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Le monde forestier

Dix-huitième Conférence de la FAO: pénurie 4e papier; foresterie tropicale; davantage d'industries forestières dans les pays en développement

M. Edouard Saouma, nouveau Directeur général de la FAO
La FAO rend hommage à un forestier britannique et un agronome portugais pour leurs travaux en Malaisie
La foresterie à l'ordre du jour en Suède
La modernisation des scieries européennes
Un parc national méditerranéen s'agrandit

Comment conjurer la menace d'une pénurie de pâte et papier en 1980? Comment promouvoir les industries du bois dans les pays en développement riches en forêts'? Comment venir à bout de la pénurie de bois de chauffage qui sévit actuellement dans de nombreuses régions du monde? Enfin, comment concilier les avantages et les intérêts souvent divergents de la sylviculture et de l'agriculture? Telles sont les questions qui ont été soulevées au cours de la dix-huitième Conférence de la FAO tenue à Rome en novembre 1975.

Les délégués des 136 pays qui y ont assisté ont généralement souscrit aux prévisions de la FAO, selon lesquelles il faut probablement s'attendre, vers la fin des années soixante-dix, à une pénurie de pâte et papier qui risque d'avoir de graves conséquences, surtout pour les pays en développement. Ceux-ci, en effet, malgré de maigres devises, importent pratiquement toute leur pâte et tout leur papier. La pénurie que l'on escompte dans ce domaine tiendra surtout à l'insuffisance des investissements dans la capacité de production de pâte et de papier.

De nombreux pays en développement riches en forêts naturelles et artificielles, tentent activement d'attirer les investissements dans la papeterie, tandis que la FAO a été invitée à redoubler d'effort pour repérer les emplacements convenant le mieux aux nouvelles usines.

On a aussi insisté, pendant la Conférence, sur la nécessité de concevoir de nouvelles techniques permettant d'exploiter les peuplements mélangés de feuillus tropicaux, forêts naturelles les plus abondantes dans maints pays en développement. La FAO est convaincue que ces problèmes n'ont rien d'insurmontable et que bon nombre d'entre eux ont déjà été efficacement résolus au niveau d'usines pilotes. On a fait observer par ailleurs que, si 55 pour cent du couvert forestier mondial se situent dans les pays en développement, ces derniers ne représentent que 6,2 pour cent de la capacité de production de pâte et papier.

Il en va de même lorsqu'il s'agit dans ces pays d'ajouter à la valeur du bois grâce à divers procédés de fabrication. En 1960, a déclaré M. K.F.S. King, Sous-directeur général du Département des forêts de la FAO, les pays en développement n'entraient que pour 6,2 pour cent dans la valeur ajoutée au bois par traitement industriel, car ils fournissaient surtout des grumes aux pays producteurs. En 1974, ils étaient même tombés à 6,1 pour cent. Aussi M. King a-t-il instamment invité les pays industrialisés à aider ceux en développement à se créer des industries forestières.

Abordant les problèmes de la sylviculture, M. King a fait remarquer que ce n'était pas une coïncidence si les sécheresses et les inondations auxquelles nous avons assisté au cours des deux ou trois dernières années sont survenues dans des pays où les forêts ont été saccagées, les arbres rasés, et où les bassins versants ont été dépouillés de leur couvert végétal. Les forêts, a-t-il rappelé, absorbent d'importantes quantités d'eau qu'elles restituent ensuite, comme des éponges, pendant la saison sèche. Elles sont, en outre, indispensables à l'aménagement des sols et à la lutte contre l'érosion.

Pour leur part, les délégués des pays arides et semi-arides, notamment ceux de la zone sahélienne, ont tracé un sombre tableau des pénuries de bois de chauffage qui sévissent dans leurs régions.

Dans les villes et les villages du Sahel, a déclaré le délégué du Mali, cela nous coûte désormais aussi cher de faire bouillir notre marmite que de la remplir. Il a invité les pays donateurs à suivre l'exemple de la France et du Canada en finançant des projets de sylviculture dans la vaste région Sahélienne frappée par la sécheresse.

Quant à la tendance que l'on a, notamment dans les pays en développement de sacrifier les forêts au profit des cultures et des pâturages, La FAO a vivement insisté pour que l'on prenne des décisions rationnelles en matière d'utilisation des terres et que l'on cesse d'exploiter ces dernières à des fins agricoles comme on le fait à présent au hasard, car l'on en arrive ainsi à transformer des zones forestières stables en terres agricoles pauvres et dégradées.

La FAO a notamment encouragé les pays dotés de forêts tropicales a pratiquer une agro-sylviculture diversifiée qui permette, grâce à un processus cyclique, de renouveler et de régénérer les sols, comme, par exemple, la pratique de cultures entre les range es d'arbres à croissance rapide.

M. Edouard Saouma, nouveau Directeur général de la FAO

Edouard Saouma

A la dix-huitième Conférence de la FAO, tenue le 10 novembre 1975, M. Edouard Saouma (Liban) a été élu Directeur général à la quasi-unanimité. Il est le sixième Directeur général de l'Organisation et le deuxième appartenant à un pays en développement.

M. Saouma, qui est âgé de 49 ans, a été élu par 121 voix sur 125 suffrages exprimés au cours du deuxième scrutin. Cinq autres candidats au poste de Directeur général s'étaient retirés après le premier scrutin, au cours duquel M. Saouma avait obtenu une avance écrasante de 62 voix sur les 66 nécessaires pour être élu.

Le 1er janvier 1976, le nouveau Directeur général a assumé son mandat non renouvelable de six ans. Il succède à M. A.H. Boerma (Pays-Bas) dirigeait la FAO depuis le 1er janvier 1968.

Après avoir accepté sa nomination M. Saouma a déclaré notamment:

«La crise alimentaire, vous le savez, est déjà inscrite dans la réalité des années soixante-dix et menace le développement de nombreux Etats et, tragiquement parfois, la survie de leur population. C'est là un défi historique lancé à la communauté internationale et, par là même, à notre Organisation...

«L'Organisation se doit de rénover son approche pour se mettre à la mesure du nouvel ordre économique et social appelé par vos nations. Certes, la FAO ne saurait prétendre résoudre seule tous les problèmes agricoles et alimentaires et il appartient aussi à chaque Etat d'apporter sa propre contribution. Pour notre part et dans le cadre de nos moyens, nous veillerons à ce que les actions entreprises par la FAO répondent aussi étroitement que possible, dans leur conception comme dans leur mise en œuvre, aux besoins que vous exprimerez.»

Avant son élection, M. Saouma a occupé à la FAO le poste de Directeur de la Division de la mise en valeur des terres et des eaux pendant dix ans; pendant cette même période, il a aussi été le président du Groupe de travail interdépartemental sur les ressources naturelles et l'environnement. De 1962 à 1965, il a assumé les fonctions de Représentant régional adjoint pour l'Asie et l'Extrême-Orient, à New Delhi.

Avant d'entrer à la FAO, M. Saouma avait occupé divers hauts postes au sein d'institutions libanaises d'enseignement supérieur et de recherche agricole, ainsi qu'au gouvernement libanais. De 1955 à 1962, il a participé en tant que délégué du Liban à toutes les sessions de la Conférence et du Conseil de la FAO. En 1970, alors qu'il était en poste à l'Organisation, M. Saouma a été nommé ministre de l'agriculture du Liban.

Né le 6 novembre 1926 à Beyrouth M. Saouma est marié et a trois enfants. Il est titulaire d'un diplôme de chimie agricole de l'Ecole supérieure d'ingénieurs de l'université Saint-Joseph à Beyrouth et de celui d'ingénieur agronome de l'Ecole nationale supérieure agronomique de Montpellier.

M. Saouma parle couramment l'arabe le français, l'anglais, l'italien et l'espagnol.

La FAO rend hommage à un forestier britannique et un agronome portugais pour leurs travaux en Malaisie

Kenneth Sargent à la Conférence de la FAO

A l'occasion de sa dix-huitième Conférence en novembre 1975 la FAO a décerné le prix B.R. Sen à M. Kenneth Sargent, forestier britannique, et à M. Jouquim Carvalho Santiago, agronome portugais, pour leurs réussites exceptionnelles dans le domaine du développement agricole.

M. Sargent est né en 1924 à New Milton, Hampshire (Royaume-Uni). Il a reçu le prix B.R. Sen pour son rôle déterminant dans l'exécution d'un projet visant à renforcer les services fondamentaux de prospection et de planification, ainsi que les bases institutionnelles pour le développement des industries forestières en Malaisie.

«Par sa haute compétence professionnelle, son dévouement sans réserve, sa direction dynamique et éclairée, M. Sargent, précise la citation, a permis au projet d'atteindre ses objectifs au-delà de tout espoir, en faisant un modèle du genre.»

«Ce projet, poursuit la citation, a ouvert la voie à de nouvelles techniques pour l'inventaire des forêts tropicales et la planification du développement des industries du bois; ces innovations à elles seules sont un témoignage de la haute compétence professionnelle de M. Sargent et de l'équipe qu'il «formée.»

Après avoir dirigé ce projet de 1968 à 1975, M. Sargent a été nommé au Siège de la FAO en qualité de coordonnateur du Programme de développement des industries de la pâte et du papier, actuellement en cours.

Le deuxième lauréat, M. Joaquim Carvalho Santiago, de Elvas, Portugal, a reçu le prix Sen pour les résultats remarquables du projet qu'il a exécuté au Brésil afin d'aider ce pays à accroître sa production de blé.

Le prix Sen a été créé en l'honneur de M. B.R. Sen (Inde), qui a occupé le poste de Directeur général de la FAO de 1956 à 1967. Ce prix consiste en une médaille, un diplôme et une somme de 2000 dollars.

La foresterie à l'ordre du jour en Suède

Au mois de juin, en Suède, diverses réunions ont mis la foresterie internationale à l'honneur.

Le deuxième séminaire international World Wood sur la scierie, qui s'est tenu à Jönköping en juin 1975, a traité des nouvelles techniques de production des scieries. Des dirigeants de scierie d'Amérique du Nord, d'Europe et des pays scandinaves ont examiné une série de problèmes allant de l'emploi des grumes de petite dimension aux Etats-Unis et au Canada à l'utilisation de réducteurs d'avoyage et d'ordinateurs dans les pays scandinaves.

Le rôle futur des machines d'exploitation à usage multiple dans la foresterie européenne a constitué le principal thème du colloque organisé le service forestier suédois et parrainé par la Commission économique des Nations Unies pour l'Europe, l'Organisation internationale du travail, la FAO et leur Comité FAO/CEE/OIT des techniques de travail en forêt et de formation des ouvriers forestiers.

Le colloque, qui s'est déroulé du 10 au 18 juin, comportait quatre jours de démonstrations techniques et la visite d'un centre de formation d'opérateurs de machines, suivis de trois jours de discussion au Folket Hus de Stockholm. Les participants ont pris connaissance d'exposés régionaux et nationaux sur l'Amérique du Nord, les pays scandinaves, l'Europe centrale, orientale et méridionale, la France, le Royaume-Uni et l'U.R.S.S., et se sont également penchés sur les problèmes touchant la formation l'ergonomie et la prévention des accidents.

Les participants au séminaire et au colloque ont pu visiter la foire internationale de la foresterie 1975 ELMIA, qui a eu lieu une semaine avant le colloque, et assister aux fêtes du 25e anniversaire du Department of Operational Efficiency du Swedish Royal College of Forestry les 14 et 15 juin.

La modernisation des scieries européennes

Trois grandes conclusions en matière de normalisation, d'utilisation des systèmes de comptabilité des coûts et d'application commerciale du traitement électronique de l'information se sont dégagées du colloque sur la modernisation de l'industrie de la scierie, tenu à Genève en janvier 1975.

Ce colloque, qui a réuni quelque 70 participants de 16 nationalités différentes, était organisé par le Comité du bois de la Commission économique des Nations Unies pour l'Europe. La FAO, le Centre du commerce international CNUCED/GATT et l'Organisation des industries européennes de la scierie y étaient également représentés.

De l'avis des participants, la modernisation plus poussée des scieries dépend dans une large mesure des progrès réalisés dans la normalisation des produits du bois et de l'application de normes au niveau tant national qu'international.

Les participants sont convenus que les systèmes de comptabilité des coûts pourraient puissamment aider à mieux planifier et contrôler la production, comme l'exige la complexité croissante du processus de sciage et le climat économique qui est le sien, et à décider des investissements qui s'imposent aux fins de modernisation ou de rationalisation.

L'application commerciale de l'informatique aux scieries, innovation relativement récente, n'en gagne pas moins rapidement du terrain. Les participants se sont notamment intéressés aux possibilités d'étendre ce procédé aux petites scieries, au moyen de l'utilisation collective de l'équipement, par exemple.

On considère que des innovations techniques sont possibles dans les secteurs suivants: systèmes d'amenée des grumes, de séchage, de classement des sciages, et découpeuses en scierie.

Il faudrait par ailleurs redoubler d'effort pour:

- Réévaluer périodiquement les ressources forestières afin de donner à l'industrie des sciages les informations dont elle a besoin.

- Mettre au point des politiques nationales propres à maintenir l'équilibre entre la dimension des scieries et leur base d'approvisionnement, et leurs débouchés possibles.

- Tenir davantage compte du facteur énergie dans les décisions en matière d'investissements.

- Concevoir des méthodes de traitement industriel des grumes de petites dimensions.

- Procéder aux études de marché détaillées qui s'imposent avant la modernisation et l'intégration des usines.

- Etudier le problème de l'humidification du bois sec pendant le transport et l'entreposage et la question de responsabilité eu égard à la teneur en eau du sciage au moment de la livraison.

Un parc national méditerranéen s'agrandit

Le parc national italien du Circeo, situé dans les anciens marais pontins à mi-chemin entre Rome et Naples, est, parmi les réserves européennes, l'une des plus intéressantes. Ses 8350 hectares de forêt et de maquis méditerranéen abritent de nombreuses espèces de faune sauvage et offrent un panorama marin impressionnant troué de grottes qui comptent parmi les plus anciennes demeures connues de l'homme en Europe.

On trouve aussi dans ce petit parc, longtemps négligé, des vestiges archéologiques des époques romaine et préromaine. Le promontoire lui-même - défiguré dans les 25 dernières années par la construction de villas - est le site légendaire où Ulysse a subjugué et aimé Circé, la magicienne, qui a donné son nom à la région.

Quatre lacs d'eau saumâtre entrecoupés de marais d'eau douce - et séparés de la mer par une longue dune de sable, font aussi de ce parc une escale et un centre d'hivernage cl importance internationale pour divers oiseaux aquatiques, canards sauvages, oiseaux de mer et échassiers.

Sur les recommandations du service des forêts chargé de l'administration du parc, le gouvernement italien vient de modifier et d'étendre le; limite, de ce dernier, plaçant ainsi tous les lacs et les vastes étendues marécageuses sous l'autorité exclusive de l'administration du parc. Cela aura pour effet d'assurer un habitat idéal, d'importance internationale reconnue, à plus de deux cents espèces recensées d'oiseaux migrateurs. Ils sont en effet de moins en moins nombreux chaque année, à participer aux migrations qui les portent surtout d'Afrique en Europe du Nord, en raison de la disparition ou de la dégradation de leur habitat et des ravages exercés par la chasse dans toute la région méditerranéenne. Les oiseaux du Circeo comptent parmi eux une colonie de 350 à 400 cormorans méditerranéens qui se reproduisent dans les Balkans. C'est la plus importante des deux colonies de cormorans qui hivernent en Italie. 1 es mesures prises par le gouvernement pour étendre et rationaliser les limites du parc national du Circeo représentent donc un progrès considérable dans la protection du vaste patrimoine européen de faune sauvage.

Les recommandations concernant les modifications futures du parc du Circeo prévoient une extension de ses limites vers la mer pour y inclure l'archipel des îles Ponza et les eaux comprises entre ces îles et le promontoire du Circeo qui leur fait face. Cette zone et notamment quelques-unes des îles peu peuplées de l'archipel constituent des bases importantes pour les oiseaux de mer ainsi que pour d'autres oiseaux migrateurs.

Réunions internationales sur les forêts 1976

Date

Lieu

Titre

Fonctionnaire en charge, Département des forêts, FAO

2-7 février

Cuba

Commission des forêts pour l'Amérique latine (12e session)

J.E.M. Arnold

4 février

Cuba

Commission des forêts pour l'Amérique latine. Comité des parcs nationaux et de la faune sauvage (4e session)

G.S. Child

9-13 février

Genève

Groupe d'étude de la mécanisation du travail en forêt (7e session) et session mixte avec le Groupe d'étude des méthodes et de l'organisation des travaux forestiers

H. Chauvin

16 février - 12 mars

Kaduna (Nigeria)

Cours de formation FAO/DANIDA sur les pépinières forestières et les techniques de plantation en savane africaine

R. Willan/D. Harcharik

23-27 février

Ottawa

Commission des forêts pour l'Amérique du Nord (8e session)

J.E.M. Arnold

17-19 mars

Bangui (Rép. centrafricaine)

Commission des forêts pour l'Afrique. Groupe de travail de l'aménagement et de la conservation de la faune et de la flore naturelles (Se session)

G.S. Child

22-27 mars

Bangui

Commission des forêts pour l'Afrique

J.E.M. Arnold

Deuxième trimestre

Rome

Première consultation d'experts sur l'accessibilité des ressources forestières

H. Chauvin/J.-P. Lanly

26 avril/1er mai

Dakar

Séminaire CIISS/UNSO/FAO sur le rôle de la foresterie dans un pro gramme de remise en état du Sahel

A. Polycarpou

10-28 mai

Quito

Cours de formation FAO/SIDA sur le développement de l'enseignement forestier en Amérique latine

H. Hilmi

11-13 mai

Rome

Comité consultatif de la pâte et du papier (17e session)

L. Lintu

14-29 juin

Hyvinkää (Finlande)

Comité mixte FAO/CEE/OIT des techniques de travail en forêt et de formation des ouvriers forestiers

H. Chauvin

20 juin - 2 juillet

Oslo

XVIe Congrès mondial IUFRO (Une session FAO sur la recherche forestière dans les pays en développement se tiendra au cours du congrès)

J. Prats-Llaurado

5-6 juillet

Genève

Réunion ad hoc d'experts CEE/FAO sur le classement des sciages de résineux selon la résistance à la contrainte

T. Peck *

7-8 juillet

Genève

Réunion ad hoc d'experts GEE/FAO sur la normalisation du jointage digitiforme dans les sciages résineux de construction

T. Peck *

8-27 août

Lima

Séminaire FAO/SIDA sur l'emploi dans la foresterie dans les pays d'Amérique latine

G.E. Segerström

16 août - 4 sept

Manille

Colloque FAO/SIDA sur la planification du développement forestier dans les pays de l'Asie du Sud

J.E.M. Arnold

SIGNIFICATION DES SIGLES

CILSS= Comité permanent inter-Etats de lutte contre la sécheresse au Sahel
UNSO - Bureau des Nations Unies pour le Sahel
CEE = Commission économique pour l'Europe
IUFRO = Union internationale des instituts de recherches forestières
SIDA = Organisme suédois de développement international
PNUE = Programme des Nations Unies pour l'environnement
DANIDA = Organisme danois pour le développement international
CEF = Commission européenne des forêts
OIT = Organisation internationale du travail

* Division mixte du bois CEE/FAO/Palais des Nations - 1211 Genève, Suisse.
** A fixer.

Réunions internationales sur les forêts 1977

Date

Lieu

Titre

Fonctionnaire en charge Département des forêts FAO

27 sept.

Roumanie

Symposium CEE/FAO sur l'utilisation accrue des résidus de bois

T. Peck *

18-22 octobre

Genève

Comité du bois CEE/FAO (34e session)

E. Kalkkinen *

9-12 nov.

Tokyo ou Kuala Lumpur

Comité consultatif de l'enseignement forestier (13e session)

H. Hilmi

Novembre

Rome

Comité du développement forestier sous les tropiques (4e session)

O. Fugalli

Nov.-déc.

Rome

Comité des forêts (3e session)

L. Quintana

Nov./déc.

Dehra Dun

Colloque sur la planification du développement forestier dans les pays du Proche-Orient et de l'Asie méridionale

A.H. Contreras

Quatrième trimestre

Rome

Deuxième consultation d'experts sur l'accessibilité des ressources forestières

H. Chauvin/J.-P. Lanly

Quatrième trimestre

Yaoundé (Cameroun)

Cours de formation sur les inventaires forestiers destinés aux forestiers de langue française

J.-P Lanly

**

**

Comité exécutif de la Commission européenne des forêts

E. Kalkkinen *

3-7 janvier

Genève

Groupe d'étude de la formation professionnelle et de la prévention des accidents dans les travaux forestiers

H. Chauvin *

Février-mars

Malaisie ou Indonésie

Consultation régionale concernant l'influence de la mécanisation de la récolte sur la sylviculture et l'aménagement des forêts tropicales en Asie et en Extrême

Orient Tran van Nao

21-26 mars

Canberra

Troisième consultation mondiale sur la génétique forestière

R. Willan

Mars

Canberra

Groupe d'experts des ressources génétiques forestières (4e session)

R. Willan

Premier trimestre

Amérique latine

Consultation technique sur la planification du développement des bois tropicaux en Amérique du

Sud T. Erfurth

Octobre

Genève

Comité du bois CEE/FAO (35e session)

E. Kalkkinen *

**

**

Séminaire CEE/FAO sur le comportement des produits du bois au feu

H.J.R. Widmer

**

**

Symposium CEE/FAO sur les effets de la pollution sur la végétation

E. Kalkkinen *

**

Genève

Groupe d'étude des méthodes et de l'organisation des travaux forestiers

H. Chauvin *

* Division mixte du bois CEE/FAO/Palais des Nations - 1211 Genève Suisse.
** A fixer.

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