Thumbnail Image

Analyse de la résilience au Tchad













Also available in:
No results found.

Related items

Showing items related by metadata.

  • Thumbnail Image
    Book (series)
    Évaluation de la réponse de la FAO à la crise dans le bassin du lac Tchad 2015-2018 2021
    Also available in:

    49 millions de personnes vivent dans la région du lac Tchad, exploitant la richesse de ses ressources naturelles et l’approvisionnement relativement constant en eau, fourrage et terres fertiles tout au long de l’année. La région était autrefois un centre de production alimentaire, avec des marchés locaux fournissant des produits au Cameroun, au Niger, au Nigéria et au Tchad, Toutefois, l’insuffisance de la gestion des ressources naturelles et le manque de coordination entre les différents pays de la région, ainsi que l’impact général du changement climatique ont contribué à une détérioration de la capacité naturelle de l’écosystème du lac. Cette évaluation a été réalisée afin d'examiner la réponse de la FAO à la crise dans le bassin du lac Tchad, y compris les interventions menées en 2015-2018, alors que la FAO a publié la Stratégie d’intervention en réponse à la crise dans le bassin du lac Tchad (2017-2019) pour répondre aux besoins des 6,9 millions de personnes identifiées touchées par la montée de l'insécurité alimentaire dans le bassin du lac Tchad au début de 2017. L’évaluation a donc eu pour objectifs d’apprécier la réponse de la FAO à la crise au niveau opérationnel en prêtant une attention particulière à l’efficience, l’efficacité et la durabilité, tout en évaluant la pertinence et la cohérence de l’approche d’un point de vue stratégique. L'équipe d'évaluation a visité un grand nombre des zones concernées et, au terme de chaque visite de pays, organisé une session de débriefing avec l’équipe respective de la FAO au niveau du pays pour partager les informations collectées et recueillir des données et des analyses complémentaires permettant d’éclairer ses délibérations. Cette approche a contribué à garantir la transparence lors du processus de collecte des données et à optimiser le processus d’apprentissage. Pour que la FAO soutienne efficacement la sécurité alimentaire et la nutrition des communautés de la région du lac Tchad, une stratégie régionale mettant l’accent sur le soutien à la résilience des communautés est pertinente et appropriée. En complément des programmes de pays de la FAO, une stratégie régionale pourrait potentiellement concevoir des interventions adaptées à la nature transfrontalière des problématiques rencontrées dans chaque pays et favoriserait un travail plus cohérent et collaboratif.
  • Thumbnail Image
    Document
    Rapport du comité d’évaluation des performances de la CTOI 2009
    Also available in:
    No results found.

    En réponse à des appels de la commuuté intertiole à une évaluation des performances des Organisations régioles de gestion des pêches (ORGP), la Commission des thons de l’océan Indien a accepté, en 2007, de mettre en place un processus d’évaluation. La CTOI a formé un comité d’évaluation comprent un juriste, un expert scientifique indépendant, six membres de la CTOI et un observateur représentant les ONG, comité qui a remis son rapport à la Commission en janvier 2009. L’évaluation réalisée par le comité est basée sur les critères élaborés lors de la réunion conjointe des différentes ORGP- thon qui eut lieu à Kobe (Japon) en 2007, et se concentre sur les points suivants : Adéquation de l’Accord portant création de la Commission des thons de l’océan Indien (« Accord ? CTOI ») aux principes actuels de gestion des pêches. Cohérence entre les avis scientifiques émis et les mesures de conservation et de gestion adoptées. Efficacité des mesures de contrôle établies par la CTOI. Efficacité et t ransparence de la gestion administrative et fincière. PRINCIPALES CONCLUSIONS DU COMITÉ D’ÉVALUATION I. Cadre légal de l’Accord CTOI L’alyse juridique de l’Accord CTOI a permis d’identifier une série de faiblesses et de failles qui peuvent être résumées comme suit. L’Accord CTOI est obsolète, dans la mesure où il ne tient pas compte des principes modernes de la gestion des pêches. L’absence de concepts tels que le principe de précaution ou l’approche écosystémique de la gestion des pêches est co nsidérée comme une faiblesse majeure. Le manque d’une claire définition des fonctions de la Commission ou des obligations des états du port ou du pavillon sont des exemples des obstacles au fonctionnement efficace de la Commission. Les limites imposées à la participation à cet ORGP, découlant du statut légal de la CTOI en tant qu’organe au titre de l’Article XIV de l’Organisation de Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), entrent en conflit avec les dispositions de l’Accord des Nations Unies sur les stocks (UNFSA) et empêchent certains acteurs principaux de la pêche dans l’océan Indien de participer aux travaux de la Commission. La relation entre la CTOI et la FAO, principalement d’un point de vue budgétaire, a un impact négatif sur l’efficacité des travaux de la Commission, ni les Membres ni le Secrétariat n’ayant pleinement le contrôle du budget. Cela soulève également des questions quant au niveau de ?????? transparence dans les affaires fincières de la Commission. Le Comité recommande que l’Accord CTOI soit amendé ou remplacé par un nouvel instrument. Le choix entre ces deux options devrait tenir compte de l’intégralité des problèmes identifiés dans cette évaluation. II. Évaluation des performances de la Commission selon les critères arrêtés L’alyse basée sur les critères de performance a mis en évidence de nombreuses faiblesses dans les travaux de la Commission, dont les principales sont indiquées ci-dessous. Haut niveau d’incertitude Les données quanti tatives fournies pour de nombreux stocks sous mandat de la CTOI sont très limitées.Cela provient d’un manque de respect des mesures –une grande proportion des captures provent de pêcheries artisales sur lesquelles on ne dispose que de peu d’informations– et d’un manque de coopération de la part des non membres de la CTOI. Par ailleurs, les données déclarées à la CTOI sont souvent de mauvaise qualité. Cela contribue au fort niveau d’incertitude sur l’état de nombreux stocks sous mandat de la CTOI . Mauvais respect des mesures et faiblesses des moyens visant à répondre au non respect Il est courant que les mesures et obligations adoptées par la CTOI ne soient que peu respectées. La Commission, à ce jour, n’a pris que peu d’actions pour remédier à ce problème (il n’existe actuellement aucune sanction/pélité en cas de non respect). De plus, la liste des vires illicites, non déclarés et non réglementés (« INN ») ne s’applique qu’aux non membres. Besoins spécifiques des états en développement De nombreux États en développement conissent de sérieuses contraintes en terme de capacité/infrastructure qui limitent leur capacité à respecter leurs obligations, en particulier en termes de collecte, traitement et déclaration de données. Un certain nombre d’entre eux manquent également de l’expertise scientifique nécessaire et même lorsque cette expertise existe, des problèmes budgétaires limitent souvent leur participation aux réunions de la Commission, en particulier à celles du Comité scie ntifique et des groupes de travail. III. Au vu de ces conclusions, et en plus des recommandations spécifiques concernt chaque critère, le Comité d’évaluation attire l’attention de la Commission sur les problèmes globaux suivants Incertitude Régler le problème de l’incertitude sur les données et l’évaluation des stocks est l’une des actions les plus fondamentales et urgentes à entreprendre pour améliorer l’efficacité de la Commission. Cela nécessitera une gamme d’actions, dont les plus importante s sont : l’application de méthodes d’évaluation scientifiques adaptées aux données disponibles ; mise en place d’un programme régiol d’observateurs scientifiques pour améliorer la collecte des données sur les espèces cibles et accessoires ; amélioration de la collecte des données et de la capacité de déclaration pour les États en développement.Il est également crucial de faire participer les non membres pêchant dans la zone de compétence de la CTOI, afin de réduire l’incertitude. De même, il con viendra de mettre en place un cadre permettant d’agir en réponse à l’incertitude dans les avis scientifiques et d’améliorer le fonctionnement du Comité scientifique et des organes subsidiaires ainsi que la participation à leurs réunions. Application Il est impératif de renforcer la capacité du Comité d’application à contrôler la non application et à conseiller la Commission sur les actions pouvant être prises en réponse à la non application. Il conviendrait de prévoir des mécanismes de sanction en cas de non application, ainsi que des dispositions de réponses aux infractions. La résolution sur la mise en place de la liste INN devrait être amendée pour permettre l’inclusion de vires battant pavillon d’un membre de la Commission. Besoins particuliers des États en développement Il conviendrait d’augmenter l’effort fincier pour le développement des capacités des États en développement. La Commission devrait améliorer les mécanismes de fincement existants pour améliorer la capacité des État s en développement en matière de collecte, traitement et déclaration des données, ainsi qu’en matière de compétences scientifiques et techniques. Dans ce contexte, il faudrait envisager la possibilité de mettre en place un fonds spécial pour faciliter la participation aux travaux de la Commission et de ses organes subsidiaires. Il conviendrait également de renforcer le rôle et la capacité du Secrétariat à mener des actions ciblées de développement des capacités.
  • Thumbnail Image
    Brochure, flyer, fact-sheet
    Covid-19: Mesures rapides et ambitieuses prises par le Royaume du Maroc 2020
    Also available in:
    No results found.

    Le bureau de la FAO au Maroc a recueilli un grand nombre d’articles, annonces, communiqués, et a également enquêté auprès de ses partenaires afin de documenter, dans une seule note, l’ensemble des mesures mises en place par les autorités marocaines et leurs répercussions sur le secteur agricole au sens large, et ses agriculteurs. Cette note n’a pas la prétention d’analyser l’impact du covid-19 sur le secteur agricole mais elle a pour vocation de partager l’expérience du Maroc au même titre que celles qui sont partagées le plus souvent sur la scène internationale. La note rend compte de la série de mesures urgentes et proactives qui ont été conduites sous une impulsion royale, grâce aux forces vives de la nation qui ont mobilisé toutes leurs potentialités d’action et de coordination à l’effet de contenir le fléau et ce, même dans les communes les plus reculées, A ce titre, la note comporte six (6) volets : • Dans le premier, il est fait état des mesures entreprises par le Maroc pour assurer l’approvisionnement régulier du marché en produits alimentaires sur l’ensemble du territoire national ; • Le deuxième décortique les mesures de soutien mises en place par le pays aux populations les plus vulnérables qui sont touchées par les mesures d’endiguement de la propagation du virus ; • L’analyse portera par la suite sur l’esprit d’innovation et d’adaptation que le Maroc a su insuffler tant dans le secteur privé que dans les administrations pour répondre à l’urgence sanitaire ; • Le quatrième volet s’attèlera aux initiatives déployées à moyen terme dans le secteur agricole pour lui permettre une plus grande résilience ; • La note citera quelques exemples d’actions déployées par la société civile en soutien aux efforts du pays ; avant de consacrer la dernière partie à des réflexions sur les leçons à tirer de cette situation.

Users also downloaded

Showing related downloaded files

No results found.