Le Directeur général de la FAO salue les précieuses orientations et contributions du Comité du Programme et du Comité financier
Rome – Le Directeur général, M. Qu Dongyu, a félicité aujourd’hui le Comité du Programme et le Comité financier de la FAO pour leurs orientations et apports précieux, alors que l’Organisation poursuit ses efforts pour lutter contre les crises alimentaires actuelles et pour transformer les systèmes agroalimentaires mondiaux, dans un contexte difficile marqué par des défis multiples et complexes.
M. Qu Dongyu a pris la parole lors de la clôture de la Réunion conjointe du Comité du Programme (134e session) et du Comité financier (194e session), deux organes essentiels du système de gouvernance de la FAO, qui permettent aux membres de formuler des recommandations portant sur les financements et les priorités au Conseil de la FAO, dont la prochaine session aura lieu du 5 au 9 décembre.
Les comités ont débuté leurs travaux lundi et ont traité plusieurs sujets, notamment les priorités stratégiques de la FAO en matière de sécurité sanitaire des aliments et d’évaluation en temps réel du Programme global d’intervention et de redressement dans le contexte de la covid‑19, les finances de l’Organisation et la transparence.
Le Directeur général a également dit qu’il avait pris note des recommandations issues des échanges des comités sur des questions clés telles que la sécurité sanitaire des aliments, les statistiques, les audits et la gestion.
Il a rappelé que la FAO continuait à suivre une politique de tolérance zéro en ce qui concerne l’exploitation sexuelle, la discrimination et tous les types de harcèlement et d’abus. Il a ajouté que les efforts menés pour faire en sorte que l’Organisation soit un environnement de travail dynamique fondé sur les principes de transparence, de responsabilité, d’engagement et d’éthique seraient renforcés.
M. Qu Dongyu a appelé à faire encore mieux en collaborant de manière efficace, rationnelle et cohérente pour transformer ensemble les systèmes agroalimentaires pour les rendre plus efficaces, plus inclusifs, plus résilients et plus durables et ainsi atteindre l’objectif commun des quatre améliorations en matière de production, de nutrition, d’environnement et de conditions de vie, sans laisser personne de côté.