Le présent document est le rapport final adopté par les participants à la Réunion ad hoc dexperts sur lévaluation externe du Comité de laquaculture (CAQ) de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée (CGPM) et de ses réseaux, tenue à Rome, Italie, du 29 au 30 mars 2004. Lévaluation complète du consultant indépendant est jointe en annexe à ce rapport.
Distribution:
Participants
Liste de distribution de la
CGPM
Fonctionnaires des pêches, Bureaux régionaux et
sous-régionaux de la FAO
1. La Réunion ad hoc dexperts sur lévaluation externe du Comité de laquaculture (CAQ) de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée (CGPM) et de ses réseaux sest tenue à Rome, Italie, les 29 et 30 mars 2004. Les experts dont les noms suivent ont participé à cette réunion à titre personnel: MM. Jean-Paul Blancheton, Bernardo Basurco, Stefano Cataudella, Ivan Kataviæ, Mohamed Salem Hadj Ali et Mme Daphne Stephanou. Monsieur Riccardo Rigillo a honoré la réunion de sa présence le premier jour, en labsence de Monsieur S. Cataudella. Une liste des participants et des fonctionnaires du Secrétariat de la CGPM, figure à lannexe B de ce rapport.
2. Monsieur Alessandro Lovatelli, Secrétaire technique du Comité a procédé à louverture de la réunion, assisté de M. Alain Bonzon, Secrétaire de la Commission, lequel a souhaité la bienvenue aux participants et a souligné limportance que revêt lévaluation du travail du CAQ, vu que la CGPM acquerra probablement un budget autonome dans un proche avenir. Monsieur Michael New, consultant, a été présenté aux participants.
3. Le Secrétaire technique a présenté lhistorique de cette réunion ad hoc dexperts. A cette occasion, il a rappelé quà lorigine, seule une évaluation externe du Système dinformation pour la promotion de laquaculture en Méditerranée (SIPAM) a été proposée lors de la troisième session du Comité[8] et que la recommandation a, par la suite, été approuvée par la vingt-septième session de la Commission[9]. Le Comité a amorcé une série dactions portant sur lévaluation du SIPAM pour examen par la septième réunion annuelle du système dinformation pour la promotion de laquaculture en Méditerranée[10] au terme de laquelle il fut décidé que le Secrétariat choisirait un expert en matière dévaluation, préparerait les termes de référence et rechercherait les fonds destinés à assurer la bonne exécution de cette activité.
4. Au cours de la vingt-huitième session de la Commission[11], il fut également demandé au Secrétariat denvisager la possibilité de procéder à une évaluation externe complète de lensemble des activités du CAQ, en plus du SIPAM, plus particulièrement son modus operandi depuis sa création en 1996.
5. Le Secrétariat a organisé lévaluation externe en décembre 2003 et janvier 2004. Lévaluation, exécutée par le consultant, sest faite en deux étapes distinctes. La première, qui est aussi la principale, se concentre sur lévaluation du réseau du SIPAM en procédant à lexamen des documents pertinents et en organisant des entrevues avec le personnel du SIPAM au bureau régional de Tunis, le personnel du Secrétariat de la CGPM à Rome, les coordonnateurs régionaux du SIPAM à Chypre, en Grèce, en Italie, en Tunisie et en Turquie, ainsi quavec les représentants du secteur privé dans des pays choisis. Pour faire lévaluation globale du CAQ le consultant sest basé sur une étude des dossiers pertinents, des discussions avec le personnel du Secrétariat de la CGPM et sur la correspondance entretenue avec le coordinateur du SELAM (Réseau sur les aspects socio-économiques et juridiques de laquaculture en Méditerranée) et TECAM (Réseau sur la technologie de laquaculture en Méditerranée).
6. Le Secrétariat a suggéré que le rapport du consultant indépendant soit revu par le nombre restreint dexperts du CAQ mentionnés plus haut (voir paragraphe 1), la sélection desquels a été faite en tenant compte tant de léquilibre géographique que de la représentation exacte des réseaux du CAQ.
7. Monsieur Jean-Paul Blancheton a été élu président de la réunion.
8. Le Groupe dexperts a adopté lordre du jour tel que figurant à lAnnexe A ci-jointe. Ce faisant et en sinspirant de la forme et des exercices similaires utilisés pour lévaluation des efforts accomplis par le Comité scientifique consultatif (SAC) de la CGPM[12], les participants ont accepté les arrangements de travail et les méthodes à adopter qui peuvent se résumer comme suit: revoir attentivement le projet de rapport du consultant et résumer, pour chacun des points de lordre du jour, les opinions consensuelles exprimées par le groupe.
9. Après un bref exposé du rapport du consultant, le groupe dexperts a exprimé son appréciation au sujet de lévaluation faite et a considéré quelle sera très utile pour lautoévaluation du CAQ. Dans cette attente, le groupe a pris note, inter alia, que lexposé soulignait les points suivants:
Le CAQ est le seul forum dont disposent les pays membres, capable de fournir des conseils en matière daquaculture méditerranéenne et son rôle devrait être renforcé.
Malgré limportance de plus en plus grande que prend laquaculture dans la région, le travail du CAQ est passé au second plan dans le cadre du travail général de la Commission.
Les réseaux du CAQ ont joué un rôle considérable, mais non quantifiable, dans le développement de laquaculture dans la région.
Il faut exprimer au Gouvernement tunisien toute la reconnaissance qui lui est due pour avoir donné lhospitalité au bureau régional de coordination du réseau SIPAM depuis sa mise en uvre.
Les activités des réseaux de SELAM et TECAM ont été en grande partie financées par CIHEAM-IAMZ (Centre international de hautes études agronomiques méditerranéennes/Institut agronomique méditerranéen de Saragosse, Espagne), avec le soutien du Département des pêches de la FAO.
Les réseaux SELAM et TECAM ont été organisés par CIHEAM-IAMZ et comptent beaucoup sur la participation spontanée des particuliers dautres institutions et organisations.
Les activités qui figurent dans le réseau EAM (Réseau sur lenvironnement et laquaculture en Méditerranée) nont été que partiellement abordées par les réseaux TECAM et SELAM, toutefois, en tenant présent à lesprit limportance que revêtent les questions environnementales, le réseau devrait continuer à remplir ses fonctions et être exploité comme une entité à part.
Le réseau SIPAM et sa base de données restent un outil dune valeur considérable dans le cadre du développement et de la gestion de laquaculture. Toutefois, ils doivent encore remplir leurs fonctions et sadjuger une certaine confiance surtout en ce qui concerne le niveau dengagement national et le soutien financier qui laissent beaucoup à désirer.
Le modus operandi du Comité, par le biais des activités courantes intersessions de ses réseaux, nest pas à même daborder les questions relatives aux politiques appropriées, sur une base régionale.
Les activités des réseaux du CAQ devraient être renforcées et réévaluées et devraient conduire à létablissement de groupes de travail actifs capables de traiter de manière convenable les diverses questions souvent urgentes qui se posent au niveau régional.
10. Le Groupe a aussi décidé de faire figurer le rapport du consultant indépendant en Annexe C de ce rapport. Il a également été reconnu que les deux rapports ne relèvent pas du CAQ et doivent être formellement considérés comme lui étant étrangers.
11. Le Groupe est davis quil faut se concentrer sur les principaux points forts et les faiblesses du CAQ ainsi que sur les recommandations du consultant de manière à définir un éventuel scénario permettant un meilleur déroulement du travail du Comité. Cela pourrait servir à lui fournir, à sa quatrième session, des indications préliminaires et lui permettre ainsi daborder les contraintes majeures auxquelles il a été confronté au cours des dernières années. Ces informations seront soumises à la quatrième session du Comité pour considération.
12. Le Groupe dexperts na pas tenté de résumer tous les efforts accomplis par le CAQ et ses réseaux; au lieu de cela, il a décidé de mettre en valeur les réalisations majeures afin de permettre au Comité et à la Commission de discuter et proposer la révision du CAQ, lors de leurs prochaines sessions. Les engagements les plus significatifs se trouvent dans les rapports dévaluation indépendants du CAQ.
13. Le Groupe dexperts a noté que la structure actuelle du CAQ et une série de contraintes externes, sur lesquelles il nexerce aucun contrôle, sont à lorigine de la principale faiblesse de celui-ci. En particulier, les activités de tous ses réseaux ont été rendues possibles, dans la grande majorité des cas, grâce aux généreuses contributions qui ont été faites par la FAO, et par le biais de la FAO, par CIHAEM-IAMZ et par le Gouvernement tunisien. En outre, le Groupe a noté que les termes de référence peu clairs et peu détaillés, labsence dun budget autonome pour la Commission et dun soutien financier assuré au niveau national par ses pays membres, la soumission dun nombre limité de données au SIPAM qui ralentissent les analyses scientifiques sont autant dexemples de contraintes externes auxquelles le CAQ doit faire face. Les points forts et les faiblesses les plus frappants du Comité et de ses réseaux sont résumés dans le tableau ci-après[13].
Comité de laquaculture (CAQ)
Points forts |
Faiblesses |
Représenter le seul et unique forum pour les pays membres de la CGPM capable de fournir des conseils en matière daquaculture méditerranéenne. |
Politique générale et formulation du rôle de la stratégie insuffisamment contrôlées et suivies. Termes de référence de la CAQ aux niveaux régional et national insuffisants. |
Coordonne quatre réseaux (SIPAM, TECAM, SELAM et EAM). |
Réseaux non utilisés comme outils pour discuter et donner suite au dénouement des politiques. Liaison et collaboration entre les réseaux insuffisants. EAM abandonné. Ses activités ont été reprises en partie par les autres réseaux. |
Préparé pour jouer un rôle important dans les discussions portant sur des questions dintérêt régional (par ex. élevage du thon rouge). |
Programme de travail approuvé par la CGPM sans toutefois quelle en assure le soutien financier. Activités entravées par les contraintes financières. |
Faculté de sinspirer des connaissances nationales, en particulier à travers ses réseaux. |
Conception de la stratégie à faire entrer dans son plan de travail, basé sur le projet daction issu de lapplication de larticle 9 du Code de Conduite pour une pêche responsable (CCPR) de la FAO dans la Méditerranée, jugée insuffisante. |
Activités exécutées exclusivement sur une base de volontariat, avec létablissement dun «réseau humain» efficace. |
Implication des parties prenantes limitée et engagements assignés insuffisants, y compris le financement pour les activités et projets régionaux. |
A le privilège dêtre un comité de référence capable de fournir des opinions scientifiques sur létat des ressources aquacoles régionales et des conseils en matière de développement. |
Le plan daction issu de lapplication de larticle 9 du CCPR de la FAO dans la Méditerranée a été mal abordé et na pas trouvé de donateurs. |
Prévoit le renforcement des capacités, la formation technique et léchange dinfor-mations. |
Les rôles et responsabilités des divers acteurs (Président, Vice-présidents, Centres de coordination, hommes de science individuels, Secrétariat, etc.) ne sont pas définis de manière claire. |
A établi un réseau dinformation des plus utiles pour léchange dinformations au niveau régional et la communication par le biais dInternet. |
Analyse des données insuffisante aux niveaux national et régional et impossibilité daborder comme il faut les questions relatives à laquaculture, dintérêt régional, doù échec à ce stade. |
Système dinformation pour la promotion de laquaculture en Méditerranée (SIPAM)
Points forts |
Faiblesses |
Le concept de base était sain et reste un outil de valeur considérable pour aider à parachever le développement et la gestion de laquaculture dans la région. |
Les possibilités quoffre le réseau nont pas encore toutes été exploitées bien que le système soit opérationnel depuis une huitaine dannées |
Un groupe significatif, constitué dindividus chargés de rassembler les informations (le «réseau humain») a été mis sur pied, encouragé, formé et patronné. |
Implication des parties prenantes limitée et engagements des pays membres de la CGPM participant insuffisants. |
Coordonné depuis sa création par un bureau régional animé et patronné par le Gouvernement tunisien. |
Structure de gestion interne vague où les termes de référence du personnel régional ou national ne sont pas explicites. |
Mise à disposition de jeux de données regroupées, de valeur non négligeable, sur le site web de SIPAM. |
Présentation dinformations incomplètes et non homologuées par les pays membres. |
Le nouveau site web met laccent sur la force potentielle que représente un tel système dinformation. |
Le nouveau site web affiche ses faiblesses actuelles aux yeux du monde. |
Virtuellement, ses données statistiques sont plus détaillées que les statistiques officielles de la FAO et on peut y accéder plus fréquemment et plus rapidement. |
Nest pas utilisé comme un outil pour effectuer le diagnostic et lanalyse aux niveaux national et régional. Informations incomplètes et non homologuées fournies par certains pays membres. |
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Les contacts entre le SIPAM et les autres réseaux opérationnels du CAQ sont insuffisants et devraient être renforcés. |
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Les écarts entre les données statistiques enregistrées par le SIPAM et celles recueillies par lUnité de linformation, des données et des statistiques sur les pêches (FIDI) du Département des pêches de la FAO. |
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Enthousiasme de la part du personnel en nette régression à cause des difficultés financières et des contraintes qui en découlent, depuis bien des années, et empêchent SIPAM de déployer son potentiel. |
Réseau sur la technologie de laquaculture en Méditerranée (TECAM) et Réseau sur les aspects socio-économiques et juridiques de laquaculture en Méditerranée (SELAM)
Points forts |
Faiblesses |
Les activités ont pris de lampleur et ont certainement contribué à renforcer les capacités dans la région. |
Les dispositions nécessaires pour assurer le financement sont inconstantes et insuffisantes. Le réseau a été financé en grande partie par CIHEAM-IAMZ avec la soutien de la FAO. |
Sest occupé de manière très satisfaisante du transfert, au niveau régional, des connaissances techniques par le biais de ses activités de formation. |
Sen est remis à la participation volontaire des experts dautres institutions et organisations sans engagements clairs de la part des pays membres. |
Plus de 1 000 participants ont suivi les cours, séminaires et ateliers de travail organisés par TECAM/SELAM. |
Le niveau des activités est fonction de la disponibilité des fonds. La contribution financière de CIHEAM-IAMZ telle quelle se présente actuellement reste insuffisante. |
Depuis sa mise en place, a été coordonné de manière efficace par CIHEAM-IAMZ qui a fourni les ressources humaines et financières essentielles. |
La manière dont les discussions régulières au sujet des questions et résultats dintérêt régional sont traitées par les réseaux nest pas satisfaisante car ceux-ci ne sont pas secondés par des groupes de travail ad hoc. |
Les numéros du journal du CIHEAM ont grandement contribué à la diffusion, au niveau régional, des travaux entrepris et des informations recueillies. |
Les contacts et la collaboration avec et entre les réseaux et en particulier avec SIPAM restent insuffisants. |
Un certain nombre détudes régionales ont été réalisées et ont fourni des occasions de collaboration dans le cadre de la région. |
Un certain nombre détudes régionales ont été réalisées et ont fourni des occasions de collaboration qui nont pas été saisies ou qui nont pas été suivies comme elles auraient dû. |
La participation volontaire et les services de spécialistes dautres institutions et organisations sest soldée par un succès. |
La participation dexperts issus des zones du sud de la Méditerranée est encore limitée. |
Réseau sur lenvironnement et laquaculture en Méditerranée (EAM)
Points forts |
Faiblesses |
A été instauré dans le but de créer une entité chargée de soccuper des questions environnementales au niveau régional. A ce même niveau, les questions environnementales ayant rapport au développement de laquaculture dans la région prennent de plus en plus dimportance. |
Difficultés de financement et de là impossibilité de réaliser les activités essentielles en tant quentité indépendante. |
14. Le Groupe dexperts a reconnu que le rapport dévaluation du consultant a été le point de départ pour la discussion sur le rôle potentiel du CAQ et de ses réseaux ainsi que sur les restrictions actuelles auxquelles il est soumis. Sur la base de lévaluation externe, les experts se sont mis daccord sur les recommandations qui semblent évidentes dans le but daméliorer le rôle du CAQ et qui pourraient être portées à lattention de la quatrième session du CAQ et par la suite à la vingt-neuvième session de la Commission. Ces recommandations figurent dans le tableau qui suit.
15. En vue de létablissement dun budget autonome, la Commission devrait sassurer que les pays membres définissent clairement le rôle du Comité, de ses réseaux et les activités quil devrait entreprendre de manière à ce quil puisse représenter un forum vraiment utile pour engager les discussions relatives au développement de laquaculture dans la région.
16. Il a été reconnu que lefficacité du Comité a régressé au cours des dernières années du fait que ses réseaux se sont concentrés sur la formation, léchange dinformations et les questions techniques plutôt que sur les questions de politiques et de stratégies dintérêt régional. Le Comité devrait se concentrer sur lélaboration dune politique pour laquaculture, partagée par tous les pays méditerranéens, où les questions stratégiques seraient débattues et correctement traitées sur la base du plan daction qui sest dégagé de la Consultation sur lapplication de larticle 9 du Code de conduite de la FAO pour une pêche responsable (CCPR) dans la région méditerranéenne[14]. Il a été suggéré que la priorité soit accordée aux questions les plus souvent soulevées par les pays membres de la CGPM, ce qui faciliterait lidentification de fonds de soutien de la part des pays donateurs et des agences compétentes.
17. Le CAQ devrait rester une entité indépendante du SAC et devrait être renforcé par le biais dun mandat plus précis concernant dautres activités importantes dans la Méditerranée liées au développement durable de lindustrie aquacole telles que lamémagement des zones côtières, les questions ayant trait à lenvironnement et les interactions entre les pêches et laquaculture.
18. Dans le cas où les termes de référence du SAC continueraient à exclure laquaculture, la Commission devrait envisager de le renommer le Comité des pêches des captures.
19. Le CAQ devrait concentrer ses activités sur les questions dimportance stratégique pour le développement de laquaculture au niveau régional et fournir des directives pour les projets nationaux/régionaux en amplifiant le rôle des réseaux actuels ce qui sous-entendrait létablissement de groupes de travail ad hoc pour traiter les questions stratégiques.
En rapport avec sa fonction globale, la réunion ad hoc dexperts a suggéré que le CAQ:
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En rapport avec les activités spécifiques des réseaux TECAM, SELAM et EAM, la réunion ad hoc dexperts a suggéré que le CAQ:
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La réunion ad hoc dexperts a aussi recommandé que le CAQ entreprenne les actions suivantes qui sont spécifiques au réseau SIPAM:
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20. Finalement, le Groupe dexperts a fait noter que, jusquà ce que soit adopté un budget autonome convenable, la structure et le mode dopération du Comité ne sont envisagés que dun point de vue théorique. Dans le contexte du budget autonome, la réunion est davis que si le Secrétariat de la CGPM était renforcé, sa taille et sa composition pourraient exercer une certaine influence sur la structure et le fonctionnement du CAQ et de ses réseaux.
21. Aucune autre question na été soulevée.
[8] Paragraphe 36 du rapport de
la troisième session du CAQ; Saragosse, Espagne, 25-27 septembre
2002. [9] Paragraphe 83 du rapport de la vingt-septième session du CGPM; Rome, Italie, 19-22 novembre 2002. [10] Casablanca, Maroc, 19-20 septembre 2003; page 5, section portant sur «lévaluation externe du SIPAM» du rapport de la septième réunion annuelle du SIPAM. [11] Paragraphe 43 du Rapport de la vingt-huitième session du CGPM; Tanger, Maroc, 14-17 octobre 2003. [12] Rapport de la réunion ad hoc dexperts sur la revue indépendante des réalisations du Comité scientifique consultatif (1999-2003). Rome, 27-28 août 2003. FAO Rapport sur les pêches. No. 717. Rome, FAO. 2003. 51p. [13] Le Groupe na ni cherché, ni na eu lintention de procéder à une classification par ordre dimportance. [14] Rapport de la Consultation sur lapplication de larticle 9 du Code de conduite de la FAO pour une pêche responsable dans la région méditerranéenne. Rome, 19-23 juillet 1999. FAO Rapport des pêches. No. 606. 208pp. |