TECHNIQUES D'ELEVAGE INTENSIF ET D'ALIMENTATION DE POISSONS ET DE CRUSTACES |
PROJET REGIONAL MEDITERRANEEN OE DEVELOPMENT DE L'AQUACULTURE | ||
MEDITERANEAN REGIONAL AQUACULTURE PROJECT |
Villanova di Motta di Livenza - ITALIE - Vol. II
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LA PISCICULTURE COTIERE DU HAUT ADRIATIQUE
I.1. Eaux chaudes - Eaux froides
I.3. Les différents types de bassins
II.1. Programme d'élevage - Gestion des Stocks
II..1.2 Prégrossissment - Grossissement
II.2.1. Consommation d'oxygène dans les bassins
II.2.2. Le taux d'ammoniac gazeux
II.2.3. Autres paramètres physico-chimiques
II.3.1.1. Le calcul des retions
II.3.1.2. L'équilibre des formulations - L'appétence
II.3.2. Alimentation sêche ou humide
III. LA FERME D'ELEVAGE DE GRAVELINES
III.3. Description de la ferme
III.3.3. Les équipements annexes
III.4. L'exploitation de la ferme - Premiers résultats
III.4.1. Caractéristiques générales
PISCICULTURE INTENSIVE - ITTIGA UNGENTO S.P.A. TORRE MOZZA DI URGENTO - LECCE
ELEVAGE INTENSIF DE L'ANGUILLE
LISTE DES FIGURES
Fig. 1. Caractéristiques spécifiques des différentes espèces de mulets.
Fig. 2. Courbes de croissance des mulets dans la valliculture extensive.
Fig. 3. Courbes obtenues pour diverses espèces de mulets suivant la méthode intensive - semi-intensive.
Fig. 4. Comparaison entre les pourcentages de survie obtenus en élevage intensif et extensif (première année) des différentes espèces élevées en valliculture.
Fig. 5. Schéma de l'écosystème “étang” ; les facteurs principaux.
Fig. 6. Accroissement pondéral d'alevins de M céphalus élevés à partir de régimes à contenu protéique différent.
Fig. 7. Accroissement pondéral mulets 0+ nourris à partir de régimes à contenu protéique différent.
Fig. 8. Comparaison entre les accroissements pondéraux de différentes espèces de mulets (alevins) élevés à partir de régimes à contenu protéique et glucidique différents.
Fig. 9. Composition des différents régimes utilisés dans l'expérience décrite à la figure 8.
Fig. 10. Graphique attestant le pourcentage de déchet de l'aliment fourni aux mulets en fonction de la dimension des particules (au dessus) et le pourcentage d'utilisation des protéines également en fonction de la dimension des particules de l'aliment (en dessous).
Fig. 11. Données expérimentales d'un essai tendant à vérifier l'efficacité du système de filtration du mulet.
Fig. 12. Tableau des résultats (valeur moyenne) des essais illustrés fig. 11.
Fig. 13. Données d'un essai tendant à vérifier l'influence des systèmes de distribution de l'aliment sur l'accroissement et sur l'indice de conversion.
Fig. 14. Distribution des fréquences des proies du mulet en fonction de leur dimension.
Fig. 15. Idem fig. 14, mais rapporté à L. ramada capturé en eau salée.
Fig. 16. Idem fig. 14, mais rapporté à L. ramada capturé en eau douce.
Fig. 17. Idem Fig. 14, mais rapporté à L. ramada capturé aux rejets d'une installation d'élevage intensif de loup.
Légendes
Fig. 1. Plan de la Lagune de VENISE, situant la “Valle SPARESERA” (1) et la “Valle FOSSE”(2)
Fig. 2. Planimètre de la “Valle SPARESERA” montrant les étangs utilisés pour l'expérience. Les flêches indiquent la direction du courant d'eau dù à la marée et au pompage.
Fig. 3. Schéma du programme de fertilisation des étangs (étangs A, B, C, D, E, F) durant toute l'expérience, de la préparation de l'étang jusque peu avant la récolte.
Fig. 4. MEsures des teneurs en nutrients pendant la fertilisation de la “valle SPARESERA”. les flêches indiquent les dates des opérations de fertilisation.
Fig. 5. Mesures des teneurs en nutrients dans la “valle FOSSE”. Les flêches, à gauche, indiquent l'unique date de fertilisation (organique et inorganique).
Fig. 6. Température de l'eau dans l'étang D de la “valle SPERESERA”.
Fig. 7. Histogramme des biomasses du phyto et zoo-plancton exprimées en poids humide, avec la courbe correspondante de la chlorophylle a dans la “valle SPARESERA” Elle montre également le composition qualitative des espèces les plus représentatives de la communauté.
Fig. 8. Histogramme des biomasses de phyto et zoo-plancton exprimées en poids humide, avec la courbe correspondante de la chlorophylle a dans la “valle FOSSE”. Elle montre également la composition qualitative des espéces les plus représentatives de la communauté.
Fig. 9. Courbe de transparence de l'eau dans l'étang D de la “valle SPARESERA” et dans l'étang F de la “valle FOSSE” donnée par le disque de SECCHI. Les flêches indiquent les dates de fertilisation; la dernière flêche, à droite, (de couleur blanche) indique la dernière fertilisation, qui ne fut pas réalisée dans l'étang D.
Fig. 10. Histogrammes des biomasses macro-benthiques exprimées en poids humide dans l'étang D, “valle SPARESERA”, et l'étang F, “valle FOSSE”; la composition qualitative des principaux groupes zoologiques est donnée pour ces biocénoses. Les courbes expriment les fractions de biomasses réellement utilisées par les pénéïdes, à savoir, les annélides, les crustacés et les insectes considérés dans leur ensemble, et les parties molles des mollusques qui sont susceptibles d'être attaqués (Hydrobia sp et autres), et les Cerastoderma glaucum d'une taille inférieure à 3 mm.
Fig. 11. Courbes montrant la croissance pondérale des populations de Penaeus japonicus dans les étangs D et F, respectivement dans les “valli SPARESERA et FOSSE”.
LA FRABRICATION INDUSTRIELLE DES ALIMENTS COMPOSES POUR ESPECES MARINES
PRINCIPES D'ALIMENTATION POUR POISSONS MARINS EN ELEVAGE INTENSIF
ALIMENTATION DES POISSONS MARINS BESOINS DES ESPECES MEDITERRANEENNES
CONTROLE DE LA QUALITE DES ALIMENTS EN PISCICULTURE
PROBLEMES PATHOLOGIQUES EN PISCICULTURE INTENSIVE