Bois de construction ou perches

* Les cases en torchée se construisent de moins en moins sur l’île de Grande-Comore où la toiture sert d’arc de captage de l’eau du fait que l’île n’a pas des eaux de surface.

Avec la dévaluation du franc comorien, la diaspora investit dans le pays surtout dans le domaine du bâtiment.

En dépit de la prépondérance du bois dans l’économie comorienne, le pays reste incapable de mettre sur pied un plan de reboisement capable de couvrir les besoins de bois. Cela est dû au marasme économique.

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Le Ministère du Développement Rural n’a pas un service statistique spécialisé dans le domaine forestier. Les donnés en notre possession résulte des diverses enquêtes auprès de la population effectuée par la Direction du plan et les relevés des services de la Douane. Périodiquement un rapport budget/consommation est établie par la Direction du Plan et adresse aux Secrétariats généraux des différents ministères.

Les Comores n’ont pas d’industries et encore moins des industries de bois, cela est dû au fait de son exiguïté car les îles Comores ne peuvent pas produire un volume conséquent de bois pour approvisionner une quelconque usine ; la production forestière la plus importante demeure le bois de feu.

Il vient d’être institué un service de suivi et d'évaluation au Ministère de la Production et de l’Environnement, qui s’occupe des statistiques du département, de leur triage et du bon fonctionnement des services pour établir des donnes fiables au sein de ministère.

Compte tenu de la dynamique des services du plan et de la collaboration qui existe entre les départements des ministères, la diffusion des informations a été rendue facile dans le pays et dans les sous régions.