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PART II. SELECTED ASPECTS OF COASTAL AQUACULTURE DEVELOPMENT/ASPECTS CHOISIS DU DEVELOPPEMENT DE L'AQUACULTURE COTIERE (continuer)

11. L'AQUACULTURE DANS LES PAYS MEDITERRANEENS (continuer)

4 - LES ASPECTS DU DEVELOPPEMENT

4.1 - L'environnement et les aspects légaux

L'étude de l'environnement côtier des 13 pays indiqués montre des potentialités importantes de développement qui sont indiquées dans le tableau V. Ce tableau ne retient que les facteurs d'environnement et ne prend en compte ni les délais de réalisation, ni le marché des produits de l'aquaculture qui seront étudiés plus loin.

Le développement de l'aquaculture est basé sur l'adéquation des différentes techniques connues aux caractéristiques des environnements côtiers :

Légalement et juridiquement, les statuts des trois types de côtes peuvent être différents:

  ChypreEgypteEspagneFranceGrèceIsräelItalieLibyeMalteMarocTunisieTurquieYougoslavie
LOUP             
 VallicultureBMHMHBHBBMHHB
 Aquac. intenMMHHHHHMMBHHH
DAURADE             
 VallicultureBMHMHBHBBBHHB
 Aquac. intens.MMHHHHHMMMMHH
MULET             
 VallicultureBHHMHBBBBMHHB
 Aquac. intens.HBBHBMMBBBBBM
SOLE             
 VallicultureBBBBBBHBBBBBB
 Aquac. intens.MBHHHHMBBBBMM
ANGUILLE             
 VallicultureBBHBMBHBBBMMB
 Aquac. intens.BBHHMBHBBBBBB
CREVETTE             
 Aquac. intens.MMHHHMHMBBMMB
HUITREBBMHMBMBBMHMH
MOULEBBMHMBMBBMHMH

H = Haute potentialité
M = Moyenne potentialité
B = Basse potentialité

TABLEAU V

Potentialités de développement de l'aquaculture (hors délais et marché)

4.2 - Les aspects techniques et institutionnels

Il est clair que l'aquaculture ne peut se développer que si la maîtrise des techniques à utiliser est atteinte, et cela pour chacune des espèces que l'on envisage de cultiver. Il a été vu précédemment que, pour l'aquaculture intensive, cette maîtrise concerne quatre problèmes : croissance et nutrition, technologie d'élevage, reproduction contrôlée, pathologie.

Dans certains cas, et en particulier pour l'aquaculture extensive, le développement peut être envisagé même si la totalité de ces problèmes n'est pas résolue. C'est le cas, par exemple, de l'élevage du mulet en Egypte qui, basé sur la capture de juvéniles abondants dans le milieu naturel, ne nécessite pas le contrôle de la reproduction.

Mais d'une façon générale, cet aspect technique est fondamental; c'est la condition, certes pas suffisante mais indispensable au développement. Il est plus ou moins avancé en fonction du problème, de l'espèce, mais aussi du pays car les différents pays méditerranéens n'ont pas tous le même intérêt pour l'aquaculture et n'ont pas tous effectué le même effort de recherche scientifique préalable.

De plus, la maîtrise des techniques n'est pas suffisante en soi. Le développement exige que soit organisé le transfert des connaissances et des techniques élaborées par les organismes de recherche vers les utilisateurs potentiels. L'expérience montre que ce transfert n'est pas aisé et qu'il convient de l'organiser au niveau des institutions nationales si ce n'est internationales. Dans la plupart des pays méditerranéens, les structures administratives existent pour vulgariser l'aquaculture et fournir l'appui nécessaire au développement : démonstration, assistance scientifique et technique, fourniture d'alevins et aliments.

En France, trois organismes publics ont la charge de cette vulgarisation et de cette assistance : l'Institut Scientifique et Techniques des Pêches Maritimes - ISTPM - dépendant du Ministère des Transports, le Centre Technique du Génie Rural des Eaux et des Forêts - CTGREF - dépendant du Ministère de l'Agriculture, et le Centre National pour l'Exploitation des Océans - CNEXO - dépendant à l'origine du Premier Ministre et maintenant du Ministère de l'Industrie.

Dans les autres pays, ce rôle est tenu généralement par des services soit du Ministère des Transports, soit de celui de l'Agriculture, soit des deux. Dans quelques rares cas, il arrive, de plus, que les organismes de recherche, et en particulier les universités, effectuent eux-mêmes le transfert de leurs recherches vers l'exploitation. C'est le cas notamment en Espagne avec le Centre National de Recherche des Pêches, dépendant du Conseil Supérieur de la Recherche Scientifique et en France avec le CNEXO qui couvre les besoins de l'aquaculture, depuis la recherche en laboratoire jusqu'à l'exploitation sur le terrain.

4.3 - Les aspects de planification

Les difficultés rencontrées dans les pays méditerranéens pour le développement de l'aquaculture ont montré que ce développement nécessite une planification sous deux aspects:

4.3.1 - La planification technique

Elle recouvre d'une part le transfert des techniques aux utilisateurs et d'autre part, la planification de l'utilisation du littoral en fonction de ses caractéristiques techniques.

Il est clair que le transfert direct des résultats biologiques obtenus en laboratoire à la mise en application sur le terrain au niveau des exploitations de production est très difficile. Dans la plupart des cas, la réussite n'est obtenue qu'au prix d'une séquence d'actions rigoureusement suivie : laboratoire, station pilote ayant pour but d'atteindre la faisabilité technique à l'échelle du terrain, ferme de démonstration devant démontrer la faisabilité économique en vraie grandeur et enfin, développement. Cette séquence est évidemment du ressort des pouvoirs publics qui doivent la planifier et c'est le rôle des institutions décrites au paragraphe précédent.

Par ailleurs, l'étude des possibilités d'exploitation des environnements côtiers montre que suivant leurs caractéristiques, ces environnements sont adaptés à un type d'aquaculture plutôt qu'à un autre. L'utilisation du littoral pour l'aquaculture doit donc être planifiée à l'échelle du pays en fonction de ces critères techniques. C'est encore le rôle des organismes publics chargés de la vulgarisation d'étudier l'adéquation des différents types de côte aux différents types d'aquaculture.

Mais, dans la plupart des pays méditerranéens, la compétition entre différentes activités utilisatrices du littoral est grande et les critères techniques de planification ne suffisent pas.

4.3.2 - La planification économique et politique

Elle est le résultat de choix pour l'utilisation du littoral effectué par les instances gouvernementales. L'industrie, le tourisme, l'agriculture et la conservation d'espaces naturels sont les principales activités en compétition avec l'aquaculture pour l'utilisation du littoral. Après recensement des possibilités et des besoins, un choix doit être fait prenant en compte les aspects techniques, économiques, socio-professionnels et politiques. C'est ainsi qu'en France a été élaboré, en 1978, un “schéma directeur national pour l'aquaculture et la conchyliculture” qui fixe, d'une façon cependant assez souple, les grandes orientations de l'utilisation du littoral national.

Dans certains autres pays du nord de la Méditerranée, une démarche analogue a été entreprise et devrait également permettre d'éviter le morcellement de l'utilisation du littoral et les conflits entre les différentes activités utilisatrices.

4.4 - Les aspects socio-économiques

Les problèmes socio-économiques constituent l'un des critères des choix précédemment décrits entre les différentes activités, mais ils doivent également être pris en compte dans le développement de l'aquaculture elle-même.

On assiste en effet, dans la manière de concevoir ce développement, à deux tendances différentes, parfois contradictoires qui peuvent être schématisées comme suit:

Bien entendu, il s'agit là d'un schéma, avec ce que cela suppose d'imperfections, et qui ne montre que les deux tendances extrèmes entre lesquelles toutes sortes de solutions intermédiaires peuvent être trouvées. Il montre cependant qu'il n'est pas possible de prendre en compte pour le développement de l'aquaculture, uniquement les problèmes sociaux ou uniquement les résultats économiques. La solution, généralement intermédiaire, dépendra le plus souvent du type de société vers lequel évoluera le pays concerné.

4.5 - Les aspects financiers

Dans leur publication à la Conférence Technique sur l'aquaculture (Kyoto 1976), H. R. RABANAL et Y. C. SHANG écrivent : “De nombreux facteurs influent sur la rentabilité de l'élevage en étang. Le rendement des investissements varie inévitablement en fonction des conditions locales…”

La rentabilité est fonction de l'espèce cultivée, du type d'aquaculture pratiquée (intensive, extensive, en bassins, en cages, en étang) et des conditions économiques locales (coûts de production et marché). Le tableau VI indique, à titre d'exemple, les éléments financiers d'une ferme type d'élevage intensif de loup en France pour une production de 100 tonnes par an. Pour d'autres types d'aquaculture, les éléments seront différents mais dans tous les cas, en Méditerranée, on constate que d'une part le succès n'est pas assuré, d'autre part, les investissements initiaux sont importants. Aussi, il est prévisible que l'aquaculture ne se développera que si des moyens de financement particuliers, intégrés dans la planification générale de l'aquaculture sont prévus au niveau des états.

En France, une organisation spéciale a été mise en place depuis 1978 : création d'une mission interministérielle pour la mer, d'un groupe interministériel pour le développement de l'aquaculture et des production littorales - G.I.D.A. -, et de délégués régionaux à l'aquaculture placés auprès des Préfets de régions littorales. Cette organisation permet d'étudier et de mettre en place, pour chaque projet présenté à l'administration, les aides scientifique, technique et financière indispensables. D'une façon générale, les investissements peuvent être subventionnés jusqu'à 25 % de leur montant par les crédits du Plan de Relance des Pêches et des prêts dont le montant peut atteindre 75 % de l'endettement total, peuvent être obtenus à des taux préférentiels.

Il serait souhaitable pour le développement de l'aquaculture, qu'une organisation similaire puisse être mise en place sur l'ensemble des pays méditerranéens.

Données de base:-évaluation en francs français 1979
 -ferme intégrée couvrant le cycle complet (y compris écloserie)
 -élevage en race-ways
 -production annuelle commercialisable 100 t.
 -taille minimum commercialisable (300 g) obtenue en deux étés de grossissement
 -le coût du terrain n'est pas amorti
Investissement9 900 000 F
Chiffre d'affaires5 000 000 F
Charges d'exploitation2 939 000 F
Profit brut2 061 000 F
Profit brut/chiffre d'affaires  41,2 %
Taux annuel de retour  20,8 %

TABLEAU VI

ELEMENTS FINANCIERS

POUR UNE FERME TYPE D'ELEVAGE DE LOUPS EN FRANCE

4.6 - Le marché

D'après le rapport de la Conférence Technique de la F.A.O. sur l'aquaculture (Kyoto 1976), “l'augmentation progressive de la production aquacole mondiale par l'expansion des superficies exploitées et les améliorations techniques qui permettent d'intensifier la production, tendent à montrer que l'aquaculture jouera un rôle de plus en plus important dans la production alimentaire. Si l'on se borne à élargir l'utilisation des techniques existantes, la production mondiale devrait doubler au cours de la prochaine décennie. Il semble même possible de la multiplier par 5, voire par 10”.

La production mondiale de l'aquaculture était estimée en 1975 à:

• Poissons-eau douce 3 600 000
 -eau de mer    400 000
• Crustacés      16 000
• Mollusques    980 000
• Algues  1 055 000
   6 051 000 tonnes

Dans l'ensemble des pays méditerranéens, les pêches ont augmenté de 572 000 tonnes en 1966 à 772 000 tonnes en 1976 alors que la consommation croissait de 2,7 à 3,7 millions de tonnes de 1960 à 1970 et que la population passait de 265 à 308 millions d'habitants. D'après de nombreux experts, on estime que, en 1985, la population aura augmenté jusqu'à 380 millions et que la demande annuelle en produits de la mer atteindra 5,5 millions de tonnes. Il n'est pas possible de chiffrer exactement en tonnage et en prix le marché potentiel de l'aquaculture sur l'ensemble des pays méditerranéens, mais le tableau IV indique par pays et pour chacune des espèces cultivables, une estimation de la demande non satisfaite aussi bien pour la consommation intérieure que pour l'exportation. L'ensemble de ces données montre bien que le développement de l'aquaculture en Méditerranée correspond à une demande très importante et à un marché ouvert.

5 - DEVELOPPEMENT FUTUR DE L'AQUACULTURE

5.1 - Les besoins

L'étude de l'état actuel de l'aquaculture fait apparaître globalement un certain nombre de besoins nécessaires à son développement dans les différents pays méditerranéens. Ils sont résumés, par pays, dans le tableau VII. Ce sont :

La technologie

Des compétences en technologie d'élevage existent sur certaines espèces, pour certains problèmes et dans certains pays. Elles doivent, bien évidemment, être augmentées, adaptées à d'autres espèces et à d'autres types d'aquaculture, mais surtout transférées à l'échelle du terrain et diffusées sur l'ensemble de la Méditerranée.

Les juvéniles

L'aquaculture ne peut se développer que si la disponibilité en juvéniles est assurée. A de rares exceptions, cette disponibilité suppose la maîtrise de la reproduction contrôlée et l'établissement d'écloseries régionales fournissant les juvéniles aux aquaculteurs de production.

Les aliments

La fourniture d'aliments granulés adaptés est un problème analogue à celui de la fourniture de juvéniles. Dans la plupart des cas, il n'est pas envisageable de nourrir les espèces élevées à partir de la production naturelle de l'eau et l'on est conduit à prévoir, régionalement, les moyens de mise au point et de fabrication des aliments.

La pathologie

Plus encore que la technologie, et la fourniture de juvéniles ou d'aliments, c'est un problème général qui devra être traité à l'échelle nationale et même méditerranéenne. Actuellement, seuls Isräel, l'Italie et la France disposent de quelques compétences dans ce domaine.

La formation de personnel

Comme pour toute activité nouvelle, la disposition d'un personnel compétent et formé à cette discipline est indispensable à tous les niveaux, depuis le laboratoire jusqu'à l'exploitation sur le terrain, depuis le spécialiste de la physiologie jusqu'au praticien chargé de la maintenance du cheptel.

TABLEAU VII

ESTIMATION DES BESOINS POUR LE DEVELOPPEMENT DE L'AQUACULTURE EN MEDITERRANEE

 ChypreEgypteEspagneFranceGrèceIsräelItalieLibyeMalteMarocTunisieTurquieYougoslavieNombre de pays
Besoins
I et MB
TECHNOLOGIE D'ELEV.
               
POISSONS               
 EcloserieIMMMMMMMMMMMM13  0
 VallicultureBMBBIBBBBMMIB  5  8
 Aqua. contrôléeIBMIBMMMIBMMI10 
CREVETTES               
 EcloserieIBBMMMMBMBMMB  8  5
 Aqua. contrôléeIBMIBMMBMBBBB  6  7
MOLLUSQUESBBBBMBMBBMMBM  5  8
JUVENILES
               
POISSONSIBMBBMBMMMIMM  9  4
CREVETTESMBBBMMBBMBMMB  6  7
HUITRESBBBBBBBBBBMBB  112
ALIMENTATION
IMMMMMMMMBMMM12  1
PATHOLOGIE
               
POISSONSMMMMMMMBBBMMM10  3
CREVETTESBBMIMBBBBBMMB  5  8
MOLLUSQUESBBMMMBMBBBMBI  6  7
FORMATION DE PERS.
IIBBIBBIIIBII  8  5
PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT
BBIIIBIBIIIBB  7  6
PLANIFICATIONIIBBIBBIIIIII  9  4
ASSISTANCE TECHNIQUE ET FINANCIERE
MMMBIMMIIMMII12  1

I = besoins importants
M = besoins moyens
B = besoins bas

La protection de l'environnement

C'est évidemment un besoin essentiel que de disposer d'une eau de bonne qualité et de sites littoraux adaptés aux différentes formes d'aquaculture. Il est pour cela nécessaire de protéger, voire d'aménager l'environnement côtier.

La planification

La nécessité d'une planification nationale a été étudiée au chapître précédent. Il semble nécessaire que cette planification soit effectuée dans tous les pays méditerranéens.

L'assistance aux aquaculteurs

L'assistance technique et financière aux aquaculteurs est, comme la planification un besoin à prendre en charge au niveau des états méditerranéens.

5.2 - Les projets

Dans la quasi-totalité des pays méditerranéens, des projets d'aquaculture sont à l'étude ou en cours de réalisation; ils portent, par ordre d'importance, sur les espèces suivantes : loup, mulets, sole, huitre et moule, crevette. Ils sont généralement conçus à l'échelle du pays et leur développement est prévu soit à partir des travaux nationaux, soit par des accords de coopération bilatérale, avec une assistance technique étrangère.

Mais le degré de compétence en matière d'aquaculture et l'importance du support scientifique classent les pays méditerranéens en 2 groupes distincts (voir tableau VIII): d'une part l'Italie, la France, l'Espagne et Isräel qui disposent de savoir-faire avancé; d'autre part, les autres pays qui sont demandeurs d'assistance et de savoir-faire. Jusqu'à présent, les transferts de technologie entre les deux groupes n'ont été réalisés que ponctuellement, sur des opérations précises et bien identifiées. De façon à promouvoir d'une façon plus intense les échanges de technologie et par là même, le développement harmonieux de l'aquaculture sur l'ensemble de la Méditerranée, un programme international, conçu sous l'égide du PNUD et de la FAO, est en cours d'étude. Ce programme, sous forme de centre international d'aquaculture aurait pour mission d'apporter aux états riverains de la Méditerranée une assistance pour:

Il ne fait pas de doute que la réalisation d'un tel programme permettrait d'amener la production aquacole méditerranéenne à l'un des tous premiers rangs dans le monde.

 ChypreEgypteEspagneFranceGrèceIsräelItalieLibyeMalteMarocTunisieTurquieYougos.
BESOINS NUTRITIFS ET ALIMENTS
             
 POISSONS   A AA      
 CREVETTES   A  A      
TECHNOLOGIE D'ELEVAGE             
EcloserieLoup  AA BA   C C
  Daurade  AA AA   C C
  Mulet  B  BB      
  Sole  AA B    CC 
  Crevette  AA AA   C  
  Huitre   A         
  Moule             
Grossissement poissons             
 Valliculture      A      
 Aqua. contrôléeCABA AA   BBB
Grossissement crevettes   B AA      
Grossissement mollusques  AA AA CBA A
PATHOLOGIE             
 POISSONS   A AA      
 CREVETTES   A AA      
 MOLLUSQUES   A         

A = tous les problèmes ne sont pas résolus mais les connaissances sont suffisantes pour encourager des opérations commerciales dans un proche avenir.
B = recherche ou développement en progrès avec certains résultats significatifs.
C = recherche ou développement aux premiers stades.

TABLEAU VIII

ESTIMATION DU SAVOIR-FAIRE AQUACOLE DANS LES PAYS MEDITERRANEENS

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