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Grand Programme 1.3: Coordination extérieure et liaison

(tous les montants sont exprimés en milliers de $ EU)

 

Programme

Programme de travail 2004-05

CRZ - Variation de programme

CRZ - Programme de travail 2006-07

CR - Variation de programme

CR - Programme de travail 2006-07

131

Relations extérieures et coordination

11 363

(6 915)

4 448

0

4 448

132

Bureaux de liaison

11 027

0

11 027

0

11 027

Total

22 390

(6 915)

15 475

0

15 475

Incidence d'une CNZ

 

 

(247)

 

 

Total

 

 

15 228

 

 

Principales lignes d'action dans un scénario de croissance réelle zéro

174.      Le Programme 1.3.1 couvre les activités des Conseillers spéciaux auprès du Directeur général (SAD), y compris celles de l’unité responsable de la coordination et de la coopération de la FAO avec d’autres organisations du système des Nations Unies. Il comprend également les contributions de la FAO à plusieurs mécanismes interinstitutions tels que le Corps commun d’inspection (CCI), la Commission de la fonction publique internationale (CFPI) et les organes subsidiaires du Conseil des chefs de secrétariat des organismes des Nations Unies pour la coordination (CEB). La provision de 6,3 millions de dollars EU affectée aux mécanismes interinstitutions pour la sécurité a été transférée de ce programme au Mécanisme proposé pour les Dépenses de sécurité. Le reste de la réduction au titre du Programme 1.3.1 est dû aux activités prévues pour le Secrétariat de l'Alliance internationale contre la faim, relevant du Programme 3.5.2.

175.      Le Programme 1.3.2 concerne les bureaux de liaison avec les Nations Unies (à New York et Genève), l'Amérique du Nord (à Washington), l'Union européenne, la Belgique (à Bruxelles) et le Japon (à Yokohama).

Incidence d’une croissance nominale zéro

176.      Il ne serait pas possible de réduire les crédits affectés aux mécanismes interinstitutions compte tenu des engagements pris par la FAO en matière de partage respectif des coûts. Leur capacité d’absorption étant négligeable, les Bureaux de liaison ont également été considérés comme ‘entièrement protégés’. Pour l’essentiel, les réductions envisagées dans le cas d’une croissance nominale zéro devraient donc être supportées par le bureau des Conseillers spéciaux du Directeur général.

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