Global Forum on Food Security and Nutrition (FSN Forum)

Traduction française ci-dessous 

Response to Question 1 on negative impacts of the AfCFTA

1)  Negative impacts of AfCFTA may come from situations where import traders sell their products at the expense of local farmers due to import price-crashing. This can be minimized by innovation of digitalized and centralized technological platforms within African countries that would avail countries with real-time data of necessary food products to be imported to various markets at different times.With respect to weather and climate deviations within African countries, import of specific food items which can be sold within the AfCFTA should take cognizance of food products which are not in season in each country and route trade in that direction.

Response to Question 2 on inclusive formalization of agricultural trade in Africa

2) Trade policies must find a diplomatic way to legalize cross border trade as this will improve legal foreign exchange for both the importing and exporting countries. The problem comes to play when protocols are too much or tarrifs are too high. Countries that are close to each other can have reduced tarrifs to encourage cross-border trade.

Response to Question 4 on implication of including key food commodities on the list of sensitive products

4) Including key food commodities on the list of sensitive products will not necessarily affect food security as these barriers have always been there. Since most African countries are agricultural producers, each country can maintain the 7 percent tarrif placed on foods which they produce in adequate quantities while food commodities not produced in the importing country can be tarrif-free. An example is that Nigeria produces millet in surplus, and it would be disadvantageous to millet farmers  in the country if it becomes outrageously cheap to import millet.

Réponse à la question 1 sur les impacts négatifs de la ZLECAf

1) Les impacts négatifs de la ZLECAf peuvent provenir de situations où les négociants de l’ importation vendent leurs produits au détriment des agriculteurs locaux en raison de la chute des prix des importations. Cela peut être minimisé par l'innovation de plates-formes technologiques numérisées et centralisées au sein des pays africains qui fourniraient aux pays des données en temps réel des produits alimentaires nécessaires à importer sur différents marchés à des moments différents. En ce qui concerne les écarts météorologiques et climatiques au sein des pays africains, l'importation de produits alimentaires spécifiques qui peuvent être vendus dans le cadre de la ZLECAf devrait tenir compte des produits alimentaires qui ne sont pas de saison dans chaque pays et orienter le commerce dans cette direction.

Réponse à la question 2 sur la formalisation inclusive du commerce agricole en Afrique

2) Les politiques commerciales doivent trouver un moyen diplomatique de légaliser le commerce transfrontalier, car cela améliorera le change légal pour les pays importateurs et exportateurs. Le problème intervient lorsque les protocoles sont trop ou les tarifs sont trop élevés. Les pays situés à proximité les uns des autres peuvent avoir des tarifs réduits pour encourager le commerce transfrontalier.

Réponse à la question 4 sur l'implication de l'inclusion des denrées alimentaires essentielles sur la liste des produits sensibles

4) L'inclusion des denrées alimentaires essentielles sur la liste des produits sensibles n'affectera pas nécessairement la sécurité alimentaire, car ces obstacles ont toujours été présents.

Puisque la plupart des pays africains sont des producteurs agricoles, chaque pays peut maintenir le tarif de 7 pour cent appliqué aux aliments qu'il produit en quantité suffisante tandis que les produits alimentaires non produits dans le pays importateur peuvent être exempts de tarif. Un exemple est que le Nigeria produit du mil en excédent, et il serait désavantageux pour les producteurs de mil du pays si importer du mil devient scandaleusement abordable.