteur privé et agriculture durable

3. Politiques incitatives mises en place par les gouvernements

Politiques nationales intégrées

Politiques supranationales intégrées

Gestion intégrée des ravageurs

Gestion des sols et des terres

Mesures économiques

Appui aux groupes d’agriculteurs

4. Effets sur le développement rural

Amélioration du statut des femmes et des enfants

Emplois ruraux et schémas de migration

Régimes alimentaires et santé reproductive

5. Effets environnementaux

Amélioration de la biodiversité régionale

Amélioration de la qualité et quantité d’eau

Estimation des effets collatéraux de l’agriculture

Nouvelles formes de puits de carbone dans l’agriculture

ÉLEMENTS DE CONFUSION ET OBSTACLES DANS LA MISE EN ŒUVRE DE L’ADRD

La documentation réunie montre de façon évidente que l’ADRD, telle que définie dans l’Action 21, peut conduire à l’amélioration des conditions de vie des populations rurales. La population peut vivre mieux, disposer de plus de nourriture, être mieux organisée, avoir accès aux services extérieurs et aux structures du pouvoir et avoir plus de choix pour organiser leur vie.

Toutefois, dans la plupart des contextes, des effets secondaires contre-productifs et des contradictions pourront se manifester. L’exploitation d’un élément peut se faire aux dépens d’un autre. Par exemple, construire une route le long d’une forêt peut entraîner la perte d’un capital naturel dans la mesure où cela facilite l’extraction du bois; l’investissement dans des bateaux de pêche motorisés se traduit par des capacités accrues pour pêcher le poisson (à moins que dans les deux cas, un capital social sous une forme institutionnelle puisse réguler l’accès aux ressources et assurer des niveaux de prélèvement durables).

Cela ne veut pas dire que la disparition d’un atout soit toujours indésirable. L’intérêt local et national peut être de transformer une partie de la forêt en ressources monétaires, si cet argent est utilisé pour l’investissement dans les hôpitaux et les écoles, entraînant de fait un transfert du capital naturel vers le capital social et humain. De même, à court terme, des conflits sociaux peuvent être nécessaires comme moyens de surmonter une distribution inégale de l’accès au foncier, de manière à améliorer la production du bien-être social.

Dans certains cas, le progrès portant sur une composante du système agricole peut engendrer des problèmes secondaires. Par exemple, les agriculteurs peuvent participer de façon efficace à la réduction de l'érosion du sol ainsi qu'à la conservation améliorée de l'eau grâce à l'adoption du labour zéro, tout en persistant à utiliser des désherbants. Dans d'autres cas, l'amélioration du taux de matière organique du sol peut conduire à une infiltration accrue de nitrates vers les nappes phréatiques.

Ainsi, une série de problèmes secondaires peuvent survenir dans les projets d'ADRD. Ils comprennent notamment:

® L’obligation de mettre en défens des terres en vue de leur régénération aura pour effet que les agriculteurs, ne pouvant plus se procurer assez de fourrage, seront poussés à vendre leur bétail;

® Une augmentation de la charge de travail des ménages, en particulier pour les femmes, à la suite d’un accroissement de l’intensité de l’exploitation de la ferme et de la mise en culture de nouvelles terres;

® Les revenus supplémentaires provenant de la vente de produits de la ferme vont généralement directement aux hommes, qui sont moins disposés que les femmes à investir pour les enfants et pour le ménage dans son ensemble.

Divers facteurs limitants pourraient également réduire quelque peu les effets bénéfiques de l’ADRD:

® Les exploitations durables basées sur l’ADRD peuvent commercialiser des produits alimentaires dans un système alimentaire mondial de plus en plus globalisé. Dans ce système, les effets négatifs des transports (l’impact négatif sur l’atmosphère des émissions de dioxyde de carbone) annuleront les bénéfices obtenus localement.

® Les exploitations durables selon les normes de l'ADRD, qui améliorent les ressources de base, peuvent stimuler des initiatives d’individus plus puissants qui voudront en prendre le contrôle. Ainsi, de grands propriétaires terriens reprennent des terres anciennement dégradées à des métayers qui, entre-temps, avaient adopté l’agriculture durable.

® Les formes de vie durables inspirées par l’ADRD peuvent sembler maintenir la population dans des zones rurales, loin des centres de décision et de la «société moderne», alors que l’aspiration d’une partie de la population rurale serait précisément d’accumuler assez de ressources pour pouvoir quitter les zones rurales.

® Les exploitations durables basées sur la formation de capital social et l’émergence de mouvements sociaux significatifs peuvent constituer une menace pour les fondements du pouvoir existant, pouvoir qui à son tour cherchera sans doute à coloniser les institutions locales.

® Les obstacles à l’adhésion à l’ADRD peuvent se multiplier du fait que les premiers adeptes chercheraient à empêcher les nouveaux postulants d’en bénéficier.

Il y aura également de nouveaux gagnants et perdants à la suite du développement de l’agriculture durable à large échelle. Ce modèle de système agricole implique un rôle limité pour les sociétés agrochimiques; on devine qu’elles n’accepteront pas facilement les pertes de marché qui en résulteront.

Un tel développement implique également une décentralisation plus importante du pouvoir, au profit des communautés et des groupes locaux, associée avec des prises de décisions plus locales. Cela signifie aussi moins de possibilités de spéculation ou de corruption pour les fonctionnaires des organismes publics et privés. Les agences de recherche et de vulgarisation devront également évoluer, en adoptant des approches plus participatives pour se rapprocher des agriculteurs, et de ce fait elles devront adopter différentes mesures pour évaluer l’efficacité de leur travail et les moyens de l’améliorer.

Même si l’intention de développer l’ADRD est un fait acquis, il y a encore beaucoup d’obstacles à éviter ou à surmonter avant l’adoption et la généralisation du modèle. Ces entraves comprennent le manque de sécurité en matière de tenure des terres, les troubles civils et les guerres, l’inertie institutionnelle, le retour en force de perdants éventuels, le déclin macro-économique de pays ou de régions, la continuation des changements et des dérèglements climatiques.

La globalisation de l’agriculture mondiale provoquera d’autres changements. Le contrôle du système d’alimentation mondial sera renforcé et concentré entre les mains de sociétés privées moins nombreuses et plus importantes. Cette centralisation pourrait être positive dans le cas de sociétés contrôlant l’ensemble de la chaîne d’un produit, mais cela suppose que ces groupes mettent en œuvre des principes d’éthique et de durabilité. Il est plus probable que les impacts de cette concentration de pouvoir sur les petits exploitants agricoles seront négatifs et non bénéfiques.

Dans certains cas, la globalisation des marchés peut ébranler les systèmes agricoles durables, les agriculteurs passant alors très rapidement de pratiques d’exploitation durables à la poursuite d’opportunités sur le court terme. Les agriculteurs peuvent profiter d’opportunités fournies par des cultures commerciales, au détriment de la sécurité alimentaire. Les marchés locaux peuvent être rapidement amenés à disparaître à cause de la concurrence de produits bon marché importés, issus de pays exportant sans tenir compte des vrais coûts de production, tels que les pays européens exportant des produits laitiers vers l’Inde.

Recueil d’initiatives récentes de développement durable dans le domaine de l’agriculture et la gestion des terres

La majeure partie de ce rapport contient de courtes description de 75 projets et initiatives de gestion durable des terres et d’ADRD. Ils ont été sélectionnés à titre seulement illustratif et ne doivent pas être considérés comme la liste exhaustive de l’ensemble des activités ADRD à l’échelle mondiale. Il y a plusieurs centaines d’initiatives réussies qui n’ont pas été mentionnées, ce qui ne signifie en aucun cas qu’elles sont moins efficaces ou réussies que celles du présent recueil.

Chaque cas de ce compendium a été sélectionné et classé parce qu’il fournit des éléments de réponse clairs à une ou plusieurs des cinq questions de base et des vingt domaines d’intérêts secondaires. Beaucoup de cas, bien sûr, ont des effets nuancés et pouvaient figurer dans plusieurs sections. Pour en faciliter la lecture, ils ne sont mentionnés qu’une fois.


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