TROISIEME PARTIE
Annexe statistique
Les tableaux utilisent les symboles suivants:
... |
= |
non disponible |
ha |
= |
hectare |
hg/ha |
= |
hectogramme par hectare |
hg |
= |
hectogramme |
PIB |
= |
produit intérieur brut |
PNB |
= |
produit national brut |
kcal/personne/jour |
= |
calories par personne par jour |
kg |
= |
kilogramme |
$EU |
= |
dollar des États-Unis |
Les décimales sont séparées des unités par une virgule (,).
Les tableaux ne reprennent pas les pays pour lesquels les données disponibles sont insuffisantes.
Pour des raisons d’arrondi, les chiffres figurant dans les tableaux peuvent être légèrement différents de ceux provenant de FAOSTAT et des Indicateurs du développement dans le monde.
Source: FAO
Les estimations de la FAO concernant la prévalence de la sous-alimentation s’appuient sur des calculs du volume de denrées alimentaires disponibles dans chaque pays (disponibilité énergétique alimentaire ou DEA – au niveau national) et sur une mesure de l’inégalité de la répartition des aliments découlant d’études sur les revenus ou les dépenses des ménages.
Bien que n’étant pas énumérées séparément, des estimations provisoires concernant l’Iraq, la Papouasie-Nouvelle-Guinée et la Somalie ont été incluses dans les agrégats régionaux pertinents.
L’Érythrée et l’Éthiopie n’étaient pas des entités séparées en 1990-1992, mais des estimations sur le nombre et la part des sous-alimentés dans l’ancienne RDP d’Éthiopie sont incluses dans des agrégats régionaux et sous-régionaux pour cette période.
– proportion inférieure à 2,5 pour cent de personnes sous-alimentées.
Les disponibilités par habitant exprimées en poids de produit s’appuient sur les disponibilités totales disponibles à la consommation humaine (c’est-à-dire, les denrées alimentaires) et sont le résultat de la division de la quantité d’aliments par le total de la population effectivement concernée par les disponibilités alimentaires au cours de la période de référence. La disponibilité énergétique alimentaire est pondérée par le total de la population.
Source: FAO
Taux de croissance annuelle de la production agricole et de la production alimentaire par habitant
Les taux de croissance se rapportent à l’évolution du volume global de la production. Pour chaque produit, la production est pondérée par la moyenne des cours internationaux du produit pendant la période 1999-2001 et les quantités produites chaque année sont additionnées.
Source: FAO
La population totale désigne généralement la population présente (de fait) sur le territoire, dans laquelle sont prises en compte toutes les personnes présentes physiquement au milieu de la période de référence à l’intérieur des frontières géographiques nationales du moment.
En général, on définit les zones urbaines, le reste de la population totale étant considérée comme rurale. Concrètement, les critères de distinction entre zones urbaines et rurales varient d’un pays à l’autre.
La population agricole est définie comme l’ensemble des personnes qui vivent de l’agriculture, de la chasse, de la pêche ou de la foresterie. Cette estimation comprend toutes les personnes exerçant une activité agricole ainsi que les inactifs à leur charge.
Ce terme désigne l’ensemble des personnes occupées ou non (y compris celles qui recherchent du travail pour la première fois).
La population active dans le secteur agricole est la partie de la population active qui a un travail ou en recherche un dans l’agriculture, la chasse, la pêche ou la foresterie.
Source: FAO
Superficie totale moins la superficie des eaux intérieures.
Toutes les terres portant des peuplements naturels ou artificiels, qu’ils soient productifs ou non.
Somme de la superficie des terres arables, des terres sous cultures permanentes et des prairies et pâturages permanents.
Terres affectées aux cultures temporaires (les superficies récoltées deux fois n’étant comptées qu’une fois), prairies temporaires à faucher ou à pâturer, jardins maraîchers ou potagers et terres en jachères temporaires (moins de cinq ans).
Terres consacrées à des cultures qui occupent le terrain pendant de longues périodes et ne doivent pas être replantées après chaque récolte.
Prairies et pâturages permanents
Terres consacrées de façon permanente (cinq ans au minimum) aux herbacées fourragères, cultivées ou sauvages (prairies sauvages ou pâturages).
Les données relatives à la superficie irriguée se rapportent aux surfaces aménagées dans le but de fournir un apport en eau aux cultures.
Les statistiques se rapportent à la consommation totale d’engrais. Les estimations de l’utilisation totale sont obtenues en ajoutant les volumes d’engrais azoté, phosphaté et potassique exprimés en nutriments des végétaux (N, P2, O5, et K2O, respectivement).
Source: FAO et Banque mondiale (Indicateurs du développement dans le monde, 2005, CD-ROM et données en ligne).
Les données se rapportent à l’ensemble du commerce des marchandises. En général, les valeurs des exportations sont exprimées f.o.b. (franco à bord) et celles des importations c.a.f. (coût, assurance, frêt).
Les données se rapportent à l’agriculture au sens strict du terme, à l’exclusion des produits de la pêche et des forêts.
Les données se rapportent aux denrées alimentaires et aux animaux.
La valeur ajoutée du secteur de l’agriculture (exprimée en pourcentage du PIB) est calculée à partir des données de comptes nationaux de la Banque mondiale et des fichiers des Comptes nationaux de l’OCDE. L’agriculture englobe les forêts, la pêche, la chasse, de même que les cultures végétales et la production animale.
Les exportations agricoles par rapport au PIB agricole ont été pondérées par la valeur ajoutée de l’agriculture.
Source: Banque mondiale (Indicateurs du développement dans le monde, 2005, CD-ROM et données en ligne).
Pondération: le PNB par habitant ($EU courants), le PIB par habitant (croissance annuelle en pourcentage) et le PIB par habitant, parité du pouvoir d’achat (dollars internationaux courants), ont été pondérés par la population totale. Le PIB (croissance annuelle en pourcentage) et la valeur ajoutée agricole (pourcentage du PIB) ont été pondérés par le PIB (dollars EU constants de 2000). La valeur ajoutée agricole (croissance annuelle en pourcentage) a été pondérée par la valeur ajoutée agricole (dollars EU constants de 2000). La valeur ajoutée agricole par travailleur a été pondérée par la population active dans le secteur agricole.
Le taux national de pauvreté représente le pourcentage de la population qui vit en dessous du seuil de pauvreté du pays. Les estimations nationales se fondent sur des estimations pour chaque sous-groupe, pondérées par la population, à partir d’enquêtes auprès des ménages.
Le PNB est le revenu national brut, converti en dollars EU par la méthode de l’Atlas de la Banque mondiale, divisé par le nombre d’habitants en milieu d’année.
Taux de croissance annuelle en pourcentage du PIB aux prix du marché en monnaie locale constante. Les montants globaux sont calculés sur la base du dollar des États-Unis constant de 2000.
Taux de croissance annuelle en pourcentage du PIB par habitant en monnaie locale constante. Le PIB par habitant équivaut au PIB divisé par le nombre d’habitants en milieu d’année.
Le PIB par habitant sur base de la parité du pouvoir d’achat représente le produit intérieur brut converti en dollars internationaux aux taux de parité du pouvoir d’achat. Le dollar international a le même pouvoir d’achat par rapport au PIB que le dollar américain aux États-Unis.
La valeur ajoutée agricole par travailleur constitue une mesure de la productivité agricole. La valeur ajoutée agricole mesure la production du secteur agricole de laquelle sont soustraits les intrants intermédiaires. Outre les cultures végétales et la production animale, l’agriculture englobe également la valeur ajoutée du secteur forestier, de la chasse et de la pêche.
Les données sont exprimées en dollars des États-Unis constants de 1995. Les chiffres en dollars du PIB sont convertis à parti des différentes monnaies nationales à l’aide du taux de change officiel de 2000.
Source: FAO
La productivité totale des facteurs (PTF) représente la quantité produite divisée par une mesure de la quantité d’intrants utilisés. La démarche adoptée ici consiste à appliquer les méthodes de l’analyse d’enveloppement des données aux données provenant de FAOSTAT relatives aux produits et aux intrants, afin d’estimer l’indice de Malmquist de la PTF (Malmquist, 1953). Les données se rapportent aux périodes 1961-1980 et 1981-2000. Il est possible de scinder les changements qui en résultent au niveau de l’indice global de productivité en deux volets: technologie et efficacité technique. Un des avantages de la méthode d’analyse d’enveloppement des données de Malmquist est qu’elle ne nécessite aucune information sur le prix des intrants. Les données utilisées sont les suivantes: Production agricole nette, c’est-à-dire à l’exception des semences et des aliments pour animaux, exprimée en «dollars internationaux» constants (1989-1991); Les intrants sont: les terres: terres arables et sous cultures permanentes; Main-d’œuvre: total de la population active dans le secteur de l’agriculture; Engrais: consommation totale (exprimée en équivalent nutriments) d’azote, de potasse et de phosphates; Élevage: la somme pondérée des chameaux, buffles, chevaux, bœufs, ânes, porcs, moutons, chèvres et volailles (sur base des poids proposés par Hayami et Ruttan, 1985); Capital physique: nombre de tracteurs utilisés. Nous avons également repris la proportion des terres arables et des terres sous cultures permanentes qui sont irriguées, de même que le rapport entre les terres arables et sous cultures permanentes d’une part et les terres agricoles d’autre part (lesquelles englobent également les pâturages permanents).
Les données pour l’Éthiopie et l’Érythrée démarrent en 1993 plutôt qu’en 1981.
Les données relatives à la Chine ne concernent pas la Région administrative spéciale de Hong Kong; la Région administrative spéciale de Macao, ou Taïwan Province de Chine, sauf indication contraire.
Lorsque cela se révèle possible, les données sont présentées de manière séparée pour la Belgique et le Luxembourg, mais, dans la plupart des cas avant 2000, elles sont cumulées pour les deux pays.
Lorsque cela se révèle possible, les données concernant les deux pays qui se sont formés à partir de la RPD d’Éthiopie – l’Érythrée et l’Éthiopie sont présentées de manière séparée. Les données relatives aux périodes précédant 1992 sont reprises sous RPD d’Éthiopie.
Les données relatives au Yémen se rapportent à ce pays à compter de 1990; pour les années précédentes, les données regroupent les anciennes République démocratique populaire du Yémen et République arabe du Yémen, sauf indication contraire.
À noter que l’Afrique du Sud est reprise dans l’Afrique subsaharienne et non dans les pays développés.