CL 127/10 |
Cent vingt-septième session |
Rome, 22-27 novembre 2004 |
RAPPORT DE LA TRENTIÈME SESSION DU COMITÉ DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE MONDIALE |
II. ÉVALUATION DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE MONDIALE
VI. ALLIANCE INTERNATIONALE CONTRE LA FAIM
ANNEXE B - COMPOSITION DU COMITÉ DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE MONDIALE
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1. Le Comité de la sécurité alimentaire mondiale (CSA) a tenu sa trentième session du 20 au 23 septembre 2004 au siège de la FAO, à Rome. Ont participé à cette session des délégués de 106 membres du Comité sur un total de 118, des observateurs de 10 autres États Membres de la FAO et du Saint-Siège et des représentants de six organismes et programmes des Nations Unies, ainsi que des observateurs de huit organisations intergouvernementales et de 29 organisations internationales non gouvernementales. Le rapport comprend les annexes ci-après: Annexe A - Ordre du jour de la session; Annexe B - Composition du Comité; Annexe C - Pays et organisations représentés à la session et Annexe D - Liste des documents. Le document du Conseil portant la cote CL 127/10 Sup.1 est le Rapport final du Groupe de travail intergouvernemental chargé d’élaborer un ensemble de directives volontaires à l’appui de la concrétisation progressive du droit à une alimentation adéquate dans le contexte de la sécurité alimentaire nationale. La liste complète des participants peut être obtenue auprès du Secrétariat du Comité de la sécurité alimentaire mondiale.
2. Le Président sortant du Comité, M. Adisak Sreesunpagit (Thaïlande) a ouvert la session et a souligné les liens de travail extrêmement étroits existant entre le Bureau du CSA et le Secrétariat. Il a remercié tous les pays de leur soutien lors de sa présidence et a suggéré que le Comité concentre son attention sur la manière de présenter les informations concernant la suite donnée au Plan d’action du Sommet mondial de l'alimentation, afin d'améliorer la qualité de l'examen à mi-parcours prévu en 2006.
3. Le Comité a élu par acclamation M. Salif Diallo, Ministre de l'agriculture, des ressources hydrauliques et des pêches du Burkina Faso au poste de Président et M. Soren Skafte (Danemark), M. Yahya Al Araimy (Oman), M. Anton Kohler (Suisse) et M. Alvaro Aguilar Prado (Guatemala) aux postes de Vice-Présidents pour l’exercice 2004-2005. Étant donné que M. Salif Diallo n’a pu assister à la session en cours, M. Soren Skafte a été nommé Président par intérim pour la session.
4. Le Directeur général adjoint de la FAO, M. David Harcharik, a prononcé le discours d’ouverture au nom du Directeur général. Le Vice-Premier Ministre de la Thaïlande, M. Chaturon Chaisang, a prononcé le discours liminaire au nom du Premier Ministre de la Thaïlande, M. Thaksin Shinawatra.
5. Le Comité a désigné un comité de rédaction, présidé par Mme Hedwig Wogerbauer (Autriche) et composé des délégations des pays suivants: Australie, Autriche, Bangladesh, Brésil, Colombie, États-Unis d’Amérique, Finlande, Iran, Japon, Mauritanie, Pays-Bas, République du Congo, Roumanie, Sri Lanka et Soudan.
6. La deuxième conférence d'une haute personnalité sur la sécurité alimentaire a été prononcée par M. Norman Borlaug (États-Unis), Président de l’Association Sasakawa Africa et lauréat du prix Nobel de la paix en 1970. Dans sa conférence riche en informations, consacrée à « la Révolution verte: un processus inachevé », il a souligné l’importance de la recherche agricole pour la sécurité alimentaire, que ce soit hier, aujourd’hui ou demain.
7. Le Comité a particulièrement appelé l'attention sur l'aggravation de l’invasion acridienne en Afrique qui nécessite une réaction immédiate de la communauté internationale. Il a également souligné les dégâts et les pertes de vies humaines causés par l’ouragan Jeanne en Haïti et a lancé un appel à la communauté internationale pour une assistance d’urgence, notamment aux organismes des Nations Unies.
8. Le Comité a noté que les progrès accomplis dans la lutte contre la faim ont été inégaux d'un pays et d'une région à l'autre, et même à l'intérieur des pays, pour une série de raisons, ce qui peut compromettre la réalisation des objectifs du Sommet mondial de l’alimentation et de la Déclaration du Millénaire, selon le calendrier prévu. À ce propos, il a réaffirmé que les stratégies de lutte contre la pauvreté et la faim devaient s'inscrire dans le contexte plus vaste du développement.
9. Le Comité s’est félicité de la place réservée au commerce international dans le document et du consensus qui s’est dégagé récemment lors des négociations de l’OMC. Il a reconnu que des travaux considérables étaient désormais nécessaires pour en assurer la concrétisation et que ces travaux devaient être réalisés en temps opportun. Il a noté que les pays les moins avancés pourraient profiter dans une large mesure du renforcement des capacités obtenu grâce à des investissements dans les institutions et les ressources humaines, qui amélioreraient leur aptitude à tirer pleinement profit du système commercial multilatéral.
10. Le Comité a formulé les recommandations suivantes:
À l’intention des gouvernements:
À l’intention de la FAO:
À l’intention de toutes les parties concernées:
11. Le Comité a passé en revue les progrès accomplis dans la mise en oeuvre du Plan d’action du Sommet mondial de l’alimentation sur la base du document CFS: 2004/3. Il a noté que ce document avait été rédigé à partir d’informations contenues dans les rapports de 33 pays, de l'Union européenne (UE), représentant ses 25 États Membres, de trois organismes du système des Nations Unies et de deux organisations internationales, selon le modèle de rapport révisé qui avait été approuvé et recommandé par le Conseil de la FAO à sa cent vingt-cinquième session. Le Comité a souligné la nécessité d'accroître le nombre de rapports, afin que le rapport de synthèse soit plus représentatif de tous les pays.
12. Le Comité a réaffirmé sa préoccupation devant l’extrême lenteur des progrès accomplis, au niveau mondial, afin de réduire le nombre de personnes souffrant de sous-alimentation. Il a reconnu que les efforts déployés actuellement pour lutter contre la faim étaient importants, tout en restant insuffisants. Il a également invité à donner une réponse adéquate aux défis que pose la lutte contre la pauvreté et la faim et à donner la preuve d'une ferme volonté politique, afin d’assurer la réalisation des objectifs du Sommet mondial de l'alimentation et de la Déclaration du Millénaire.
13. La délégation du Brésil a fait savoir au Comité qu’à l’invitation du Président brésilien Luis Inacio Lula da Silva, des représentants de plusieurs pays, y compris des chefs d’État et de gouvernement et des représentants d’organisations internationales, avaient participé à un « Sommet des dirigeants mondiaux pour une action contre la faim et la pauvreté », tenu au Siège de l’ONU, à New York, le 20 septembre 2004. L’Ambassadeur du Brésil a précisé que l’objectif de cette réunion était de mobiliser l’attention internationale et la volonté politique pour relever les défis posés par la lutte contre la faim et la pauvreté et de rechercher des mécanismes novateurs de financement du développement.
14. Le Comité a exprimé sa préoccupation devant les résultats inégaux obtenus par les pays dans la lutte contre la pauvreté et la faim et la réalisation d’objectifs convenus au niveau international. Il a noté avec satisfaction que la plupart des pays ayant adopté des politiques rationnelles et mis en place des infrastructures institutionnelles et matérielles solides avaient réussi à assurer la croissance économique et à atténuer la pauvreté et l'insécurité alimentaire. Le Comité a regretté que certains pays n'aient accompli aucun progrès et que, dans d'autres, la situation de la pauvreté et de la faim soit même en voie de détérioration. À cet égard, le Comité a souligné à nouveau l'importance fondamentale d'un environnement politique, social et économique porteur et d'une utilisation durable des ressources naturelles pour la croissance économique et la lutte contre la pauvreté.
15. Le Comité a souligné que l’amélioration de la sécurité alimentaire passait obligatoirement par l’amélioration des conditions économiques générales et de la croissance agricole en particulier et a reconnu que pour lutter efficacement contre la faim, il fallait adopter une approche polyvalente et associer à cet effort toutes les parties prenantes. À cet égard, le Comité a insisté sur l’importance d’une approche holistique pour la mise en oeuvre des sept engagements du Plan d’action du Sommet mondial de l’alimentation. Il a rappelé que la lutte contre la faim était principalement du ressort des gouvernements nationaux. Le Comité a fait remarquer que la bonne gouvernance et un contexte national porteur étaient des éléments essentiels pour l'accélération du développement et la lutte contre la pauvreté et la faim. Il a également noté que des progrès dans ces domaines devraient être facilités par un environnement international favorable. Le Comité a également souligné la nécessité d'accroître l'aide publique au développement, de réduire les subventions à l'exportation et le soutien interne à l'agriculture entraînant des distorsions commerciales et de réduire le fardeau de la dette des pays en développement. Le Comité a mis en relief l’importance de l'aide alimentaire, notamment dans les situations d'urgence, mais a souligné qu'il n'était pas possible d'éradiquer de façon durable la faim rien qu'avec l'aide alimentaire. Le Comité a également rappelé qu’il importait de renforcer la coopération aux niveaux sous-régional et régional dans la lutte contre la faim. Le Comité a insisté sur la nécessité d'accorder une attention accrue au renforcement de la coopération Sud-Sud.
16. Plusieurs délégués, rappelant que les chefs d'État et de gouvernement participant au Sommet mondial de l'alimentation et au Sommet mondial pour le développement durable avaient reconnu que le développement rural était essentiel au développement durable et à l’éradication de la pauvreté, ont souligné que l'agriculture durable ne suffisait pas à elle seule à lutter contre toutes les causes sous-jacentes de la pauvreté rurale, de la faim et de la dégradation de l'environnement. Ils ont fait remarquer avec préoccupation que les questions de sécurité alimentaire et de développement rural n'étaient pas prises en considération de façon adéquate dans les documents de stratégie pour la réduction de la pauvreté établis pour de nombreux pays et qu'il y avait une interface insuffisante entre les politiques et les programmes concernant l’agriculture et ceux ayant trait à la gestion de l’eau et à la biodiversité. À cet égard, le Comité a souligné qu’il ne fallait pas se limiter à suivre les progrès réalisés en matière de lutte contre la faim, mais qu’il fallait également suivre les effets des politiques et de toute une série d’initiatives de développement au niveau national, prenant la forme de projets et de programmes.
17. Le Comité a formulé les recommandations suivantes:
Suivi de la part de la FAO:
Suivi de la part des pays:
Suivi de la part des donateurs et des organisations internationales
18. Le Comité a examiné le modèle révisé de rapport sur l’application du Plan d’action du Sommet mondial de l’alimentation, conformément à la recommandation formulée par le Conseil à sa cent vingt-cinquième session (novembre 2003). Plusieurs délégations se sont inquiétées de ce que le modèle de rapport alourdissait les modalités d’établissement de rapport pour les pays en développement. Le Comité a notamment constaté que de nombreux pays éprouvaient des difficultés à compiler la liste d’indicateurs, de sorte que la qualité et la quantité des informations contenues dans les rapports étaient insuffisantes. Il a également souligné que nombre de ces indicateurs se trouvaient déjà dans les bases de données d’autres organisations comme le PNUD, la Banque mondiale, l’OMS et la FAO.
19. Les délégués ont soumis plusieurs propositions concernant l’amélioration du modèle de rapport: il s’agirait notamment de réduire la fréquence d’établissement des rapports, d’éviter les doubles emplois s’agissant des informations relatives aux indicateurs, en utilisant les bases de données susmentionnées et en formulant une série d’indicateurs clés, de se concentrer sur les questions prioritaires et d’inclure des indicateurs relatifs à l’eau et à d’autres ressources naturelles. Le Comité a pris note de ces propositions et est convenu que le Secrétariat devrait établir un groupe d’experts, équilibré sur le plan régional, chargé d’analyser les différentes options. À l’issue de cette analyse, il conviendrait que le Secrétariat prépare un modèle révisé qui serait soumis au Bureau, pour examen.
20. Les délégués ont recommandé que les travaux relatifs aux SICIAV contribuent à la mise au point d’une méthode d’analyse appropriée et à la définition d’indicateurs de sécurité alimentaire pouvant être utilisés dans les rapports relatifs au Sommet mondial de l’alimentation. Le Secrétariat du CSA devrait également travailler en relation plus étroite avec le Secrétariat des SICIAV.
21. Le Comité de la sécurité alimentaire mondiale a décidé ce qui suit:
22. Les critères régissant l’invitation des organisations de la société civile seraient les suivants:
23. Le président du Groupe de travail intergouvernemental, M. Mohammad Saeid Noori-Naeeni (Iran), a présenté les rapports des troisième et quatrième sessions du Groupe, tenues du 5 au 10 juillet 2004 (CFS 2004/5) et le 23 septembre 2004 (IGWG RTFG 5/1), au siège de la FAO. Il a rappelé que le Groupe de travail intergouvernemental avait été créé par le Conseil, à sa cent vingt-troisième session, à titre d’organe subsidiaire du Comité de la sécurité alimentaire mondiale, et que le Sommet mondial de l’alimentation: cinq ans après et le Conseil avaient chargé le Groupe d’achever ses travaux dans un délai de deux ans.
24. Le président a rappelé brièvement les modalités de négociation et a présenté les Directives volontaires, telles qu’elles ont été adoptées par le Groupe de travail intergouvernemental.
25. Le Comité de la sécurité alimentaire mondiale a félicité le président, le Bureau et les membres du Groupe de travail intergouvernemental de leurs négociations constructives. Le Comité a mentionné, tout particulièrement, le rôle important joué par d’autres parties prenantes lors de l’élaboration de ces Directives. Le Comité a également félicité le Secrétariat.
26. Le Comité a approuvé les Directives volontaires, telles qu’elles lui ont été présentées, et a décidé de les soumettre au Conseil, pour adoption finale.
27. Le Comité a pris note avec satisfaction du rapport sur l’Alliance internationale contre la faim. Il lui a été signalé qu’environ 80 pays avaient déjà mis en place des alliances nationales ou avaient exprimé le désir de le faire. Le Comité a reconnu la participation des secrétariats des organismes dont le siège est à Rome (FAO, FIDA, IPGRI et PAM), ainsi que des ONG; il a noté que des technologies de l’information appropriées étaient utilisées et qu’un document de stratégie pour l’alliance était sur le point d’être achevé.
28. Le Comité a invité les gouvernements et toutes les autres parties concernées à continuer à utiliser tous les moyens possibles, y compris les alliances nationales créées dans leur pays, pour lutter contre la faim, mais il a mis en garde contre les chevauchements d’activités et la prolifération des réunions. Le Comité a rappelé qu’il était une instance du système ONU s'occupant de la sécurité alimentaire mondiale, dotée d’un règlement intérieur précis, qui devait être appliqué, en tenant compte de l’évolution générale des relations entre les institutions des Nations Unies et toutes les autres parties prenantes. Le CSA est une instance du système ONU s’occupant de la sécurité alimentaire mondiale; l’Alliance internationale contre la faim complète les activités du CSA et fait rapport à ce dernier. De nombreux pays ont déclaré que le CSA devrait être la principale tribune de l’Alliance internationale contre la faim.
29. Le Comité a estimé que le site web interactif et le registre des activités des membres de l’Alliance internationale contre la faim étaient un moyen efficace pour les parties prenantes d’établir des contacts et de partager l’information.
30. Le Comité a reconnu le caractère non contraignant de l’Alliance et s’est prononcé en faveur d'un fonctionnement d’un bon rapport coût-efficacité.
31. Plusieurs délégués ont demandé davantage de renseignements sur le coût de la session annuelle proposée pour l’Alliance internationale contre la faim.
32. Le Comité est convenu de tenir sa trente et unième session au Siège de la FAO, à Rome, à une date qui sera fixée par le Directeur général, en consultation avec le Président.
33. Le Comité s’est félicité de la présentation d’un bref rapport qui lui a été soumis sur un événement parallèle consacré à l’Alliance internationale contre la faim, intitulé: « Dialogue de haut niveau avec les dirigeants de la société civile et les dirigeants des alliances nationales des États Membres concernant le développement de l’Alliance internationale contre la faim comme fer de lance politique et moral de la lutte contre la faim à l’échelle mondiale ». Une réunion-débat sur les engagements du G8 à l’égard de l’Afrique, qui portait particulièrement sur l’accroissement de la productivité agricole grâce au renforcement des capacités, a été organisé par la délégation des États-Unis d’Amérique. Un séminaire sur les Actions et initiatives en faveur de la sécurité alimentaire a eu lieu sous forme de débat informel, sans compte rendu officiel des débats, comme au cours des sessions précédentes.
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1 Les représentants de la société civile sont encouragés à prendre des mesures afin d’assurer la coordination et l’interaction pour la présentation de contributions à la session.
2 Dans les travaux du CSA, le sigle ONG s’applique à tous les types d’organisations de la société civile ou du secteur privé.
I. QUESTIONS DE PROCÉDURE
II. ÉVALUATION DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE MONDIALE
III. SUITE DONNÉE AU SOMMET MONDIAL DE L’ALIMENTATION: RAPPORT SUR LES PROGRÈS ACCOMPLIS EN MATIÈRE DE MISE EN OEUVRE DU PLAN D’ACTION
IV. MODE DE PRÉSENTATION DES PROCHAINS RAPPORTS ET ORGANISATION D’UN FORUM SPÉCIAL
V. RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL INTERGOUVERNEMENTAL CHARGÉ D’ÉLABORER UN ENSEMBLE DE DIRECTIVES VOLONTAIRES À L’APPUI DE LA CONCRÉTISATION PROGRESSIVE DU DROIT À UNE ALIMENTATION ADÉQUATE DANS LE CONTEXTE DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE NATIONALE
VI. ALLIANCE INTERNATIONALE CONTRE LA FAIM
VII. AUTRES QUESTIONS
(au 23 septembre 2004)
Afghanistan Afrique du Sud Algérie Allemagne Angola Arabie saoudite Argentine Arménie Australie Autriche Bahamas Bangladesh Belgique Bolivie Botswana Brésil Bulgarie Burkina Faso Burundi Cameroun Canada Chili Chine Chypre Colombie Communauté européenne Congo, République du Corée, République de Costa Rica Croatie Cuba Danemark Égypte El Salvador Équateur Érythrée Espagne Estonie États-Unis d’Amérique Fédération de Russe Finlande |
France Gabon Ghana Grèce Guatemala Guinée équatoriale Haïti Honduras Hongrie Îles Marshall Inde Indonésie Iran Iraq Irlande Italie Jamahiriya arabe libyenne Jamaïque Japon Jordanie Kenya Koweït L’Ex-République yougoslave de Macédoine Lesotho Lettonie Libéria Lituanie Madagascar Malaisie Mali Malte Maroc Maurice Mauritanie Mexique Micronésie Mozambique Namibie Népal Nicaragua |
Niger Nigéria Norvège Nouvelle-Zélande Oman Ouganda Pakistan Palaos Panama Paraguay Pays-Bas Pérou Philippines Pologne Portugal République populaire démocratique de Corée République slovaque République tchèque République-Unie de Tanzanie Roumanie Royaume-Uni Rwanda Saint-Marin Samoa Sénégal Sierra Leone Slovénie Sri Lanka Suède Suisse Thaïlande Tunisie Turquie Uruguay Venezuela Yémen Zimbabwe |
Afghanistan Afrique du Sud Algérie Allemagne Angola Arabie saoudite Argentine Arménie Australie Autriche Bangladesh Belgique Bolivie Botswana Brésil Bulgarie Burkina Faso Cameroun Canada Cap-Vert Chili Chine Chypre Colombie Communauté européenne (Organisation membre) Congo, Rép. dém. du Congo, République du Corée, République de Costa Rica Côte d'Ivoire Croatie Cuba Danemark Égypte El Salvador Émirats arabes unis Équateur Érythrée Espagne États-Unis d’Amérique Éthiopie |
Fédération de Russie Finlande France Gabon Ghana Grèce Guatemala Haïti Honduras Hongrie Inde Indonésie Iran, République islamique d’ Irlande Israël Italie Jamahiriya arabe libyenne Jamaïque Japon Jordanie Kenya Koweït L’Ex-République yougoslave de Macédoine Lesotho Lettonie Lituanie Madagascar Malaisie Mali Malte Maroc Maurice Mauritanie Mexique Mozambique Namibie Nicaragua Niger Nigéria |
Norvège Nouvelle-Zélande Oman Ouganda Pakistan Panama Pays-Bas Pérou Philippines Pologne Portugal Qatar République dominicaine République populaire démocratique de Corée République tchèque République-Unie de Tanzanie Roumanie Royaume-Uni Rwanda Saint-Marin Sénégal Sierra Leone Slovaquie Slovénie Soudan Sri Lanka Suède Suisse Thaïlande Tunisie Turquie Ukraine Uruguay Venezuela Yémen Zimbabwe Saint-Siège |
ACTIONAID INTERNATIONAL
UNION MONDIALE DES FEMMES RURALES
CARITAS INTERNATIONALIS
CONSUMERS INTERNATIONAL
FOOD FIRST INFORMATION AND ACTION NETWORK
ASSOCIATION INTERNATIONALE IUS PRIMI VIRI
ASSOCIATION INTERNATIONALE RURALE CATHOLIQUE
INTERNATIONAL COALITION OF FISHERIES ASSOCIATIONS
COMMISSION INTERNATIONALE DE L’IRRIGATION ET DU DRAINAGE
ALLIANCE COOPÉRATIVE INTERNATIONALE
CONSEIL INTERNATIONAL DES FEMMES
FÉDÉRATION INTERNATIONALE POUR L’ÉCONOMIE FAMILIALE
FÉDÉRATION INTERNATIONALE DES PRODUCTEURS AGRICOLES
FEDERATION OF BUSINESS AND PROFESSIONAL WOMEN
FÉDÉRATION INTERNATIONALE DES MOUVEMENTS D’AGRICULTURE BIOLOGIQUE
INTERNATIONAL FEDERATION OF WOMEN IN LEGAL CAREERS
INSTITUT INTERNATIONAL DE RECHERCHE SUR LES POLITIQUES ALIMENTAIRES
ORGANISATION JURIDIQUE INTERNATIONALE POUR L’ENVIRONNEMENT ET LE DÉVELOPPEMENT
INTERNATIONAL PLANNING COMMITTEE
UNION INTERNATIONALE DU NOTARIAT LATIN
ROTARY INTERNATIONAL
RÉSEAU DES ORGANISATIONS PAYSANNES ET DES PRODUCTEURS DE L’AFRIQUE DE L’OUEST
SOROPTIMIST INTERNATIONAL
VIA CAMPESINA
LIGUE INTERNATIONALE DES FEMMES POUR LA PAIX ET LA LIBERTÉ
CONFÉDÉRATION MONDIALE DU TRAVAIL
FÉDÉRATION SYNDICALE MONDIALE
ORGANISATION MONDIALE DU MOUVEMENT SCOUT
UNION MONDIALE DES ORGANISATIONS CATHOLIQUES FÉMININES
Cote |
Titre |
CFS:2004/1 Rev.1 |
Ordre du jour provisoire et notes y afférentes |
CFS:2004/2 Corr.1 |
Évaluation de la sécurité alimentaire mondiale – Corrigendum |
CFS:2004/2 – Rev.1 |
Évaluation de la sécurité alimentaire mondiale – Révision |
CFS:2004/3 – Rev.1 |
Suite donnée au Sommet mondial de l’alimentation: rapport sur les progrès accomplis dans la mise en œuvre du Plan d’action – Révision |
CFS:2004/4 |
Extraits des rapports des conférences régionales de la FAO relatifs à la suite donnée au Sommet mondial de l'alimentation |
CFS:2004/4 Sup.1 |
Suite donnée au Sommet mondial de l’alimentation: extraits du rapport de la vingt-troisième Conférence régionale de la FAO pour l’Afrique (9-13 février 2004) |
CFS:2004/4 Sup.2 |
Suite donnée au Sommet mondial de l’alimentation: extraits du rapport de la vingt-septième Conférence régionale de la FAO pour le Proche-Orient (15-19 mars 2004) |
CFS:2004/4 Sup.3 |
Suite donnée au Sommet mondial de l’alimentation: extraits du rapport de la vingt-huitième Conférence régionale de la FAO pour l’Amérique latine et les Caraïbes (27-30 avril 2004) |
CFS:2004/4 Sup.4 |
Suite donnée au Sommet mondial de l’alimentation: extraits du rapport de la vingt-septième Conférence régionale de la FAO pour l’Asie et le Pacifique (17-21 mai 2004) |
CFS:2004/4 Sup.5 |
Suite donnée au Sommet mondial de l’alimentation: extraits du rapport de la vingt-quatrième Conférence régionale de la FAO pour l’Europe (5-7 mai 2004) |
CFS:2004/5 |
Modèle de rapport sur le suivi du Plan d’action du Sommet mondial de l’alimentation |
CFS:2004/5 Sup.1 Rev.1 |
Proposition tendant à ce qu’un nouveau point soit inscrit à l’ordre du jour de la trentième session du Comité de la sécurité alimentaire mondiale – Proposition du GRULAC |
CFS:2004/5 Sup.2 |
Proposition tendant à ce qu’un nouveau point soit inscrit à l’ordre du jour de la trentième session du Comité de la sécurité alimentaire mondiale – Proposition du G77 |
CFS:2004/6 |
Rapport du président du Groupe de travail intergouvernemental chargé d’élaborer un ensemble de directives volontaires à l’appui de la concrétisation progressive du droit à une alimentation adéquate dans le contexte de la sécurité alimentaire nationale |
CFS:2004/7 |
Alliance internationale contre la faim |
CFS:2004/Inf.1 |
Calendrier provisoire |
CFS:2004/Inf.2 |
Liste des documents |
CFS:2004/Inf.3 |
Composition du Comité de la sécurité alimentaire mondiale |
CFS:2004/Inf.4 |
Liste provisoire des délégués |
CFS:2004/Inf.5 |
Communauté européenne – Déclaration relative aux compétences |
CFS:2004/Inf.6 |
Discours liminaire du Premier ministre adjoint du Royaume de Thaïlande |
CFS:2004/Inf.7 |
Rapport sur l’état d’avancement des SICIAV |
CFS:2004/Inf.8 |
Rapport sur les initiatives de lutte contre la faim lancées par la FAO |
CFS:2004/Inf.9 |
Organisation de l’examen à mi-parcours 2006 |
CFS:2004/Inf.10 |
Déclaration du Directeur général ou de son représentant |
CFS:2004/Inf.11 |
Conférence d’une haute personnalité sur la sécurité alimentaire: « La Révolution verte: un programme inachevé » par M. Norman Borlaug |