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FIGURES

Figure 1

Figure 1: carte du littoral de la Côte d'Ivoire, de Ghana, du Togo et du bénin

Figure 2

Figure 2: carte détaillée du littoral béninois. Les sept sites échantillonnés sont soulignés: les cinq situés è l'ouest sont étudiés par le projet Modéle du DIPA, le port de Cotonou et Seme par la Direction des Pêches.

Figure 3

Figure 3: reproductions d'impressions laser de deux images satellite de la zone ivoiro-ghanéenne : images METEOSAT du 26/01/90 (upwelling de petite saison froide) et du 25/07/90 (upwelling de grande saison froide). Origine: UTIS- ISRA/ORSTOM CRODT Dakar, Senegal.

26/01/90: les eaux froides sont nettement visibles à l'quest de la Côte d'Ivoire (à partir du Cap des Palmes jusqu ' à Abifjan) et à un degré moindre sur le Ghana.

25/07/90: eaux froides situées principalement sur le Ghana se propafeant vers l'ouest de la Côte d'Ivoire. L'upwelling équatorial est intense, avec des “crêtes” ou tourbillons qui remontent jusqu'à l'ouest du Cap des Palmes, en face du Liberéria.

Figure 4

Figure 4: indices d'upwelling annuel (an), de petite (psf) et de grande (gsf) saison froide à Tema (Ghana) de 1963 à 1989.

La méthode de calcul est celle de l'indice “global”décrite dans l'annexe 4. L'indice annuel est la moyenne des indices des 24 quinzaines calendaires de l'année; l'indice de petite saison froide la moyenne des 4 quinzaines de janvier et février; l'indice de grande saison froide la moyenne des 6 quinzaines de juillet à september.

Figures 5a à 5c: représentation spatio-temporelle des indices d'upwelling des stations ivoiro-ghanéennes par la méthode des grilles (méthode décrite dans le texte au II.4.).

Pour chacun des trois indices annuels, de petite ou de grande saison froide, les deux représentations Zone/Zone et Max-Zone sont proposées. La représentation Zone/Zone met en évidence la variabilité des indices par stations et permet de comparer entre elles les stations. La représentation Max-Zone met en évidence les stations aux moyennes d'indices les plus fortes.

Les stations sont:

TABou, san PEDro, SASsandra, FREsco, ABidjan, ASSinie AXIm, CAP three points, TAKoradi, WINneba, TEMa, KETa

Fig. 5a
Fig. 5a

Fig. 5a: indices annuels.

Fig. 5b
Fig. 5b

Fig. 5b: indices de petite saison froide.

Fig. 5c
Fig. 5c

Fig. 5c: indices de grande saison froide.

Figure 6

Figure 6: débits annuels moyens cumulé des quatres principaux fleuves ivoiriens de 1966 à 1988 (en m3s-1.

Figures 7a à 7d: prises annuelles de chacune des quatres espèces étudiées (en tonnes).

Fig 7a and 7b

Fig. 7a: Sardinella aurita, prises en Cô d'Ivoire (ci), prises totales au Ghana (gh) et prises totales pour les quatres pays étudiés.

Fig. 7b: Sardinella maderensis, prises totales en Côte d'Ivoire (ci), prises totales au Ghana (gh) et prises totales pour les quatre pays étudiés.

Fig 7c and 7d

Fig. 7c: Scomber japonicus, prises totales de la pêche industrielle en Côte d'Ivoire (ci) et prises totales au Ghana (gh).

Fig. 7d: Engraulis encrasicolus, prise totales au ghana (gh) et prises totales (au) pour les trois autres pays étudiés Côte d'Ivoire, Togo et Bénin.

Figures 8a et 8b: prises par unité d'effort de Sardinella aurita et S. maderensis de 1972 à 1989.

Fig 8a and 8b

Fig. 8a: Sardinella aurita, p.u.e. de la pêche industrielle ivoirienne (ci), de la pêche semi-industrielle (ghs) et artisanale piroguiére (gha) ghanéennes.

Fig. 8b: Sardinella maderensis, p.u.e. de la pêche industrielle ivoirienne (ci), de la pêche semi-industrielle (ghs) et artisanale piroguière (gha) ghanéennes.

Figure 9a à 9e: évolution spatio-temporelle des p.u.e. mensuelles des quatres espèces étudiées représentée par la méthode des grilles de 1982 à 1989. Les P.u.e. ont été représentées pour:

Les unités verticales correspondent aux mois de chaque anneé de 1982 à 1989 (de haut en bas)

9a

Fig. 9a: Sardinella aurita, p.u.e. de la pêche artisannale ivoirienne (filets Ali/Poli/Watsa), de la pêche industrielle ivoirienne et de la pêche artisanale ghanéenne (filets Ali/Poli/Watsa). Les stations ivoiriennes ont été disposées pour tenir compte de leur position géographique. Le mode de représentation utilisée est le mode Zone/Zone

9b

Fig.9b: Sardinella maderensis, p.u.e. de la pêche artisanale ivoirienne (filets Ali/Poli/Watsa), de la pêche industrielle ivoirienne et de la pêche artisanale ghanéenne (filets Ali/Poli/Watsa). Les stations ivoiriennes ont été disposées pour tenir compte de leur position géographique. Le mode de représentation utilisée est le mode Zone/Zone

9c

Fig. 9c: Scomber japonicus, seules les p.u.e. de la pêche industrielle ivoirienne ont été représentées. Mode Zone/Zone.

9d

Fig. 9d: Engraulis encrasicolus, seules les quatre régions du Ghana ont été représentées pour les filets Ali/Poli/Watsa. Mode Zone/Zone.

9e

Fig. 9e: p.u.e. moyennes des sennes de plage ghanéennes par région et par mois de 1982 à 1989 pour Sardinella aurita (quatre colonnes de gauche), Sardinella maderensis (quatre colonnes du centre) et Engraulis encrasicolus (quatre colonnes de droite). Le mode Max-Zone est utilisé et met en évidence la prédominance du secteur Volta (VBS) sur les trois autres secteurs (Western WBS, Central CBS et Greater Accrea GBA).

Figure 10

Figure 10: rendements annuels moyens (p.u.e.) en Sardinella aurita (sau) et S. maderensis (sma) pour les sennes de page ghanéennes.

Figure 11

Figure 11: évolution comparée de l'abondance larvaire (larves) de Sardinella aurita à la station côtiére de Tema et de l'indice annuel moyen d'upwelling (Iupw) à Tema.

Figure 12a à 12d: estimation du nombre total d'individus de Sardinella aurita exploités par classe de taille, engine et pays de 1988 à 1980.

Fig. 12a: noimbre total (en millions) d'individus de Sardinella aurita exloités en Côte d'Ivoire et au Ghana par classe de taille de un cm en 1988 et 1989.

Fig. 12b: noimbre total (en millions) d'individus de Sardinella aurita exloités en Côte d'Ivoire (Pêche industrielle, ci) et au Ghana (pêche piroguiére,apw; sennes de plage, bs; pêche semi-industrielle, ps) par classe de taille de un cm en 1988.

Fig. 12c: noimbre total (en millions) d'individus de Sardinella aurita exloités en Côte d'Ivoire (Pêche industrielle, psi; artisananle piroguiére psa) et au Ghana (pêche piroguiè,apw; sennes de plage, bs; pêche semi-industrielle, ps) par classe de taille de un cm en 1989.

Fig. 12d: nombre total (en millions) d'individus de Sardinella aurita exloités en Côte d'Ivoire (Pêche industrielle, psi; artisananle piroguiére psa) par classe de taille de un cm en 1990.

12 a and 12 b
12 c and 12 d

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