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Graisses et acides gras dans la nutrition humaine

Rapport d'une consultation d'experts, 10 - 14 novembre 2008, Genève










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    Book (series)
    Rapport de la Consultation mixte d'experts sur les risques et bénéfices de la consommation de poisson. Rome, 25-29 janvier 2010 2013
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    L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture et l’Organisation mondiale de la Santé ont organisé, du 25 au 29 janvier 2010, une consultation mixte d’experts sur les risques et bénéfices de la consommation de poisson. Elle avait pour mission d’étudier des données sur les concentrations de nutriments (acides gras oméga-3 à longue chaîne) et de certains contaminants chimiques (méthylmercure et dioxines) dans certaines espèces de poissons et de comparer, du point de vue de la santé, les bénéfices et l’apport en nutriments attribuables à la consommation de poisson aux risques liés à la présence de contaminants dans le poisson. La Consultation d’experts a tiré plusieurs conclusions concernant les bénéfices et les risques de la consommation de poisson pour la santé et a recommandé aux États Membres de prendre une série de mesures pour mieux évaluer et gérer les risques et les bénéfices de la consommation de poisson et en informer plus efficacement leur s citoyens. La Consultation d’experts a mis au point un cadre pour évaluer les bénéfices ou les risques nets de la consommation de poisson pour la santé, qui permettra d’orienter les travaux des autorités nationales chargées de la sécurité sanitaire des aliments et ceux de la Commission du Codex Alimentarius sur la gestion des risques, compte tenu des données existantes sur les bénéfices de la consommation de poisson. La Consultation d’experts est parvenue aux conclusions suivantes: Le poisson est une source d’énergie, de protéines et de plusieurs autres nutriments importants, notamment d’acides gras polyinsaturés à longue chaîne n-3 (AGPI LC n-3). La consommation de poisson fait partie des traditions culturelles de nombreux peuples. Dans certaines populations, le poisson est un aliment important et une source principale de nutriments essentiels. Dans la population adulte générale, la consommation de poisson, notamment de poisson gras, réduit le risque de décès pa r cardiopathie coronarienne. Il n’existe pas de preuve probable ou convaincante d’un risque de cardiopathie coronarienne associé au méthylmercure. Les risques potentiels de cancer associés aux dioxines sont bien inférieurs aux bénéfices avérés de la consommation de poisson en termes de cardiopathie coronarienne. Si l’on compare les bénéfices des AGPI LC n-3 aux risques que représente le méthylmercure pour les femmes en âge de procréer, dans la plupart des situations évaluées, la consomma tion de poisson par la mère réduit le risque que le développement neurologique de l’enfant ne soit pas optimal. Lorsque les niveaux d’exposition de la mère aux dioxines (présentes dans le poisson et d’autres aliments) ne dépassent pas la dose mensuelle tolérable provisoire (PTMI) de 70 pg/kg de poids corporel, fixée par le JECFA (pour les PCDD, les PCDF et les PCB coplanaires), le risque pour le développement neurologique du foetus est négligeable. Lorsque les niveaux d’exposition de l a mère aux dioxines (présentes dans le poisson et d’autres aliments) dépassent la dose mensuelle tolérable provisoire, il se peut que ce risque ne soit plus négligeable. Concernant le nourrisson, le jeune enfant et l’adolescent, les données disponibles sont actuellement insuffisantes pour établir un cadre quantitatif des risques et des bénéfices de la consommation de poisson pour la santé. Cependant, l’adoption dès un jeune âge de régimes alimentaires sains comprenant du poisson influe s ur les habitudes alimentaires et la santé à l’âge adulte.
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    Book (stand-alone)
    Régime alimentaire, nutrition et prévention des maladies chroniques
    Rapport d'une Consultation OMS/FAO d'experts
    2003
    Des habitudes alimentaires en mutation, une réduction de la dépense énergétique associée à un mode de vie sédentaire, le vieillissement de la population - ainsi que l'usage du tabac et la consommation d'alcool - sont des facteurs de risque majeurs de maladies non transmissibles et représentent un défi grandissant à la santé publique. Ce rapport d'une consultation conjointe d'experts OMS/OAA passe en revue les bases scientifiques des effets de l'alimentation et de la nutrition sur les maladi es chroniques, et fait des recommandations pour les politiques et les stratégies de santé publique qui intègrent les dimensions sociétale, comportementale et écologique. Bien que le but principal de la consultation ait été de fixer des objectifs concernant l'alimentation et la nutrition, l'importance de l'activité physique a également été soulignée. La Consultation a envisagé l'alimentation dans le contexte des implications macro-économiques des recommandations de santé publique pour l'agriculture et pour l'offre et la demande mondiales de denrées alimentaires fraîches et transformées. En montrant comment réduire le fardeau des maladies chroniques telles que l'obésité, le diabète de type 2, les maladies cardio-vasculaires (y compris l'hypertension et les accidents vasculaires cérébraux), le cancer, les pathologies dentaires et l'ostéoporose, ce rapport propose de placer la nutrition au centre des politiques et des programmes de santé publique. Le rapport intéresser a les décideurs politiques aussi bien que les professionnels de santé publique d'un large ensemble de disciplines incluant la nutrition, la médecine générale et la gérontologie. Il montre comment l'alimentation et l'exercice pendant toute la durée de vie peuvent, au niveau de la population, réduire la menace d'une épidémie mondiale de maladies chroniques.
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