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Catalogue des especes et varieties de cultures vivrieres d'interet communautaire ans l'espace CEMAS







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    Book (stand-alone)
    Développement Agricole et Sécurité Alimentaire Durables Dans l'Espace CEMAC
    Stratégie sous-régionale pour l'organisation et la mise en oeuvre d'un réseau d'échange de connaissances et de technologies agricoles
    2009
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    Cette série d'ouvrages est consacrée au développement d'une stratégie sous régionale de renforcement des capacités en matière de dissémination des connaissances et des technologies agricoles dans l'espace CEMAC sur labase du diagnostic des situations nationales des pays membres. Fruit de lacoopération entre la Commission de la communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale (CEMAC) et de la Division de la rechercheet de la vulgarisation (NRR) de l'Organisation des Nations Unies pour l'a limentation et l'agriculture (FAO), cette série d'ouvrages est destinée nonseulement aux acteurs de la recherche et de la vulgarisation agricoles del'espace CEMAC, mais également à  tous les partenaires publiques ou privés régionaux/internationaux engagés dans le processus de développementdurable, de lutte contre la pauvreté et soucieux de l'amélioration du statutde la sécurité alimentaire à  travers un partenariat motivé et efficient.
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    Book (stand-alone)
    Légumes secs et exploitations durables en Afrique subsaharienne 2018
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    En Afrique subsaharienne, l’insécurité alimentaire touche 153 millions de personnes (soit 25 pour cent environ de la population). Le problème pourrait encore s’aggraver du fait de la dégradation constante des sols entraînée par la diminution du taux de matière organique et les apports insuffisants en éléments nutritifs. Plus de 75 pour cent des terres agricoles africaines pourraient être classées comme «dégradées» d’ici à 2020. Cette situation est susceptible de mettre en péril la production alimentaire en Afrique subsaharienne, tant que le plan quantitatif que qualitatif, ainsi que la durabilité des systèmes de production agricole existants. L’utilisation d’engrais pourrait renverser la tendance; or l’Afrique a une capacité de production d’engrais presque inexistante (elle dispose principalement d’installations qui effectuent des mélanges de produits fertilisants). Les engrais proviennent d’autres régions que l’Afrique et sont transportés à grands frais sur de longues distances. L’accès des agriculteurs d’Afrique subsaharienne aux engrais est de ce fait très limité, ce qui accroît encore le risque de dégradation des sols. Appréciés pour leurs multiples avantages, les légumes secs sont cultivés depuis longtemps en Afrique subsaharienne. Les légumes secs, et les légumineuses en général, peuvent être très utiles du fait de leur capacité à fixer biologiquement l’azote atmosphérique et à améliorer le renouvellement biologique du phosphore; ils pourraient donc devenir la pierre angulaire de l’agriculture durable en Afrique. À cet égard, un corpus de travaux publiés souligne l’importance de la diversification des systèmes de production existants, et notamment avec des légumineuses, qui apportent des services environnementaux essentiels – en matière de lutte contre l’érosion du sol et de reconstitution des stocks de nutriments des sols, par exemple. La présente publication s’intéresse à certaines des stratégies prometteuses qui s’attachent à promouvoir la culture et l’utilisation des légumineuses dans les petites exploitations agricoles d’Afrique subsaharienne. Elle s’inscrit dans le sillage de l’Année internationale des légumineuses, initiative ayant pour objet de mettre en avant la contribution des légumes secs au bien-être de l’humain et à l’environnement. L’un des problèmes rencontrés à l’échelle mondiale tient au fait que les statistiques ne reflètent pas bien la diversité des légumes secs. On ne sait pas précisément quels légumes secs sont cultivés, ni où ils sont cultivés. De ce fait, leur importance pour l’Afrique subsaharienne est sous-estimée, et on a tendance à moins investir dans la recherche sur les légumineuses. Les systèmes de production agricole existants sont dominés par les céréales, et se prêtent donc bien à une diversification par l’utilisation de variétés locales ou nouvelles de légumineuses. Le système de culture mixte basé sur le maïs se développe rapidement et est un exemple de diversification de ce type, notamment avec des variétés de haricot. Cela s’explique en partie par le nombre élevé de variétés de haricots qui ont été mises au point, dans le cadre de partenariats menés sur des décennies et soutenus par l’Alliance panafricaine de recherche sur le haricot, afin de répondre aux demandes des marchés locaux et régionaux. Ces recherches sur le haricot ont notamment permis de lancer des activités pionnières de sélection végétale participative et de vulgarisation, en association avec des organisations communautaires et des chaînes de valeur participatives, et de s’intéresser aux systèmes semenciers informels. Cet exemple montre comment la recherche sur les légumes secs peut changer la donne pour les petites exploitations d’Afrique subsaharienne, en élargissant l’éventail de possibilités offertes par la génétique et en soutenant l’innovation. De nombreuses variétés privilégiées par les agriculteurs méritent d’être mises en avant, de même que certaines techniques, telles que l’innovant système à double culture de légumineuses (SDCL) récemment annoncé par le Gouvernement malawien. Parallèlement, la présente étude met en évidence un retard dans le lancement de variétés s’agissant de certains légumes secs et la nécessité de mener sans délai de nouvelles recherches sur l’adoption, les obstacles à l’adoption et l’impact de l’adoption de nouvelles variétés. Parmi les priorités de recherche figurent les travaux destinés à mieux faire connaître et à diffuser les propriétés associées aux types de légumes secs polyvalents, qui sont très appréciés en Afrique subsaharienne. Les différents types de légumes secs remplissent différentes fonctions et, de manière générale, les légumes secs polyvalents sont ceux qui répondent le mieux aux divers besoins des agriculteurs (produits alimentaires, combustible, fourrage et services écosystémiques comme la pollinisation). Un compromis est nécessaire entre l’indice de récolte et les autres fonctions, trop souvent négligées par les chercheurs et les décideurs, qui ont tendance à se soucier presque exclusivement de l’augmentation des rendements en graines. Une autre question sur laquelle il faudrait se pencher sans délai est celle de la résistance aux organismes nuisibles et des approches éducatives et conseils agronomiques visant à renforcer la protection intégrée (PI) contre les ravageurs. Enfin, le rôle de certaines légumineuses et de leurs propriétés biochimiques dans la promotion de la santé des écosystèmes et des communautés est un domaine d’étude crucial, qui apportera des solutions urgentes nécessaires aux agricultrices et à la pérennité des communautés.
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    Qu'est-ce que la gestion communautaire durable de la faune sauvage?
    Programme de gestion durable de la faune sauvage - SWM Programme
    2022
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    Le Programme de gestion durable de la faune sauvage (SWM Programme) vise à améliorer la conservation et l'utilisation durable de la faune sauvage dans les écosystèmes de forêts, de savanes et de zones humides dans les pays membre de l'Organisation des États d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (OEACP). Les travaux du programme se concentrent sur les moyens de concilier les dé s liés à la conservation de la faune sauvage avec la sécurité alimentaire et le développement socio-économique, en particulier lorsque les communautés rurales utilisent la faune sauvage dans leur alimentation et pour compléter leurs revenus, et lorsqu'elle fait partie de leur culture. Le SWM Programme œuvre dans 15 pays, notamment au Botswana, en Égypte, au Gabon, au Guyana, à Madagascar, au Mali, en Namibie, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, en République démocratique du Congo, en République du Congo, au Sénégal, au Soudan, au Tchad, en Zambie et au Zimbabwe. Pour parvenir à une gestion communautaire durable, solide, de la faune sauvage, le SWM Programme promeut un cadre qui englobe une meilleure compréhension de l'environnement et de ses ressources, des droits communautaires, de la gouvernance, de la gestion, et qui réduit la dépendance des zones rurales à l'utilisation non durable des ressources naturelles. Ces éléments représentent les conditions préalables minimales: si l'un d'entre eux fait défaut, il est peu probable que l'utilisation durable soit atteinte.

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