| Conclusions | Solutions proposées |
|---|---|
| 1. Il est difficile d'organiser et de mettre en oeuvre une lutte efficace contre une résurgence et une recrudescence acridienne. | 1a. méthodes de détection améliorées (recherche) |
| 1b. exercices et pratique dans le pays (PPDs) | |
| 2. La capacité du DLIS de la FAO à fournir des informations et des prévisions précises est inadéquate car il n'y a qu'un seul fonctionnaire à plein-temps. | 2. augmenter le personnel DLIS (FAO) |
| 3. La capacité des pays affectés à faire des rapports et interpréter les données est insuffisante. | 3a. formation sur le tas des chargés de l'information acridienne nationaux (DLIS/EMPRES) |
| 3b. désigner les chargés de l'information acridienne nationaux (PPDs) | |
| 4. Une meilleure planification pour les campagnes de lutte antiacridienne est nécessaire aux niveaux nationaux et internationaux. | 4a. ébauche des plans de gestion des risques nationaux (participants) |
| (1) développer une liste de rérérence pour guider (EMPRES) | |
| (2) revoir l'ébauche des plans de gestion des risques (EMPRES) | |
| (3) tenir un atelier national pour convenir de l'ébauche (PPDs/EMPRES) | |
| (4) rétablir les comités de pilotage nationaux (PPDs) | |
| 4b. développer un plan de gestion des risques international (FAO) | |
| 5. La centralisation décisionnelle est essentielle pour une lutte antiacridienne efficace. | 5. La création d'unités antiacridiennes centralisées est encouragée (FAO/ELOs) |
| 6. Des outils d'aide à la décision sont nécessaires pour aider à préparer les plans de gestion des risques. | 6. modifier et rendre disponibles auprès des PPDs les outils existants (Symmons/van Huis) |
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