Global Forum on Food Security and Nutrition (FSN Forum)

TRADUCTION FRANÇAISE CI-DESSOUS

The Covid -19 pandemic has been a clarion call to inefficiencies in not only the African but also the Global food supply chains. Attaining Zero Hunger calls for collaborative efforts, alinment to Good Agricultural Practices, leveraging on agricultural technology especially data science and emergency preparedness to cater for intra and inter trade.Below are my thoughts on the discussion.

1. AfCFTA will trigger individual African countries and regional blocs into revitalizing their agricultural production both in terms of productivity and food safety. This means that we will see a rise in speciaalization of crops and entrepreneurship in areas of value-addition for agricultural commodities in order to suit our diverse regional tastes and preferences. In Kenya, we need pantain chips btw, not I but itsa need. Negative impcts such as unfair competition from informal trade i.e goods crossing the borders without adhering to protocol, can be curtailed by creating an enabling environment through subsidies for agricultural inputs and produce.

2. Trade policies may efficiently address informal cross-border trade in the context of AfCFTA through establishing traceability system using geotaging and tracking of agricultural commodities. What might prevent the inclusive formalization of agricultural trade in Africa is the lack of a joint continental policy governing issues on informal trade and the production threshhold by which a state is considered self-sufficient in feeding its population in a given crop/animal produce.

3. In Kenya, last year especially, we experienced hostility where traders would move their goods into a neighboring country andthe citizens would attack and destroy their cargo in retaliation. We are believed to be "bad for business meaning unfair capitalists." Lack of political goodwill can be a major challenge stifling cross border agriculture trade. Given that most of such isues arise from poor political relations, enhancing great political relations with our neighnors actually worked in reducing hostility in cross-border trade.

4. Where one country bans use of certain synthetic agrochemicals whereas the other neighboring countries freely smuggle thesebanned chemicals into the said state at a cheaper farmers and farmers end up using the said chemicals, SPS measures are adultered. A common understanding and ruling needs to be established on SPS/TBT measures for our continent.

5. If key food commodities are on the list of sensitive and excluded products, food and nutrition security will be negatively impacted given that the cost of trading in these goods will be higher and hence the economies of scale lower. Countries may result into the forbidden informal cross-border trade.

6. As our sister mentioned earlier, there needs to be a continental policy giving a threshhold as to how to classify a country as food secure enough to export its excess produce to the rest of Africa.

Feel free to find my two-cents on https://marymwema.wordpress.com/

La pandémie de Covid -19 a été un appel de clairon en ce qui concerne l'inefficacité non seulement dans les chaînes d'approvisionnement africaines mais aussi mondiales. Atteindre la faim zéro appelle à des efforts de collaboration, à l'alignement sur les bonnes pratiques agricoles, à l'exploitation de la technologie agricole, en particulier de la science des données et de la préparation aux situations d'urgence pour répondre aux échanges intra et inter-commerce. Voici mes réflexions sur la discussion.

1. La ZLECAf déclenchera les pays africains et les blocs régionaux à revitaliser leur production agricole en termes de productivité et de sécurité alimentaire. Cela signifie que nous verrons une augmentation de la spécialisation des cultures et de l'entreprenariat dans les domaines à valeur ajoutée pour les produits agricoles afin de répondre à nos goûts et préférences régionaux divers. Au Kenya, nous avons besoin de chips plantain, pas moi mais c'est un besoin. Les effets négatifs tels que la concurrence déloyale du commerce informel, c'est-à-dire les marchandises qui traversent les frontières sans adhérer au protocole, peuvent être réduits en créant un environnement propice au moyen des subventions pour les intrants et les produits agricoles.

2. Les politiques commerciales peuvent traiter efficacement le commerce transfrontalier informel dans le contexte de la ZLECAf en établissant un système de traçabilité utilisant la géolocalisation et le suivi des produits agricoles. Ce qui pourrait empêcher la formalisation inclusive du commerce agricole en Afrique est l'absence d'une politique continentale commune régissant les questions relatives au commerce informel et le seuil de production par lequel un État est considéré comme autosuffisant pour nourrir sa population dans une culture / un produit animal.

3. Au Kenya, l'année dernière en particulier, nous avons connu une hostilité où les commerçants transportaient leurs marchandises dans un pays voisin et en représailles, les citoyens attaquaient et détruisaient leurs marchandises. On pense que nous sommes « mauvais pour les affaires, ce qui signifie des capitalistes injustes ». Le manque de bonne volonté politique peut être un défi majeur freinant le commerce agricole transfrontalier. Étant donné que la plupart de ces problèmes découlent de mauvaises relations politiques, le renforcement de bonnes relations politiques avec nos voisins a en fait contribué à réduire l'hostilité dans le commerce transfrontalier.

4. Lorsqu'un pays interdit l'utilisation de certains produits agrochimiques synthétiques alors que les autres pays voisins passent ces produits chimiques interdits en contrebande dans l’État concerné à un prix inférieur les agriculteurs finissent par utiliser lesdits produits chimiques, les mesures SPS sont adultérées. Une compréhension commune et une décision commune doivent être établies en ce qui concerne les mesures SPS / OTC pour notre continent.

5. Si les denrées alimentaires essentielles figurent sur la liste des produits sensibles et exclus, la sécurité alimentaire et nutritionnelle sera affectée négativement étant donné que le coût du commerce de ces produits sera plus élevé et donc les économies d'échelle plus faibles. Les pays peuvent s’engager dans le commerce transfrontalier informel interdit.

6. Comme notre sœur l'a mentionné plus tôt, il doit y avoir une politique continentale qui détermine un seuil en ce qui concerne le niveau de sécurité alimentaire un pays doit avoir pour pouvoir exporter ses produits excédentaires vers le reste de l'Afrique.

Vous pouvez trouver mon grain de sel ici : https://marymwema.wordpress.com/