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Le développement du numérique visant la parité femmes-hommes

Une composante essentielle des interventions face à la covid-19 en Afrique











FAO. 2021. Le développement du numérique visant la parité hommes-femmes: une composante essentielle des interventions face à la covid-19 en Afrique. Accra.



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    Meeting
    Accélération de la transformation numérique inclusive des chaînes de valeur agricoles
    Conférence Régionale de la FAO pour l’Asie et le Pacifique (APRC36)
    2022
    En Asie et dans le Pacifique, la transformation numérique concerne toutes les étapes de la chaîne de valeur, de la production à la consommation d’aliments. Une révolution, celle du commerce alimentaire en ligne, est en cours en même temps qu’émergent des modèles économiques fondés sur la téléphonie mobile qui consistent à proposer, à grande échelle, des services de conseil et des services commerciaux et financiers destinés aux petits exploitants. Une révolution parallèle, celle des technologies de l’«industrie 4.0», permet aux agro-industries d’atteindre des niveaux d’efficacité jamais vus. La transformation numérique offre d’immenses possibilités s’agissant d’améliorer l’efficacité et la durabilité des chaînes de valeur, et d’atteindre les objectifs de développement durable 1, 2 et 13 («Pas de pauvreté», «Faim zéro» et «Mesures relatives à la lutte contre les changements climatiques»). Elle comporte néanmoins des risques, allant de la perte d’emplois à la dégradation de l’environnement, en passant par la question de la gouvernance des données. La vitesse à laquelle s’effectue le passage au numérique étant variable d’une chaîne de valeur à l’autre – et d’un acteur à l’autre à l’intérieur de ces chaînes de valeur –, il est nécessaire d’adopter des stratégies de transformation numérique adaptées afin que personne ne soit laissé pour compte. Les décideurs de la région doivent faciliter le déploiement à grande échelle des innovations numériques de façon inclusive et durable, en particulier dans le contexte de la pandémie de covid-19. Les Membres sont invités à donner à la FAO des indications sur la manière dont elle peut les aider au mieux à favoriser une transformation numérique inclusive des chaînes de valeur agricoles et alimentaires.
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    Booklet
    Technologies numériques dans le secteur agricole et dans les zones Rurales
    En bref
    2019
    Premièrement, si l’on a du mal à comprendre la transformation numérique de l’agriculture, c’est parce qu’on manque de données systématiques et officielles sur le sujet. La plupart des données, sur les niveaux d’alphabétisation numérique par exemple, ne sont disponibles qu’au niveau national et ne sont pas ventilées entre zones rurales et zones urbaines. En outre, les données sur les réseaux ne concernent que la couverture et ne donnent pas d’informations sur la qualité ni sur le coût des services. On manque également d’informations sur l’appui fourni par les gouvernements et les cadres réglementaires dans le domaine de la transformation numérique; jusqu’à présent, on a pu déduire quelques informations indirectement, notamment au moyen des services publics en ligne existants et des réglementations sur la connectivité et la protection des données. Deuxièmement, il y a d’importantes disparités en matière d’adoption de technologies agricoles numériques entre les pays en développement et les pays développés et entre les entreprises internationales et celles qui opèrent au niveau local, communautaire ou familial. Des facteurs tels que les ressources financières et les niveaux d’instruction ont une influence sur l’adoption de technologies agricoles modernes. Les petits exploitants des zones rurales sont excessivement désavantagés et pâtissent du manque d’accès aux infrastructures, aux réseaux et à la technologie. Enfin, le dernier facteur à prendre en compte est que les économies d’échelle s’appliquent aux technologies agricoles numériques. En effet, les utilisateurs qui prévoient une mise en œuvre de grande envergure adoptent celles-ci plus facilement. Les petits agriculteurs sont désavantagés par rapport aux grands acteurs du secteur agroalimentaire. Il y a donc des disparités entre les petits agriculteurs et les grands agriculteurs et une inégalité de même nature entre les pays développés et les pays en développement. Il arrive souvent que les innovations et les technologies numériques qui permettent des transformations ne soient pas conçues pour fonctionner à l’échelle des petites exploitations.
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    Book (series)
    CGPM - Rapport de la trente-deuxième session de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée. Rome, 25-29 février 2008 2008
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    La trente-deuxième session de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée (CGPM) a réuni 23 Parties contractantes. La Commission a examiné les activités intersessions de son Comité scientifique consultatif, de son Comité de l’aquaculture et a tenu la seconde session de son Comité d’application. La CGPM a adopté une Recommandation contraignante concernant un schéma régional sur les mesures de l’État du port pour combattre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INDNR) et a endossé une Recommandation de la Commission internationale pour la conservation des thonidés de l’Atlantique (CICTA) sur la période d’activité de la pêcherie d’espadon. Elle a aussi adopté une Résolution sur la présentation de rapports concernant la mise en œuvre de ses mesures de gestion. La CGPM s’est accordée sur une série d’amendements à son Règlement intérieur et a établi trois nouveaux groupes de travail, sur la pêche récréative, la sélectivité des engins de pêche et sur le suivi, contrôle et surveillance, particulièrement la surveillance par satellite des navires. Elle a aussi décidé d'établir un registre régional des navires de pêches. La CGPM a formalisé sa coopération avec trois organisations partenaires par le biais de protocoles d’ententes. Elle a décidé d’utiliser l’arabe comme langue de travail pour sa session plénière et d’entreprendre une évaluation de ses performances en 2009. La Commission a adopté son budget et son programme de travail pour l’année 2008. Elle a pris acte de l’importance du réseau de projets régionaux de coopération en matière de recherche en soutien aux travaux de ses comités et a confirmé l’extension du réseau à la mer Noire. La CGPM a pris acte des progrès réalisés en vue du transfert du Secrétariat au nouveau siège de la Commission. Elle a renouvelé le mandat de son bureau pour un autre terme.

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