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Les articles qui paraissent ici sont des résumés des nouvelles intéressantes compilées par le personnel de la FAO ou soumises par des correspondants. La FAO n'accepte aucune responsabilité pour les articles reçus en toute bonne foi de ses collaborateurs de l'extérieur.
· Des arbres croissant de 35 feet (11,75 m) en 23 mois ont été signalés au douzième Congrès de l'Union internationale des instituts de recherches forestières auxquels il est fait allusion plus haut dans ce numéro. Le Directeur de l'agriculture et de la recherche forestière en Afrique orientale britannique a exposé qu'une espèce d'eucalyptus, Eucalyptus saligna, a eu en Afrique orientale cette extraordinaire rapidité de croissance, due en grande partie au fait que les saisons sont insuffisamment marquées pour causer un ralentissement appréciable. En quatre ans cette espèce a produit du bois de feu; en six ans des poteaux pour les huttes indigènes, et en huit à dix ans du bois d'œuvre pour les habitations permanentes. La liaison ferroviaire projetée entre les territoires de l'Afrique orientale britannique et la Rhodésie du Nord aidera beaucoup, sans aucun doute, au développement ultérieur du marché de ce bois d'œuvre.
· On signale que dans la province d'Entre Ríos, des appels d'offres ont été faits pour la plantation d'arbres le long des routes principales réunissant les villes de Paraná, Diamante, Victoria et Nogoyá, soit sur une longueur totale de 149 kilomètres. Le projet, les méthodes de plantation et le choix des espèces à utiliser ont été préparés par le Service forestier de la province. Les principales essences doivent être des eucalyptus et des pins, avec quelques chênes, acacias et peupliers.
Dans ce système de contrats, l'entreprise forestière s'engage à prendre soin des arbres pendant 18 mois, ce qui permet la réalisation économique des plantations de bord de route, dont une grande quantité est demandée d'urgence dans la province d'Entre Ríos. D'après notre correspondant ce système pourrait être également applicable au reste de la république.
· Le Service forestier à Canberra (Forestry and Timber Bureau) a publié un bulletin n° 33 intitulé General Volume Table for Pinus radiata (Tarif général de cubage pour P. radiata). Cette publication comprend une série de tableaux donnant le volume sous écorce en cubic feet jusqu'à 4 inches (10 cm) de diamètre sous écorce et on estime qu'il se révélera très satisfaisant pour obtenir les volumes sur pied de Pinus radiata.
Pinus radiata constitue le gros des plantations de conifères en Australie et a été cultivé sous une grande gamme de climats et de sols; il n'est donc pas surprenant que sa forme et son développement diffèrent d'une localité à une autre. De nombreux tarifs de cubage ont été établis localement, depuis des années, mais il n'est pas possible d'appliquer à aucun d'entre eux des coefficients de correction permettant d'obtenir le volume d'un arbre qui diffère par la forme de l'arbre moyen représenté dans la table.
· Le Ministre de l'agriculture a demandé au Conseil supérieur des forêts d'examiner les raisons des fâcheux effets sur les poissons des plantations de conifères existant le long des cours d'eau dans les Ardennes. Le comité institué pour mener l'enquête a publié les conclusions suivantes:
1. les plantations de conifères le long des rivières et des ruisseaux entraînent la dépopulation piscicole car elles détruisent les frayères, ce qui est fatal au repeuplement naturel des cours d'eau;2. elles ont pour résultat la disparition des oiseaux aquatiques et bouleversent la répartition des diverses espèces;
3. elles privent les vallées ardennaises de leur caractère et de leur beauté particuliers.
Il apparaît hautement souhaitable que le fond des vallées dans lequel serpentent rivières et ruisseaux reste autant que possible en prairies largement ouvertes.
Des ces considérations découle un problème d'intérêt national qui demande une action législative urgente.
Le comité propose:
1. de créer une zone effective de protection de 12 mètres de large au moins (15 mètres si possible) le long des cours d'eau ardennais;2. d'y interdire boisement ou reboisement avec des conifères;
3. d'autoriser la plantation et la conversion en peuplements clairs d'essences feuillues (de peupliers principalement) sans sous-étage de façon à maintenir autant que possible un sol couvert d'herbe. D'étroites bordures de saules, de frênes et d'aunes seraient autorisées sur les berges des rivières car ces arbres donnent en été ombre et fraîcheur et leurs racines enchevêtrées offrent aux poissons d'excellents refuges.
Les cours d'eau non navigables traversant les forêts soumises à la gestion du Service forestier sont déjà interdites à la pêche et sont des réserves où le poisson peut se reproduire. On pense que l'élimination progressive des conifères améliorera beaucoup la reproduction et le comité a estimé que ses recommandations devraient même être rendues applicables à un territorire plus étendu, limité si possible au nord par la Sambre, la Meuse et la Vesdre. Cependant, en raison des objections soulevées en faveur des propriétaires de domaines privés, les propositions pourraient être adoptées seulement pour les zones appartenant au domaine public et administrées par le Service forestier.
· Les possibilités du bois ont été utilisées très complètement et avec beaucoup d'imagination dans la construction du dôme en teck du hall de réunion du Collège des ingénieurs de l'Université de Rangoon, Birmanie, qui est décrit dans un rapport à la FAO par le technicien des projets et programmes du Ministère birman des industries forestières. Les architectes l'ont réalisé avec les conceptions et méthodes de construction les plus modernes exprimant l'influence de la technique moderne sur les conditions et les matériaux locaux, et le résultat est en harmonie complète avec le milieu.
Au cours des premières études des projets possibles il devint évident que seul un toit en forme de voûte ou de dôme pouvait être réalisé économiquement pour couvrir d'une seule portée une vaste superficie do 10 500 square feet (975 m²). Los pratiques traditionnelles de la construction auraient demandé de grands étançons et d'énormes poutrelles d'acier. Le projet aurait été presque impossible en bois massif. Mais la comparaison des prix des matériaux possibles, tels qu'acier, béton, aluminium et bois montra que le teck ne répondait pas seulement aux valeurs esthétiques du tracé mais aussi se révélait moins cher que la plupart des matériaux importés.
Avant le commencement do la construction, des essais de résistance furent effectués en Angleterre sur un élément de toit de 12 × 12 feet (3,6 × 3,6 mètres) réalisé par le constructeur Construction Ltd.). Un laboratoire spécial fut utilisé pour reproduire les conditions climatiques sévères de Rangoon, et cet élément d'essai fut soumis à un cycle rapide de dessication et d'humidité 24 heures par jour pendant un mois pour déterminer la durabilité du bois, de la colle et des revêtements qu'on se proposait d'employer dans le projet. Normalement, le test consistait en une immersion de deux heures pendant lesquelles la température tombait à 100° F (38°,5 C) environ et en un chauffage de quatre heures approximativement à 190° F (87°,8 C) avec une humidité de 90 à 95 pour cent.
Le hall principal, qui peut tenir 800 à 1 000 étudiants, a 153 feet (46 m) de long, 93 feet (26 m) de large et 38 feet (12 m) de haut. Il ressemble comme forme à une vaste carapace de tortue. Le toit ou dôme est fait de cinq couches de planches de teck colles et vissées ensemble, les planches formant un angle de 45° les unes avec les autres. L'ensemble du toit est, en effet, un vaste contre-plaqué moulé. Les bords du toit surplombant largement sont dessinés pour éviter que des murs soient nécessaires même durant la saison des pluies.
Le dôme pèse plus de 140 tonnes. Il est supporté par deux châssis en tubes d'acier formant portails disposés à 111 feet 8 inches (33 m) l'un de l'autre, en outre huit poteaux d'acier de chaque côté du dôme se partagent la charge colossale. Deux poutres laminées, 12 inches (30 cm) sur 9 inches (22,5 cm) sur 111 feet 8 inches (33 m) de long sont fixées de chaque côté du dôme à 2 feet 3 inches (68 cm) du bord pour supporter la tension.
La couche supérieure du toit doit être recouverte de feuilles de cuivre pour protéger le dôme contre l'eau. Bien que le teck lui-même soit naturellement résistant à beaucoup d'ennemis du bois, des revêtements supplémentaires de diverses peintures ou produits préservatifs ne réussirent pas à protéger l'élément d'essai contre les conditions très dures des tests dans le laboratoire spécial. La détérioration de la surface extérieure affecterait sérieusement la stabilité du dôme et écourterait beaucoup sa durée escomptée car l'épaisseur du toit est sa propre charpente.
Cette remarquable œuvre de génie forestier avec ses principes de construction révolutionnaires est un monument à la multiplicité des emplois du bois en même temps qu'aux remarquables qualités du bois de teck birman Il servira aussi à rappeler constamment aux futurs architectes et ingénieurs de Birmanie comment les progrès sensationnels dans les techniques d'utilisation du bois, permis par le développement des colles, des assemblages du bois, du calcul des dimensions et de la préfabrication, ont contribué à surmonter les anciennes limites d'utilisation du bois et le rendent capable de concurrencer avec succès l'acier et le béton en face des exigences les plus strictes des ingénieurs.
· Les articles de presse ont parlé des plans de l'industrie en vue de la construction d'une usine complètement intégrée traitant des produits forestiers pour une dépense estimée à 15 millions de dollars environ: ce serait la première réalisation de ce genre dans l'état de Californie. L'achèvement de l'usine est prévu pour 1957.
Outre les installations de transformation du bois comprenant une soierie, des séchoirs et une parqueterie, la nouvelle organisation comprendra une usine de pâte moulée qui transformera les résidus du bois brut et œuvré en produits à base de fibre.
L'usine est conçue avec une capacité initiale de traitement de 85 millions de board feet (200 000 m³) de bois d'œuvre annuellement, et l'usine à pâte moulée, qui fabriquera des produits à partir de pâte mécanique, aura une capacité initiale de 30 000 tonnes annuellement.
Des dispositions particulières ont été prises pour éliminer les problèmes que pourrait poser l'évacuation des eaux usées.
Les méthodes prévues par les scientifiques et les ingénieurs pour utiliser complètement les grumes, comprend l'emploi d'une usine de traitement des eaux usées qui surpasse les plus récentes dans sa conception et dans les principes du système de purification des eaux. Cette usine de traitement contrôlé, en plus de l'emploi de bassins de décantation secondaires complètement séparés de la rivière, assurera le retour de l'eau à la rivière Sacramento aussi pure et claire que celle obtenue par n'importe quelle municipalité sur la rivière.
Les produits prévus comprendront des cartons pour emballer les œufs des assiettes pour l'usage domestique et industriel ou pour les institutions, des plats à tarte et à gâteaux pour les pâtisseries, et des emballages en pâte moulée employés pour le premier empaquetage de la viande et des autres aliments vendus dans les magasins d'alimentation où les clients se servent eux-mêmes.
· Un comité de la Société des forestiers américains sur l'histoire de la foresterie aux Etats-Unis a étudié l'utilité et les possibilités de réalisation d'une série d'études historiques couvrant ses multiples aspects et institutions dans la totalité et la diversité du champ englobé. Des études historiques traitant d'une phase ou d'une autre ont paru dans le passé, par exemple les mémoires personnels de Gifford Pinchot, l'histoire de plusieurs des plus anciennes écoles forestières et d'autres études similaires, mais le comité a conclu que les réalisations à ce jour, et même les projets, étaient fragmentaires et incomplets. Il a donc proposé un programme hardi sous les auspices et avec le concours de la Société, pour activer le travail.
Une des raisons de l'urgence est que beaucoup de vieux forestiers qui furent les acteurs et les meneurs de jeu de l'histoire ont disparu et que la mortalité frappe vite parmi les survivants. Beaucoup des documents historiques sont sous la forme de dossiers classés d'institutions renfermant de la correspondance et des rapports manuscrits, et un tel matériel tend à disparaître, bien qu'un petit nombre d'institutions s'efforcent de le préserver.
Quelques fragments de ce travail sont en cours de préparation sur une base personnelle, en particulier une histoire des origines et du développement de la Division des forêts de l'état de Californie (State Division of Forestry) par C.R. Clar, membre de cette division, et une histoire du développement de la lutte contre les incendies de forêt dans les forêts nationales de Californie par S. B. Show, longtemps membre du Service forestier des Etats-Unis et ensuite en service à la FAO. Le comité reconnut que les débuts dans ces activités avaient une importance et une signification particulières, mais qu'il y en avait d'autres dont l'intérêt était aussi vital, par exemple l'aménagement des terrains de parcours et le développement de l'organisation du personnel et de l'administration.
En plus de l'historique des activités officielles, le comité recherche des renseignements sur l'histoire des principales institutions, telles que l'American Forestry Association et la Western Forestry and Conservation Association qui firent un important travail dans l'ouest des Etats-Unis. Une histoire des 25 premières années du Service forestier était en cours de préparation par W.B. Greeley, un des premiers chefs de service, au moment de sa mort et personne n'est vraiment propre à réaliser et à achever ce travail. Malgré les énormes difficultés pour financer le coût de la préparation et de la publication d'une telle série, l'avenir est au moins plein d'espoir pour le projet de la Société.
· Les travaux de recherche réalisés à la demande du Ministère du commerce et de l'industrie, à l'Institut de recherches forestières de Dehra Dun sur la production de pâte de cellulose supérieure alpha à partir d'Eucalyptus globulus, a montré qu'il est possible d'utiliser cette espèce pour la fabrication de la pâte de rayonne-viscose. Des plantations de «blue gum» ont été installées sur les monts Nilghiri et leur extension y est prévue.
La pâte fut préparée à l'échelle du laboratoire par le procédé au sulfate avec préhydrolyse, le rendement étant d'environ 42 pour cent, et fut essayée en Allemagne par une firme bien connue fabriquant de la pâte de rayonne et dont le rapport fut positif.
C'est la première fois que de la pâte pour rayonne-viscose a été préparée en Inde, même à l'échelle du laboratoire, à partir de bois cultivé dans le pays. Des essais sont en cours avec d'autres espèces.
· L'agriculture primordiale dans l'économie irlandaise et la politique nationale est orientée vers le développement de la productivité agricole au plus haut point possible. La politique forestière nationale doit donc nécessairement être au service du mouvement pour la mise en valeur des ressources agricoles et non pas en conflit avec lui. Cela influe de façon particulièrement importante sur les acquisitions de terres pour la forêt. Les terrains agricoles de haute qualité ne sont pas achetés à des fins forestières sauf lorsqu'ils sont nécessaires à l'installation de pépinières. Evidemment de petites enclaves de terres agricoles peuvent quelquefois être acquises en même temps que les vastes étendues de terrains les englobant et propres en premier lieu à des buts forestiers, mais ceci est inévitable. On peut donc fixer en général que la politique forestière ne vise à boiser que les terres inférieures ou en-dessous de la moyenne du point de vue agricole.
Un important aspect des activités forestières dans les années récentes a été la plantation avec l'aide de moyens mécaniques de zones tourbeuses étendues qui n'auraient pu être économiquement mises en valeur par les méthodes manuelles traditionnelles. Il y a de très grandes superficies de ce type de terrains disponibles dans le pays et si, comme on le souhaite l'expérimentation récente établit dé façon définitive que la plantation de ces terres est une opération économique, il y aura de la place pour une extension beaucoup plus grande des travaux forestiers sur les types de sol tourbeux, particulièrement dans les zones sous-développées le long de la côte occidentale où il y a un urgent besoin de sources supplémentaires de production et d'emplois permanents.
Les demandes de main-d'œuvre pour la foresterie ne sont pas en conflit de façon appréciable avec les besoins de l'agriculture. En fait, une grande partie de la main-d'œuvre forestière est recrutée dans les rangs des petits fermiers dont les domaines ne sont pas rentables ou parmi les fils des fermiers auxquels la ferme est incapable de fournir des moyens d'existence. Quand on sait que la dimension moyenne des fermes irlandaises est petite (la totalité des terres arables est divisée en 379 637 domaines), on comprendra que la foresterie fournit une intéressante source supplémentaire d'emplois pour la main-d'œuvre en excédent disponible dans les districts ruraux et aide à freiner l'exode vers les régions urbaines et l'émigration vers d'autres pays.
· La nomination du général Akhavi comme Directeur général de l'Administration forestière, et la décision de confier à l'armée la protection des forêts dans les zones où le service forestier n'a pas encore été organisé (par exemple dans le sud et l'ouest de l'Iran) montrent que les autorités sont pleinement instruites de l'importance des ressources forestières du pays et ont décidé d'assurer leur protection rigoureuse même si cela entraîne quelques frictions.
La nouvelle organisation des forêts du nord comprend 12 conservations sous le contrôle de quatre inspecteurs généraux. Dans chaque conservation on s'achemine graduellement vers le principe de charger chaque garde forestier du contrôle de 2 500 hectares; quatre gardes seront groupés sous l'autorité d'un brigadier (10 000 hectares), trois brigades constitueront une sous-inspection (30 000 hectares) trois sous-inspections feront une inspection (90 000 hectares), et trois inspections une conservation (270 000 hectares).
Le reste du pays sera également mis sous la protection générale de l'armée, particulièrement en vue de la protection contre les incendies et du contrôle des exploitations. Un service forestier régulier sera progressivement étendu et installé au cours des années à venir.
· Un Institut de la science du bois a vu le jour en décembre 1955 où il fut inclus dans le Companies Act. Le besoin d'une telle institution se faisait sentir depuis longtemps et était devenu plus urgent depuis l'organisation en 1945 de cours de technologie du bois dans l'ensemble du pays. Beaucoup d'anciens étudiants ayant suivi ces cours ont conservé ou accru l'intérêt qu'ils portent à la science du bois et c'était avec le sentiment qu'une organisation nationale devait prendre corps qu'un certain nombre de gens intéressés au projet se réunirent; de leurs discussions est né le nouvel Institut.
Ce comité original est représentatif de toutes les branches de la science du bois et parmi ses membres on trouve des technologistes du bois des botanistes, des chimistes, des experts, des représentants du commerce du bois, des collèges et des associations techniques. Le nom «science du bois» a été choisi parce qu'il englobe tous les aspects de l'étude scientifique du bois depuis l'anatomie jusqu'à la chimie des liants et colles à bois et depuis le séchage jusqu'aux projets de constructions en bois.
Ainsi qu'il est fixé dans les statuts de l'association, le but de l'Institut est «de faire progresser les connaissances scientifiques, techniques, pratiques et générales des personnes intéressées par l'étude du bois et des sujets connexes». On voit donc que l'Institut veut pourvoir au plus grand nombre possible de points d'intérêt pour ceux qui s'occupent des aspects techniques du bois et de son utilisation. Il se propose de publier un journal de la science du bois qui contiendra des articles originaux traitant de tous les aspects de cette science et dans lesquels une place importante sera consacrée aux comptes rendus et aux résumés des recherches en cours; et un bulletin d'information contenant des résumés de conférences revues des livres, annonces de réunions et autres sujets qui seraient intéressants pour les membres et qui les tiendrait informés des activités de l'Institut à l'échelon national.
· Afin d'assurer la coopération souhaitable entre tous les services et les personnes privées intéressées à la culture et à l'utilisation du peuplier, un groupe de travail, la Communauté suisse du peuplier, a été formé dans le but de faciliter et d'améliorer la production des peupliers grâce à la propagation de matériel de plantation de haute qualité et en organisant correctement sa distribution. La Communauté est ouverte à tous ceux qui sont intéressés par la culture du peuplier et sont prêts à travailler en coopération.
Lors d'une première réunion, la Communauté a discuté des problèmes du contrôle de la croissance des divers types de peupliers élevés à la pépinière centrale de Zurich et de la création d'un service de renseignements pour le public. Afin de déterminer les emplacements propres aux plantations de peupliers, il a été proposé que soit établi un registre du peuplier en coopération avec les services fédéraux et cantonaux s'occupant d'agriculture, d'aménagement du territoire et de protection de la nature.
