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L’état des ressources génétiques aquatiques pour l’alimentation et l’agriculture dans le monde - en bref









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    Book (stand-alone)
    Plan d’action mondial pour la conservation, l’utilisation durable et la mise en valeur des ressources génétiques aquatiques pour l’alimentation et l’agriculture 2022
    Ce Plan d'action mondial pour la conservation, l'utilisation durable et la mise en valeur des ressources génétiques aquatiques pour l'alimentation et l'agriculture a été élaboré par la FAO à la demande des membres de la Commission des ressources génétiques pour l'alimentation et l'agriculture en réponse aux besoins et aux défis identifiés lors de la première évaluation mondiale de l'état des ressources génétiques aquatiques (RGA) pour l'alimentation et l'agriculture. Il a été élaboré à la suite d'une large consultation des régions et, après avoir été approuvé par la Commission, a été officiellement adopté par les Membres de la FAO lors de la cent soixante-huitième session du Conseil de la FAO. Le Plan d'action mondial est volontaire et non contraignant et vise à promouvoir une gestion efficace des RGA en veillant à ce qu'elles contribuent de manière significative à la sécurité alimentaire, au développement durable et à la réduction de la pauvreté. Il s'adresse à tous les acteurs de l'aquaculture, en particulier aux gestionnaires des ressources et aux décideurs. Le Plan d'action mondial se compose de deux parties. La première partie présente et établit le contexte de l'importance des RGA pour l'aquaculture durable et la sécurité alimentaire future. La deuxième partie identifie les priorités stratégiques et recommande des actions dans quatre domaines prioritaires : i) caractérisation,recensement et suivi; ii) conservation et utilisation durable ; iii) mise en valeur des RGA pour l'aquaculture ; et iv) politiques, institutions, renforcement des capacités et coopération.
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    Brochure, flyer, fact-sheet
    L’État de la biodiversité pour l’alimentation et l’agriculture dans le monde - en bref 2019
    Le rapport sur L’état de la biodiversité pour l’alimentation et l’agriculture dans le monde présente la première évaluation mondiale de la biodiversité pour l’alimentation et l’agriculture. On entend par «biodiversité pour l’alimentation et l’agriculture» les végétaux, les animaux et les micro organismes, dans leur diversité au niveau génétique et au niveau des espèces et des écosystèmes, présents au sein des systèmes de production végétale, animale, forestière et aquatique et autour de ces systèmes. La biodiversité est essentielle aux structures, aux fonctions et aux processus de ces systèmes, aux moyens d’existence, à la sécurité alimentaire et à la fourniture de tout un ensemble de services écosystémiques. La biodiversité est gérée par les cultivateurs, les éleveurs, les communautés forestières, les pisciculteurs et les pêcheurs, ou marquée par leurs activités, depuis des centaines de générations. Le rapport, qui est le fruit d’un processus participatif dirigé par les pays, s’appuie sur les informations fournies dans 91 rapports nationaux et qui rendent compte de la biodiversité pour l’alimentation et l’agriculture – son rôle et son importance, les facteurs auxquels elle est soumise, la situation actuelle et les tendances qui se dégagent. Il fait aussi le point des efforts mis en oeuvre pour promouvoir une utilisation durable et la conservation de la biodiversité pour l’alimentation et l’agriculture, notamment au moyen de politiques de soutien et de cadres juridiques et par le renforcement des institutions et des capacités. Enfin, il examine les besoins en ce qui concerne la gestion future de la biodiversité pour l’alimentation et l’agriculture et les défis à relever. Le rapport s’ajoute aux autres évaluations mondiales réalisées sous les auspices de la Commission des ressources génétiques pour l’alimentation et l’agriculture et portant sur l’état des ressources génétiques dans divers secteurs de l’alimentation et de l’agriculture.
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    Book (series)
    Rapport de la quarante et unième session de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée (CGPM), Budva, Monténégro, 16-20 octobre 2017
    Rapport CGPM No. 41
    2018
    Also available in:

    La quarante et unième session de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée et la huitième session du Comité de l’administration et des finances ont réuni les délégués de 22 parties contractantes, ainsi que les délégués de trois parties non contractantes coopérantes et d’une partie non contractante. Les représentants de 20 organisations intergouvernementales et non gouvernementales, de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture et ses projets régionaux ainsi que des bureaux de la Commission et de ses organes subsidiaires étaient également présents. Au cours de la session, les progrès accomplis dans la mise en oeuvre de la stratégie à moyen terme (2017-2020) en faveur de la durabilité des pêches en Méditerranée et en mer Noire ont été examinés, y compris au titre de la Déclaration ministérielle de Malte MedFish4Ever de 2017. Par ailleurs, les activités de coopération menées dans le cadre d’accords avec les parties contractantes, les parties non contractantes coopérantes et des organisations partenaires ont été discutées. À la lumière de la coopération croissante de la République de Moldova avec la CGPM, la Commission lui a accordé le statut de partie non contractante coopérante. S’agissant de la gestion des pêches et de l’aquaculture dans la zone d’application de la CGPM, un total de huit recommandations contraignantes ont été adoptées et portait sur: la communication de données et d’informations sur l’aquaculture; la gestion de la pêche à la dorade rose en mer d’Alboran; l’établissement d’une zone de pêche réglementée dans la fosse de Pomo/Jabuka en mer Adriatique; un plan de gestion pluriannuel des pêcheries de turbot en mer Noire; la mise en place d’un plan régional de gestion adaptative pour l’exploitation du corail rouge en mer Méditerranée; la communication de données sur les activités de pêche dans la zone d’application de la CGPM; un plan d’action régional visant à lutter contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée dans la zone d’application de la CGPM et un programme international conjoint d’inspection et de surveillance en dehors des eaux relevant de la juridiction nationale dans le canal de Sicile. De plus, la Commission a adopté six résolutions, notamment: une stratégie pour le développement durable de l’aquaculture en Méditerranée et en mer Noire; des lignes directrices pour la simplification des processus d’autorisation et d’octroi de concessions pour l’aquaculture; la reprise des activités du Groupe de travail sur la technologie des pêches; un groupe de travail permanent sur les écosystèmes marins vulnérables; un réseau d’habitats halieutiques essentiels et l’application d’un numéro de l’Organisation maritime internationale. Enfin, la Commission est convenue de son programme de travail pour la prochaine période intersessions et a adopté son budget, s’élevant à 2 532 162 USD pour l’année 2018, ainsi qu’une série d’actions stratégiques qui seront financées par des ressources extrabudgétaires. Elle a également approuvé à l’unanimité la nouvelle constitution des bureaux du Comité scientifique consultatif de l’aquaculture, du Groupe de travail sur la mer Noire et du Comité d’application.

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