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Migration et crises prolongées





Le présent document se penche sur la migration dans les situations de crises prolongées, décrit le contexte des flux migratoires et offre des exemples du travail accompli par la FAO et ses partenaires dans différents pays pour renforcer la résilience des communautés tout en s'assurant de «ne laisser personne de côté» avant, pendant et après une crise prolongée.

Le présent document se penche sur la migration dans les situations de crises prolongées, décrit le contexte des flux migratoire s et offre des exemples du travail accompli par la FAO et ses partenaires dans différents pays pour renforcer la résilience des communautés tout en s'assurant de «ne laisser personne de côté» avant, pendant et après une crise prolongée.




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    Booklet
    Le travail des enfants dans l'agriculture lors de crises prolongées et dans des contextes fragiles et humanitaires
    Note d'orientation de la FAO
    2018
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    Un enfant sur quatre grandit dans des zones affectées par des conflits ou des catastrophes naturelles. Chaque année, ces situations poussent des enfants vers le travail agricole inadapté à leur âge afin qu’ils subviennent à leurs besoins et à ceux de leurs familles. Partout dans le monde, des millions d’enfants sont piégés dans d’exploitation et dans le travail dangereux qui affecte leur développement physique et mental et les prive de l’opportunité d’apprendre. Les programmes agricoles, de sécurité alimentaire et de nutrition sont essentiels pour augmenter la résilience des communautés rurales aux menaces et aux crises. Ils contribuent à ne laisser personne en arrière et à lutter contre les situations des enfants dans l’agriculture lors de crises prolongées et dans des contextes fragiles et humanitaires. Par ailleurs, les résultats non recherchés des interventions pourraient exacerber la prévalence et la gravité du travail des enfants. La présente note apporte des orientations techniques et opérationnelles aux responsables de la mise en oeuvre et de la formulation des programmes agricoles de sécurité alimentaire et de nutrition. Son but est d’améliorer la pérennité et l’impact de ces programmes en apportant des recommandations et des exemples concrets, présentés de manière simple et directe. Sa structure pousse l’utilisateur à se poser les bonnes questions à chaque stade du cycle du programme.
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    Document
    Plan de réponse face à la crise alimentaire et nutritionnelle au Sahel. Document Strategique 2012. Version 2 2012
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    1. En 2011, des pluies sporadiques, des récoltes insuffisantes localisées ainsi que la hausse des prix alimentaire et des effets des crises dans la région ont eu un impact combiné sur les populations déjà très vulnérables dans les pays du Sahel. Il est estime que plus de 10 million de personnes sont en situation d’insécurité alimentaire et que plus d’un million d’enfants sont à risque de malnutrition aigüe sévère. Si la malnutrition et l’insécurité alimentaire devaient encore s’aggraver, le nomb re d’enfants voués à mourir ne cesserait d’augmenter. 2. La résilience de plus en plus limitée des populations face aux crises récurrentes au Sahel est une des caractéristiques de la région, où les ménages ne parviennent plus, au lendemain d’une crise, à reconstituer leurs moyens d’existence avant que n’arrive le choc suivant. Les enfants de la région du Sahel souffrent d’un taux très élevé de malnutrition, non seulement au moment du pic de soudure, mais également en période post récoltes. On e stime que chaque année, dans les 8 pays de la région sahélienne (Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Tchad, nord du Nigéria et nord du Cameroun), environ 226.000 enfants meurent à cause de la malnutrition et ses conséquences sur leur santé. La vulnérabilité des ménages est encore accrue par des facteurs extérieurs, notamment le retour de plusieurs centaines de milliers de travailleurs migrants de Libye ou de Côte d’Ivoire, du fait des crises que ces pays ont connues en 2011. 3. Face à cette situation, les partenaires humanitaires regroupés au sein du Groupe de Travail Régional sur la Sécurité Alimentaire et la Nutrition présentent cette stratégie dont les objectifs sont de : i) renforcer la préparation au niveau régional ; ii) soutenir la coordination des acteurs de la réponse et faciliter le suivi de la situation ; iii) servir comme document de référence au cas où d’autres appels (Flash Appeals par exemple) sont élaborés dans les pays de la région ; iv) sensibiliser des b ailleurs ainsi que les partenaires et Gouvernements de la région à l’ampleur de ces crises et à leur caractère transfrontalier et à la nécessité d’y répondre à temps ; et v) faciliter la mobilisation des ressources. 4. En l’absence d’un appel consolidé (CAP) régional en 2012, ce document plus souple vise à appuyer les efforts en cours des différentes autorités nationales à travers une perspective régionale. Il inclut un plan de réponse chiffré des interventions indispensables pour atténuer les effets de la crise. Le montant total des interventions prévues pour répondre à la crise s’élève à US$724.546.917 dont $480.906.207 pour la sécurité alimentaire et $243.640.710 pour la nutrition Les chiffres des bénéficiaires par activité se trouvent dans les tableaux des budgets et besoins estimés, repris dans les plans de réponse (pages 16 et 19). 5. Il est toutefois important de signaler que les vulnérabilités actuelles ne pourront être éliminées par des interventions uniquement humanitaires. Le vrai défi consiste à briser le cercle vicieux de crises alimentaires et nutritionnelles qui semblent frapper à intervalles toujours plus rapprochés des populations dont la résilience ne cesse de faiblir. Il est donc indispensable de fournir des ressources adéquates pour des programmes à long terme qui permettront de traiter durablement les causes structurelles de l’insécurité alimentaire et de la malnutrition dans le Sahel. Il faudra pour cela adopter des stratégies intégrées au sein des gou vernements, entre les gouvernements de la région et avec la participation active de la société civile, des partenaires au développement et du secteur privé.
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    Brochure, flyer, fact-sheet
    Corrélations entre les Directives volontaires visant à assurer la durabilité de la pêche artisanale dans le contexte de la sécurité alimentaire et de l’éradication de la pauvreté et les Directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts dans le contexte de la sécurité alimentaire nationale 2021
    Les Directives volontaires sur la gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts dans le contexte de la sécurité alimentaire nationale (VGGT) et les Directives volontaires pour assurer la viabilité des pêches à petite échelle dans le contexte de la sécurité alimentaire et de l'éradication de la pauvreté (Directives SSF) partagent toutes deux les mêmes objectifs primordiaux : assurer la sécurité alimentaire pour tous, éradiquer la pauvreté, assurer des moyens d'existence durables et protéger l'environnement, et soutenir la réalisation progressive du droit à une alimentation adéquate dans le contexte de la sécurité alimentaire nationale. Cette note fait partie d'une série qui attire l'attention sur le fait que quatre instruments normatifs mondiaux élaborés par le Comité de la sécurité alimentaire mondiale (CSA) et les Directives volontaires de l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) pour assurer la viabilité des pêches à petite échelle dans le contexte de la sécurité alimentaire et de l'éradication de la pauvreté (Directives SSF) se renforcent mutuellement. Les quatre instruments du CSA qui ont un lien direct avec les Directives SSF sont les Directives volontaires du CSA à l'appui de la concrétisation progressive du droit à une alimentation adéquate dans le contexte de la sécurité alimentaire nationale (Directives sur le droit à l'alimentation), les Directives volontaires du CSA sur la gouvernance responsable des régimes fonciers, Pêches et Forêts dans le contexte de la sécurité alimentaire nationale (VGGT), les Principes du CSA pour l'investissement responsable dans l'agriculture et les systèmes alimentaires (Principes CFS-RAI) et le Cadre d'action du CSA pour la sécurité alimentaire et la nutrition en cas de crise prolongée (CFS-FFA). Leur mise en œuvre synergique peut faire la différence en permettant à la pêche artisanale de contribuer à des systèmes alimentaires durables en fournissant des aliments hautement nutritifs aux communautés locales, et elle peut faire la différence pour les consommateurs sur les marchés nationaux, régionaux et internationaux. Les notes d'information visent à mettre en évidence les principaux points communs entre ces instruments du CSA et les directives du SSF, et à fournir quelques exemples illustratifs pour inspirer l'action de tous, y compris des gouvernements, des organisations de pêche à petite échelle ou d'autres organisations de la société civile, du secteur privé, des organisations non gouvernementales et des partenaires de recherche et de développement.

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