Thumbnail Image

Impact des systèmes d'élevage pastoraux sur l'environnement en Afrique et en Asie Tropicale et sub-tropicale aride et sub-aride








Also available in:
No results found.

Related items

Showing items related by metadata.

  • Thumbnail Image
    Project
    Recherche appliquée sur les cultures d’exportation traditionnelles et non traditionnelles
    Appui à la mise en œuvre du NEPAD–PDDAA
    2006
    Also available in:
    No results found.

    I.1. Le Rwanda est un petit pays enclavé de l’Afrique orientale, qui s’étend sur une superficie de 26 340 km2. Il est bordé au nord par l’Ouganda, au sud par le Burundi, à l’est par la Tanzanie et à l’ouest par la République démocratique du Congo. Situé tout juste au sud de l’Équateur (4o latitude Sud), le Rwanda présente un relief accidenté avec une altitude culminant à 4 507 m (zone volcanique du nord) mais généralement comprise entre 1 900 et 3 000 m, la zone la plus basse (le Bugarama, Provi nce de Cyangugu) se situant à 700 m. I.2. Le Rwanda est caractérisé par un climat équatorial modéré d’altitude, avec des températures moyennes de 16o à 23o et une pluviométrie moyenne variable située entre 700 mm dans le nord–est et plus de 1 600 mm dans le nord–ouest. Près de la moitié du pays (environ 40%) bénéficie d’une pluviométrie comprise entre 1 500 et 1 800 mm. Les pluies sont réparties entre deux saisons pluvieuses correspondant aux deux périodes de culture sur les collines (la grand e saison de pluies — saison B ou itumba — qui s’étend entre mars et juin et la petite saison de pluies — saison A ou umuhindo — s’étendant de septembre et décembre); les deux saisons de pluies sont séparées par des périodes sèches (la grande saison sèche — icyi — s’étendant de juin à septembre, et la petite saison sèche — urugaryi — qui s’étend de décembre à fin février).
  • Thumbnail Image
    Brochure, flyer, fact-sheet
    Africa Open D.E.A.L: Données en accès libre sur l’environnement, l’agriculture et les terres & la Grande Muraille Verte Africaine
    Vers un leadership continental sur les données environmentales
    2021
    Also available in:

    L'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et la Commission de l'Union africaine (CUA) ont mené ensemble une initiative majeure de collecte et d'analyse de données sur l'utilisation des terres entre 2018 et 2020. Avec le soutien de l'Agence panafricaine de la Grande Muraille Verte (GMV), de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC) et de 30 pays africains, la FAO et la CUA ont coordonné cette opération de collecte de données à une échelle inédite dans les domaines de l'agriculture, de l'environnement et de l'utilisation des terres. L'initiative Africa Open D.E.A.L (Data for Environment, Agriculture and Land) fait de l'Afrique le premier continent à achever la collecte de données numériques précises, complètes et harmonisées sur l'utilisation et les changements d'affectation des terres. Elle fournit un instantané détaillé du continent, saisi grâce à plus de 300 000 points d'échantillonnage collectés par 350 opérateurs en deux ans. Les analystes ont été formés à l'utilisation de Collect Earth, un outil open-source développé par la FAO avec le soutien de Google. Plus de 100 paramètres ont été collectés sur chaque point d'échantillonnage d'environ 0,5 hectare, notamment le nombre d'arbres, les terres agricoles, les feux de forêt et les infrastructures existantes. Les données analysées ont mis en évidence les changements d'utilisation des terres au cours des 20 dernières années et le potentiel de restauration au niveau national pour chaque pays. L'imagerie à très haute résolution a permis aux analystes d'évaluer des endroits difficilement accessibles sur le terrain. Cette étude des données révèle pour la première fois l'existence de 7 milliards d'arbres hors forêt, auparavant non enregistrés, parmi d'autres résultats de la première représentation cohérente de l'utilisation des terres du continent. Elle dévoile également plus de forêts et plus de terres arables que ce qui avait été détecté auparavant. Ces informations factuelles concluent que la zone de l'initiative continentale de la Grande Muraille Verte compte 393 millions d'hectares de terres présentant un potentiel et des possibilités de restauration, et que l'Afrique compte 350 millions d'hectares de terres cultivées, soit plus du double de l'Union européenne.
  • Thumbnail Image
    Book (stand-alone)
    Impact des techniques de pêche sur l'environnement en Méditerranée 2008
    Also available in:
    No results found.

    La grande diversité des métiers pratiqués en Méditerranée exerce un impact croissant sur les écosystèmes qu’ils exploitent. L’intensité et la persistance de cette pression exercée par la pêche dans beaucoup de régions méditerranéennes représentent un sujet d’inquiétude pour la communauté scientifique car elle se traduit par une réduction progressive de la disponibilité des ressources exploitées mais aussi par un ensemble de dommages collatéraux affectant d’une façon plus ou moins irréversibles l es communautés benthiques et leurs habitats, ainsi que les populations des espèces les plus vulnérables. Une revue analytique de la littérature existante sur l’impact des principaux groupes d’engins de pêche employés en Méditerranée rappelle les effets négatifs qu’ils peuvent exercer sur le fond et les habitats et sur les différents groupes d’espèces protégées. A ceux ci peuvent s’ajouter des nuisances que des abus d’usage peuvent entraîner comme le rejet d’espèces non commercialisables ou la pêche « fantôme», que l’abandon volontaire ou accidentel de matériel de pêche peut provoquer. Cet inventaire a été effectué en s’efforçant d’identifier pour chaque type d’engin les causes technologiques ou tactiques des impacts qu’ils génèrent. Pour chaque cas, diverses solutions correctives de ces impacts, appliquées à d’autres pêcheries dans le monde ou en cours d’évaluation sont proposées et discutées, notamment au travers de leurs possibilités d’application en Méditerranée. Certaines d’en tre elles, curatives, visent à réduire la mortalité induite par la capture, d’espèces non commerciales en favorisant leur échappement tandis que d’autres, préventives, recherchent l’évitement de la capture de ces espèces, par l’emploi par exemple de répulsifs acoustiques. La discussion est ouverte ensuite sur les méthodologies utilisées pour l’évaluation des différents impacts et du rôle des différentes caractéristiques physiques de chaque métier impliqué. L’intérêt d’une hiérarchisation des p otentialités de nuisance de chaque technique dans un secteur donné est présenté comme une étape de la mise en place d’une stratégie de gestion des impacts de la pêche en Méditerranée, permettant notamment de définir des priorités d’action. L’examen critique des différentes solutions qui s’offrent aux gestionnaires montre que la résolution des impacts de la pêche avec l’environnement ne peut être effective sans une appropriation par l’industrie de la pêche des mesures réglementaires qui en déco ulent. Le constat est enfin fait sur l’intérêt d’entreprendre une démarche holistique intégrant toutes les composantes des activités halieutiques afin de résoudre efficacement et d’une façon consensuelle la majeure partie des problèmes liés à l’interaction des pêcheries avec l’environnement.

Users also downloaded

Showing related downloaded files

No results found.