Sous-groupe sur l'agroécologie et la gestion de l'eau
Le Sous-groupe sur l'agroécologie et la gestion de l'eau vise à promouvoir l'innovation dans le secteur bananier au niveau mondial en encourageant des pratiques agricoles durables basées sur l'agroécologie. Il accorde une attention particulière à la gestion résiliente de l'eau et des sols face aux changements climatiques, tout en répondant aux besoins spécifiques des petits producteurs.
Objectifs
Le consensus au sein du Groupe de travail 01 (GT01) est que la production de bananes en monoculture conventionelle, dépendante des intrants chimiques, n'est pas viable à long terme et qu'il est donc nécessaire de développer des méthodes agroécologiques alternatives.
Ce sous-groupe cherche à faciliter l'échange de connaissances entre les producteurs et les autres parties prenantes, en soulignant les avantages et les défis des pratiques agroécologiques, biologiques et de polyculture.
Promotion de messages et actions clés
L'objectif est de partager des expériences et des connaissances pratiques en agroécologie, gestion durable des sols, production diversifiée et utilisation de technologies pour optimiser les ressources comme l'eau et les intrants. Ces activités ont maintenant été intégrées dans le nouveau Sous-groupe sur l'adaptation au changement climatique, sa mitigation et la conservation de la biodiversité, en collaboration avec la Commission des petits producteurs.
Sujets principaux
- Pratiques agroécologiques et autres alternatives durables pour la production de bananes.
- Comprendre les défis liés à l'eau auxquels les producteurs sont confrontés et identifier des solutions communes pour guider les actions du FMB et du Sous-groupe en vue de répondre efficacement aux besoins en eau.
- Promouvoir de bonnes pratiques de gestion de l'eau et des sols pour les petits producteurs, notamment celles qui renforcent la résilience climatique, réduisent la pollution diffuse et améliorent l'efficacité de l'utilisation de l'eau.
- Explorer les interconnexions entre ces enjeux, ainsi que les liens entre les pratiques agroécologiques et les questions de genre, de jeunesse et de travail.