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Développement de la filière karité: Principal moteur pro-pauvre de fixation du carbone en Afrique de l’Ouest










Bockel, L., Veyrier, M., Gopal, P., Adu, A. et Ouedraogo, A. 2020. Développement de la filière karité - Principal moteur pro-pauvre de fixation du carbone en Afrique de l’Ouest. Accra. FAO et Alliance Globale du Karité.


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    Book (stand-alone)
    Évaluation préliminaire de l'impact- La réhabilitation de la chaîne de valeur cacao au Ghana: 2018–2028 2021
    Also available in:

    Les évaluations préliminaires de la chaîne de valeur du cacao à l'aide de l'outil de chaîne de valeur EX-ACT de la FAO montrent qu'elle a un potentiel important pour améliorer les revenus des agriculteurs tout en atténuant le changement climatique. Avec une stratégie de rénovation et de réhabilitation de mise en œuvre de l'agroforesterie de l'ombre du cacao dans les anciennes plantations à faible rendement, l'impact d'atténuation de la chaîne de valeur atteint environ 146 millions de tCO2e au cours des 20 prochaines années. Cela se traduit par une empreinte carbone de - 5,6 tCO2e pour chaque tonne de cacao produite. En outre, le revenu brut par agriculteur augmente de près de 38 pour cent - jusqu'à 10,46 USD par jour ouvrable d'ici 2028. La plus grande partie de la valeur ajoutée provenant du scénario amélioré peut être attribuée au producteur - plus de 1 milliard USD en valeur globale de plus de 1,6 milliard USD d'ici 2028. En outre, la chaîne de valeur du cacao créera 277 669 emplois supplémentaires et augmentera la résilience climatique de près de 1,85 million d'hectares de paysage au Ghana.
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    Book (stand-alone)
    Shea value chain as key pro-poor carbon-fixing engine in West Africa 2020
    Also available in:

    As part of its Sustainability Program, the Global Shea Alliance (GSA), in partnership with the Food and Agriculture Organisation of the United Nations (FAO Regional Office for Africa), conducted this multi-impact appraisal of the shea value chain in 8 West African countries that account for 99 percent of shea exports. The study uses the EX-ACT Value Chain tool (EX-ACT VC), developed in 2016 by the FAO, to assess the value chain’s contribution to climate mitigation, climate resilience, and socio-economic impact. At present, the shea value chain fixes 1.5 million tons of CO2 every year. Relative to production volumes, every ton of shea kernels produced has a negative carbon footprint of 1.04 tons of CO2. With an expansion strategy supported by donors and private partners to increase shea tree population in agroforestry areas by 7 million additional trees per year, the CO2 fixed could increase up to 9 million tons of CO2e per year, leading to an aggregated carbon fixing impact of 180 million tons of CO2e over 20 years. Through shea parklands expansion and improvement of collector productivity, the gross income per woman collector could increase to USD 127/ year, while the value added per day of work will reach USD 2.30. The global value chain will reach a gross production value of about US$ 593 million, representing 6 percent growth per year between 2019 and 2032 and a value added of USD 452 million by 2032.
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    Brochure, flyer, fact-sheet
    Des systèmes alimentaires viables et sûrs dans un contexte d’accélération du changement climatique 2018
    La planète est confrontée à des problèmes d’une ampleur jamais égalée qui ont des effets négatifs sur la viabilité des systèmes alimentaires et agricoles et sur les moyens d’existence des petits exploitants et des agriculteurs familiaux dans le monde entier. Il s’agit notamment de l’épuisement des ressources et des effets néfastes de la dégradation de l’environnement tels que la désertification, la sécheresse, la dégradation des terres, la pénurie d’eau, la pollution et l’appauvrissement de la biodiversité, le changement climatique ainsi que l’augmentation constante de la population mondiale. Tous ces problèmes menacent gravement la sécurité alimentaire. La faim et la sous-alimentation chronique progressent et les maladies d’origine alimentaire, qui sont évitables, continuent de toucher des millions de personnes chaque année. En outre, des estimations indiquent que d’ici à 2050, la population mondiale croissante pourrait avoir besoin de deux fois plus de nourriture qu’en 2012. Ce problème est aggravé par les pertes ou le gaspillage d’environ un tiers des aliments produits dans le monde , un phénomène qui peut être attribué en grande partie à des dysfonctionnements de la gestion de la qualité et de la sécurité sanitaire des aliments dans les chaînes de valeur. Tous les secteurs de l’agriculture – culture, élevage et aquaculture – sont donc à la croisée des chemins. Pour augmenter la productivité agricole, il faut également tenir compte des effets négatifs de l’intensification sur l’environnement, qui doivent non seulement être réduits au minimum mais aussi inversés. Ce constat montre que l’agriculture doit changer de paradigme et tendre vers une intensification durable qui lui permettra d’absorber des chocs et des changements tels que la variabilité du climat ainsi que l’apparition et la résurgence des crises qui touchent la sécurité sanitaire des aliments. Il est donc essentiel d’élaborer des mesures et des politiques, de renforcer les capacités, de stimuler l’innovation et de prévoir des incitations au niveau intersectoriel, national et international pour répondre aux problèmes de sécurité sanitaire des aliments que pose l’accélération des changements naturels, technologiques, démographiques et sociaux.

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