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Prévention de stocks de pesticides périmés












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    Book (series)
    Directives pour la gestion de petites quantités de pesticides indésirables et périmés
    Collection FAO: Elimination des Pesticides. 1020-4709 No. 7
    2000
    Also available in:

    Dans les pays en développement, les stocks de pesticides périmés, indésirables et interdits, sont une source continuelle de problèmes d’ordre environnemental et de santé humaine. En zone rurale, les déchets de pesticides ont tendance à s’accumuler là où s’exercent des activités agricoles et de lutte contre les ravageurs, qu’elles soient intensives ou extensives. Les habitants des villes, notamment sous les tropiques, sont également touchés par les problèmes liés aux déchets de pesticides et à leurs récipients contaminés que l’on retrouve souvent dans leurs foyers. La plupart des gens ne se rendent pas compte que ces pesticides sont dangereux pour leur santé. Les accidents sont fréquents et souvent fatals, en particulier lorsqu’il s’agit d’enfants. Les personnes qui s’occupent de la gestion ou de l’élimination de petites quantités de déchets dérivés des pesticides n’ont pas de directives précises auxquelles se référer en ce qui concerne la démarche à suivre. Ainsi, des produits chimiques dangereux sont souvent abandonnés à l’air libre, en zones rurales comme en zones urbaines, dans les décharges municipales et même sur les terrains de jeux des enfants. La réutilisation des récipients contaminés à des fins ménagères est une pratique répandue dans nombre de régions en développement et représente un risque sanitaire supplémentaire. En 1994, un groupe d’experts de la FAO, du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a mis au point une série de directives concernant l’élimination de grandes quantités de pesticides périmés. Ce groupe recommandait alors la préparation d’une seconde série de directives concernant l’élimination des petites quantités de pesticides inutilisables, des déchets qui s’ensuivent et des conteneurs contaminés. Depuis lors, le projet FAO sur la prévention et l’élimination des stocks périmés, financé par le Gouvernement des Pays-Bas, a fait de cette recommandation un de ses objectifs prioritaires. Ces directives sont le résultat du soutien et de l’engagement continus du Gouvernement des Pays-Bas, qui ont permis la mise en route et la continuité d’un projet régional lié aux problèmes des stocks de pesticides périmés. Ces directives n’ont pas pour but de fournir toutes les informations concernant l’élimination des pesticides, mais une stricte adhésion aux principes qu’elles énoncent contribuera certainement à en améliorer la gestion, à réduire l’accumulation ultérieure de pesticides indésirables et contribuera ainsi à les éliminer. Une version révisée pourrait être publiée plus tard si des développements techniques, de nouvelles informations ou de nouveaux documents fournis par les lecteurs le justifiaient. Ces directives seront traduites en plusieurs langues et seront mises à la disposition des gouvernements, des utilisateurs de pesticides, des agents de vulgarisation et des petits agriculteurs.
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    Meeting
    Rapport de la neuvième session du Groupe de travail de la CTOI sur les écosystèmes et les prises accessoires 2013
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    La neuvième session du Groupe de travail sur les écosystèmes et les prises accessoires (GTEPA) de la Commission des thons de l’océan Indien (CTOI) s’est tenue à La Réunion, en France, du 12 au 16 septembre 2013. Au total, 32 participants (48 en 2012) ont assisté à la session. M. Ludovic Courtois, Secrétaire général du Comité régiol des pêches maritimes et des élevages marins (CRPMEM) de La Réunion, a souhaité la bienvenue à La Réunion aux participants et a officiellement ouvert la neuvième sessi on du Groupe de travail de la CTOI sur les écosystèmes et les prises accessoires. Le président, Dr Charles Anderson, a par la suite accueilli à son tour les participants à La Réunion, ainsi que l'experte invitée, Dr Ronel Nel, de la Nelson Mandela Metropolitan University, à Port Elizabeth, en Afrique du Sud. Embauche d'un fonctionire des pêches NOTANT la charge de travail scientifique croissante du Secrétariat de la CTOI, comprent de nombreuses nouvelles tâches sur les écosystèmes et les prises accessoires assignées par le CS et la Commission, et le fait que la Commission n'a pas donné mandat au nouveau fonctionire des pêches (scientifique), assistant la CTOI dans ses activités scientifiques, de s'occuper des questions relatives aux écosystèmes et prises accessoires, le GTEPA a fortement RECOMMANDE à la Commission d'approuver l'embauche d'un fonctionire des pêches (prises accessoires) qui travaillera sur les questions relatives aux prises accessoires, en appui du processus scientifique . (para.12) Programme régiol d’observateurs Le GTEPA a RECOMMANDE au Comité d'application et à la Commission de réfléchir à la manière dont le manque de mise en œuvre des programmes d'observateurs par les CPC pour leurs flottilles, ainsi que le manque de déclarations auprès du Secrétariat de la CTOI, doivent être traités, conformément aux dispositions de la Résolution 11/04 sur un Programme régiol d’observateurs, tout en notant la mise à jour fournie en Annexe VI. (para.35) Le GTEPA a RECOMMANDE , en toute priorité, au Secrétariat de la CTOI de commencer immédiatement à travailler avec les CPC qui n'ont toujours pas élaboré et mis en oeuvre un programme régiol d'observateurs répondant aux exigences contenues dans la Résolution 11/04, et de fournir une mise à jour sur ce sujet lors de la prochaine session du GTEPA. (para.37) Formation des CPC possédant des flottilles de fileyeurs à l’identification des espèces, à la réduction des prises accessoires, aux méthodes de collecte des données e t à l'identification de sources potentielles d’assistance pour ces activités – Elaboration de plans d'action Le GTEPA a RECOMMANDE à la Commission d'allouer des fonds, dans ses budgets 2014 et 2015, pour que le Secrétariat de la CTOI forme les CPC possédant des flottilles de fileyeurs aux méthodes de réduction des prises accessoires, à l’identification des espèces et aux méthodes de collecte des données (estimation du budget : Tableau 4). (para.64) Évaluation des risques écologiques : examen des conissances actuelles et de leurs éventuelles implications sur la gestion Le GTEPA a RECOMMANDE à la Commission de prendre note de la liste des 10 espèces de requins les plus vulnérables à la palangre (Tableau 7) et à la senne (Tableau 8) dans l'océan Indien, telles qu'elles ont été déterminées par l'alyse productivité-sensibilité, et de la comparer à la liste des espèces/groupes d'espèce de requins devant être enregistrés pour chaque engin et contenue dans la Résolution 13/03 Concernt l’enregi strement des captures et de l’effort par les vires de pêche dans la zone de compétence de la CTOI. A l'occasion de la prochaine révision de la Résolution 13/03, la Commission voudra peut-être ajouter les espèces/groupes d'espèces de requins et de raies manquants. (para.123) Examen des besoins en données et de la marche à suivre pour l'évaluation des stocks de requins NOTANT que la Résolution 10/02 Statistiques exigibles des membres et parties coopérantes non contractantes de la CTOI prévoit que des données soient déclarées à la CTOI sur les « principales espèces de requins capturées et, si possible, [les] autres espèces de requins», sans donner de liste définissant ces catégories d'espèces, et reconissant le manque global de données sur les requins enregistrées et déclarées au Secrétariat de la CTOI, le GTEPA a RECOMMANDE de réviser la Résolution 10/02 afin d'y inclure la liste des espèces d’élasmobranches les plus fréquemment capturées (Tableau 10) pour lesquelles les captures nomiles devront être déclarées au titre des statistiques exigibles de la part des CPC de la CTOI. (para.138) Examen de la Résolution 12/04 sur la conservation des tortues marines Le GTEPA a RECOMMANDE de renforcer la mesure de la Résolution 12/04 de la CTOI Sur la conservation des tortues marines à l'occasion de sa prochaine révision, afin de garantir que les CPC déclarent chaque année le niveau des prises accidentelles de tortues marines par espèce, si possible, comme présenté dans le Tableau 12. (par a.168) Résolution 10/02 sur les statistiques exigibles des membres et parties coopérantes non contractantes de la CTOI NOTANT que la Résolution 10/02 ne prévoit pas de déclarer à la CTOI des données sur les tortues marines, le GTEPA a RECOMMANDE de réviser la Résolution 10/02 afin de rendre les exigences en matière de déclaration cohérentes avec celles stipulées dans les Résolutions 12/04 Sur la conservation des tortues marines et 13/03 Concernt l’enregistrement des captures et de l’effort par l es vires de pêche dans la zone de compétence de la CTOI. (para.169) Format des futures sessions du GTEPA Le GTEPA a RECOMMANDE au CS de noter ce qui suit : (para.253) ? Le GTEPA a DISCUTE de son futur format en vue de concentrer les efforts des scientifiques travaillant sur différent groupes d'espèces accessoires et de remplir plus efficacement le mandat du groupe. ? Le GTEPA a ENVISAGE plusieurs options qu'il demande au CS d'étudier : o Option 1 : L'actuel GTEPA est divisé en deux : un Groupe d e travail sur les requins (GTR) et un Groupe de travail sur les écosystèmes et prises accessoires (GTEPA). o Option 2 : Conserver le GTEPA dans sa forme actuelle, mais en se concentrant sur les requins une année et sur les questions écosystémiques et les prises accessoires l'année suivante. o Option 3 : Conserver le GTEPA avec des directives claires stipulant de traiter les requins chaque année, et les autres questions et groupes de prises accessoires une année sur deux ou selon les besoins. ? L e GTEPA est CONVENU que les requins étaient importants et devaient être traités chaque année. Élection d’un Président et d’un Vice-président pour les deux prochaines années Le GTEPA a RECOMMANDE au Comité scientifique de prendre note des nouveaux président, Dr Rui Coelho (UE,Portugal), et vice-président, Dr Evgeny Romanov (La Réunion), du GTEPA pour le prochain biennium. (para.263) Rapport de la neuvième session du Groupe de travail sur les écosystèmes et les prises accessoires Le GTEPA a RECOMM ANDE au Comité scientifique d'étudier le jeu de recommandations consolidées du GTEPA09, fourni en Annexe XXI, ainsi que les avis de gestion fournis dans le résumé exécutif provisoire d'état de stock de chacune des sept espèces de requins et des tortues marines et oiseaux marins : (para.265) Requins o Requins bleus (Prioce glauca) –Annexe X o Requins océaniques (Carcharhinus longimanus) – Annexe XI o Requins-marteaux halicornes (Sphyr lewini) – Annexe XII o Requins-taupes bleus (Isurus oxyrinchus ) – Annexe XIII o Requin soyeux (Carcharhinus falciformis) – Annexe XIV o Requins-rerds à gros yeux (Alopias superciliosus) – Annexe XV o Requins-rerds pélagiques (Alopias pelagicus) – Annexe XVI Autres espèces/groupes o Tortues marine – Annexe XVII o Oiseaux marins – Annexe XVIII Un résumé de l'état de stock de quelques espèces de requins les plus fréquemment pêchées en association avec les pêcheries sous mandat de la CTOI ciblant les thons et espèces apparentées est fourni dans le Tableau 1.
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    Project
    Rapport de la premiere Reunion du Groupe de Travail du DIPA sur Couts et Revenus en Peche Artisanale en Afrique de l'Ouest. 1995
    Also available in:

    Les gouvernements des pays de la région couverte par le Programme DIPA accordent de plus en plus la priorité au développement de la pêche artisanale en raison du rôle sans cesse croissant de ce sous-secteur dans l'apport en protéine on ne peut plus nécessaire à la population et dans la création d'emplois. Dans leurs diverses politiques de développement, ces gouvernements mettent un accent particulier sur l'amélioration des conditions socio-économiques des communautés de pêche. En général, la str atégie a consisté en de diverses actions portant sur l'amélioration des embarcations, engins de pêche, moteurs hors-bord et technologies de transformation qui ont déjà fait couler beaucoup d'encre dans ladite région.En dépit de l'important progrès réalisé aux divers niveaux de la production, les planificateurs du développement manquent toujours d'informations sur les coûts et revenus des pêcheurs artisans. Ceci a été un handicap pour une bonne évaluation des technologies à encourager et de celle s à décourager. Cette situation a été aggravée par les pêcheurs qui ne tiennent pas les comptes de coûts et revenus dans leurs opérations. Un élément essentiel pour l'évaluation des bénéfices privés et sociaux a donc été marginalisé dans la planification et le suivi du développement, la formulation de la politique de gestion, les études pertinentes portant sur le secteur et dans l'évaluation des projets. Par conséquent, il est nécessaire de recueillir des données sur les méthodes utili sées dans le sous-secteur pour calculer et apprécier les coûts, revenus et rentabilités des unités de pêche. En vue d'améliorer les études brèves et sporadiques menées dans la région, le programme DIPA a sollicité la collaboration des administrations nationales des pêches et des institutions de recherche afin d'effectuer l'évaluation de la structure des coûts, le système de partage et la rentabilité des opérations de pêches artisanales pour une durée d'un an et dans dix des vingt pays qui lu i sont associés. Les résultats de cette étude seront compilés sous forme d'un document de travail d'informations comparatives et utilisés à un atelier qui se tiendra en novembre 1996.Les institutions invitées ont désigné des économistes ou des technologistes possédant une grande expérience dans le domaine pour servir en qualité de "Coordonnateurs d'Etude" dans leurs pays respectifs. Afin de faciliter les échanges d'informations et d'expériences, lesdits spécialistes constituent maintenant un G roupe de travail sur les Coûts et Revenus des Pêches artisanales en Aftique de l'Ouest. La réunion de lancement de ce Groupe s'est tenue à Dakar les 12 et 13 juin 1995.Réunion.Cette première réunion a enregistré la présence de tous les participants invités (voir liste en annexe) des dix pays choisis, à savoir: Mauritanie, Sénégal, Gambie, Cap Vert, Guinée, Côte d'Ivoire, Bénin, Nigéria, Cameroun, Sao Tomé et Principe. Elle a été ouverte par le Directeur Sénégalais des Pêches, Dr. Ndiag a Gueye. Après avoir souhaité la bienvenue aux participants, il a donné les grandes lignes des politiques de son gouvernement en matière de développement des pêches artisanales. Il a utilisé ces politiques comme termes de référence pour l'étude et mis un accent particulier sur le rôle vital et par conséquent, la raison d'être du DIPA et des études de coûts et revenus que ce dernier a initiées au Sénégal et dans la région. Dans sa conclusion, il a, au nom de son Ministre, garanti aux pa rticipants le plein soutien de son gouvernement au réseau d'étude sur les coûts et revenus. La réunion a été présidée par le Sénégal.

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