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Technologies numériques dans le secteur agricole et dans les zones Rurales

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    Meeting
    Accélération de la transformation numérique inclusive des chaînes de valeur agricoles
    Conférence Régionale de la FAO pour l’Asie et le Pacifique (APRC36)
    2022
    En Asie et dans le Pacifique, la transformation numérique concerne toutes les étapes de la chaîne de valeur, de la production à la consommation d’aliments. Une révolution, celle du commerce alimentaire en ligne, est en cours en même temps qu’émergent des modèles économiques fondés sur la téléphonie mobile qui consistent à proposer, à grande échelle, des services de conseil et des services commerciaux et financiers destinés aux petits exploitants. Une révolution parallèle, celle des technologies de l’«industrie 4.0», permet aux agro-industries d’atteindre des niveaux d’efficacité jamais vus. La transformation numérique offre d’immenses possibilités s’agissant d’améliorer l’efficacité et la durabilité des chaînes de valeur, et d’atteindre les objectifs de développement durable 1, 2 et 13 («Pas de pauvreté», «Faim zéro» et «Mesures relatives à la lutte contre les changements climatiques»). Elle comporte néanmoins des risques, allant de la perte d’emplois à la dégradation de l’environnement, en passant par la question de la gouvernance des données. La vitesse à laquelle s’effectue le passage au numérique étant variable d’une chaîne de valeur à l’autre – et d’un acteur à l’autre à l’intérieur de ces chaînes de valeur –, il est nécessaire d’adopter des stratégies de transformation numérique adaptées afin que personne ne soit laissé pour compte. Les décideurs de la région doivent faciliter le déploiement à grande échelle des innovations numériques de façon inclusive et durable, en particulier dans le contexte de la pandémie de covid-19. Les Membres sont invités à donner à la FAO des indications sur la manière dont elle peut les aider au mieux à favoriser une transformation numérique inclusive des chaînes de valeur agricoles et alimentaires.
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    Book (series)
    La Situation mondiale de l’alimentation et de l’agriculture 2022
    L’automatisation de l’agriculture au service de la transformation des systèmes agroalimentaires
    2022
    Depuis le début du XXe siècle, l’agriculture mondiale est influencée par l’automatisation. La mécanisation motorisée a apporté des avantages considérables en ce qu’elle a permis d’améliorer la productivité, de réduire la pénibilité et d’affecter plus efficacement la main-d’œuvre. Cependant, elle a aussi eu des conséquences négatives sur l’environnement. Plus récemment, des technologies numériques de nouvelle génération à l’appui de l’automatisation de l’agriculture ont fait leur apparition: elles sont en mesure de renforcer la productivité et la résilience, tout en permettant de remédier aux problèmes de durabilité environnementale que la mécanisation a posés par le passé.La Situation mondiale de l’alimentation et de l’agriculture 2022 traite des facteurs qui sous-tendent l’automatisation de l’agriculture, notamment les technologies numériques plus récentes. En se fondant sur 27 études de cas, les auteurs du rapport étudient l’intérêt économique que présente l’adoption de technologies d’automatisation numérique dans différents systèmes de production agricole du monde. Ils mettent en évidence plusieurs obstacles empêchant une adoption inclusive de ces technologies, en particulier par les petits producteurs. Outre les contraintes financières, les principaux obstacles sont les faibles compétences numériques et le manque d’infrastructures, notamment en ce qui concerne la connectivité et l’accès à l’électricité. Sur la base de leur analyse, les auteurs suggèrent des politiques visant à faire en sorte que les groupes défavorisés des régions en développement puissent tirer parti de l’automatisation de l’agriculture et que cette automatisation contribue à des systèmes agroalimentaires durables et résilients.
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    Document
    Rapport du comité d’évaluation des performances de la CTOI 2009
    Also available in:
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    En réponse à des appels de la commuuté intertiole à une évaluation des performances des Organisations régioles de gestion des pêches (ORGP), la Commission des thons de l’océan Indien a accepté, en 2007, de mettre en place un processus d’évaluation. La CTOI a formé un comité d’évaluation comprent un juriste, un expert scientifique indépendant, six membres de la CTOI et un observateur représentant les ONG, comité qui a remis son rapport à la Commission en janvier 2009. L’évaluation réalisée par le comité est basée sur les critères élaborés lors de la réunion conjointe des différentes ORGP- thon qui eut lieu à Kobe (Japon) en 2007, et se concentre sur les points suivants : Adéquation de l’Accord portant création de la Commission des thons de l’océan Indien (« Accord ? CTOI ») aux principes actuels de gestion des pêches. Cohérence entre les avis scientifiques émis et les mesures de conservation et de gestion adoptées. Efficacité des mesures de contrôle établies par la CTOI. Efficacité et t ransparence de la gestion administrative et fincière. PRINCIPALES CONCLUSIONS DU COMITÉ D’ÉVALUATION I. Cadre légal de l’Accord CTOI L’alyse juridique de l’Accord CTOI a permis d’identifier une série de faiblesses et de failles qui peuvent être résumées comme suit. L’Accord CTOI est obsolète, dans la mesure où il ne tient pas compte des principes modernes de la gestion des pêches. L’absence de concepts tels que le principe de précaution ou l’approche écosystémique de la gestion des pêches est co nsidérée comme une faiblesse majeure. Le manque d’une claire définition des fonctions de la Commission ou des obligations des états du port ou du pavillon sont des exemples des obstacles au fonctionnement efficace de la Commission. Les limites imposées à la participation à cet ORGP, découlant du statut légal de la CTOI en tant qu’organe au titre de l’Article XIV de l’Organisation de Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture (FAO), entrent en conflit avec les dispositions de l’Accord des Nations Unies sur les stocks (UNFSA) et empêchent certains acteurs principaux de la pêche dans l’océan Indien de participer aux travaux de la Commission. La relation entre la CTOI et la FAO, principalement d’un point de vue budgétaire, a un impact négatif sur l’efficacité des travaux de la Commission, ni les Membres ni le Secrétariat n’ayant pleinement le contrôle du budget. Cela soulève également des questions quant au niveau de ?????? transparence dans les affaires fincières de la Commission. Le Comité recommande que l’Accord CTOI soit amendé ou remplacé par un nouvel instrument. Le choix entre ces deux options devrait tenir compte de l’intégralité des problèmes identifiés dans cette évaluation. II. Évaluation des performances de la Commission selon les critères arrêtés L’alyse basée sur les critères de performance a mis en évidence de nombreuses faiblesses dans les travaux de la Commission, dont les principales sont indiquées ci-dessous. Haut niveau d’incertitude Les données quanti tatives fournies pour de nombreux stocks sous mandat de la CTOI sont très limitées.Cela provient d’un manque de respect des mesures –une grande proportion des captures provent de pêcheries artisales sur lesquelles on ne dispose que de peu d’informations– et d’un manque de coopération de la part des non membres de la CTOI. Par ailleurs, les données déclarées à la CTOI sont souvent de mauvaise qualité. Cela contribue au fort niveau d’incertitude sur l’état de nombreux stocks sous mandat de la CTOI . Mauvais respect des mesures et faiblesses des moyens visant à répondre au non respect Il est courant que les mesures et obligations adoptées par la CTOI ne soient que peu respectées. La Commission, à ce jour, n’a pris que peu d’actions pour remédier à ce problème (il n’existe actuellement aucune sanction/pélité en cas de non respect). De plus, la liste des vires illicites, non déclarés et non réglementés (« INN ») ne s’applique qu’aux non membres. Besoins spécifiques des états en développement De nombreux États en développement conissent de sérieuses contraintes en terme de capacité/infrastructure qui limitent leur capacité à respecter leurs obligations, en particulier en termes de collecte, traitement et déclaration de données. Un certain nombre d’entre eux manquent également de l’expertise scientifique nécessaire et même lorsque cette expertise existe, des problèmes budgétaires limitent souvent leur participation aux réunions de la Commission, en particulier à celles du Comité scie ntifique et des groupes de travail. III. Au vu de ces conclusions, et en plus des recommandations spécifiques concernt chaque critère, le Comité d’évaluation attire l’attention de la Commission sur les problèmes globaux suivants Incertitude Régler le problème de l’incertitude sur les données et l’évaluation des stocks est l’une des actions les plus fondamentales et urgentes à entreprendre pour améliorer l’efficacité de la Commission. Cela nécessitera une gamme d’actions, dont les plus importante s sont : l’application de méthodes d’évaluation scientifiques adaptées aux données disponibles ; mise en place d’un programme régiol d’observateurs scientifiques pour améliorer la collecte des données sur les espèces cibles et accessoires ; amélioration de la collecte des données et de la capacité de déclaration pour les États en développement.Il est également crucial de faire participer les non membres pêchant dans la zone de compétence de la CTOI, afin de réduire l’incertitude. De même, il con viendra de mettre en place un cadre permettant d’agir en réponse à l’incertitude dans les avis scientifiques et d’améliorer le fonctionnement du Comité scientifique et des organes subsidiaires ainsi que la participation à leurs réunions. Application Il est impératif de renforcer la capacité du Comité d’application à contrôler la non application et à conseiller la Commission sur les actions pouvant être prises en réponse à la non application. Il conviendrait de prévoir des mécanismes de sanction en cas de non application, ainsi que des dispositions de réponses aux infractions. La résolution sur la mise en place de la liste INN devrait être amendée pour permettre l’inclusion de vires battant pavillon d’un membre de la Commission. Besoins particuliers des États en développement Il conviendrait d’augmenter l’effort fincier pour le développement des capacités des États en développement. La Commission devrait améliorer les mécanismes de fincement existants pour améliorer la capacité des État s en développement en matière de collecte, traitement et déclaration des données, ainsi qu’en matière de compétences scientifiques et techniques. Dans ce contexte, il faudrait envisager la possibilité de mettre en place un fonds spécial pour faciliter la participation aux travaux de la Commission et de ses organes subsidiaires. Il conviendrait également de renforcer le rôle et la capacité du Secrétariat à mener des actions ciblées de développement des capacités.

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