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PARTIE VI

COMITE DE COORDINATION POUR L'AFRIQUE

283. La Commission était saisie du rapport de la cinquième session du Comité de coordination pour l'Afrique (ALINORM 81/28). En l'absence du Coordonnateur pour l'Afrique, M. T. N'Doye, le Secrétaire Codex du Comité de coordination a présenté le rapport. Il a informé la Commission qu'il y avait eu à ce Comité une bonne participation des pays de la Région africaine et d'autres pays. Les organisations régionales africaines y ont été moins nombreuses que prévu et le Comité de coordination a pris des dispositions dans l'espoir d'améliorer leur participation. Le Secrétaire a informé la Commission que les travaux du Comité de coordination avaient progressé de façon satisfaisante et que le Gouvernement du Sénégal avait mis à sa disposition des services excellents.

284. La Commission a remercié le Gouvernement du Sénégal d'accueillir les sessions du Comité et il a rendu hommage au Coordonnateur sortant, M. N'Doye, pour sa longue et précieuse contribution aux travaux de la Commission.

Projet de norme régionale africaine pour le gari à l'étape 5

285. La Commission était saisie de la norme précitée (Ann. III, ALINORM 81/28), et elle a été informée que ce produit était appellé à occuper une place considérable dans le commerce de la Région africaine, notamment s'il était enrichi pour améliorer sa qualité nutritionnelle. Le gari constitue de toute façon une denrée importante dans l'alimentation africaine.

Etat d'avancement de la norme

286. La Commission décide de porter le Projet de norme régionale africaine pour le gari à l'étape 6 de la Procédure d'élaboration des normes régionales.

Propositions du Comité concernant l'élaboration de Normes régionales africaines pour le sorgho et le mil

287. La Commission a été informée que le Comité de coordination se proposait de porter à l'étape 3 les Avant-Projets de normes régionales africaines pour le sorgho en grains, le mil en grains et les farines de mil, suite à l'adoption par la Commission de la nouvelle procédure accélérée et sous réserve de l'assentiment de la Commission.

288. La délégation du Ghana a demandé s'il était opportun d'élaborer ces normes régionales, étant donné l'existence d'un Comité Codex chargé d'élaborer des normes mondiales pour les céréales et les produits céréaliers. Le Secrétariat a informé la Commission qu'après une étude approfondie sur les échanges mondiaux des différents produits céréaliers, le Comité du Codex sur les céréales et les produits céréaliers n'avait soulevé aucune objection, à sa première session, en ce qui concerne l'élaboration de normes régionales pour le sorgho et le mil.

289. La Commission est convenue de porter les trois normes précitées à l'étape 3 de la Procédure d'élaboration des normes régionales.

Légumineuses

290. La Commission a rappelé sa décision au sujet de l'élaboration de normes pour les légumes secs par le Comité du Codex sur les céréales et les produits céréaliers (par. 155). Elle a également noté que le Comité de coordination s'était intéressé à l'élaboration de normes régionales pour les légumes secs tenant une place importante dans le commerce intra-africain mais n'ayant qu'un rôle marginal, d'après la Commission, dans les échanges mondiaux. Le Comité de coordination a également indiqué que le niébé, le voandzou et le néré étaient des produits importants d'un point de vue commercial, notamment en Afrique de l'uest, et qu'ils devraient avoir une priorité élevée. A la suggestion de la délégation de la Jamahiriya arabe libyenne, la Commission a décidé de suivre l'évolution des travaux du Comité du Codex sur les céréales et les produits céréaliers, afin de savoir quels étaient les légumes secs pouvant faire l'objet de normes africaines régionales.

Autres questions

291. La délégation du Kenya a appelé l'attention de la Commission sur l'opinion du Comité de coordination, à savoir que la pâte d'arachide devrait être normalisée, et sur le fait que le Secrétariat avait été prié de préparer un document de travail à ce sujet. La Commission note que ce document contiendra les renseignements requis dans les critères fixés pour l'ordre de priorité des activités du Codex et qu'en outre, on demandera l'avis du Comité du Codex sur les céréales et les produits céréaliers à propos des produits devant être normalisés et du type de norme à élaborer (mondiale ou régionale).

292. La Commission note que le Comité de coordination envisage la possibilité d'élaborer des normes régionales pour différents fruits et légumes. Le Secrétariat a fait savoir qu'il avait été prié par le Comité exécutif d'établir un document sur les fruits et légumes intéressant les pays en développement et un document analogue pour les fruits et légumes intéressant les pays d'Afrique. Il rédigera un seul document portant sur les deux sujets.

293. Evoquant le paragraphe 20 du document ALINORM 81/28, qui traite de la vente des pesticides et des problèmes liés à leur emploi, la délégation de l'Australie a fait la distinction entre deux exemples d'exportation des pesticides dont l'emploi n'est pas autorisé dans le pays d'origine. Il existe des pesticides dont la sécurité et l'utilité en agriculture ont été évaluées mais qui n'ont pas été soumis à une procédure d'homologation dans le pays d'origine en raison du coût élevé de cette procédure, des possibilités limitées d'application et diverses autres raisons. En revanche, certains pesticides peuvent ne pas avoir fait l'objet d'une évaluation complète ou n'être pas autorisés parce que l'on a des doutes sur leur sécurité. La délégation a aussi rappelé les activités de la FAO en matière de procédures d'homologation, dans le cadre desquelles ces questions pourraient être examinées. L'Australie étudie les moyens d'offrir une assistance technique aux pays en développement afin de garantir un emploi sans danger et correct des pesticides.

294. Prenant acte de la déclaration de la délégation australienne, les délégations du Ghana et du Cameroun ont souhaité que d'autres pays examinent la possibilité d'une assistance analogue. La délégation du Kenya a elle aussi indiqué que la présence de résidus dans les denrées alimentaires consécutive à une mauvaise utilisation des pesticides pouvait créer des obstacles aux exportations. Le Secrétariat a rappelé les travaux du Groupe de travail sur les problèmes posés par les pesticides dans les pays en développement (dans le cadre du CCPR) et il a décidé de lui soumettre la question. Par ailleurs, il a été souligné que les comités de coordination étaient des instances excellentes pour débattre de ce genre de problèmes et déboucher sur une assistance technique dans les différents domaines. C'est pour cette raison que les comités de coordination inscrivent habituellement à leur ordre du jour des points concernant les problémes liés au renforcement des infrastructures et des effectifs des pays en développement, ainsi qu'à la promotion de la coopération technique entre les pays en développement (CTPD) dans le domaine du contrôle des denrées alimentaires.

Autres questions résultant du Rapport du Comité de coordination pour l'Afrique

295. Les questions relatives au miel et au jus de mangue (ALINORM 81/28 par. 16-17 et 25-26) ont été reportées aux points 38 et 24 (c) respectivement.

Nomination du Coordonnateur pour l'Afrique

296. La Commission note que le Comité de coordination pour l'Afrique a désigné à l'unanimité M. J. K. Misoi (Kenya) comme candidat au poste de Coordonnateur pour l'Afrique. La délégation du Kenya a confirmé que M. Misoi était en mesure d'accepter cette désignation. Conformément à l'Article II. 4 b) de son Règlement intérieur, la Commission nomme M. J.K. Misoi (Kenya) Coordonnateur pour l'Afrique, pour un mandat allant de la fin de la quatorzième session à la fin de la quinzième session de la Commission.

COMITE DE COORDINATION POUR L'ASIE

297. La Commission a noté qu'elle n'avait pas de rapport du Comité à examiner parce que celui-cine s'était pas réuni depuis la précédente session de la Commission.

298. M. D.S. Chadha (Inde), qui a été nommé Coordonnateur pour l'Asie, avait pris toutes les dispositions pour organiser une session du Comité en Inde, en consultation avec les autorités de son pays, qui avaient accepté d'accueillir la réunion. Toutefois, l'Inde a dû retirer son offre par suite de certaines difficultés, en précisant qu'elle ne serait pas en mesure d'organiser une session du Comité régional dans le proche avenir. Le Secrétariat a donc pressenti différents gouvernements de la Région quant à la possibilité d'accueillir le Comité de coordination pour l'Asie. Le Gouvernement de Sri Lanka s'est déclaré disposé à présider et à organiser la troisième session du Comité régional de coordination pour l'Asie en février 1982.

299. La délégation de la République de Corée, en qualité de représentante de l'Asie au Comité exécutif, a déploré, au nom de la Région, que le Comité de coordination n'ait pu se réunir et il a remercié le Gouvernement sri-lankais de son invitation.

Nomination du Coordonnateur pour l'Asie

300. Sur proposition des Membres de la région de l'Asie présents à la session et en vertu de l'Article II.4 b) de son Réglement intérieur, la Commission a désigné M. A. Bhumiratana (Thaïlande) Coordonnateur pour l'Asie, qui exercera son mandat de la fin de la 14ème à la fin de la 15ème session de la Commission.

301. La Commission a tenu à remercier M. D.S. Chadha, Coordonnateur sortant, de son travail de promotion des activités de la Commission en Asie.

COMITE DE COORDINATION POUR L'EUROPE

302. La Commission était saisie du Rapport du Comité de coordination pour l'Europe (ALINORM 81/19) et d'un complément d'informations sur les questions appelant une décision (ALINORM 81/21).

303. Le Professeur Woidich, Coordonnateur pour l'Europe, a rendu compte des travaux accomplis par le Comité depuis la précédente session de la Commission. Il a rappelé que l'idée d'un Codex Alimentarius mondial était issue du Codex Alimentarius Europaeus, auquel l'Autriche avait travaillé très activement. Au fil des années, pendant qu'il examinait et élaborait des normes régionales pour plusieurs produits, le Comité de coordination s'est efforcé de tenir compte des observations des pays extra-européens, pour éviter de créer des obstacles au commerce de la Région. Dans certains cas, le Comité a accepté de servir de cadre à l'élaboration de normes mondiales, sur demande de la Commission et il reste disposé à le faire. Tous les membres de la Commission pourront participer pleinement à ses travaux à égalité de droits. La Commission a noté que le mandat de M. Woidich en tant que Coordonnateur pour l'Europe allait jusqu'à la fin de la quinzième session de la Commission et elle a remercié l'Autriche de continuer à accueillir le Comité.

304. La Commission a noté que le Comité de coordination pour l'Europe insistait sur la nécessité, pour les pays de la région, d'accepter davantage de normes Codex. Les problèmes qui se posent à cet égard, notamment dans les pays dotés d'une législation très détaillée sur les produits alimentaires, pourraient être résolus avec l'aide du Comité de coordination. Celui-ci participe activement à des études comparées des normes alimentaires de divers groupements économiques européens, afin d'en faciliter l'harmonisation. Le Comité a examiné une étude des services de contrôle et d'inspection des produits alimentaires, préparée conjointement par la Hongrie et le Bureau régional de l'OMS pour l'Europe. Cette étude sera mise à jour périodiquement en fonction des données disponibles.

305. Le Coordonnateur a fait un bref rapport sur des questions comme l'amendement de la norme pour les cocktails de fruits et le calibrage des petits pois en conserve, questions qui seront revues sur la base de renseignements complémentaires. Le Comité a examiné le Projet de norme sur le sel de qualité alimentaires qui a de l'importance pour la région européenne. A ce sujet, des observations ont été présentées au Comité du Codex sur les additifs alimentaires. La Commission a été informée du futur programme de travail du Comité, présenté dans ses grandes lignes aux paragraphes 145 à 150. Ce programme comprendra en particulier le projet révisé d'une Norme régionale européenne pour la mayonnaise et les produits du type mayonnaise.

Examen de l'Avant-Projet de norme régionale européenne pour le vinaigre à l'étape 5 de la Procédure (Annexe II)

306. La Commission a noté que, pour les délégations portugaise et espagnole, le terme “vinaigre” sans aucun autre qualificatif doit signifier uniquement du vinaigre de vin. Dans les définitions des différents vinaigres, le terme “vin” doit se référer seulement aux produits d'origine viticole. La Commission a noté aussi que cette réserve a déjà été présentée au Comité de coordination et elle a suggéré que la question soit réexaminée à la prochaine session du Comité.

Etat d'avancement de la norme

307. La Commission décide d'adopter la norme susmentionnée à l'étape 5 et de la porter à l'étape 6 de la Procédure.

Nécessité d'amender la Norme régionale européenne Codex pour le miel (CAC/RS 12-1969)

308. La Commission décide d'examiner la question au titre du point 38 de l'ordre du jour (voir paragraphes 528-531).

Norme régionale européenne Codex pour les eaux minérales naturelles

309. La Coordonnateur a rendu compte de l'état d'avancement des travaux sur les sections 5 (Hygiène) et 8 (Méthodes d'analyse et d'échantillonnage), qui restent à mettre au point. La norme proprement dite a déjà été adoptée par la Commission à sa douzième session, sous réserve d'en différer la publication jusqu'à la mise au point définitive des sections susmentionnées.

310. La Commission a rappelé qu'un certain nombre de méthodes ont déjà été élaborées et qu'elle les a adoptées à sa treizième session. Il en est de même pour les dispositions sur l'hygiène, à l'exception de la section 5.2 (critères microbiologiques). La Commission a été informée que des groupes de travail ad hoc ont été chargés de recueillir et d'analyser des données complémentaires et d'établir une documentation pertinente à l'intention des Comités du Codex sur l'hygiène alimentaire et sur les méthodes d'analyse. La délégation suisse s'est prononcée en faveur de cette action. Estimant que la norme avait une grande importance pour ses pays members, le Comité de coordination pour l'Europe a demandé à la Commission d'en autoriser la publication, assortie d'une note appropriée.

311. La délégation du Royaume-Uni a exprimé la crainte que la publication de la norme ne retarde l'avancement des travaux sur les questions en suspens. Elle a rappelé les décisions prises par le Comité du Codex sur les Principes généraux et approuvées par la Commission: a) si possible, aucune méthode de remplacement ne devrait figurer dans la norme; b) aucune méthode ne devrait être élaborée pour des paramètres ne figurant pas dans la norme. La délégation de l'Egypte a fait savoir que son pays ne pouvait accepter plusieurs dispositions de la section 5.2 dans sa version actuelle. Les pays membres ont été informeés qu'ils pourraient présenter d'autres observations techniques sur la section 5.2 (critères microbiologiques) au Comité du Codex sur l'hygiène alimentaire. La délégation de l'Egypte a fait observer que la question des eaux minérales aurait du être examinée par les Comités internationaux chargés d'élaborer des directives pour l'eau potable et non par le Comité du Codex sur l'hygiène alimentaire.

312. La Commission décide que la norme est importante pour des raisons commerciales et sanitaires et qu'elle doit donc être publiée, accompagnée d'une note appropriée sur les dispositions en suspens. La Commission recommande le règlement rapide des questions en cours.

COMITE DE COORDINATION POUR L'AMERIQUE LATINE

313. La Commission était saisie du rapport de la deuxième session du Comité susmentionné, tenue à Montevideo du 9 au 15 décembre 1980 (ALINORM 81/31).

314. Le rapport a été présenté par le Coordonnateur, M. A.M. Dovat, qui a évoqué brièvement les principaux points examinés à cette session et indiqué les questions sur lesquelles la Commission était priée de prendre des mesures.

315. La Commission note que, suite à une requête présentée par le Comité du Codex sur les céréales et les produits céréaliers à sa première session, le Comité de coordination avait examiné les céréales qui étaient importantes dans la région et, notant qu'il lui fallait des informations complémentaires détaillées en ce qui concerne la production, la consommation et les échanges intrarégionaux de ces produits, avait décidé d'examiner la question de manière plus approfondie à sa prochaine session.

316. La stratégie FAO/OMS en matière de contrôle des denrées alimentaires, exposée dans le document HCS/78.1, a fait l'objet d'un examen détaillé. Le Comité a entièrement appuyé et encouragé la stratégie proposée ainsi que son développement futur. Le Coordonnateur a suggéré que le réseau de collaboration entre les pays d'Amérique latine (RECLAIN) et l'Institut hispano-américain de coopération appuyé par la FAO pourraient être utiles pour renforcer le contrôle alimentaire dans la région.

317. Lors de l'examen de la question des résidus de pesticides dans les denrées alimentaires, le Comité, conscient du danger que l'emploi des pesticides peut présenter pour la santé des consommateurs, avait décidé de demander à la FAO, à l'OMS et à d'autres organisations internationales d'appuyer des projets pilotes qui seraient entrepris à l'échelon national pour étudier la présence de résidus dans les aliments, l'eau et le sol et pour trouver les solutions les plus efficaces.

318. Le Coordonnateur a aussi insisté sur les problèmes relatifs à l'alimentation et la nutrition qui sont de plus en plus préoccupants en ce sens qu'ils ont une incidence aussi bien sur la santé que sur l'économie des pays de la région. Il a indiqué que le Comité avait présenté une recommandation générale à la FAO et à d'autres organisations internationales afin d'aider rapidement tout pays de la région qui en fait la demande à pallier les carences graves de ses services de contrôle alimentaire.

319. En ce qui concerne la coopération dans le domaine de la normalisation alimentaire, la Commission a été informée que la COPANT (Commission panaméricaine de normalisation technique) avait été représentée à la session par son Secrétaire général, qui avait accepté de faire une étude comparée des normes Codex et des normes mises au point par la COPANT pour ses 22 pays membres, dans le but d'harmoniser les normes régionales COPANT et les normes mondiales correspondantes.

320. Le Comité de coordination a également examiné les priorités de travail de la région et a décidé d'envisager à sa prochaine session la question de la mise au poïnt de normes ou codes d'usages pour les boissons non alcoolisées gazéifiées eu égard à la forte consommation de ces produits par les enfants. Le Comité est également convenu d'examiner la question de savoir si des normes régionales Codex pour les boissons alcoolisées étaient nécessaires.

Norme régionale européenne recommandée pour le miel

321. La Commission a noté que le Comité de coordination avait recommandé qu'à l'avenir la norme en question soit mise au point sur une base mondiale et que la question soit examinée intégralement sous un point ultérieur de l'ordre du jour.

Désignation et nomination du Coordonnateur pour l'Amérique latine

322. Sur proposition de la délégation de l'Argentine et avec l'appui de tous les membres de la Région de l'Amérique latine présents à la session, la Commission a décidé à l'unanimité de déroger à l'Article II.4 de son Règlement intérieur, afin de permettre la nomination de M. E.M. Brivio (Uruguay) qui n'a pas pu assister à la session. La Commission a nommé Coordonnateur pour l'Amérique latine M. Brivio, qui restera en fonction de la fin de la quatorzième à la fin de la quinzième session de la Commission. La Commission a tenu à souligner que la suspension de l'Article II.4, conformément à l'Article XIII.2 du Règlement intérieur, était due à des circonstances exceptionnelles et ne devait pas être considérée comme un précédent. La Commission a estimé qu'il y avait de bonnes raisons à ce que l'Article II.4 exige que le candidat soit présent à la session pour pouvoir être nommé au poste de coordonnateur.

323. La Commission a remercié le Gouvernement uruguayen d'avoir accueilli la deuxième session du Comité, ainsi que M. Dovat, Coordonnateur, de son précieux concours dans la promotion des activités de la Commission en Amérique latine.


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