FC 108/3 |
Cent huitième session |
Rome, 27 septembre – 1er octobre 2004 |
Postes supprimés dans la Division des finances et incidence sur |
3. Des cinq postes d’agents des services généraux qui ont été supprimés, quatre étaient des postes de commis comptables et un de commis dactylographe. Les tâches qu’il est demandé d’accomplir au personnel administratif dans la Division des finances comprennent le traitement de transactions, le rapprochement des comptes, la validation des données enregistrées dans les systèmes comptables sur le terrain et le traitement des demandes d’information soumises par les fournisseurs, les consultants et le personnel. Les commis dactylographes s’acquittent non seulement de tâches administratives, mais également de services de secrétariat. En date de rédaction du présent document, les postes supprimés n’avaient pas été rétablis.
4. La suppression des postes administratifs s’est traduite, pour la Division des finances dans son ensemble, par une aggravation des retards accumulés dans les domaines suivants:
5. Une autre incidence de la suppression des postes sur les contrôles internes est que le personnel restant doit traiter un volume plus important de transactions, ce qui augmente le risque d’erreurs et est susceptible d’empêcher la détection d’erreurs en temps opportun. La Division des finances confirme que les risques soulignés au paragraphe 115 du document FC 107/14 subsistent : « ... cette réduction des effectifs entraînera des retards, ainsi que l’accumulation du travail en souffrance; de plus, l’augmentation du volume de travail pour le personnel restant pourrait accroître les risques d’erreurs, affaiblir les contrôles internes et peser sur la gestion financière ». Autre conséquence de la suppression des postes, il n’a pas été possible de mettre en œuvre de nouvelles mesures visant à renforcer les contrôles internes, fonction récurrente et officielle de la Division, car le personnel du cadre organique a dû s’impliquer de façon plus dynamique dans le traitement quotidien des transactions et dans le suivi des demandes d’information. De plus, tout porte à croire que l’augmentation soutenue des retards accumulés en ce qui concerne les transactions et les demandes d’information se traduira par un abaissement du niveau des services fournis par la Division des finances aux intervenants, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’Organisation.